Je n’étais pas très disposée à vous faire cette confession, mais après avoir raconté cette histoire à ma meilleure amie, elle m’a conseillé de le faire et de la publier sur votre blog. Je suis un petit peu gênée de vous raconter cela, mais après tout, nous sommes tous ici pour les mêmes choses.
Je suis une jeune maman en congé maternité qui commence à ressentir les premiers coups de fatigue et d’ennui. L’après-midi lorsque ma fille daigne me laisser quelques instants de répit en faisant sa sieste quotidienne, je me mets sur Internet et je surfe un petit peu sur des sites coquins. La semaine dernière, je lisais les histoires taboues de votre blog et j’étais très excitée. Je me suis allongée sur le canapé et me suis laissée aller à une séance de masturbation intime en caressant mon clitoris et en introduisant un doigt dans ma vulve humide. Mais c’est à ce moment-là que j’ai été interrompue. Autant vous dire que j’étais très énervée.
Il s’agissait de mon voisin avec qui je suis très complice et qui vient souvent me rendre visite pour boire le café et discuter de choses et d’autres. Et ce jour-là, étant donné que je n’avais pas joui, j’étais un petit peu sur la défensive. Il a bien vu que quelque chose n’allait pas et m’a demandé quelle était la raison de mon humeur détestable. Je n’allais certainement pas lui dire ce que j’étais en train de faire et nous avons bu un café. Mais il insistait lourdement pour connaître mon secret et j’étais moi-même très frustrée d’avoir été interrompue au moment crucial.
Alors aussi lorsqu’il a attrapé mon poignet quand je suis passée tout près de lui, je l’ai regardé fixement dans les yeux en lui disant qu’il ne le saurait jamais. Tout en me maintenant le poignet, il me dit qu’il avait les moyens de me faire parler, chose à laquelle j’ai répondu que j’aimerais bien voir cela. À cet instant précis, j’ai compris que j’allais vivre quelque chose d’inhabituel et d’extraordinaire. Il a mis mes bras derrière le dos et a commencé à m’embrasser dans le cou. Je n’ai même pas cherché à me défendre. Ceci dit, cela n’était pas une attaque bien au contraire. Ses lèvres couraient sur la peau de mon cou et cela me donnait des frissons qui parcouraient mon corps. À ma grande surprise, il m’a relâchée pensant que cela suffirait à me faire parler, mais ne voulait surtout pas abuser de la situation. Oh oui abuse ! À ce moment-là, j’étais encore plus frustrée qu’avant sa venue. Je lui ai dit que c’était inconcevable qu’il s’en aille et que si c’était tout l’arsenal qu’il avait pour faire parler des femmes, il n’aurait jamais aucune information.
Involontairement, j’étais en train de l’encourager à continuer cet interrogatoire. Il m’a entraînée sur le canapé et a baissé mon pantalon sans enlever ma petite culotte. Il m’a dit ne connaître qu’un autre moyen pour faire parler les vilaines petites filles, c’était de leur mettre la fessée. Il a commencé tout en maintenant mes bras, à me mettre quelques claques bien placées et bien vives sur les fesses. Cela ne faisait pas mal du tout, mais c’est la situation qui était très excitante et qui a fait que j’étais littéralement trempée entre les cuisses. Je continuais de le provoquer en disant que je ne parlerai pas. C’est à ce moment-là qu’il a baissé ma petite culotte et qu’il a glissé deux doigts dans mon vagin. J’étais au bord de l’orgasme puisque c’est à ce moment précis que j’ai été interrompue tout à l’heure. Il n’a pas eu beaucoup à insister pour que je cède à un orgasme puissant sous ses doigts habiles.
Vu la tournure des évènements et que je venais de jouir, j’avais très envie de continuer cet interrogatoire un petit peu spécial. J’ai entrepris d’envoyer la main sur la bosse de son pantalon, mais il me l’a immédiatement interdit. Ce mec est très fort, car il me domine physiquement et psychologiquement. Voyant que je n’avais pas parlé en s’attaquant directement à mon intimité, il a décidé de tenter autre chose. Il s’est mis derrière moi, m’a remis les mains derrière le dos, et a recommencé ses délicieuses caresses dans le cou. Puis il a glissé ses mains sous mon chemisier pour caresser mes seins gonflés de désir. Il a attrapé mes tétons qu’il faisait rouler sous ses doigts agiles. C’était délicieux ! Une vague de chaleur a envahi mon corps et je sentais de nouveau l’orgasme arriver. Mais il me manquait quelque chose. Il m’a serrée très fort en ne s’occupant plus que d’un seul téton et en glissant son autre main sur mon petit bouton qui se décapuchonnait tout seul. Cette triple caresse combinant les baisers dans le cou, le pincement des tétons, et la masturbation douce et intense de mon clitoris, me fait de nouveau connaître un orgasme puissant qui celui-ci m’a complètement terrassée et épuisée.
Voyant que je n’avais pas lâché le morceau et qu’il ne tirerait plus rien de moi, il a déposé un baiser sur mes lèvres encore haletantes de désir, et m’a dit qu’il repasserait un jour pour avoir le fin mot de l’histoire. Il me laissait là, complètement épuisée par les orgasmes que je venais d’avoir et par ce qu’il venait de se passer. Je me suis assoupie rassasiée et ravie.
Lorsque je me suis réveillée une demi-heure plus tard, je me suis posé la question de savoir si c’était un rêve ou si cela s’était réellement produit. Mais lorsque j’ai voulu me rhabiller, je me suis aperçue que ma petite culotte avait disparu. Mon coquin de voisin me l’avait subtilisée en me laissant un mot dans la cuisine. Il était écrit dessus qu’il m’avait « emprunté » ce bout de tissu imprégné de mon jus intime et qu’il me le rendrait très prochainement si j’avouais mon terrible secret.
Vu l’interrogatoire intime qu’il m’a fait subir aujourd’hui, je ne risque pas de lui avouer quoi que ce soit et préfère le laisser revenir afin qu’il continue et me donne de nouveaux orgasmes.
Sophie, 32 ans, Tours
et bas quel histoire je pensais pas que sa arrive dans ma ville sais chose la
Hum sa à du être bon