Sortie en club libertin, le plaisir des yeux et des sens.
Quelques semaines après l’expérience du cabinet du sexologue, Christelle avait effectivement changé. Plus disponible, discutions excitantes, messages provocants, elle me confiait parfois comment c’était passé l’entrevue avec le toubib sexologue. Elle savait qu’elle m’excitait beaucoup à l’entendre me raconter les détails et surtout ce qu’elle a ressenti. L’impression à froid m’indique que la femme que j’avais connue il y a des années m’était réapparue.
Finalement, elle avait décommandé elle-même la seconde séance qui devait porter sur la sodomie. La raison invoquée par Christelle est qu’elle ne voulait pas la pratiquer avec un autre que moi. Délicate attention me direz vous… Il est clair que cette séance l’avait marquée inexorablement et sur le plan du fantasme et sur le plan de la réalisation de certains d’entre eux. Restait pour moi de savoir quels fantasmes seraient possibles en exécution et ceux qu’elle n’envisagerait pas.
De plus son fantasme sur les grosses queues me semblait décuplé. Oh je ne suis pas ridicule sur le sujet de la taille mais je ne suis pas non plus un acteur de porno… Elle avait été transformée par sa visite chez ce toubib. Une séance qui était allée trop loin à mon goût mais qui l’avait en quelque sorte décomplexée. Le sexologue l’avait amenée à un niveau d’excitation tel qu’il avait pu lui faire accepter un rapport sexuel particulièrement chaud. En d’autre terme, il avait su s’occuper de ma femme mieux que je n’avais réussi à le faire ces dernières années.
Je craignais donc que Christelle ne devienne plus réceptive aux autres qu’à moi-même et c’est la raison pour laquelle je n’étais pas totalement à l’aise avec notre ancienne idée de nous rendre en club échangiste/candauliste. Je dis ancienne idée car par le fantasme qui était le mien, je l’admets, je voulais essayer de la remettre sur les rails du sexe excitant et de la séduction, mais sans rapports sexuels. J’avoue aujourd’hui qu’une appréhension m’envahis. Oui, je voulais que ma femme redevienne inventive et désirable, sexuelle. Je suis servi comme je le souhaitais, mais à quel prix.
Un soir dans une discussion entre nous, Christelle me demande si je voulais toujours passer une soirée en club échangiste. Oh pas pour pratiquer mais pour regarder et repartir avec pleins de petites idées en tête. C’est l’objet de ce récit…. La visite en club libertin.
J’avais songé par le passé à inviter ma femme à une soirée dans des clubs libertins, mais au dernier moment l’envie ou peut-être le courage me faisait reculer. Une publicité d’un de ces endroits plutôt recommandé me faisais à nouveau émettre cette envie. J’en parlais à Christelle parfois, et ce soir là c’est elle qui me rappelait que si je le voulais toujours alors elle accepterait tant que nous sortions ensemble elle était rassurée.. Ce club où il semblait que tout pouvais être possible mais sans contrainte. Séductions et voyeurismes nous convenaient parfaitement.
Nous voilà donc sur le parking de ce club. Christelle comme à son habitude était superbement habillée d’une jupe courte noire avec des bas de même couleur non opaques. Chemisier blanc avec lycra translucide pour son décolleté. Talons moyens et bien sûr string et soutien gorge blanc assortis. Une superbe femme qui ne donnera pas le besoin de regarder ailleurs….
Nous nous garons et nous étions un peu excités par la pensée de ce que nous pourrions y découvrir. N’y tenant plus, Christelle me fît une superbe fellation dans la voiture. Ma main relève sa jupe et mes doigts effleurent son sexe qui était déjà très humide. Je voulus insérer un doigt puis deux, mais elle me repousse en me disant qu’elle va être trop excitée… et quand nous serons rentrés….
Nous entrons, des hommes et femmes accueillants nous souhaitent la bienvenue, un peu comme au restaurant. Et déjà les hommes s’attardent sur Christelle, les femmes aussi par ailleurs. Elle est très jolie et tout sourire. Sa belle poitrine, sa taille fine, un cul cambré et de jolies jambes fines aux galbes émoustillants attirent leurs regards. Ce soir elle est particulièrement belle et je suis fier. J’ai déjà très envie d’elle.
