Le dessert de Julie et Manon
L’apprentissage !
Voici la suite de notre aventure : le dessert de Julie et Manon !
Une bonne partie de la nuit avant de nous endormir Manon et moi-même nous parlons du changement de notre patronne Catherine, bien que très stricte sur tous ce qui concerne le travail, notre habillement, mais aussi très sympathique et compétente pour mener l’équipe du restaurant étoilé (2 étoiles) dont la réputation n’est plus à faire.
En effet nous avons remarqué ce changement lorsque Madame la patronne nous a surprises, Manon et moi-même Julie en position 69 dans une chambre qui nous est destinée pour se reposer pendant notre coupure entre deux services. Madame se tenait dans l’encadrement de la porte en train de se masturber en nous regardant faire l’amour après la dégustation de mon dessert : (voir récit précédent)
« Le 69 Chantilly à la Cyprine »
Avant-hier samedi, la journée de travail s’est déroulée normalement car la présence de son mari était constante.
À notre arrivée, elle nous accueillait comme toujours en nous faisant la bise, sauf que la bise n’était plus sur les joues, mais sur la bouche. Après nous sommes aller au vestiaire enlevés nos manteaux, Manon a enfilé son tablier, nous sommes passés par la cuisine faire la bise au patron et au commis puis je suis allé consulter l’agenda des réservations quand la patronne m’appela :
« Julie ! Venez me voir dans la grande salle »
Moi : « Oui, Madame, j’arrive »
En rentrant dans la grande salle la patronne était assise sur une chaise, sa jupe troussée les cuisses écartées, sans culotte, la chatte poilue, elle se caressait.
Moi : « Madame, hum, vous m’excitez déjà, si le patron arrive ? »
Elle : « Julie, venez m’embrasser ma chatte, elle en meurt d’envie »
Au même moment une porte claque, elle se leva baissa sa jupe et repris son travail, tout comme moi.
Dommage nous n’avons rien pu entreprendre ce matin. Peut-être que pendant la coupure elle trouvera un moment, cela n’est pas évident si elle a un mari qui lui colle au cul à longueur de journée.
Ce samedi midi pas trop de monde, et en principe si les clients ne s’attardent pas trop cela nous permettra de se reposer (euh pardon prendre notre dessert) plus lentement qu’hier. Aujourd’hui ce sera :
« Le 69 Chantilly Banana à la Cyprine »
Le service de midi se termine la patronne me dit :
« Julie, vous pouvez monter vous reposez, passer en cuisine j’ai remis à Manon le dessert, bonne dégustation en me souriant, je débarrasserais le reste moi-même ».
Moi : « Merci Madame à tout à l’heure »
Elle me dit cela diplomatiquement, car un couple était encore présent et s’apprêtait à partir.
Je passais par la cuisine et ne voyant pas Manon, le commis me signal qu’elle est déjà montée il y a bien 10 minutes.
« Merci Laurent »
Tiens c’est bizarre que ma chérie ne m’a pas attendu !
Je m’engage dans l’escalier pour monter dans la chambre lorsque j’entends comme des gémissements, j’ouvre la porte et je trouve Manon allongée toute nue, elle à même quitté ses bas autofixant, en train de se goder avec deux bananes, l’une dans sa chatte et l’autre elle l’a enfilée dans son cul.
« Salope, tu ne pouvais pas m’attendre ? Tu n’es qu’une cochonne ! Une cochonne que j’aime »
En me déshabillant je me suis allongée sur elle et nous avons fait l’amour, en attendant la venue de Madame la patronne.
Je sortais alors la banane qu’elle avait dans sa chatte la pelait et l’enduisait de Chantilly puis l’insérait dans sa chatte.
Elle fit pareil pour moi l’inséra dans ma chatte et pris une autre banane non pelée pour me la mettre dans mon cul
En 69 nous dégustâmes la banane tout en sodomisant le cul de l’autre.
Mais le temps passa et la patronne se faisait attendre. Manon se posa la question :
« Le patron ne lui accorde donc jamais de temps de repos ? »
« Oui tu as raison Manon, mais je ne comprends pas la patronne, l’affaire n’est pas à lui, les parents à la patronne tenaient ce restaurant et ont fait une donation à leur fille longtemps avant leur rencontre et leur mariage ».
