Pendant nos vacances je pris l’initiative de passer à l’acte. Celui d’un plan à trois. Deux partenaires pour ma femme qui n’exclue pas l’idée excitante mais craint plus un éclatement de notre couple à l’issu…
Depuis des mois à effleurer la conversation sur le plan à trois ou le candaulisme, je vois bien que le sujet n’a pas effleuré que moi. Moi ça m’excite beaucoup, le plaisir de ma femme. Elle je sais que c’est le plaisir de beaux sexes des mâles et son ressentis si elle devait être pénétrée par ces types membrés. Je lui apprends ce soir là que je l’imagine prendre du plaisir à la place de la femme de la vidéo. Elle est un peu surprise mais m’avoue aussi qu’elle visite aussi ces sites vidéo. Je lui demande si ça l’excitait et me réponds que oui quand même. Je bandais vraiment fort pendant notre discussion, et elle aussi était excitée. Je lui demandais si se faire prendre par un autre elle y avait déjà pensée. Elle me répondit que oui, en se masturbant. Alors je lui proposais de pimenter notre couple prudemment avec ce sujet. Si nous nous inscrivions sur un site ? Elle n’était pas contre mais elle pensait que le bout du tunnel risquait d’être une séparation. A une séquence vidéos, un homme bien membré fais jouir une femme, nous regardons et je lui demande « Regardes sa queue, tu ne jouirais pas peut être ? ». Elle me répond « ben si c’est clair elle doit bien le sentir ». Je lui touche sa fente immédiatement après et ma chérie se retrouve bien humidifiée. « Alors chérie, puisque tu te branle aussi sur ça, qu’est ce qui t’empêche de sélectionner des mâles ? »Je retiens les demi-phrases employées par ma femme…« Je ne le choisirais pas, c’est toi qui le feras… Comme ça pas de questions comme pourquoi lui…etc… » Non dénué de sens je le reconnais. » Je lui répondis « D’accord mais tu feras quand même une sélection je trancherai ensuite ». Elle était d’accord. Je demandais aussi quelles seraient ses critères sur le sexe du mâle en question, car je ne peux pas tout faire, et elle m’a répondue : « Une grosse queue autant en profiter c’est le but ».
En même temps comme nous avions mis en accompagnement, la télé avec une vidéo d’un site porno. Je vois une femme se faire démonter par un homme bien gaulé, Christelle, comme moi regarde.
Prise à échanger sur notre petite conversation elle ajoute :
« Un pas trop moche…pas un boys band non plus… ».
Je lui répondis « ah ? Ben c’est sa gueule ou sa queue que tu voudras ».
« Sa queue » avec un petit sourire gêné.
De ces quelques phrases je vis les yeux pétillants de Christelle un peu gênée, bon moi c’était plutôt ma queue qui perlait aussi je l’avoue. Elle s’en aperçue, toucha mon caleçon, massa ma bite et la sorti pour lui faire un mélange fellation/masturbation. Ces minutes de bonheur sont encore très présentes dans ma tête. L’issue a été l’énorme éjaculation qui s’est produite, la puissance du jet à prêt d’un mètre, touchant le visage de Christelle sur les derniers plaisirs. Jamais cette quantité ni puissance ne nous avait surpris comme celle-ci. C’était clair. Ce sujet était un puissant moteur sexuel aussi bien pour moi que pour elle qui s’est ensuite masturbée jusqu’au plaisir ultime. Un cunnilingus l’a emportée totalement à l’issu, agrémenté de petites paroles osées.
Quelques semaines ont passées…
Sur le lieu de vacance en centre, je décidais de passer au recrutement visuel avec le souvenir de ses paroles de désirs. La sélection devait être sérieuse et discrète, c’était de ma femme dont il s’agissait.
Je trouvais néanmoins assez rapidement quelques mâles qui répondraient à son fantasme. Un homme d’une cinquantaine d’années tassées plutôt élancé avec une belle bosse au travers de son short, sortait du lot. (Christelle a cette attirance psychique et le fantasme d’hommes bien gâtés par la nature, comme toutes même si elles ne l’avouent pas). Je nouais la conversation avec lui et je constatais que le monsieur avait le contact détendu avec les femmes. Plaisanteries accentuées par des regards flatteurs à ces dames qui le remarquaient bien entendu, mais non insistants pour autant. Il ne prenait aucun risque de les mettre mal à l’aise.
Parfais, je pense avoir peut-être trouvé. Il semble sympa, respectueux des femmes et possède un bon paquet dans son maillot de bain. Restait à voire réellement la marchandise avant d’en parler à Christelle… Alors j’use de stratagèmes pour parvenir à cette dernière certitude. Je me mêle aux jeux pour arriver en fin d’après midi à l’inéluctable douche.
