Jeu de rôle d’une femme mature au bar d’un restaurant chic

Jeu de rôle au bar d’un restaurant chic

Nous sommes un couple de quadras amoureux, mais une forme de lassitude s’est installée au fil du temps, ce qui me préoccupe… Alors, nous avons évoqué ensemble l’idée d’un petit jeu de rôle autour de la séduction.

Le lendemain soir, passé 23 heures, nous sommes au bar d’un restaurant chic. Il est vraiment tard, je suis dans un canapé et je l’observe à distance, discrètement. Elle, sexy à souhait, a sorti sa belle robe noire qui met en valeur sa silhouette, un peu échancrée, ses jambes sont mises en valeur par des bas noirs et des talons. C’est devenu inhabituel, elle ne fait plus les efforts de s’habiller ainsi, mais là, Elle est vraiment classe et s’installe au bar en commandant un martini. Il y a peu de monde mais un inconnu ne tarde pas à l’aborder, il est visiblement aussi charmé et charmant.

Il semble lui demander s’il peut lui offrir un verre. Il n’est pas d’une beauté renversante mais son superbe sourire et ses yeux bleus semblent faire un petit effet. Elle accepte tout en jetant des petits regards vers moi pour voir ma réaction. Intérieurement nerveux, je joue au gars impassible et je continue de les observer. Déjà trois verres et le temps passe, il se fait de plus en plus tactile avec elle, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire. Elle se laisse faire. Ils échangent, lui murmure à l’oreille et la fait rire, sa main se pose sur sa cuisse, elle laisse faire, elle a les yeux qui pétillent. Elle lui demande une seconde et se lève en se dirigeant vers le vestiaire.

Je reçois un SMS. C’est elle :

« Il me propose un dernier verre chez lui, il habite au bout de la rue, on continue le petit jeu…

Je vais lui dire que je suis accompagnée, mais que tu resteras à distance ! »

Elle le rejoint, lui glisse un mot à l’oreille, leurs regards se tournent vers moi. J’échange un bref regard et un sourire coquin. Nous nous sommes compris…

Avec beaucoup de courtoisie, il l’amène au vestiaire pour récupérer son manteau. Au moment de la couvrir de sa veste, il relève ses cheveux et pose un baiser dans le cou. Nous avions parlé de flirt uniquement et mon cœur commence à palpiter. Ils sortent et il la tient par la taille. Je les suis à dix mètres. Il ouvre la porte d’un jardin donnant sur un pavillon, il la fait passer devant lui et sourit en regardant son cul puis il me regarde et rentre tout en laissant l’entrée ouverte.

Je m’empresse d’entrer, des fois qu’il change d’avis et me ferme la porte au nez. Ils se sont installés dans un grand canapé feutré, je n’ai pas dit un mot et lui m’a juste fait signe de m’asseoir dans un coin de la pièce. La maison est décorée avec goût. Ils trinquent et sont de plus en plus tactiles, la main de l’inconnu remonte sur les jambes de ma femme et au moment de disparaître entre ses cuisses, celle-ci se tourne vers lui pour l’embrasser à pleine bouche. Je reste toujours en observateur et me sens fébrile. Je vois la main de l’inconnu s’agiter entre les jambes de ma tendre épouse, je devine qu’elle mouille déjà depuis un moment et il s’en aperçoit rapidement ce qui fait monter leur excitation respective. Ils échangent encore un baiser langoureux.

J’entends dire ma femme :

• — C’est délicieux, Si votre langue est aussi habile et lèche aussi bien… Je ne serai pas en reste.

Jamais je n’aurais cru entendre ça de ma femme, mes palpitations sont de plus en plus fortes. Dans le coin sombre de la pièce, installé dans un fauteuil, je les observe, Elle, la jupe relevée jusqu’à la taille, les jambes écartées pour me montrer comme les doigts de l’inconnu fouillent son intimité. Elle lui prend la tête et la dirige vers sa chatte. Il retire ses doigts trempés de la chatte de ma femme et dégage le tissu de son tanga. Sa langue se pose sur son clitoris qu’il lèche à merveille pendant qu’elle me fixe du regard avant que ses yeux ne se plissent.