« Julie lèche, moi, encore mon minou juste une minute, après nous devons retourner au travail »
Julie amena Manon à son deuxième orgasme, elle comme moi étions déçus que la patronne n’est pas venue.
Nous nous rhabillâmes et en descendant la patronne me tend un papier où elle a notée : désolé mais il me tenait la jambe.
Manon retourna en cuisine, Guy le mari de la patronne devait s’absenter quelque instant pour faire un achat, Laurent le commis de cuisine, profita de cette absence tenter de séduire Manon qui était à ce moment penchée dans un des congélateurs qu’elle nettoyait, le tablier était remonté dévoilant le haut des cuisses et provoqua une érection chez le commis qui devait s’apercevoir de l’absence de culotte.
Laurent passa derrière Manon sans qu’elle s’en rende compte, il a alors sortie son sexe qu’il frotta contre les fesses de Manon, elle s’effraya se redressa et se tourna vers lui, et lui administra une gifle, tout en hurlant ce qui alerta la patronne et Julie qui accourait, trouvant Laurent, la queue bandée en main essayant de forcer Manon à recevoir sa queue en elle.
Julie : « Salaud, ne touche pas à Manon elle ne veut rien savoir des hommes, elle m’appartient au cas où tu ne t’en, rappelle pas nous sommes mariées »
Laurent : « Excuse-moi Julie, mais elle m’excitait, me dévoilait qu’elle n’a pas de culotte, je n’ai pas pu résister ».
Catherine : « Et alors, elle ne porte pas de culotte, ce n’est pas une raison de l’agresser ».
Laurent : « Excuse-moi Manon, je ne recommencerais plus, promis »
Manon : « D’accord Laurent je te pardonne »
Julie s’approcha de Manon la prise dans ses bras et l’embrassa, ne remarquant même pas que la patronne s’est rapprochée de Laurent, qui s’est accroupie, à sortie son sexe, le prenant en bouche pour le sucer ;
Catherine « hum quelle est bonne ta queue, tu aimes que je te la suce ta grosse queue ? »
Laurent : « Oh oui madame j’adore »
Laurent pris par surprise ne pouvant pas se retenir cracha sa sauce sur le visage et le chemisier de la patronne. Elle eut juste le temps de se relever que la porte de la cuisine s’ouvrit, son mari arriva les mains chargées,
Catherine essaya d’essuyer le sperme sur son visage, mais Guy n’étant pas aveugle à remarquer le sperme sur son chemisier, elle passa à côté de lui sans rien dire pour aller remettre un chemisier propre.
Puis Guy, à demander à Laurent de venir dans le bureau. Il ordonna à Manon et à moi de reprendre notre travail. Laurent à suivi le patron, craignant le licenciement il nous a regardés d’un air triste.
J’ai susurré à l’oreille de Manon :
« Reprends ton travail je vais aller voir Catherine »
Je sortais de la cuisine et au même moment Catherine descendait en boutonnant son nouveau chemisier.
Je lui expliquais :
« Madame, votre mari à convoquer Laurent au bureau »
Elle : « Rassure toi Julie, il ne peut pas licencier Laurent, ni personne sans mon accord, le restaurant m’appartient, à moi seul. Il va lui faire peur c’est tout !
Moi : “Madame, vous ne craignez pas qu’il vous fasse une scène de ménage ?”
Elle : “Tout d’abord, pourquoi tu m’appelles Madame ? Catherine me va très bien, même en présence de mon mari”
Moi : “C’est une habitude Catherine chérie !”
Elle : “Ah c’est mieux ainsi, j’adore, Julie chérie !” “Julie chérie, si Laurent sort du bureau et qu’il dit qu’il est licencié, fait semblant de le croire. Je te demande si tu es d’accord, de faire une chose qui ne va certainement pas te plaire ni à Manon, c’est d’aller au bureau et sucer mon mari”.
Moi : “Catherine, tu m’en demandes de trop, je ne peux faire une chose pareille à Manon, elle m’en voudra à vie ! C’est plutôt à toi de le sucer”.
Elle : “Chérie, tu sais bien que nous n’avons plus de rapport sexuel ensemble, rend moi ce service stp”.
Moi : “Pourquoi restes-tu avec lui alors ?”
Elle : “Je l’aime, et tu es au courant qu’il avait un cancer des testicules et de la prostate, il ne peut plus faire de bébé, ni éjaculé, alors il accepte encore la fellation c’est son seul plaisir, c’est pour cela que je te le demande”
Moi : “Bon d’accord, exceptionnellement je vais le sucer, si tu vas t’occuper de Manon !”
