Christelle était particulièrement jolie, habillée comme d’habitude, très court avec
ses collants qui m’électrise sur elle. Lorsqu’elle veut me provoquer elle sait y faire.
Elle me montrait son string parfois en écartant les cuisses. Mes amis en avaient
l’habitude, mais ils ne se privaient pas de la mater quand même et je surprenais
souvent leurs regards dirigés vers l’entrecuisse de Christelle. C’est ce qui m’a
provoqué le déclic.
J’ai eu envie qu’elle s’exhibe devant eux et peut-être même un peu plus. Je faisais en
sorte que le verre de ma chérie ne fût jamais vide. Un peu d’alcool la libère de ses
réserves et je remplissais aussi les verres des potes. Puis j’ai mis de la musique, j’ai
commencé par danser avec elle, en lui pelotant carrément les fesses. Elle se laissait
faire, mais m’a murmuré, pas dupe « Qu’est-ce que tu fais? Tu veux me saouler? »
« J’ai envie de m’amuser avec toi et eux… » . « C’est quoi, t’ amuser avec eux et
moi » ?
« Tu pourrais te montrer sexy, par exemple, les émoustiller un peu, flirter avec
eux, les exciter quoi ! »
« Mais pourquoi ? » me dit-elle en frissonnant, alors qu’elle se doutait où je
voulais l’amener.
« Tu veux… Tu aimerais qu’ils… qu’ils me… qu’ils me fassent des choses ?
C’est ça ? » Alors que je la retroussais et que je lui mettais la main sous sa
culotte, je lui répondis, en bandant très fort « Oui, c’est ça, qu’ils te fassent
plein de choses, j’ai envie qu’ils te baisent, devant moi, tous les deux. »
J’avais mes doigts qui lui rentraient dans le vagin en lui disant cela, elle a
serré les cuisses, elle était trempée. Silencieux, nos amis assistaient au
spectacle que nous leur offrions, ma chérie troussée très haut, sa culotte à
moitié baissée sur les fesses, la chatte à l’air et mes doigts qui s’activaient
dedans. J’avais parlé normalement, et ils avaient entendu. Ils se sont levés
pour s’approcher de nous et ils ont commencé par caresser les seins de ma
femme qu’ils ont dénudés. Je me suis éloigné pour venir m’asseoir dans un
fauteuil, en spectateur, et les laisser libres de faire ce qu’ils voulaient d’elle.
Elle se laissait faire, en me regardant de temps en temps. Le 1er lui avait
rentré des doigts dans la vulve et le second dans le cul, ils lui palpait les seins
et les fesses. Ils se sont installés tous les trois dans le canapé, en face de moi,
et ils se relayaient pour lui enfoncer leurs doigts dans les deux puits d’amour.
Elle avait les queues dressées, une dans chaque main. J’avais sorti mon
mandrin et je me masturbais. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle
elle acceptait ce jeu pervers. Cela me faisait un effet curieux de la voir ainsi
offerte, avec ces mains qui la touchaient, et elle avec des sexes d’homme dans
les siennes. Elle me regardait toujours de temps en temps, mais je m’aperçus
qu’elle tremblait. Elle jouit sous la masturbation double des mains qui la
parcouraient, des doigts dans sa chatte et d’autres dans son cul. C’est M. qui
ne put attendre plus longtemps. Sans plus s’occuper de moi, il enleva son
pantalon et son caleçon, la prit dans ses bras et la porta jusqu’au canapé, sa
queue dressée jusqu’au nombril. Il la déposa, il lui remonta sa jupe à la taille,
il la débarrassa de sa culotte, il lui écarta les cuisses.
Nous la contemplions tous les trois, elle s’offrait sans pudeur, consciente que
nos deux amis allaient la prendre et de la perversité de la situation. M. se
pencha sur elle et il pointa son nœud en face de l’entrée de son vagin. Ma
femme couvrit alors sa vulve d’une main et prit la verge de M. de l’autre, lui
chuchota quelque chose et me regarda en disant :
« Tu veux qu’ils me baisent ? Tu veux que M. et G. me baisent ? »
Je ne répondis pas et elle retira immédiatement sa main, libérant l’accès à sa
chatte et en libérant le sexe de M. qui, impatient, la pénétra de toute sa
longueur. J’ai vu la vulve de ma femme s’ouvrir sous la poussée et la queue de
notre ami s’enfoncer entièrement. Elle a frémi en poussant un « Ah ! ». Elle ne
me quitta pas des yeux pendant qu’il la pénétrait,et moi j’étais fasciné par
cette bite qui allait et venait en elle, je voyais sa verge entrer et presque sortir
du vagin et les lèvres du con de ma chérie l’entourer et s’étirer en
l’accompagnant. Je voyais son clitoris gonflé à chaque va-et-vient.