Nous visitons le bar et le restaurant, la grande piste de danse, la terrasse chauffée et bien entendu aussi les recoins « Amor », avec des lits et canapés, des couloirs aux recoins sombres. A cette heure ci ces coins magiques sont déjà en ébullition. Nous voyons des hommes et des femmes dans l’obscurité pour certains dans des poses attrayantes et plutôt suggestives. Des gémissements et râles se font entendre.
Pendant que Christelle, continue d’avancer et d’explorer les lieux, je vis une jolie femme nue qui chevauche un homme pendant qu’un autre homme les épies en se masturbant. Christelle ne me voyant pas prêt d’elle revient vers moi et à son tour découvre le spectacle. Elle aurait pus comme moi voir le couple dans ses ébats mais je vis que ses yeux s’attardaient sur l’homme qui se masturbait. Cette vision devait l’exciter beaucoup quand je découvris que le chibre de cet homme était incroyablement gros.
Dans cette partie du club les coins sont vraiment dédiés au sexe dans une ambiance provocante à souhait. Les pièces sont séparées par des voilages dédiés, des lits et canapés sont disponibles. Nous sommes dans une ambiance qui ne déplaît pas à Christelle, ni à moi par ailleurs….
Nous arrivons à un petit spectacle qui se déroule sous les yeux, une dizaine de personnes. Une jeune femme brune d’une trentaine d’années présente sa croupe à un homme d’une bonne cinquantaine. Sa robe est remontée sur ses hanches et dévoile sa fente saillante, elle porte des bas couleur chair et des escarpins rouge vernis à talons hauts. L’homme lui fait un cunnilingus pendant qu’elle même fait une fellation à un jeune fortement monté qui ne devait pas dépasser les 25 ans. Je sus plus tard que ce jeune avait remporté un concours de l’homme le mieux membré. Inutile de vous dire que ma femme avait les yeux scotchés sur le jeune.
Ce soir quelques beaux mâles sont présents pour initier celles qui le veulent nous dit notre voisine curieuse. Christelle dévisage ces mâles exhibitionnistes et surtout la forme de leur sexe au travers de leur short lycra transparent (tout pour exciter). Les mâles caressent toutes les femmes qui sont à proximité, deux arrivent vers nous et touchent ma femme qui se laisse faire avec gêne. Un des deux se concentre maintenant sur l’entrecuisse de Christelle qui était assise. A ses caresses Christelle se prend au jeu et écarte légèrement ses cuisses, dévoilant sa vulve rose et lisse. Ses mouvements se font de plus en plus rapides et saccadés. Elle gémit sous les coups, les yeux mi-clos.
Je lui dit… Pourquoi lui ? Christelle me réponds.. Regarde le paquet sous son short.. Je suis trempée chéri. L’homme entame ensuite une prestation avec une femme juste à côté de Christelle en plongeant son majeur dans son sexe. Ce geste provoque à cette femme un soupir langoureux. Christelle se touche discrètement la fente, le second la voit et vient vers ma femme qui le fixe dans les yeux sans honte. Pendant ce temps le premier retire son doigt luisant de sécrétions intimes et la femme se relève, entreprend de libérer le sexe en érection de cet l’homme en le sortant de son lycra. C’est là que je réalise que le type allait jouir pendant qu’il se faisait caresser par cette femme juste à côté de Christelle. A la sortie de son short lycra, sa grosse queue éjacule si fort que son sperme est venu maculer la robe de Christelle qui essuie son vêtement tout en continuant à regarder avec insistance la grosse queue du gars.
Le second qui se rapprochait de Christelle se dandine devant elle, met ses mains derrière la tête de ma femme et l’invita à se pencher en avant. Il colle la forme démesurée de sa queue sur les lèvres de Christelle qui tend sa langue sur le tissu. L’homme la regarde avec insistance lorsqu’il sort lui même son mandrin de son étui. Christelle est figée quelques secondes devant l’engin avant de le saisir avec sa bouche et procède à une fellation tout en se masturbant. Un spectacle unique que m’offrait ma femme (ou plutôt se l’offrait à elle même).