Elle : “Ne t’inquiète pas pour Manon !”
En nous dirigeant vers la cuisine, nous tombons nez à nez avec Laurent avec son sac prêt à quitter l’établissement.
Laurent : Madame, le patron vient de me virer, je vous salue et vous dis adieu ! »
La patronne : « Quoi ? Il est hors de question que tu parts retourne te changer je vais arranger cela »
« Julie tu sais ce que tu dois faire, je vais arranger la chose avec Manon. »
Catherine allait dans la cuisine et moi je me dirigeais vers le bureau, ne voyant plus le patron, je me suis dirigé vers le vestiaire ou se trouvais Laurent ne sachant plus quoi faire et le patron.
Lorsque le patron m’aperçut, l’air surprit que la serveuse le cherche dans les vestiaires il me demanda :
« Oui Julie vous désirez ? »
« J’ai à vous parler, c’est très important mais seul s’il vous plaît »
Il me demanda de venir dans son bureau, il me précédait, je fermais la porte à clé pour ne pas être dérangé, surpris il fit :
« Julie pourquoi fermer vous à clé ? Est ce un secret que désiré vous ?
Moi : “Monsieur ce que je désire c’est : Votre sexe” en posant ma main sur son sexe à travers son pantalon.
Lui : “Mais Julie je croyais que vous n’aimez que Manon ?
Moi : ‘Oui patron, j’adore Manon mais je peux faire une exception pour une fois’ j’ai envie de vous sucer”
Il baissa le zip du pantalon fouilla dans son boxer ; à la recherche de son minuscule pénis comme disait Catherine, qu’il caressait afin d’essayer de le faire grossir puis me demanda de m’accroupir.
Lui : “Oui Julie vient prend ma bite en bouche suce là aussi longtemps que tu veux”
Moi : “Stop pas si vite, d’abord il va falloir me promettre de ne pas créer d’histoire à Laurent, ça n’est pas à vous de le licencier.”
Lui : “Julie vous êtes effrontée, ce n’est pas à vous de décidé”
Moi : C’est ainsi, vous le licenciez et Manon et moi nous partons aussi, vous savez que nous pouvons toujours remonter à la ferme-auberge »
Lui : « Aller ne fait pas d’histoire, prend ma queue »
Moi : « Non Monsieur, pas avant de faire la promesse à Laurent. »
Lui : « D’accord, il restera parmi nous » « allé suce moi petite cochonne »
Je lui caressais sa petite queue qui ne voulait même pas durcir puis je m’approchais de son bureau, prends une page blanche et un stylo et lui disent :
Moi : « Faite lui la promesse par écrit, vous la signer vous faites cela en double exemplaire »
Il termina d’écrire, et alors il me dit :
« Maintenant que j’ai obéi suce moi »
(J’oubliais de vous dire que Catherine et moi avions convenu que je devais éternuer et me moucher le nez, c’est le signe qu’attendait Catherine pour interrompre ce que j’avais horreur de faire, la fellation)
Je me suis alors accroupi devant le mini-sexe et je donnais le signe à Caroline ; j’ai alors éternué ce qui a fait rentrer Caroline.
Il était grand temps car les clients ne vont pas tarder.
En sortant, Laurent est venu me faire la bise pour me remercier.
Le travail repris normalement, même si le patron ne me parlait plus de la soirée, l’ambiance au travail était redevenu au beau fixe.
La fin du service arriva, les derniers clients s’apprêtaient à quitter le restaurant quand Catherine m’appela à la rejoindre dès que je peux à la buanderie ou elle mettait les nappes et serviettes dans le lave-linge.
En retrouvant Catherine, elle me prend dans ses bras et sa bouche vint se souder à la mienne, sa langue cherchait la mienne, elle m’a embrassée longuement, nos mains parcourant nos corps s’attardant sur les seins les fesses, le sexe.
Après cette étreinte, Catherine me dit :
« Julie j’ai envie de faire l’amour ! »
Moi : « Moi aussi chérie, mais je croyais que c’était prévu pour lundi quand ton mari n’est pas là »
Elle : « oui cela tient toujours chérie, mais j’ai envie d’une queue, d’un homme qui va me faire l’amour, »
Moi : « Catherine, et la promesse que tu as fait à ton mari ? »
Elle ne répondit pas, me demanda d’aller chercher Laurent s’il était encore la.