Après discussions anodines aux douches du camping, et tout en se l’avant je vis avec surprise le » morceau » de ce type. J’estime sans exagération que son manche au repos avoisine la quinzaine de centimètres pour un diamètre qui m’apparaît gros d’une trentaine de millimètres. ( je suis bon bricoleur j’estime plutôt bien les choses). Je termine et lui se sèche quant le frottement pour essuyer sa verge lui provoque une excitation. Sa verge se développe trop, beaucoup trop. Quant au diamètre il doit dépasser les cinquante maintenant. Sa queue m’apparaît grosse… Très grosse, d’autant que le diamètre de son gland m’apparaît être énorme par rapport à la longueur pourtant déjà conséquente.
Devant ce spectacle mes ardeurs se sont freinées. Je pensais à Christelle, elle occupait toute mes pensées. Je ne pouvais pas laisser faire ça ni même tenter la rencontre. Oui, j’avais peur tout à coup, pleins d’interrogations me taraudent. Ferait-il mal à Christelle ? En ce cas c’est le plaisir pour elle le sujet pas la douleur. A contrario ne serait-elle pas très excitée de se faire cette queue démesurée ? Est-ce qu’elle se lâchera à la vue de ce montre de chair ? Oui ? ou ne sera-t-elle pas ensuite en continuel besoin de ce volume ?
Je tentais d’imaginer l’étreinte, je connais parfaitement le corps de ma femme, chaque centimètre. Mais je pense qu’entre sa faiblesse cachée pour les belles mesures et la possibilité de son vagin je ne peux qu’admettre que oui, elle prendrait son pied. Les cotes similaires de la queue de ce gars sont déjà exploitée de temps en temps avec son gode. Et je sais comment elle prend déjà son plaisir avec, même si c’est lors de nos ébats que nous l’utilisons la plupart du temps…
Sans dire quoi-que-ce-soit à Christelle, je décidais donc de la relancer, avant par une petite reprise de paroles et d’insinuations à un moment bien choisi afin de capter son attention et surtout sa disponibilité.
Une douce nouvelle arrivait aux oreilles de ma femme d’après ce que j’en conclu, un plan à trois… Une nouvelle discussion imposée, anodine et inattendue mais pas rejetée pour autant par ma femme. Bien entendu elle ne me dit pas que cette idée la rebute… Bien entendu…
Je laisse un peu ce sujet en repos et nous décidons d’aller nous promener dans ce camping, s’arrêter boire un verre au bar et regarder les activités proposées. Un petit quart d’heure après nous être arrêtés et devant un verre, Christelle me dit : << effectivement il y a du choix >>. Je lui réponds : << tu m’étonnes et bien choisis >>. Seulement nous ne parlions pas du même choix, moi je regardais le dépliant des activités et elle… les vacanciers mâles… Je m’en aperçus lorsque je la vis regarder des boulistes non loin de nous, dont le gars d’hier.
Deux femmes et quatre hommes jouaient à la pétanque. Christelle me regarde ensuite en me faisant un sourire entre gêne et provocation. Je souris aussi, lui déclenche un << miam ? >> . En réponse elle pose sa main à un endroit judicieux et caresse ma bite au travers du short en écartant elle-même légèrement ses cuisses.
« Tu bandes mon amour, ton mandrin aurait besoin d’attention, comme ma chatte. Et tout de suite ».
« Et toi tu es excitée chérie ? »
« Mets moi un doigt tu verras » me répondit-elle les yeux malins et ses lèvres serrées. Je m’empressais de m’exécuter.
Effectivement Christelle était plus qu’humide et déjà dilatée.
« Qu’est-ce qui te met dans cet état chérie ? », Tout en continuant à frotter mon majeur entre ses chaires.
« J’ai repensée à ce que tu m’as dit tout à l’heure. Et ce que je vois là bas c’est pas mal du tout ».
« Et qu’est-ce qui te plaît ? »
Je remarque que son regard ne se détache plus des joueurs de pétanque et sa main sur mon short exerce tout d’un coup une plus forte pression sur ma queue qui me fait à coup sûr perler de ce liquide pré-éjaculatoire que Christelle à toujours eue le secret d’extraire avec facilité.
Quelques minutes après, les deux pétanqueues…. Oups lapsus, s’approchent du bar pour commander une boisson pour les six joueurs. Christelle les regarde discrètement mais minutieusement et son regard insiste sur les volumes dissimulés. Sa main masse toujours mon mandrin dur et insiste fortement sur mon gland. Ce qu’elle regarde l’excite c’est très clair. Ses cuisses sont un peu plus écartées et je sens se déverser sur ma main qui frotte encore sa chatte, sa liqueur délicieuse. Elle était en train de jouir, là maintenant. Des discrets coups de vas et vients de son bassin trahissent effectivement qu’elle vient de jouir. Elle me regarde dans les yeux et pincent ses lèvres puis serrent fortement ses cuivres. Ma main est recouverte de sa mouille, et quelques secondes plus tard c’est moi qui éjaculais inondant mon caleçon.
« ohhh le pied bébé j’ai la tête dans les nuages » me dit-elle.