Émoustillés par ce qu’il venait de se dérouler, nous sommes surpris par un inconnu qui nous fait face et qui s’adresse à nous. — Je vois que le spectacle de mes camarades vous a plus. Je peux vous proposer l’exclusivité de cette pratique si vous le souhaiter. Vous êtes une jolie femme et vous me plaisez beaucoup. Est ce que je vous plaît aussi ? L’homme est bien habillé, la cinquantaine, à l’air soigné, ce que Christelle aime. Ma femme lui répondit « peut être plus tard », et l’homme en confiance saisie la main de ma femme et la plaqua à l’endroit de sa queue. Christelle ne l’enleva pas et procédait déjà à un massage au travers de son pantalon. L’homme bandait comme un âne, Christelle était flattée et comme hypnotisée par cette grosseur qu’elle caressait sur toute sa longueur. Après une minute ou deux, Christelle sortis cette bite de son enveloppe et le masturbait énergiquement tout en léchant son gland. Je voulus intervenir mais ma femme me fît signe de ne pas le faire. La gorge serrée je suis partis l’attendre plus loin. De quelques mètres de là, j’entendais l’homme pousser un râle très sonore, il avait très certainement déchargé son jus dans la bouche de Christelle.
Troublé par cette expérience, je remonte la salle direction le bar sans Christelle qui s’empressait de me rejoindre, et nous commandons un verre.
— Alors, quelle est ton impression ? me demande Christelle.
— C’est tout à fait l’idée que je me faisais de ce genre de lieu, et de toi.
— Ah ? Qu’as-tu ? Tu n’as pas plus envie de moi bébé me répond t-elle.
— Je t’ai vus les yeux pétillants sur la queue de l’autre tout à l’heure. Sans compter le reste. Pour une femme sage il me semble que tu exagères. Non ? J’ai vus quand même que ça t’a plu. Même si j’ai tout vus.
— Tu m’étonnes, surtout les hommes avec leur short lycra sans rien dessous. Tu as vu la grosseur de leur queues bébé ?
— Et le deuxième ? Lui aussi était en short peut être ?
— Je sais bébé, j’ai craqué. Je me surprends aussi mais….
Elle n’achève pas sa phrase car un gros homme vient s’asseoir brusquement à ses côtés, la cinquantaine tassée et lance à ma femme un impoli « Bonsoir beauté »
— Cher Monsieur ; j’ai repéré votre femme. Elle fait partie des plus jolies de la boîte, et elle me paraît tellement chaude comme une bonne braise. Je vous envie.
L’humeur explosive je ne lui répond pas, sinon je fais faire un meurtre. L’homme continue à parler des bienfaits du libertinage qu’il connaît bien selon lui. Il se rapproche lentement de Christelle et finit par poser sa main entre ses cuisses et me dit :
— Si vous recherchez une personne expérimentée pour initier votre femme au plaisir je suis intéressé.
Tout en parlant, il glisse ses doigts le long de la fente de ma femme qui interrompt son geste et lui lance méchamment « Non ! mon mari et moi voulons rester seuls, en plus c’est un amant hors pair. Aucun besoin de vous »
Après ces mots, elle se lève et m’entraîne en laissant le type comme un c.
— Tu l’as séché ! — C’est un gros pervers prétentieux, et pas beau du tout.
— Ben, c’est un peu le lieu qui veut ça, non ? Et puis tu ne déteste pas.
— Viens bébé, j’ai envie d’être prise. Maintenant par toi seul. Surpris et heureux, je suis ma femme dans les escaliers qui mènent à l’étage. Nous croisons le sexagénaire de tout à l’heure, Christelle le reconnaît et paraît « toute chose » et arrête de m’entraîner avec elle. Alors je compris et m’adressait à ce gars.
— Monsieur, je vois bien que vous plaisez à ma femme c’est évident, regardez la. Nous devions être en intimité elle et moi, mais à son arrêt j’ai compris. Je pense qu’elle ne dira pas non si vous voulez lui donner du plaisir.
