Serge se redresse, il regarde Julia et lentement lui déboutonne sa blouse, elle ne réagit pas, elle reste comme hypnotisée. Sa blouse tombe sur le sol, son corps nu apparait enfin. Serge fait quelques compliments sur les formes avantageuses de Julia, qui semble absente, ses yeux sont vides. Serge la bascule sur la petite table du salon, il se penche sur elle et commence à lui caresser les seins. Rapidement, les lobes deviennent plus fermes. Avec art, il fait tourner ses doigts sur les aréoles brunes, fortement grenelées. Les mamelons frôlés par les doigts audacieux, se mettent à prendre du volume.
Valériane chevauche férocement Robert, qui geint comme un animal blessé. Elle s’agite sur sa monture pour la faire cabrer. Un grognement la fait sourire, Robert vient de lui remplir le ventre de sa semence. Valériane accélère, maintenant, elle cherche son propre plaisir, elle s’agite comme une danseuse orientale sur la verge de Robert qui ne cesse de gémir. La délivrance arrive enfin. Valériane se cabre et en gémissant, expose de jouissance.
Les doigts habiles, de Serge continuent leur travail de sape. le corps de Julia se parcourt de frissons. Aldo observe chaque réaction de la femme. Elle respire plus rapidement, son souffle devient rauque. Sa poitrine se soulève à un rythme plus rapide. Serge connait son affaire, habilement, il roule entre ses doigts les mamelons, les étire, et les écrase pour les stimuler au maximum. Julia ne peut retenir de faibles gémissements.
Aldo veut être de la partie, il saisit délicatement le clito gonflé de Julia et le triture de plus en plus vite, le petit branlage bien dosé, qu’il fait sur la boule de chair, fait geindre Julia. Robert yeux écarquillés, ne quitte pas des yeux le trio. Julia sursaute, la bouche de Serge vient de lui aspirer un mamelon et lui fait subir des succions bien contrôlées. Julia défaille, elle reçoit ce que son mari ne lui donne pas, ou plus. Son souffle est bruyant, sa respiration rapide, prouve que cela lui donne du plaisir.
De temps en temps, Aldo lui écrase le clito. Cela fait geindre comme une bête malade, Julia, se cabre à chaque pression sur son clito gonflé de désir. Le deuxième mamelon, reçoit le même traitement. les bouts, très sollicités, sont devenus monstrueux, et très sensibles. La bouche vorace et les doigts agiles, font geindre Julia comme une bête tombée dans un piège. Un hurlement se fait entendre, Julia en se cabrant, jouir fortement. Son corps jouisseur, retombe lourdement sur la petite table, elle halète comme une bête malade, en cherchant un deuxième souffle. Serge continue de lui dévorer les mamelons. Valériane s’avance, repousse Aldo et s’agenouille devant Julia, elle lui ouvre les cuisses, et plaque brusquement sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus.
Un long gémissement, sort de la gorge de Julia, qui se tend comme un arc. Valériane, enfonce sa langue dans la gaine détrempée, et la fouille en profondeur, sans omettre un recoin. Julia défaille, geint comme jamais, elle ne l’a fait. Sa vulve est en feu. Soudain, elle se cambre comme un pont un jour de tempête, Valériane vient de lui gober le clito, et lui fait subir les pires supplices. Julia délire, elle geint en agitant doucement son bassin. Elle dit des paroles inaudibles, elle a chaud, des perles ruissellent sur son corps. Serge délaisse les seins et lèche avec gourmandise les perles de rosée que le corps de Julia rejette.
La bouche de Valériane, devient plus vorace, elle serre le clito entre ses dents et l’étire au maximum. Elle ne le relâche que pour le mordiller. Julia découvre des plaisirs inconnus avec ses amants. Elle se meurt de plaisir, les coups de langue et les étirements de son clito, la font couiner comme un animal. Une violente jouissance la fait hurler. Son corps se cambre au maximum pendant la jouissance, et retombe sur la table lourdement. Serge reprend en bouche les mamelons et les mâchonne, les étire, les suce férocement. Julia est au bord de la syncope, Valériane avale avec gourmandise, tout ce que la chatte lui offre. Elle se redresse, Aldo n’attendait que cet instant pour prendre place entre les cuisses de Julia. Il place son engin colossal contre la fente dégoulinante et pousse. Julia grimace, serre les dents. Les grandes lèvres s’écrasent et cèdent le passage au monstre qui s’engage dans la gaine, en la dilatant fortement. Julia a la bouche grande ouverte, ses yeux sont écarquillés au maximum.