« Oh je t’aime chérie, mais si tu me disais. Tu n’as jamais fait ça comme ça hors de la maison. Pourquoi ? »
« Tu sais pourquoi bébé non ? »
« Oui mais dis le. Avec tes mots à toi. Dis le moi ».
Hésitante elle se lance et me dis :
« Nous en avons parlés quelques fois et encore hier, et de plus en plus l’envie est là. Ça m’excite voilà. Et tu connais les petits rêves éveillés je te les ais dit. Tu en profite de le savoir mais ça m’excite aussi. Quelquefois il m’arrive en voyant des mecs, de regarder si je vois une forme, oui je te le dis là. Si je vois un mec bien je jette un œil. Il m’arrive de voir une forme donc qu’il a un paquet, des fois non. Ce n’est pas pour coucher. C’est un peu comme toi qui regarderais le cul d’une autre femme. Tu ne vas pas coucher mais tu regarde la forme, des détails. Moi aussi. Et le détail c’est la forme qu’une queue aurait derrière le vêtement. Ça m’excite légèrement puis c’est tout. Pour là je regardais le mec qui est venu au bar, celui au short bleu. Il doit en avoir une grosse vu la forme à travers. Ça m’a fait une légère douleur dans le ventre. Je n’ai pas envie de ce mec bébé c’est voir la forme de sa queue qui fait bizarre. Ça m’a excitée »
Impressionnante sur sa lancée, mais j’ai adoré son ton, sa voix et sa manière de m’expliquer. Enfin elle parle et dit les choses telles quelles, même si c’est cru. J’attendais cela de sa part. Bon je sais qu’il y a du chemin encore.
Nous nous sommes ensuite baladés puis avons été prendre une douche, et avons croisés le gars en question, le croirez vous ? Le même que je vous disais au début et ciblé par Christelle au bar … Curieux hasard… Nous avons parlés un peu entre voisins vacanciers et je vis l’homme qui regardais poliment Christelle mais avec insistance comme il le faisait par ailleurs avec les femmes. Il regardait sa bouche, ses yeux principalement, j’imagine ce qu’il devait s’imaginer. Une bonne pipe entre autre. (De vous à moi Christelle les fait avec passion c’est délicieux).
Du côté de Christelle je n’ai pas remarqué d’attitude particulière mise à part de cacher sa poitrine avec sa serviette excepté peut être des sourires complices. Mais rien. Bon…
Nous sommes rentrés et pris notre apéro amoureux, tranquille mais quand-même en mémoire notre conversation au bar. Christelle relance le fait de nos masturbations et me dit qu’elle a avait vraiment aimé ça. M’avoir branlé et de s’être faite branlée aussi dehors avec des gens autour l’avait faite bien jouir, moi aussi ceci étant. Je lui balance « tu as reconnus le gars qui nous a parlé en revenant de la douche ? »
« Oui bien sûr que je l’ai reconnu. J’allais t’en parler »
« Ah ? Et ? »
« Je te confirme, beau gabarit. Et il ne bandait pas bébé… La vache. Pas difficile à savoir, la forme complète se dessinait sous son maillot de bain. Sa queue est libre… Miam-miam » »
« D’accord, et tu penses quoi de ce que tu as vus ? »
« Le sucer lentement puis fermement, et lui grimper dessus, ouah un engin pareil… Ça y est bébé je suis trempée »
Époustouflant venant de Christelle.
Nous finissons la soirée en tête à tête et tranquillement elle vient me rejoindre dans le canapé. Assise à côté de moi, chacun sur son tel. Je m’aperçois que Christelle regarde une vidéo sur un site X connus. Deux hommes tour à tour font jouir une femme dans la position du missionnaire. Christelle regarde avec attention tout en touchant sa chatte. Les cuisses écartées et genoux relevés elle s’adonne à un plaisir certain à la vue des scènes. Émerveillé je la regardais se masturber, ses jambes vibraient légèrement. Sa chatte brillait d’une mouille abondante et son clitoris bandait rouge écarlate. Elle me regarda en haletant de ses caresses et passait sa langue sur ses lèvres. Je bandais comme un fou, mon caleçon commençait déjà à se serrer. Elle ne disait rien mais augmentait les allers retour sur sa chatte provoquant un premier jouissement, sa chatte coulait de son excellent nectar que je m’empressais d’aller absorber avec ma langue. Elle se saisit de ma tête et me dit essoufflée :
<< Bouffe ma chatte bébé fais moi jouir avec ta langue pour commencer. Bouffe-moi mon homme… Oh encore… Suce-moi… Pompe ma chatte bébé… Je vais jouir… Encore… Ta langue dans mon trou bébé… Oh oui… J’ai envie de vos queues… Vos deux queues chéri… Ohhh… Sa grosse queue me défonce… Ouiiiii je jouie mon amour.. Prenez-moi chacun votre tour… Chéri prends mon cul… lui ma chatte… Je le veux bébé… Dis-lui… Je le veux en moi… >>
Elle se laissait aller à son excitation et me passait aussi son message. Elle avait envie de ce plan à trois… Et avec celui qu’elle avait maté. La forme de sa queue a terminé de convaincre Christelle et d’en avoir envie… Là… Maintenant… Je continuais à pomper sa fente lorsqu’elle se mit à jouir bruyamment, déclenchant un jet de mouille que je m’empresse d’absorber… Oh quelle est bonne…