— Plus que jamais ! répond l’homme en souriant et en détaillant encore Christelle de la tête aux pieds. Votre femme est belle. De plus, j’aime les femmes excitées devant leur mari. Ces petites brunes cambrées me font frémir. J’aimerais faire l’amour avec elle. Et vous jolie Madame ?
— Euh, oui, enfin,, bébé.. tu veux bien ?… dit Christelle, troublée.
— Voilà. Pour moi comme pour d’autres, faire l’amour est un acte privilégié. Je veux vous donner du plaisir. Vous aurez des attouchements, des caresses, des palpations et je vous pénétrerais votre sexe et vous sodomiserais. Entendu ?
— Euh… oui, dit Christelle en sentant déjà son bas ventre en feu..
— Je vous oblige à être soumise à mes fantasmes et honorerai les vôtres aussi. Je préfère que mes partenaires se placent courbées devant moi, debout, ou de préférence à genoux. J’aime me faire sucer par une femme encore habillée. Si vous me suivez, vous devrez laisser votre robe et vos sous-vêtements. Ensuite après ma première éjaculation dans votre bouche, vous m’avalerez. Vous ne garderez que vos bas et vos talons. Êtes vous d’accord ?
Christelle se tourne vers moi, le regard brillant d’un mélange d’excitation et d’inquiétude. Je la regarde, excité mais inquiet, et lui dit je t’aime.
— Nous sommes ici pour ton plaisir mon amour. Fais ce que tu as envie.
— D’accord bébé. Oui, j’en ais envie, dit-elle d’un air rassuré. Mais c’est aussi pour ton plaisir ; Tu restes hein chéri ?
— Que c’est émouvant. Bon, je vous ferait jouir fortement ma belle. Quant à vous Monsieur, je vous demande de ne pas intervenir et me laisser saillir votre femme à ma guise. Vous la verrez prendre un plaisir décuplé. Elle s’abandonnera sans retenue à mes exigences sexuelles. Vous serez vous aussi impressionné par la taille de mon sexe que l’envie de votre femme.
L’homme nous entraîne dans une sorte de cabine « d’essayage » version grandé. A l’intérieur se trouve une banquette capitonnée face à laquelle est positionné un fauteuil dans lequel il m’invite à m’asseoir et rappelle à Christelle de ne pas se dévêtir. Notre manège n’a pas échappé à quelques curieux déjà attirés par Christelle, qui se pressent devant la cabine et tentent d’apercevoir la scène au travers des voilages. Leur présence qui aurait pu contrarier Christelle dans son action est vite oubliée et elle s’exécute spontanément. L’homme se rapproche de Christelle et commence à dégrafer les boutons de son pantalon à pinces pour libérer sa grosse queue. Il le fait glisser, le plie soigneusement et le pose plus loin. Sa queue apparaît bien raide et enflée laissant des grosses veines ressortir. Cette queue Christelle l’avait goûtée un long moment tout à l’heure, je devine donc son envie. Ma femme libère elle même ce gros chibre et le prend immédiatement en bouche. Son énorme gland rempli déjà à lui seul la bouche de ma chérie qui le pompe amoureusement. Elle ferme les yeux et l’embrasse, lèche ce gros morceau et de nouveau le reprend en bouche.
Christelle se laisse aller à ce qu’elle fantasme secrètement, une belle queue imposante d’un vieux cochon qui lui donnerait un plaisir démesuré. Quelques instants plus tard après maintes succions et masturbations, la queue du gars enfla et rougie énormément. Christelle le sentit et ouvra les yeux et serra très fort cette bite en le branlant énergiquement. Les veines de ce monstre de chair ressortent, prêtent à exploser. Il interrompt ma femme et se posa un anneau pelvien. Christelle est émerveillée à la vue de toutes ces veines sur ce canon. Ce gros chibre très veiné lui donne envie d’aller plus loin et le reprend en bouche pendant une plusieurs minutes avant que cet étalon râle de plus en plus fort, gémis au plaisir de sa bouche. Christelle s’en rend compte et lui fait de plus fortes succions. Il jouit fort, de gros râles révèlent qu’il éjacule longuement dans la bouche de ma femme qui ne laisse pas sortir la moindre goutte de ce sperme qu’elle doit apprécier. Ses couilles sont grosses, Christelle les lui pompe fortement tour à tour pendant que de nouveau elle le masturbe. Son membre durcit de nouveau, même s’il n’avait pas perdu beaucoup de sa dureté.
