Je suis une étudiante de 22 ans et mon sexfriends a 68 ans

Je sais que certaines personnes ne croiront pas à mon histoire, mais je m’en moque. L’histoire que je vis avec cet homme est tout simplement extraordinaire et je me rends compte avec le temps que j’aie fini par tomber amoureuse.

Je m’appelle Léa, j’ai 22 ans et je suis étudiante en fac de droit à Bordeaux. L’année dernière, j’ai fait la rencontre d’un homme qui a bouleversé ma vie. Jean-Pierre, 67 ans, tout ce qui a de plus banal. J’ai fait sa connaissance dans un bar ou plutôt un café dans lequel j’ai l’habitude d’aller après les cours. Je m’y installe chaque jour à des heures différentes, et en sirotant diverses consommations, je révise et je travaille. Je n’aime pas être seule chez moi, ça m’angoisse. Alors je viens ici et c’est un peu ma deuxième maison.

Jean-Pierre fait partie des habitués. Il a ses amis et ils se retrouvent ensemble chaque jour pour refaire le monde. La belle vie de retraité quoi ! Un jour, nos regards se sont croisés et j’ai vu qu’il me regardait avec insistance et de manière soutenue. Je n’y ai pas prêté attention plus que cela et continué de bosser. Je travaillais dur et le temps passait sans que je ne m’en aperçoive. Jean-Pierre est venu me demander s’il pouvait s’installer à ma table et m’a questionné sur mes études. C’était un ancien professeur de la fac où j’étudie. Nous avons fait connaissance et il s’est avéré charmant. Je lui ai expliqué pourquoi je venais ici et j’ai profité pour lui poser quelques questions.

Les jours ont passé, les semaines aussi. Nous étions devenus amis et un jour, je l’ai invité à manger à la maison. C’est un bien grand mot, c’était plus du grignotage qu’autre chose, je ne suis pas une grande cuisinière. Lorsqu’il est arrivé chez moi, je l’ai trouvé très beau. Tout au long de la soirée, j’ai été troublée parce que je commençais à ressentir des choses pour lui. C’était bizarre, parce qu’il ne ressemblait en rien à l’idée que je me faisais de l’homme idéal. En même temps, ça faisait des mois que je ne fais pas eu de rapports sexuels, on va dire que j’étais un peu sur ma faim !

Après le repas, nous étions sur le canapé et j’ai remarqué malgré moi la bosse qu’il avait sous son pantalon. Il a vu que j’avais vu et il m’a dit : « ah ça ! » J’ai fait mine de ne pas comprendre, mais il enchaînait sur le sujet. Il m’a dit que je devais être rassurée et que non, ce n’était pas une érection mal placée qu’il avait, c’est simplement son sexe qui est énorme et qui a du mal à être contenu dans les caleçons. On a plaisanté sur le sujet et l’alcool aidant, j’ai demandé à voir. Je pense que Jean-Pierre a été le premier surpris. Il m’a dit qu’au lieu de regarder, je devrais toucher. Je me suis avancée timidement et j’ai posé ma main sur son pantalon. J’avais l’impression de toucher mon bras. Impressionnant ! Surtout que le fait de le toucher, son sexe s’est mis à grossir. J’ai tout de suite libéré la bête en défaisant la fermeture éclair du prof retraité. Un énorme chibre est sorti à faire pâlir le plus membré des blacks ! J’ai posé mon coude sur sa cuisse et sa queue en érection est aussi grosse que mon avant-bras. Inutile de vous dire que j’ai voulu y goûter !

J’ai taillé une grosse pipe accompagnée d’une branlette à Jean-Pierre qui a pris énormément de plaisir. Mais pas autant que moi ! Il m’a arrêté avant de jouir en me disant qu’il aimerait bien lui aussi découvrir mon intimité. J’avais déjà franchi la ligne jaune, je ne pouvais refuser. Je me suis déshabillée et je suis venue frotter ma petite chatte contre lui. Il m’a soulevée avec une force inouïe pour plaquer sa bouche sur ma vulve. J’étais debout sur le canapé et il me léchait la minette de manière très habile et élégante. Je coulai littéralement d’excitation et d’envie. Il m’a ensuite positionnée sur sa queue qui a eu énormément de mal à rentrer dans mon vagin. Mais il a su prendre le temps de me rassurer de me faire des caresses pour finir par rentrer à moitié. Il ne pouvait aller plus loin. C’était déjà très bon ! J’ai fait quelques allées et venues sur son sexe, mais l’excitation était trop forte. J’ai joui et j’ai eu honte.

J’avais le sentiment d’être une femme précoce. Je lui ai proposé de le sucer ou de le branler pour le faire jouir. Il a refusé en me disant que ce que je venais de lui apporter était déjà énorme et que ça suffisait largement pour lui. Cette réponse a été le pompon de mon ressenti vis-à-vis de cet homme.

Nous nous sommes revus plusieurs fois et avons continué de baiser plusieurs fois par mois, puis plusieurs fois par semaine pour finir par se voir tous les jours. Nous voulons emménager ensemble, mais ce n’est pas possible vis-à-vis de nos familles. Personne n’est au courant à part vous, lorsque nous nous voyons, c’est chimique. On a envie l’un de l’autre et malgré cette différence d’âge, nos corps ont besoin de fusionner. C’est bientôt l’anniversaire de mon Jean-Pierre, et j’ai envie de lui donner ce qu’il attend. Je me suis entraînée pendant des jours à me dilater le vagin pour qu’il puisse aller enfin tout au fond de moi avec son énorme queue. Et j’ai fait la même chose à mon anus, j’ai envie de lui offrir mon cul qui est vierge de toute bite. J’ai hâte et je suis terriblement stressée en même temps !

Ce que je voulais faire comme témoignage avec ma confession intime, c’est qu’on a beau avoir plus de 50 ans d’écart, nous avons une relation sexuelle passionnée et consentie qui est des plus torrides et extraordinaire.

Léa, 22 ans, Bordeaux.

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données.