Elle lui agrippe les cheveux. Lui, lèche avec envie sa chatte grande ouverte. À la voir se pincer les lèvres, jouir sous sa langue qui tournoie autour de son clito, je sens la jalousie m’envahir et mon sexe durcir, prêt à exploser dans mon pantalon. Nos regards se croisent, elle me sourit en me voyant rougir. Je dois avouer que j’aime la scène, la voir jouir avec cet inconnu.

Elle lâche un cri d’extase en jouissant. Il se redresse devant elle. Sans hésiter, elle lui empoigne le sexe au moment où le pantalon glisse au sol. Son sexe est assez gros et sa langue passe autour de son gland. Vraiment, je trouve sa bite très grosse, plus grosse que la mienne. La bouche de ma bien-aimée s’ouvre et aspire son gland. Sa main astique sa bite pendant qu’elle l’engloutit tout entière.

Quel spectacle, ma charmante femme qui suce comme jamais un type qu’elle ne connaissait pas il y a une heure ! Il se raidit et elle ressort son sexe pour lui dire à voix haute :

• — Tu ne vas pas jouir maintenant, mon beau !

Elle me fixe et rajoute :

• — J’ai une violente envie de me faire baiser, Et bien baiser, sévèrement baiser comme en rêve secrètement mon mari !

Mon sexe est comprimé dans mon pantalon mais je reste silencieux dans mon coin. Vais-je supporter d’en voir plus, de la voir se conduire comme jamais elle ne le fait avec moi ?

Il la redresse et la fait se cambrer, sa main claque une de ses fesses puis finalement, il la fait mettre à quatre pattes. Je vois sa bite glisser sur la chatte de ma femme tout humide de l’avoir bien léchée puis s’introduire avec un jeu de va-et-vient doux, puis de plus en plus fort, de plus en plus profond. Les seins de ma femme s’agitent dans tous les sens. Il s’agrippe à ses hanches comme pour se retenir. Elle crie « plus fort » au rythme des coups que sa bite assène. Cela l’excite, et moi aussi, face à cette scène surréaliste. Il s’enfonce en elle par des coups secs et ressort doucement plusieurs fois, puis reprend un rythme très soutenu. C’est qu’il sait s’y prendre. Il la culbute avec frénésie, que dis-je, il la baise comme une vulgaire poupée. Il finit par jouir en elle, son torse s’abat sur son dos. Ils sont en sueur tous les deux. Il lui embrasse le dos et le cou.

Il se conduit en gentleman, il ressert à boire. Ils reprennent place tous les deux dans le canapé feutré. Ils trinquent et s’embrassent à pleine bouche. Il lui glisse un mot à l’oreille et elle rit. Elle a son haut mais plus de jupe, plus de tanga. Ils chuchotent en sirotant le champagne. Elle semble à l’aise et laisse sa main caresser à nouveau son sexe. Il l’embrasse dans le cou et renifle ses cheveux tout en glissant un doigt dans sa chatte. Il pose sa coupe et pose la sienne. Il se redresse et prend sa main pour l’inviter à se lever et le suivre.

• — Je vous fais visiter l’étage, ma chère !

Lui, nu comme un ver, elle, cul nu, il la guide vers l’escalier. Ils m’ignorent complètement et grimpent, il a sa main sur ses fesses.

Me voilà seul dans mon fauteuil, soudain la télé s’allume. C’est l’image d’une caméra fixe sur sa chambre. Il n’y a personne mais je devine que je vais bientôt les voir. Le son fonctionne car je les entends. Je m’installe dans le canapé feutré dans l’attente d’une nouvelle surprise. Mais dois-je continuer à me livrer sur cette expérience ?

Brigitte