Elle s’occupe maintenant de son gland, énorme et long dont le frein rougeâtre brillait à cette tension. Elle le suce amoureusement et le vieux jouit de nouveau dans sa bouche. Il se retire mais sa grosse queue bande toujours même s’il a perdu un peu de puissance. L’anneau maintient l’effet veiné à la perfection. L’homme ordonne à Christelle de se dévêtir de sa robe seule et de venir à lui, ce qu’elle fit. Sans attendre elle reprend en main cette bite et le branle de nouveau. Il caresse sa vulve que j’aperçois dégoulinante. Christelle dirige le long chibre de son étalon vers sa fente trempée. Il l’embrasse, l’enlace. Christelle lui rend ce patin ignoble en continuant à diriger ce beau gland vers sa fente. L’homme se colle à elle. Christelle me tournait maintenant le dos je ne voyait plus le détail, mais un long gémissement changer en râle profond était clair.
Elle était prise et posait sa tête en arrière sur l’épaule du gars, signe de l’intense plaisir qu’elle avait.
« Mettez vous sur la banquette, à quatre pattes, penchée en avant, en appui sur les avant-bras. Bien. Écartez les cuisses. Cambrez vous pour que je vous prenne plus profondément. »
Je suis stupéfait par la docilité de ma femme qui obéit machinalement à cet individu. Sa voix calme et profonde agit comme un envoûtement. Elle est quasiment hypnotisée et se laisse manœuvrer comme une marionnette. Dans cette position indécente, ma femme offre à son partenaire son fessier cambré, ses cuisses ouvertes dévoilent sans pudeur son intimité dont profite également le reste de l’assistance. Les spectateurs se rapprochent, on sent les hommes présents très fébriles devant ce fabuleux spectacle. Ces voyeurs sortent leurs queues de leur caleçon et se masturbent sans ménagement. Christelle voit tous ces hommes qui se branlent en la regardant, étant remise sur le dos par son baiseur. Je suis moi-même étonné de l’état de ma chérie et de sa docilité.
L’homme s’approche, et son geste est doux. Il caresse ses jolies petites fesses avec des mouvements circulaires, les lui pelote littéralement de manière sensuelle. Il s’interrompt soudain et assène une pénétration puissante et inattendue qui arrache à Christelle un gros cri. Il se met ensuite à s’enfoncer totalement en elle jusqu’à la garde. Christelle devient folle, prise et en état de jouissance absolue. Je n’ai jamais vu ma femme dans cet état. Elle jouis sans arrêter, ses jambes tremblent sans cesse. Elle répète inlassablement « elle est grosse trop grosse, continue ». Il alterne ainsi caresses et coups sonores assénés du plat de la main qui laissent des marques rouges sur les chairs. A chaque frappe, ma moitié sursaute et laisse échapper une légère plainte. A chaque effleurement, elle se détend en soupirant.
