Les deux jours de repos sexuel, nous ont fait du bien, Manon et moi-même nous ai fait le bilan sexuel journalier depuis le début ou la patronne à complètement changer de comportement envers le personnel et sur son plan sexuel. Il en ressort du bon et du mauvais.
Pour, Manon comme pour moi, le changement de comportement de la patronne nous à rapprocher de Christelle, ainsi que d’Alicia aussi bien sur le plan professionnel que sexuel.
Je m’explique :
Sur le plan professionnel, Christelle et Alicia nous soutiennent face aux problèmes entre la patronne et nous.
Sur le plan sexuel, Alicia nous a fait connaître qu’elle avait des relations saphiques à l’insu de son mari Marc il y a quelques années déjà et elle, avec l’accord de son mari est prête à renouer à la pratique avec nous et Christelle qui elle est une novice dans ce domaine.
Depuis nous sommes complices et nos rapports sexuels sont réguliers.
Ce changement a aussi eu comme conséquence sur Manon elle qui ne voulait jamais avoir des rapports avec un homme, recommence à en avoir sur des hommes qu’elle connaît maintenant comme Marc le mari d’Alicia, et parle déjà de l’amant de Christelle.
Voilà, Comme papa et maman à l’époque ou elle était encore en bonne santé, le réveil pour papa était à 4 h 45 les jours de la semaine, papa avait convenu d’un accord le premier ou la première réveillé réveil l’autre soit par une fellation si c’était maman, où par un cunnilingus si c’était papa. Au cas où les deux se réveillaient en même temps c’était la position du 69.
Manon et moi, nous les avons imités et ce samedi matin à 6 h 45 c’est la langue de Manon que j’ai sentie jouant avec mon clito. Comme toujours, après le réveil, la douche, puis nous descendons en cuisine pour prendre le petit-déjeuner soit nue ou vêtue d’une nuisette courte et transparente. Marie-Claude étant matinale, nous préparait le petit-déjeuner, que j’avalais rapidement.
Après le petit-déjeuner et après avoir embrassé, Maman et Muriel, Manon allait se maquiller et s’habiller, tandis que moi je me rends au bureau, pour composer les récits que dès un chapitre terminer j’envoyais à mon amie Lucie. Souvent en parcourant le site en lisant les récits, je m’adonne à une masturbation, et la plupart du temps c’est ma compagne Manon qui interrompt le plaisir que je me donne, car il est temps pour aller travailler et je suis encore nue et non maquiller.
Nous voilà partie pour affronter un des derniers week-ends de notre présence au restaurant.
Manon toujours inquiète, d’avoir une mauvaise surprise en arrivant au restaurant ou au courant de la journée se demanda pourquoi la patronne s’adonne à ses plaisirs dans la buanderie, alors que Laurent loge dans la chambre à côté de Guy et de la patronne.
« Manon, voyons, réfléchis un peu, nous aussi avons nos lieux insolites, faire l’amour dans un lit devient monotone, et faire l’amour dans un lieu insolite augmente l’excitation. »
Nous voilà arriver sur le parking du restaurant, où nous attendait, Alicia et Christelle. Cela est devenu une routine se rouler une pelle, même s’il y a risque d’être surpris par un passant est devenue presque une obligation.
Nous, sommes rentrées, et après nous être débarrassées de nos manteaux dans les vestiaires, en nous rendants dans la petite salle afin de distribuer le travail de chacune d’entre nous et consulté l’agenda des réservations, nous croisons le patron qui nous accueillait froidement par un bonjour à peine audible. Il était inutile de demander où se trouve la patronne, la buanderie.