Il baisait ma femme et quelques minutes plus tard il allait jouir en elle.
Christelle, désormais étendue sur le lit, avec les cuisses écartelées dans une
posture obscène, qui se faisait besogner, gémissait de plaisir sous les coups de
boutoir de M. qui allait jouir.
Il la bourrait ardemment, il lui fouillait le con que je connaissais si bien. Elle
aime se donner aussi totalement à un autre homme, et j’éprouve un plaisir
extraordinaire à la voir ainsi, possédée devant moi, mais cette fois, elle
attendait qu’un autre la prenne en suivant…
Elle crie pendant que son orgasme l’emporte, elle halète.
« Il me fait jouir ! … Je jouis, tu me vois ! Il me fait jouir… Oh, c’est bon ! … Tu
aimes qu’il me baise ? … Tu le vois ? … Je sens sa queue qui cogne tout au
fond… Il me défonce… J’aime… Tu vois comme il me baise bien à fond ? … Tu
aimes quand il me fait jouir ? … G. aussi va me baiser… Tu veux bien ? … Je
sens sa grosse queue…! J’en ai envie… Tous les hommes que tu voudras,
tous… j’aime qu’on me baise devant toi… Donne-moi… C’est trop bon… Il me
fait jouir ! »
G. s’impatientait et il m’observait, un peu inquiet. Il s’approcha de M. pour lui
dire
« Dépêche-toi, M., merde ! J’ai envie de la baiser moi aussi ! Je n’en peux
plus ! »
Je le regardai et lui dis
« T’inquiète pas, tu pourras la prendre aussi ! »
Et je bandais toujours comme jamais, à avoir mal. M. la besognait de plus en
plus vite, elle râlait. Il poussa un grognement en jouissant, il lui déchargea
tout son sperme dans le con et j’ai vu Christelle aller au-devant en criant :
« Vas-y, donne-moi tout ! Je le sens qu’il décharge, il se vide dans mon
ventre ! Je jouis encore ! Oh ! que c’est bon ! »
Après avoir longuement juté au fond d’elle, il s’est retiré. Les yeux rivés sur la
chatte béante de ma femme, pleine du foutre crémeux, j’y ai plongé mes
doigts, elle me regardait en se tortillant et m’a dit, tout en souriant :
« M. m’a fait jouir très fort, tu sais ! … Qu’est-ce qu’il m’a mis ! … C’est bon de
se laisser aller… C’est au tour de G. , maintenant, tu ne crois pas qu’il a assez
attendu ? Il n’en peux plus, laisse le me grimper… Tu veux bien ? »
Elle a enlevé sa jupe et son haut, elle est nue. Et, s’adressant directement à lui
« G., prends-moi, viens me baiser, j’ai encore envie… Tu vois, mon chéri aime
voir sa femme se faire baiser, il aime me voir me faire sauter par ses amis,
alors vas-y, profite, ne te gêne pas, j’ai toujours eu envie de coucher avec toi,
ta queue est énorme, viens… Tu vois, mon mari n’est pas jaloux, il aime me
donner. Baise-moi, j’en ai envie… Viens en moi, viens.. Fais moi crier. »
Nous sommes tous les trois dénudés aussi maintenant. G. a voulu la prendre
de la même manière que M. , Christelle est étendue sur le dos et lui pardessus, en « missionnaire ». Mais ma chérie l’a fait se coucher, lui, sur le dos,
elle est montée sur lui à califourchon, elle a pris sa bite dans la main droite et
l’a introduite elle-même en elle. Elle s’est assise sur lui, elle s’est penchée en
avant et, en présentant les lèvres de sa chatte qu’elle écartait, elle lui dit
« Viens, G. , donne-moi aussi ton jus avec celui de M. »
En cavalière expérimentée, elle n’a pas beaucoup de mal à emmener son
amant déjà surexcité à la jouissance. Et à se faire jouir elle-même quelques
minutes plus tard
« Merde c’est trop bon ! Je le sens se vider, ouaiiiiis ! Je jouis encore ! C’est
booonn ! Ouiiiiii ! — À toi, mon amour ! Viens te vider les couilles ! Je suis sûre
que tu en meurs d’envie… Viens ! »
Je ne me le fais pas dire deux fois, il est vrai que je n’en peux plus ; je bande à
en avoir mal et je la prends en levrette. Je sais que dans cette position je vais
la faire jouir rapidement une quatrième fois en à peine quelques minutes.