Ses caresses se concentrent progressivement sur son entrecuisse. Les doigts agiles de l’homme virevoltent autour de sa vulve lisse et douce, largement exhibée dans cette position de soumission. Il effleure ses lèvres intimes et provoque des frissons sur sa peau. Une série de coups de reins sévères arrachent à Christelle une hystérie sonore, les doigts du quinquagénaire caressent lentement le fruit défendu. En même temps, de sa main gauche il saisit l’un de ses seins qui oscillent librement sous elle. Il enferme son téton entre le pouce et l’index et le pince violemment. Ma femme pousse un cri de douleur mais ne cherche pas à se dégager de l’emprise de son partenaire. J’imagine son clitoris rougeâtre, l’homme le maltraite avec l’autre main, conjuguant plaisir et douleur. Christelle tangue, les yeux mi-clos, le souffle court. Ma femme gémit. Sa jolie bouche ouverte, ses lèvres devenues de nouveau pulpeuses atteste de son plaisir. Elle prend son pied. Il introduit brutalement deux doigts dans son anus. J’entends encore le son humide que provoquent l’index et le majeur qui fouillent le sexe de Christelle ne laissent aucun doute sur son excitation, elle est complètement trempée. Elle halète alors qu’il la branle sans vergogne tout en lui malaxant les seins. Il réduit la cadence, joue avec ses orifices. Ma Christelle est dans un état d’excitation et d’hypersensibilité extrêmes. Le point de non retour de cette vieille branche est atteins, il se vide littéralement dans la grotte de ma femme, le foutre dégoulinant de sa chatte avant même qu’il en soit retiré.
Il parle doucement à l’oreille de Christelle qui hoche la tête, se tourne vers moi et me dit :
— Votre femme réagi bien. Elle est très sensible et est vraiment un coup superbe. Maintenant ce dont elle a besoin à ce stade pour lui procurer la plénitude, c’est de se faire prendre, subir une belle et intense pénétration par une autre belle grosse bite, plus ample que la mienne. J’acquiesce et tente de me lever. Mais l’homme me fait signe de rester assis.
— Non, elle ne veut pas que son mari lui fasse l’amour. Elle a besoin de se faire saillir par un autre mâle avec une énorme queue, et ce monsieur me paraît faire l’affaire.
Il me désigne l’élu, notre compagnon de bar, qui a écarté la mince tenture qui nous isolait du monde et s’est avancé sur le seuil. Il a ouvert son pantalon libérant une énorme verge épaisse et puissante en pleine érection. Un bon 25 cms aussi épaisse que longue. Bien plus membré que le vieux, j’eus peur pour ma chérie.
Il prend un préservatif dans une boite marqué XXL, qu’il enfile précipitamment sur son sexe. Le préservatif de taille XXL paraît être juste sur ce gros chibre.
— Elle est à vous, cher ami. Belle, attirante, chaude comme la braise et admirablement lubrifiée par mes soins. Faites la aller là ou elle n’ira pas de si tôt. Déchirez la, son corps en a la capacité physique. Le gros cochon s’approche derrière Christelle qui est restée en position durant cet échange mais qui a vu qui allait la saillir et qui semble attendre stoïquement la prise. Elle était effrayée et inquiète à la vue de cette queue monumentale. Elle me lançait un regard vague, comme quand elle ne pense plus. Le porc passe devant moi en me regardant d’un air narquois, se place sur la banquette derrière ma femme et dirige sa grosse bite vers sa vulve luisante d’excitation.
J’aurais dû le mettre KO celui là.
L’instant d’après restera gravé dans ma mémoire. Tout se mêle dans mon esprit, le gémissement intense de douleur que ma femme pousse lorsque le gros mandrin de son baiseur se glisse dans son fourreau en une prise et sans ménagement. Le cri conquérant de cet abruti et le bruit de succion insoutenable qui accompagne la pénétration. Sa queue déforme son vagin, son muscle blanchit à la résistance de son pieu, mais cède. Il pénètre maintenant Christelle lentement mais sans arrêter sa profondeur. Il semble forer un puits. Plus il enfonce sa grosse bite plus ma femme émet un son lointain. Elle prend un pied d’enfer. La tristesse m’envahit, elle n’a jamais été si bruyante ni en autant en extase. Je ne l’en croyait pas capable. Mon sexe durcit instantanément lorsque ma chérie se fait pénétrer sans ménagement et jusqu’à la garde par cet individu. Il est incontestablement monté comme un canasson et lui dilate largement le vagin.
Le plus terrible, c’est qu’elle apprécie.
Elle répète inlassablement
« encore prends moi encore — oh qu’elle est grosse — c’est bon-il me défonce ».