Christelle, en se dirigeant vers la grande salle dont les portes étaient encore fermées, nous fit signe de venir en silence. À ses côtés nous entendons des gémissements provenant de la grande salle. Alors j’ouvrais lentement sans faire de bruit la porte et nous découvrîmes le spectacle suivant :
Laurent assis sur une chaise avec la patronne assise face à lui s’empalait sur sa queue, les deux étaient nus et ne réagissaient pas à notre venue. La patronne continuait sa chevauchée malgré notre présence, tandis que Christelle et Alicia se mettaient au travail. J’allais faire la mise en place dans la petite salle en espérant que je reçois de l’aide de la patronne. J’avais presque terminé quand la patronne a eu un puissant orgasme lorsque Laurent lui a éjaculé dans sa grotte. Regardant l’heure elle prit ses vêtements monta à l’étage puis revint habiller avec un sourire moqueur.
Elle comme le patron un bonjour timide et pas de bise ce matin.
De toute façon elle est au courant que nous retournons, à l’auberge, et qu’elle devrait recevoir aujourd’hui les quatre lettres. Ce qu’elle ne savait pas c’est qu’Alicia et Christelle elles aussi démissionnaient.
Ce samedi se passa normalement, seul bémol lorsque le facteur vint remettre une part une les quatre lettres à Madame alors que nous étions à table pour le déjeuner du personnel et qui avait pour effet de couper sa faim.
Elle m’accusa, que j’ai incité Alicia et Christelle de nous suivre, ce que ces deux dernières ont formellement démenti.
Elle consulta son mari et elle nous affirma qu’elle accepte notre démission bien qu’elle le regrette, pour le 19 mars et que c’est dommage pour Alicia elle aurait pris ma place comme responsable serveuses.
Elle ajouta ensuite qu’elle devra fermer le restaurant à partir du 19 mars jusqu’au 31 mars au minimum afin de trouver du personnel.
Toute la journée de samedi il ne se passa plus rien bien entendu la patronne ne laissait pas voir devant les clients sa tristesse, mais après tout c’est de sa faute.
Notre samedi de travail se termina à 22 h 15 et avant de nous quitter, Christelle nous invita dimanche après le service à venir passer une fin d’après midi sexe chez elle, Alicia tu peux inviter Marc, pour l’occasion j’invite mon amant et une ou deux de ses copains.
Alicia, tout comme nous appréciâmes cette invitation et nous avons donné notre accord,
Nous, nous sommes quittés et une fois à la maison nous nous sommes couchées.
Le lendemain dimanche matin nous nous sommes réveillées en même temps ce qui signifie un 69.
Puis douche, petit-déjeuner, maquillage et il fallait se préparer à aller travailler. Comme toujours, en cours de route n’arrêtait pas de se caresser ; même si elle n’atteignait pas l’orgasme car le temps du trajet est trop court.
Arrivées sur place, nous nous sommes rendu compte que Christelle et Alicia étaient déjà là, du moins les voitures, bizarre, pourtant nous sommes à l’heure. En rentrant pour aller aux vestiaires nous croisons Laurent, bizarre d’habitude il baise la patronne dans la buanderie. Après avoir déposé nos manteaux après que Manon à enfiler son tablier, nous sommes sorties et en passant par la cuisine, Guy nous demanda de passer un bureau voir la patronne.
Je dis à Manon :
« Ne te laisse pas faire, elle essaye de nous dissuader de quitter le restaurant pour l’auberge. De toute façon il est trop tard demain nous signons les contrats.
Arriver au bureau, la patronne assise derrière son bureau Alicia et Christelle devant nous tournant le dos, J’embrassais mes deux collègues sur la bouche, alors que la patronne ne recevait qu’une bise sur chaque joue.
La patronne comme je l’avais dit à Manon essayait de nous dissuader de les quitter. Elle dit refuser de signer et rester chez nous j’augmente vos salaires. Et comme vous avez dû remarquer j’ai réfléchi je ne baise plus avec Laurent dans la buanderie.
Moi : “Combien de fois vous nous l’avez dit Madame ?”
Elle : “Oui je sais mais je vous jure que je ne le fais plus. D’ailleurs Laurent va nous quitter aussi.
Moi : ‘Je ne vous crois pas Madame’
Je m’adressais alors à Alicia et Christelle :
‘Qu’avez — vous décidez ?’