Elle n’attend pas de reprendre ses esprits et me demande de la prendre tout de suite… En missionnaire… Je la pénètre d’un violent coup de rein qui la crispe avant de reprendre son fantasme…
<< prends moi en premier bébé… Vas-y… Encore… Je veux le sucer bébé… Oh qu’elle est grosse oh oui… Je veux goûter son jus… Ohhh… Sa queue est énorme… Dure… Hum… Oh bébé je te sens bien continue baise moi… » Inéluctablement, Christelle se mis à jouir de mes coups de reins puissants… Entraînant des spasmes dans son ventre et ses jambes… Je jouie aussi, son vagin sature et dégouline de mon foutre. Épuisés nous nous dirigeons dans notre chambre… Et nous nous endormons dans les bras l’un et l’autre, terrassés par les émotions… Le lendemain, Christelle m’apparaissait changée. A la limite de l’attitude bizarre. Elle aperçue le fameux gars d’hier qui passait dans l’allée, et se retourne vers moi avec un sourire. « Chéri, quand est-ce-que tu vas le voire ? » « C’est toi qui en parle chérie, je ne sais pas ? Aujourd’hui, cet après-midi. » « Pas ce matin ? me dit-elle. » « J’avais pensé lors d’une occasion à la pétanque chérie. » « Et si tu allais chercher le pain par exemple. En le croisant… » Je m’approchais d’elle, fou de désir. « J’adore ton odeur. Tu es excitée chérie, et tu as hâte que nous te baisions tout les deux, n’est-ce pas ? Tu mouilles jusque sur tes cuisses. Je vais lécher tout cela mon amour, ta chatte est grande ouverte. Tu es toute gonflée. » Je m’appliquais plus que jamais à lui donner ce plaisir qui lui torturait son bas ventre. « CHERI cria-t-elle, presque sur le point de jouir seulement avec ce mouvement. » Chaque millimètre de sa chatte fut exploré et Christelle était surexcitée. Elle jouie bruyamment. « J’ai envie de sa queue chéri, vraiment envie. Et toi ? Tu n’as pas changé d’avis ? » « Non, si tu en as vraiment envie je lui parle, mais n’oublions pas qu’un fossé se creuse entre s’exciter avec un fantasme, et le réaliser chérie. » « Je sais oui, mais je me sens prête si toi tu l’es aussi. » « D’accord, je vais à sa rencontre, mais rien ne dit qu’il va être d’accord non plus, je tente je verrais bien. » J’arpentais l’allée dans la même direction que nous l’avions vus tout à l’heure, et finalement je le trouvais. << Bonjour vacancier, me dit-il. Belle journée que se prépare. >> Je lui répondais sur la plaisanterie « Oui, certainement une des meilleures journées pour vous voisin »
Interrogatif, il me répond « Ah, vous êtes certain de cela ? Une des meilleures ? Ca pose question. Si vous me disiez ce que cette journée me réserve. Gagner aux boules ? »
« Dans un certain sens oui c’est ça, mais pas seulement. Ne dîtes rien et écoutez moi j’ai une petite conversation à avoir avec vous. »
« Vous m’intriguez, bon ok alors de quoi s’agit-il ? »
« J’ai besoin de vous. En fait c’est plutôt ma femme qui aurait besoin de vous. Laissez-moi vous expliquer et vous me direz. Ma femme ressent une sensation d’excitation depuis qu’elle vous a vu hier. Je pense que vous vous souvenez d’elle. En tout cas vous disposez d’un bel appareil et la forme au travers de votre maillot de bain est flatteuse. Je sais que vous savez que les femmes n’y sont pas insensibles, d’ailleurs c’est la raison pour laquelle vous ne cherchez pas à dissimuler mais à montrer.. Dans tout les cas ma femme et moi avons l’habitude de pimenter notre couple avec des jeux de mots et de messages. Depuis quelques temps je lance ma femme sur ce sujet du plan à trois. Je sais qu’elle ne rejette pas l’idée mais comme beaucoup entre le fantasme et le passage à l’acte il y a un fossé. Mais je sais que cette fois elle est d’accord, et même en attente. De vous. Je sais que cela peut vous paraitre bizarre, mais c’est la vérité. »
<< Donc vous me demandez de donner du plaisir à votre femme ? La jolie brune d’hier c’est cette femme ? Pour ce qui est de montrer mon atout vous avez raison c’est intentionnel, je sais que les yeux des femmes sont insistants sur la forme de ma queue. Quant à votre femme, elle est belle et je peux vous le dire maintenant j’ai donné du plaisir à ma femme une bonne partie de cette nuit, en fantasmant sur votre femme. Alors oui, lui faire l’amour et la faire jouir tant est plus je le veux. Oh qu’elle m’excite. >>
Je l’entendais parler de ma femme et voyait grossir sa queue qui tendait ce maillot devenu bien trop juste. Il était membré admirablement. Il me dit << Je suis d’accord, j’ai envie d’elle comme vous le voyez là. Avez-vous défini les choses lors de ma venue ?>>
« Définis les choses ? »
« Oui il est important de se mettre d’accord sur les règles sexuelles, comme ce que je peux lui faire ou non, ce qu’elle peut me faire ou non »
« J’avoue que je vous mettais déjà au courant de la situation, mais maintenant je dois discuter avec ma femme pour cela »
« D’accord, alors faites ça et vous me direz tout lorsqu’elle jugera le moment arrivé, mais rapidement puis-je la voire juste une minute ?