Un regard furtivement lancé lui a permis de voir l’homme lorsqu’il a plaqué son énorme gland contre son anus. J’ai capté dans son regard un éclair de crainte et d’hésitation lorsqu’elle a sentis qu’il cherchait à s’appuyer sur son anus, mais il s’est éteint lorsque l’implacable mandrin s’est frayé un passage en elle. La douleur la submerge avant que le plaisir ne prenne le pas. Christelle est impitoyablement défoncée. Il la maintient fermement par les hanches et la pistonne, son gros bide claque sur les jolies fesses de ma chérie à chaque poussée. Il la sodomise avec des mouvements amples et cadencés en faisant presque ressortir sa queue luisante à chaque fois pour la replonger l’instant d’après au plus profond de l’anus de ma femme. Elle gémit sous les coups de boutoir, je la sens effectivement terriblement excitée et pleinement offerte au type qu’elle avait éconduit une demi-heure plus tôt et se laisse posséder vigoureusement.
Le gros profite de l’ascendant qu’il exerce sur elle et réalise visiblement avec ma femme un fantasme ancien. Il faut dire que cette sublime créature uniquement vêtue de bas noirs et de hauts talons offerte en levrette et brûlante ferait bander un mort. Le vieux profite du spectacle et encourage le gars.
— Allez-y, mon ami ! Elle est entièrement à vous… enfilez là bien profond…
Puis il se tourne vers moi.
— Sans vouloir être désobligeant, je pense que votre épouse prend avec cet homme un plaisir immense. J’ai fait monter son excitation à son paroxysme et ce charmant pervers lui offre une pénétration mémorable avec son gros sexe. Nous avons transformé votre charmante femme en belle salope entièrement à la merci de ce gros cochon.
Effectivement, Christelle, la sueur au front et le regard brillant, marmonne des mots quasi incompréhensible faits de gémissements et d’encouragements à son partenaire. L’homme a abandonné ses hanches et s’est saisi de sa poitrine qui oscille sous elle au rythme de la pénétration. Il lui pétrit les seins tout en la pistonnant énergiquement.
« Quelle belle salope » crie t il, conquérant. « Tu aimes te faire prendre devant ton mari ? »
Christelle ne répond pas mais continue de gémir avant de trembler vivement des jambes. L’homme surexcité la fourre de plus en plus vigoureusement je les sens tous les deux au bord de l’explosion ultime. Christelle le devance. Son gémissement s’intensifie pour s’éteindre complètement elle a jouis intensément. L’homme se retire alors d’un coup. Il laisse son orifice dilaté et béant. Je n’en crois pas mes yeux, je ne l’avais jamais vue aussi élargie. Il arrache sa capote et se termine en se branlant sur ses fesses. Le salaud est moche comme un poux, mais il faut reconnaître qu’il est bien membré, endurant, et je m’aperçois qu’il dispose de réserves. Il jouit sur les fesses de Christelle, et son gros chibre ne semble jamais vouloir cesser d’éjaculer. Son sperme épais glisse dans sa raie, souille son petit trou dilaté, s’insinue dans les replis de sa vulve et dans son sexe lui aussi dilaté. En quelques instants ma femme est gratifiée d’un magnifique « creampie » et son entrecuisse est entièrement poisseux d’une semence abondante.
— Permettez vous que je demande à madame une petite gratification ? me demande alors le 1er.
— Euh… à ce stade, si elle n’y voit pas d’inconvénient…
Il se dirige vers mon épouse alors que le gros porc s’écarte. Il prononce quelques mots que je n’entends pas. Christelle, qui émerge de sa torpeur, acquiesce machinalement. Il sort alors de son pantalon son gros sexe en semi-érection qu’il présente devant ma femme toujours agenouillée. Elle le prend entre ses lèvres et se met à le sucer. L’homme place sa main sur ses cheveux et accompagne ses mouvements de tête elle le pompe consciencieusement. Il me regarde. Il prend visiblement son plaisir pendant que son sexe grossit de ces va-et-vient dans la bouche de ma femme.
— C’est une excellente suceuse félicitations au mari, se moque-t-il.