Je suis allé voir dans la cuisine, ne le trouvant pas, je suis allé voir au vestiaire il s’apprêtait à partir.
Moi : « Laurent, la patronne te demande, elle t’attend à la buanderie.
J’ai fait une gaffe, je n’avais pas vu ni entendu le patron entrer dans la pièce qui servait de vestiaire.
En ressortant du vestiaire avec Laurent, je rejoins Manon qui elle aussi avait terminé sa journée de travail, elle allait au vestiaire pour se changer,
Quant à Laurent, il se rendit à la buanderie et tomba nez à nez avec la patronne totalement nue qui ne pouvait plus attendre lui demanda de la baiser rapidement sans plus attendre, avant que son mari s’en aperçois.
Ne pouvant pas attendre elle baissa elle même le pantalon et le boxer du jeune homme se pencha sur la queue qui prenait du volume à la vue du corps nue de sa patronne, elle suça rapidement, puis toujours debout se retourna se pencha prenant appui sur le lave-linge, elle demanda à Laurent de la prendre ainsi.
Manon et moi avant de partir nous sommes restés un moment le temps que Catherine et Laurent ont fini, et afin de retenir le patron s’il venait.
Soudain la porte de la buanderie s’ouvrait et Laurent sortait en nous voyant il nous a fait la bise au même moment que le patron arrivait. Par contre Catherine tardait à sortir, Je pensais qu’elle se rhabillait mais elle apparut nue avec ses habits, qu’elle tenait dans sa main.
Le mari comprenait tout de suite ce à quoi j’avais fait allusion dans le vestiaire lorsque j’ai demandé à Laurent d’aller voir la patronne.
C’est alors qu’une dispute éclata entre Guy et Catherine, il la priait de ne pas se montrer nue, puis il l’a traitée de salope, de pute et de traîtresse.
Manon alors en voyant qu’il levait le bras s’est rapidement interposée entre Catherine et Guy. Laurent a essayé de le raisonner et moi je suis allé chercher une robe de chambre pour l’enfiler à Catherine.
Je m’aperçus que Laurent n’arriva pas à calmer le mari, j’ai pris les devants et j’ai demandé que nous nous mettions à table pour trouver une solution à ce problème, chose qu’il accepta.
Je pris alors la parole, en demandant à chacun des deux de s’exprimer dans le calme et le respect, car il n’y a pas seulement la vie du couple en jeu mais aussi la vie du restaurant.
Alors vous allez vous expliquez en commençant par Catherine, puis ce sera à Guy et nous autres serons que les témoins. Je pense que c’est la meilleure chose à faire.
Catherine : “Voilà Guy, je sais ce que tu as découvert ce soir je suis l’unique fautive je m’en excuse si je t’ai blessée.”
“Je voudrais faire le point : ‘Lorsque nous en avons parlé la dernière fois, je t’avais demandé si tu étais d’accord que je prenne un amant sérieux et régulier, tu es réticent c’est ton droit je l’ai acceptée.’
“Comme depuis mon adolescence, je suis attirée par une relation avec une femme, je t’ai demandé si tu accepterais que je prenne une amante ? D’abord tu n’as pas donné ton avis, puis tu as dit oui”
“Je sais que tu n’y peux rien d’avoir eut le cancer de la prostate et des testicules. Je sais ce que tu ressens que tu te crois inférieure aux autres hommes, Je sais que ton sexe avant ton cancer n’était pas grand, mais malgré cela je t’aimais et je t’aime encore aujourd’hui comme avant”.
J’ai repris la parole en demandant l’avis de Guy :
Guy “Catherine, excuse-moi d’avoir voulu te frapper, mais comprends ma réaction lorsque je t’ai vu sucer Laurent, tu m’as trahi, tu n’as pas respecté l’accord et puis avant de faire l’amour derrière mon dos. Réponds-moi sur ces deux points !”
Catherine : “Guy je sais mais laisse-moi t’expliquer et Laurent confirmera mes dires.
Manon était en train de nettoyer le congélateur, et tu le sais tu as aussi les yeux qui se perdent sur ses jambes et cuisses voir plus haut, donc Manon penchée dans le congélo, épongeait le fond, sa blouse était troussée l’on apercevait le rebond de ses fesses, ce qui a excité Laurent, qui ne tenait plus en place, il est allé derrière elle a sorti son sexe bien bandé et a voulu la prendre dans cette position.