« Et bien venez et arrêtez-vous une minute, mais pas plus. Ne brûlons pas les étapes. «
Nous arrivions au mobil home et Christelle n’était pas là. Ah. Nous rentrons dans la pièce et en reflexe j’ouvris la porte de la chambre. Christelle était là, sur le lit. Elle s’adonnait au plaisir charnel, seule. Les cuisses écartées, son gros god lui défonçait sa chatte avec l’aide de ses deux mains. Elle avait bandée ses yeux et ne m’avait pas entendu ouvrir la porte. Ce spectacle fût un délice qui me remplissait d’un coup mon short qui devenait trop serré. Mais notre futur complice était lui aussi spectateur et salivait devant ce qu’il voyait. Sa grosse queue sortie comme un ressort de son short, et le liquide pré éjaculatoire coulait déjà. Son mandrin violaçait de secondes en secondes jusqu’à ce que son gland soit rouge écarlate. Il ne se branlait pas mais sa bite prenait du volume. Christelle ne voyait rien et continuait à se donner du plaisir. Elle sortait son god de sa chatte laissant un trou béant inondé de cyprine. Elle le rentrait de nouveau après s’être mise à genoux sur le lit mais cette fois se laissait tomber sur ce gros pieu, et se déclenchait un énorme orgasme. Mon caleçon était trempé, j’avais jouis sans m’en rendre compte. Le voyeur se masturbait cette fois avec frénésie poussant son gros mandrin à ressortir des belles veines bleues, et termina son plaisir éjaculatoire sur le pied de lit. Des grosses giclées de foutre épaisses sorties pendant plusieurs secondes. Christelle enleva son bandage de fortune, il eut juste le temps de sortir du mobil home. Je restais là, devant elle. Admiratif et amoureux comme jamais. Elle me vit mon short trempé et vit aussi le foutre en bout de lit. Elle pensait que c’était mon foutre. Me regarde d’un air malicieux et lécha le drap maculé. Ses yeux plongés dans les miens Christelle se délectait de ce foutre jusqu’à la dernière trace.
« Miam chéri, tu es trop bon. Laisse-moi te vider le reste… »
Et c’est ce qu’elle fît. J’eus le privilège d’une fellation à la limite de la douleur car elle me pompait littéralement le gland. Je jouis comme rarement en quantité qui me surprend moi-même. Elle avalait tout mon jus, le short tombé sur les chaussures. Je lui dis « chérie, tu as offert un spectacle vraiment excitant, jamais tu n’avais fait cela. Tu peux m’en dire un peu plus ? »
« Si tu veux oui, j’ai très envie d’un énorme sexe chéri et je n’en peux plus, je n’arrête pas d’y penser. J’ai pris un pied d’enfer là, même si je ne savais pas que tu étais là. »
« Ah ? Et bien c’est peut être mieux que tu ne savais pas mon amour »
« Sûrement. Dis chéri. As-tu discuté avec qui tu sais ? »
« Oui, c’est fait. >>
Les yeux interrogatifs et les lèvres pincées, elle attend que je lui en dise plus sur cette discussion.