Je suis à la fois abasourdi et terriblement excité devant cette scène, comme pour la précédente. Christelle agenouillée devant un inconnu et le suce avec application alors que s’écoule entre ses cuisses le sperme d’un autre homme qui vient de l’enfiler sans ménagement. Les talents de ma femme ne tardent pas à porter leurs fruits, le type se raidit et jouit dans la bouche de ma chère et tendre. Il jouit longtemps signe d’un gros volume de jus que ma femme goutte amoureusement. Une fois ses grosses couilles vidées, il tente de ranger son attirail mais Christelle ne le quitte pas des yeux le membre de ce vieux. A ce jour, et depuis peu j’étais le seul qui avait encore le privilège d’une fellation goûtée par ma femme.. Il s’approche d’elle et Christelle embrasse son sexe et lape son gland une dernière fois.
Quelques minutes plus tard nous nous retrouvons tous au bar. Christelle de nouveau habillée, est assise sur un sofa entre ses deux partenaires de la soirée. A la fois troublée et comblée, elle me regarde d’un air mi — complice mi — inquiet, craignant peut-être que je désapprouve son libertinage exagéré et que notre couple en pâtisse. Elle a assouvie un fantasme et avec un homme beaucoup plus âgé qu’elle, et avec un autre avec une queue énorme dont elle a tant fantasmé lors de masturbations. Ce n’est pas les hommes qu’elles voulaient mais leurs queues.
En fait, je suis très serein en apparence. Avant qu’elle se rhabille, je lui avais demandé l’autorisation de me masturber sur ses seins alors que la semence de deux inconnus souillait ses cuisses et son menton. Je me suis branlé alors que deux hommes avaient eu le plaisir et l’avantage de pénétrer ses orifices. Au moment où j’allais jouir sur son corps ma femme m’a pris en bouche en me regardant. La prophétie de sa succion pendant mon éjaculation est un délice dont elle seule a le secret. Cette femme me transcende de plaisir.
Les messieurs semblent moins gênés que nous de cette situation étrange.
— Je vous remercie, Madame, pour cette fellation. Habituellement, je donne et reçois peu. De vous voir ainsi offerte, je n’ai pu résister à l’idée d’abuser aussi un peu de vous. Monsieur, votre femme est exquise et je vous remercie de votre largesse d’esprit de m’avoir laissé jouir de… et dans sa bouche.
— Une belle épouse offerte, fanfaronne le gros cochon qui a placé sa grosse paluche sur la cuisse de ma femme d’un air propriétaire. Ce qu’il retira vite en m’ayant regardé, furibond.
« Ma belle, avoue moi, tu n’en avais jamais connu d’aussi grosse ? » — Non, jamais, c’est vrai… dit Christelle, un peu gênée. Même si mon homme me satisfait, j’ai aimé le volume de votre queue.
— Désolé pour toi, me dit-il en se moquant ouvertement. Je sais que les maris sont toujours agacés de voir leur femme mieux remplie et mieux baisée par un amant bien membré. Tu n’es pas le seul à avoir une bite qui satisfait mal ton épouse. C’est pour cela que ce type d’endroit existe, n’est-ce pas ?
— Pour ouvrir les couples à de nouvelles expériences, plus conciliant. Je pense que vous avez été satisfaits ce soir. Monsieur, j’ai le sentiment que le candaulisme vous plaît. Offrir votre épouse vous procure du plaisir, me semble-t-il. J’espère avoir contribué à cette découverte.
Christelle semble comblée et de mon côté, je découvre de nouvelles sensations. Mais j’ai aussi la crainte de l’avoir perdue. Même si elle ne s’éprend pas de ses gars là, toujours elle rêvera d’une grosse queue qui la remplis. C’est une femme qui est libérée de ses angoisses et de ses moralités.
J’espère que j’arriverai à oublier.. Oublier.. La suite bientôt… Je t’aime Christelle. Plus que tu ne crois. Le fantasme est un puissant moteur.
Sébastien et Christelle
Waouh !!! Quelle histoire, très bien racontée… Tellement excitant que je n’ai pas pu m’empêcher de me branler jusqu’à l’extase… Merci !
C’est l’objectif ;)