Manon eut un réflexe normal elle s’est redressée c’est retourné et à gifler Laurent en criant, ce qui m’a alerté.
Je suis alors rentré en cuisine et j’ai vu Laurent le sexe toujours en main se branler, Je m’en excuse mais à la vue de cette queue que j’estime à 18 cm pour un diamètre de 5 cm, c’était plus fort que moi je l’ai sucé et ne pouvant pas avaler le tout il a éjaculé sur mon visage et mon chemisier.”
Manon et Laurent confirment.
Guy : Et pour m’avoir envoyé Julie tu me dis quoi ? »
Catherine : « C’est pour que tu ne fasses pas de problème à Laurent, de toute façon ce n’est pas à toi de le licencier, tu es mon mari d’accord, mais le restaurant m’appartient ».
Je repris la parole et c’est à eux de décider de la suite à donner.
Julie : « Catherine je te laisse la parole si tu as encore un souhait c’est le moment »
« Merci Julie pour avoir mené le débat ! »
« Voilà Guy tu veux divorcer ? » Guy « Non bien sûr »
Catherine : « Je te fais deux propositions, elles sont à prendre ou à laisser.
La première si Julie et Manon sont toujours d’accord, c’est qu’elles deviennent mes amantes officielles ! »
« Julie et Manon vous en pensez quoi : »
« Oui Catherine, nous sommes d’accord »
Catherine : « Guy l’autre proposition est : je ne peux quand même pas me masturber continuellement, je suis en manque de sexe d’homme et je sais que tu es réticent mais accepteras-tu que Laurent devienne mon amant, tu le connais, il est sérieux sur le plan professionnel, et au moins cela évitera que j’aille chercher ailleurs, si du moins Laurent est d’accord ».
Laurent resta bouche bée, il attendait la réponse de Guy.
Guy va répondre après un moment de réflexion, en attendant sa réponse je suis allé chercher un rafraîchissement pour tous.
Comme il se faisait tard il était plus que 23 heures et que nous avions de la route à faire, 10 km jusqu’au domicile, la réponse de Guy se faisait attendre.
Lorsqu’il a remarqué et vue que Catherine commençait à s’agiter sur sa chaise, j’ai remarqué que sa main droite a disparu au niveau de son bas-ventre entre les pans de sa robe de chambre, commençai lentement à remuer, elle fermait de temps à autre les yeux et pinçait ses lèvres, ce qu’à remarquer Laurrent assis en face d’elle.
Puis Guy demanda à répondre aux propositions de Catherine :
« Nous t’écoutons Guy : »
« Voilà pour Julie et Manon j’accepte qu’elles deviennent tes amantes à une condition que de temps à autre je peux assister dans vos ébats.
Caroline : “Etes vous d’accord Julie et Manon ?”
Julie regarda Manon qui fit un signe de la tête positive, mais Julie a émis une réserve et demanda à Guy :
“Est-ce en tant que spectateur ou participant ?”
Guy : “En tant que spectateur et de temps à autre j’aimerais que vous trois vous me sucer à tour de rôles”
La réponse de Manon et moi-même ne se fit pas attendre et je pris la parole :
“Guy en tant que spectateur nous sommes d’accord, mais pas question que nous ayons un rapport avec vous !”
Guy : “Même pas pour une pipe de deux minutes ?”
“N’insistez pas, non c’est non”
Guy à Catherine : Dans ce cas ce sera aussi non pour vos séances lesbiennes.
Catherine : “Dans ce cas je mets les clés sous la porte et je te quitte, tu ne peux pas obliger Julie et Manon à te faire ça surtout cela va te servir à quoi tu ne ressens pas de plaisir et au bout de 5 minutes tu en auras marre”
Guy : “Bon d’accord, je n’assisterais qu’en spectateur à vos ébats”
Catherine “Et pour la seconde proposition ?”
Guy : “C’est d’accord aussi vu que cela reste dans la connaissance et à une condition que tu ne fais l’amour qu’ici et pas ailleurs, si du moins Laurent est d’accord,”
Voilà cette scène de ménage se termine bien pour Catherine et ses amantes et amant.
À suivre !
Julie et Manon
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