« Et ? Dis-moi. »
« Oui, il est d’accord. Et même plutôt impatient. Tu l’excites terriblement de ce qu’il m’a dit. Pour être franc il a vraiment très envie de te baiser. Mais pas que, à mon avis. Vu comment il regarde ton cul je pense que nous devrions toi et moi nous fixer des règles si il y a une suite. Je m’explique. Il a baisé sa femme puissamment cette nuit en pensant te faire jouir TOI. Tu lui plais, ce qui me dérange un peu quand même. »
« C’est bon ça, me répond Christelle les yeux coquins. Quelles règles à décider chéri ? »
« Et bien, très sérieusement je te demande de ne pas oublier que c’est pour ton plaisir d’abord, mais le notre aussi. Ce mec est un god vivant. Point. Ce qui implique qu’il faut se mettre d’accord pour autoriser certaines choses ou non. Je te demande franchement et sans oublis de me dire ce que tu aimerais qu’il te fasse, et aussi ce que tu veux lui faire en retour. Comment aussi. Je suis sérieux chérie, je ne veux pas de surprises d’échecs. »
« D’accord. Caresser et sucer son gros pieu à travers le tissu. Enlever son slip de bain, et le prendre en bouche jusqu’à ce qu’il jouisse. Avaler son sperme. Je veux qu’il me déshabille en m’embrassant. Qu’il pénètre ma chatte avec ses doigts. Qu’il suce mes seins. Qu’il m’emballe pendant que je touche sa queue, et que je le branle. Je veux regarder sa bite raide devant ma bouche. J’ai envie qu’il me prenne doucement pour commencer puis très fort ensuite. Sa queue dans ma chatte, qu’il me fasse jouir plusieurs fois. »
« Si c’est ce que tu veux entendu, mais je n’ai pas entendu deux choses pourtant. Deux. Le premier point est ton cul, et le second est ce plan à trois qui apparemment sera à deux. Déjà les choses ne sont plus les mêmes qu’avant. »
« Excuses moi chéri je pensais que tu voulais aussi dire tes envies, je ne voulais pas tout dire et ne rien te laisser non plus. Evidement que c’est un plan à trois et je m’excuse si en te disant ce que j’en voulais je n’ai pas dis plus. J’aurai voulu juste te dire que mon cul est seulement pour toi si tu veux que ce soit comme ça. Je veux dire qu’il ne me sodomisera pas. Le plaisir oui et je sais que ma chatte l’attend. Je veux que tu participes bébé. »
Avant la fin de notre conversation, le type rentre après avoir toqué. Christelle le voit et se sent comme gênée. Il a tout entendu et il s’adresse à moi pour me rassurer et même pour dissuader Christelle. Bien entendu, il accuse une petite déception. Alors je reprends un peu vie, et je l’invite à rentrer dans la pièce à vivre. Christelle est vraiment attirée par cet homme c’est évident. Lui, est surtout dans l’attente de lui faire l’amour. Je jette un pavé dans la mare et dit à Christelle << Tu aimes son sperme ?>> Etonnée elle me questionne des yeux et je lui répond << Il n’y avait pas que moi en spectateur sur ton plaisir chérie. Et tout ce foutre que tu as léchée n’était pas le mien mais celui de notre invité. Une question mon amour << Etait-il bon>>
Christelle regarde maintenant notre invité et répond en le regardant << Je ne savais pas, mais oui c’était bon>>
Le type se lève, un énorme barreau se forme de plus en plus sur son short. Christelle le touche tout de suite et malaxe adroitement sa belle queue. Il lui leva sa jupe, et inséra un doigt, puis deux, doucement et profondément dans sa chatte. Christelle laissait sa tête basculer vers l’arrière et soupira. Maintenant, c’était comme s’il avait appuyé sur un bouton qui lui donnait presque directement un orgasme.
Je restais là stoïque, en attendant que je sois réclamé par ma femme. Elle pensait à autre chose c’est évidant, tant elle était consumée par ce qui se passait.
Le gars attrapait et tirait sur le bout de ses seins, les pinçait, ajoutant un peu de douleur au plaisir qu’elle ressentait.
Puis se concentra sur son clitoris, le suça, et y passa vigoureusement sa langue encore et encore jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Quand elle ouvrit à nouveau les yeux, il lui dit « Penche-toi en avant, ma belle. C’est au tour de ton mari. »
Elle était trop perdue pour dire quoi que ce soit et se pencha en avant, plaçant ses mains sur les hanches du gars. Ils se faisaient face tout les deux. Moi j’étais derrière ma femme, prêt à la sodomiser. Elle l’embrassa à pleine bouche. Il l’invitait à le sucer de nouveau, ce qu’elle fît avec empressement. Elle poussa d’un coup un gémissement, je venais de la pénétrer, la sodomie Christelle aime ça, même si elle n’en abuse pas. Je tirais ses hanches pour qu’elle se cambre davantage
Elle le dévora avec une précision qui fut sans pitié. Tandis que j’explorais son cul tout entier, elle léchait son gland. J’avais amorcé ses orgasmes ; elle jouissait désormais facilement.
« Est-ce qu’à mon tour je peux explorer ton cul beauté pendant que ton mari te défonce la chatte ? ».
Christelle me regarda directement, et lui dit non en gémissant de mes coups de reins.
« C’est d’accord, nous allons quand même prendre bien soin de toi, et combler chacun de tes orifices. »
Christelle posa son regard sur les cuisses du gars, sur le contour que formait sa queue, épaisse et longue, Christelle se lécha les lèvres, la désirant encore dans sa bouche. Ma belle désirait le goûter encore plus fort mais se demandait comment un tel engin pourrait rentrer plus dans sa gorge.