Elle croit que sa chatte va se déchirer, tellement le membre qui la pénètre est gros. Elle s’agrippe aux bords de la table, en faisant une moue affreuse. Serge, entre chaque succion, lui étire fortement les mamelons avec ses dents. Aldo avec précaution continue de faire avancer sa verge dans la chatte distendue de Julia, qui croit mourir. Enfin, les vingt-trois centimètres de la verge, sont totalement en elle. Aldo fait une pause, il regarde Julia, un rictus affreux déforme son visage. Il commence un va-et-vient très, très lent. Julia souffle comme un dragon. Lorsque la verge s’enfonce en elle, elle se cambre en geignant.
Le gland monstrueux, lui racle le col de l’utérus a chaque poussée. Cela lui provoque des gémissements rauques, elle s’accroche à son amant en lui plantant ses ongles dans le dos. La douleur fait grimacer Aldo, et comme pour se venger, il donne un coup de reins, qui fait cabrer Julia. Elle serre très fort son amant dans ses bras, en geignant. la bite énorme voyage dans son corps avec de plus en plus d’aisance, grâce à l’abondante cyprine que la chatte sécrète. Bien que dilatée extrêmement fort, Julia commence à s’habituer au monstre qui lui distend la chatte, la douleur devient supportable.
La cadence augmente par étape, les parois fortement raclées par le gland monstrueux fait gémir Julia. Le va-et-vient devient plus rapide. Les gémissements de Julia, changent de tonalité, elle commence à éprouver du plaisir. Maintenant, elle agite doucement son bassin, en geignant de plaisir. Robert a les yeux rivés sur sa femme, il la regarde subir un monstrueux défonçage, il se demandait vraiment, si ,elle allait y avoir lieu cette défonce espérée. Sa bite reprend du volume, il se la caresse vigoureusement en geignant de plaisir.
L’énormité coulisse dans le ventre de Julia, en lui labourant les parois sensibles du vagin. Elle défaille, Le mandrin, puissant, lui arrache des gémissements rauques. La tension monte de plus en plus, Julia commence à donner quelques coups de reins. Pour Aldo, c’est comme un signal, il lâche les chevaux, et défonce son amant à grands coups de reins. Julia pousse des grognements de bêtes, elle râle de plus en plus fort. Les allers et retours du membre dans son vagin, sont terribles. Serge, offre aux lèvres charnues de Julia son gland suintant. Bien que ce soit laborieux, Julia suce et tète comme elle peut, le gland qui lui remplit la bouche.
Robert hurle, comme prit d’hystérie :
-Oui, bourrez-la bien avec vos queues, faites là hurler, oh comme c’est bon, aillez-y, allez-y, bon Dieu, défoncez là !
Julia se cabre en recrachant le gland de Serge, une jouissance fabuleuse la fait hurler. Son corps se met à trembler, elle en peut contrôler les spasmes qui lui secouent le ventre, elle geint, ses yeux sont exorbités, elle a plusieurs orgasmes à la suite. Serge lui écrase les mamelons, cela provoque une seconde jouissance aussi violente à Julia. Aldo la démonte comme un forcené. Il se raidit et en rugissant comme un fauve, remplit le ventre de Julia avec sa semence brûlante. Le flot tiède est abondant, fait couiner Julia, qui agite son bassin en donnant un coup de reins terrible, pour être empalée totalement.
Elle refuse la sodomie, elle a trop peur, mais ne refuse pas, la feuille de rose, que Valériane lui propose. Comme une vorace, Valériane lui dévore l’anus, l’aspire, le lèche. Avec ténacité, la bougresse arrive à le pénétrer avec sa langue. Elle le fouille le plus loin possible, en arrachant à Julia des gémissements terribles. Elle lui travaille si bien l’anus, que Julia en poussant un long râle jouit du cul.
Serge la bascule sur le sol et lui enfonce sa verge brutalement dans le ventre. Le passage étant déjà fait, c’est beaucoup moins douloureux pour Julia. Elle s’accroche à son amant en donnant des coups de reins puissants. Les deux donnent avec une synchronisation parfaite des coups de reins violents. La défonce est terrible, mais atteint son but. Julia explose en hurlant. Enfin, Serge déverse dans le ventre de son amante un flot important de sperme.
Dévastée, ouverte comme jamais, Julia demande grâce. Robert gicle, en savourant le spectacle.
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