« Oui, mon amour, jouis aussi, mêle ton sperme à celui de nos amis… Ohhh !!
Tu es trop bon, je viens, donne-moi ton plaisir ! »
Nos râles de plaisir se mêlent dans un trémolo de bonheur. Elle se détend
quelques instants après que je me sois retiré de son con d’où s’échappe un
mélange de nos éjaculations. Elle perçoit que vu son excitation, G. est allongé
et à nouveau en érection, et décide de s’empaler sur ce sexe qui lui a déjà
donné du plaisir. Après en avoir repris possession, elle me regarde et me dit
« Mon amour, encule-moi pendant qu’il me baise, j’aime me faire prendre
mes deux trous à la fois tu le sais ! Vas-y, encule-moi pendant que G. m’enfile
par-devant ! »
Je voyais la bite de G. s’enfoncer dans son con dégoulinant de foutre et sa
rosette qui palpitait. Je la graissai du foutre qui lui barbouillait les cuisses,
pendant que G., planté au fond d’elle, la limait doucement. Je me plaçai entre
les jambes de ma chérie et de G. , je pointai ma verge sur l’anus et j’ai poussé.
Je l’enculais et je sentais la queue de G. bien enfoncée près de la mienne.
Fou de désir, je l’ai bourrée à fond et sans ménagement, nous lui arrachions
des cris de douleurs et de plaisirs, je l’ai défoncée brutalement dans un
rythme frénétique, et G. suivait le mouvement, elle hurlait de jouissance. J’ai
vu M. s’approcher et lui présenter sa pine, qui rebandait, devant sa bouche.
Elle l’a happée goulûment et je voyais ses joues se déformer quand la verge
de M. s’enfournait, il s’en servait comme d’un vagin, en la tenant par la tête. Il
lui baisait carrément la bouche. Elle retire la queue de M.de sa bouche et me
dit
« Deux bites, j’ai déjà connu, mais jamais trois… c’est trop bon ! »
Secouée de partout, empalée par trois bites qui la défonçaient, elle
s’abandonnait entièrement, je l’entendais grogner et gémir. Je l’enculais
violemment. G. ne tenait plus aucun compte de mes mouvements ; il la
baisait comme un fou et sa bite lui sortait du vagin pour y rentrer à nouveau,
en heurtant mes couilles. M. s’enfonçait dans sa gorge à toute vitesse. Je
sentais le sperme monter le long de ma queue, mais je me suis retenu le plus
longtemps possible, pour finalement exploser en une succession
d’éjaculations dans ses intestins. J’ai vu ma chérie manquer de s’étouffer
quand M. s’est vidé dans sa gorge, et du foutre lui coulait de la bouche. J’ai
entendu G. gueuler, il lui foutait toute la sauce au fond du con en lui disant
qu’elle était trop bonne…
Elle n’était plus qu’une femelle prise de partout, dont nous jouissions en nous
vidant les couilles dans tous ses orifices. Il y avait du sperme partout. Dans
son cul, dans son con, dans sa bouche.
Christelle a été prise dans tous les sens, en alternant les positions, chacun son
tour, seul, à deux, ou à trois, dans son con, son cul ou dans sa bouche, jusqu’à
trois heures du matin, jusqu’à ce que nous n’en puissions plus.
Jusqu’à ce que nous n’éjaculions plus, nous les mâles, que quelques gouttes.
Nous l’avons même baisée à deux dans son con et un dans son cul… c’était
incroyable, elle a eu des orgasmes à en perdre la tête.
M. et G. partis, ma chérie et moi, nous nous sommes écroulés de fatigue et de
plaisir et nous avons dormi jusqu’à midi. C’est ma femme qui m’a réveillé. Elle
était en pleine forme et de très bonne humeur. La seule allusion à notre nuit
de débauche a été de dire malicieusement :
« Qu’est-ce que j’ai mal… aux fesses ! »
Suite à cette soirée, nos amis ont choisis de devenir aussi libertins et ont
réussi à convaincre leur épouse. Depuis moi aussi je peux baiser leur femme
pendant qu’ils s’occupent de ma chérie.
Sébastien et Christelle
Vraiment de très bonnes histoires ! Merci Sébastien ! Christelle a vraiment l’air très attirante…et coquine. J’ai pris beaucoup de plaisir à vous lire…