Le gars voyait l’intérêt qu’elle y portait, il dirigea son impressionnante queue. « Je vais m’occuper de cette jolie bouche pendant que ton mari continue de t’enculer. »
Sa queue était rougeâtre et il y avait une veine qui pulsait de tout son long. Sa tête était si large que Christelle devait écarter sa bouche en grand pour qu’elle puisse aller au-delà de son gland. Elle goûtait le liquide pré-éjaculatoire qui sortait et coulait sur toute la longueur.
D’un seul coup le gars crie « Lèche-moi tout cela, salope, tu es douée. »
Je sentais que j’allais jouir dans le cul de ma femme, elle qui haletait de mes coups de queue profond, tout en suçant amoureusement le mandrin de ce gars.
Il avait une telle emprise sur elle et de ce fait elle ouvrit la bouche… en grand, puis encore plus grand, afin de le faire rentrer.
Je jouis une grosse quantité de foutre au fond de ses entrailles et m’appuyait bien au fond de son cul. Christelle le sentait et écartait maintenant ses cuisses, m’invitant à la prendre dans sa chatte. Ce que je fît sans attendre bandant encore bien dur. Je lui entrais un pouce dans son jardin secret, elle était trempée, gonflée.
Jaloux, le gars enfonce maintenant son pieu dans sa bouche. Il était vraiment énorme et aussi loin que possible dans sa bouche jusqu’à ce qu’il éjacule. Christelle avale tout avec des bruits de succions appuyés.
Je ne tardais plus à jouir de nouveau et sortis de sa grotte imbibée. Le gars sortis sa queue de la bouche de Christelle et allait se placer derrière elle. Christelle se cambrait, il lui dit « Détends-toi et laisse-moi entrer, je vais te défoncer la chatte. Tu vas hurler, mets un linge dans ta bouche. Tu sais que j’ai une grosse queue maintenant, longue comme tes rêves, tu sais que tu vas jouir et prendre ton pied comme rarement. Tu avais envie de moi comme moi de toi. Maintenant prépares toi à me recevoir, sent moi bien te déchirer. Je te promets qu’une fois que tu le feras, ça sera une vraie explosion de plaisir pour nous deux >>
Lorsqu’il la pénétra, Christelle poussa un gros cri de douleur lorsqu’il força sa chatte. Son gland était bien trop gros et il eu un peu de difficulté à forcer son entrée d’amour, mais son muscle céda après être devenu blanc d’étirement. Christelle serrait fort le bord de table pour compenser la douleur. Ma femme lui apparue vierge selon sa phrase à ce moment là. « Tu es vierge salope dis-moi, ta chatte est très serrée, mais inondée, prends ton souffle beauté ». Christelle se crispe, serre maintenant ses mains sur les miennes en me regardant, se force à fermer les yeux. J’eus un pincement énorme à la vue de sa douleur, et pourtant, comme il l’avait dit, après quelques minutes et râles rauques émis, de cris de douleurs, Christelle pris du plaisir, de plus en plus. Son corps bougeait, sa bouche ouverte, sa cambrure se relevait pour le laisser la prendre plus loin, plus profond jusqu’à déjà avoir un orgasme, puis un autre immédiatement.
Elle frissonna, trembla, émis des « ohhhhhhh…. Ouiiiii….Ouiii…oh oui… » . Elle ne s’arrêtait plus et semblait répéter inlassablement la même chose. Je vis sa chair de poule avant de ne pas contrôler son second orgasme plus puissant que le premier. Le gars s’acharnait sur sa cavité, enfonçant totalement le volume de sa queue dans la petite chatte de ma femme. Comment un morceau de chair aussi gros rentre t-il dans la chatte de ma femme ? Il accélérait la cadence, poussait fort, ressortait son mandrin complètement pour le rentrer violemment ensuite.
Christelle devenait folle, incontrôlable dans son plaisir. Ils n’étaient plus que deux dans leurs orgasmes mutuels. Le gars prenait son pied, émettait des râles vifs et longs. Je vis son pieu veiné violacer forcer la chatte de Christelle à chaque coup de reins.
Il était mieux membré que le god de gros gabarit que Christelle possède. Elle était vraiment hypnotisée par cet acte sexuel et répétait parfois « prends moi plus fort, défonces moi, oh oui elle est grosse, trop grosse, baise moi encore, encore »
Je pense qu’elle n’avait jamais imaginé ou espéré vivre une expérience comme celle-ci. Elle ne voulait pas que cela s’arrête. Alors pourquoi n’en n’avoir jamais parlé, attendu le pied qu’elle prend en ce moment son corps le réclamait.
Ses jambes lâchèrent et le baiseur la portait maintenant pour la mettre sur le lit (jusque là il la prenait en levrette dans la pièce principale). Il sortit de sa chatte pour l’allonger sur le dos. Elle se sentit vide immédiatement lorsqu’il se retira de son vagin. Elle écarta les jambes et il se plaça sur elle entre ses cuisses. Il lui montra de nouveau sa queue démesurée tel un cheval. Christelle l’admira flattée et dis « oh les grosses veines, remets la moi vite ». Son érection entre eux deux avait peu fléchie, mais Christelle la caressa dans le but de la sentir de nouveau dure. Elle dirigeait ce mandrin de nouveau vers l’entrée de sa chatte. Il la tint tout près de lui, les jambes levées, écartées et prête à être prise en profondeur, puis en missionnaire. Elle se sentait à l’aise et en sécurité sous son corps, alors que je me masturbais prêt de sa bouche.
Elle pouvait sentir son liquide pré-éjaculatoire dans sa chatte par des jets réguliers. Ma salope se contracta en anticipant la poussée du mandrin. Sa main pris ma bite et me branla avec énergie. Je résistais. De nouveau elle se mit rapidement à prendre son pied, prenait le cul du gars pour lui donner la cadence qui la mènera au 7e ciel. Elle crie, pleure presque en se tenant désormais la tête. Elle la bascula à droite, puis à gauche. Elle atteignait maintenant le point de non retour.
L’énorme queue poussait fort. Il la défonçait réellement à chaque pénétration, ses lèvres étaient devenues énormes par l’excitation et le frottement du gros calibre… Elle n’avait jamais jouie aussi fort auparavant. Le gars jouie enfin, et tenta de s’écarter pour jouir sur cette fente qui lui a donné tant de plaisirs. Mais Christelle le devinant, l’oblige à rester en elle avec ses bras et ses jambes, et elle se sentie se faire remplir par une belle quantité de jus. Elle lâcha prise, submergée par le plaisir du ressentis du sperme qui la remplissait. Le gars lui aussi émet un son de plaisir énorme « Oh je jouis, ta chatte est bonne, oh oui elle est bonne, je te remplie de jute, tu es pleine, tu es à moi, je t’aime. Je ne débande pas, laisse moi te sodomiser rapidement »
Christelle me fît signe qu’elle voulait me sucer, et me pris en bouche en goutant amoureusement ma queue dure comme du bois. Elle se tournait légèrement sur le coté, laissant l’accès au baiseur. Je n’ai rien vu car je prenais mon pied, la tête dirigée vers le plafond. Puis j’entendis Christelle hurler littéralement. Il la sodomisait avec vigueur, lui déchirait l’anus. Elle s’efforçait de continuer à me sucer tant bien que mal malgré l’énorme douleur. Je jouis dans sa bouche mais je restais membré malgré l’éjaculation, excité de la voir se faire enculer par une bite qu’elle-même ne voulait pas « énorme » pour son cul. Même si elle m’avait promis de ne pas le laisser faire, elle a cédé.
Ma femme n’est pas devenue une salope, non. Ma femme l’a toujours été mais elle-même l’ignorait. Elle s’est émancipée de son fantasme. Christelle s’est laissé aller à son plaisir qui n’est maintenant plus un secret. Je suis excité de ma femme, plus qu’avant.
11H Réveil.
Il ne faut pas oublier, il me faut aller chercher le pain. Je me lève. Je regarde Christelle. Nue dans le lit, belle, à baiser sans ménagement. Sa chatte est luisante. Rougeâtre. Eclatée.
Elle se réveille… Je lui dis : « Tu es vicieuse chérie, une bombe de baise, douée lorsque tu te lâches. Et tu dois le montrer. Pourquoi ne pas tenter d’assouvir tes envies ? Il est clair que tu en as, j’en ais. Assouvissons ensemble nos excitations. Emparons-nous de la puissance du plaisir dont nous avons besoin. Il faut maintenant que nous nous disions de quoi nous avons envie tu ne crois pas ? »
Elle ne comprend pas, alors attendu mon étonnement elle m’interroge.
« Qu’as-tu chéri ? Mal dormi ? »
« Non ce n’est pas ça, enfin je ne crois pas. »
« Alors que se passe t-il ? Tu es bizarre »
« Oh ce doit être ma jalousie qui ressort tu comprends j’en suis sûr. Pas rapport à ce qu’il s’est passé hier, je ne suis pas dans mon assiette. »
« Ta jalousie qui ressort ? Je ne comprends pas bébé. Qu’est-ce qu’il s’est passé hier ? Parce que j’attends, tu sais »
«M’enfin, comment cela qu’est-ce qu’il s’est passé hier ? Tu ne vas pas me dire que tu ne te souviens de rien Chris ? »
Elle me regarde comme ci j’étais fou ou en délire. « Si tu me disais bébé parce que là je ne vois pas. »
Devant son incompréhension, je ne savais plus quoi dire. Alors je cherchais des traces des nos ébats d’hier. Je ne comprenais plus, je ne trouvais, jusqu’à ce que Christelle me dise :
« Dis chéri, tu penses aller quand parler au gars d’hier ? »
« Bientôt chérie, aujourd’hui…. »
Je réalisais que ce qui s’était passé hier n’étais qu’un rêve. Incroyable.
Sébastien et Christelle
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