‘Alicia : Nous tenons parole si vous partez, nous partons’
Voilà notre décision est prise nous vous quittons.
Nous sommes ressortis du bureau suivi de la patronne qui derrière moi osait me tripoter mes fesses,
Par-dessus ma jupe ; j’allais me retourner pour là gifler ; mais bon j’étais légèrement excitée je la laissais faire.
En passant devant la cuisine Laurent me fit signe de venir aux passe-plats, il voulait me tirer les vers du nez, mais je restais bouche bée. Il avait les yeux perçants sur ma poitrine dont les tétons perçaient le fin tissu du chemisier.
Laurent : ‘Julie tu as froid ou tu es excitée ? Je peux toucher ?’
Moi : ‘Si tu réponds à ma question, et si tu n’as pas les mains grasses !’
Il s’en alla au lavabo se lava les mains puis revint aux passe-plats.
Il pensait pouvoir toucher mes seins sans répondre à ma question.
Moi : ‘Ho Laurent pas si vite d’abord tu réponds à la question, après seulement tu me touches’
Laurent : ‘Je t’écoute.’
Moi : ‘j’ai entendu dire que tu quittes le restaurant ?’
Laurent : ‘Qui t’a dit ça ?’ la patronne ? ‘Non du tout je reste ici.’
Moi ; ‘C’est la patronne qui me la dit donc ta chérie ment ?’
Sur ceux je déboutonnais mon chemisier lui offrant mes deux seins à ses caresses.
Comme je faisais la mise en place avec la patronne, elle me dit en consultant l’agenda des réservations que ces deux couples ont réservé la table 35.
‘Bien Madame, c’est comme si c’était fait’
Je consultais le nom noté sur l’agenda, ce nom ne me disait rien, cela devait être des nouveaux clients.
La table 35 est en général réservée pour des couples qui désirent avoir un coin intime, elle est séparée des autres tables par un massif de fleurs.
Mise en place terminée, 11 h repas du personnel. Petite tension, à table entre la patronne et son amant à cause du mensonge émis par la patronne concernant le départ de Laurent.
Cela se remarquait car lors de chaque déjeuner, la main de madame s’égarait sous la table et s’agitait sur la verge de son amant.
Ainsi je ne déduis aujourd’hui pas de baise dans la buanderie ni de branlette au déjeuner.
J’ai parlé trop vite, au café, la main de la patronne descendit sous la table, mais cette main ne partait pas en direction de Laurent, elle resta bien sur la cuisse de Madame, quand la seconde main rejoignit l’autre, je pouvais m’apercevoir que sa jupe se troussait et elle soulevait légèrement ses fesses et retira sa culotte.
Tiens cela est nouveau, elle remet une culotte. Elle n’en resta pas là un coude posé sur la table le menton posé dans la main, la main libre s’activait sur son sexe. À un moment donné elle aperçoit une bouteille de vin vide demanda à son mari de se lever et là chercher. Elle plaça ensuite le goulot de la bouteille devant son minou et la faisait pénétrer dans sa grotte.
Il était grand temps d’aller ouvrir les portes du restaurant, Christelle vint vers moi et me dit :
‘Julie, la patronne ma mise dans un état d’excitation que je ne peux plus me retenir, je vais vite aux toilettes me masturber rapidement, tu surveilles ?’
Moi : ‘Oui Christelle, mais ne fait pas trop longtemps les clients vont arriver’
Christelle était à peine partit qu’un jeune couple de touriste hollandais dont la femme parlait assez bien le français me demanda si c’est possible de déjeuner.
Nous avons toujours quelques tables pour les personnes qui n’avaient pas réservé.
Je les installais à une table et leur présentais le menu et la carte des vins et boissons, quand un fort cri de plaisir émanant de la cuisine indiquait que la patronne a eu un orgasme puissant.
Le couple s’en rendit compte et m’adressa un sourire. Je me suis rendue en cuisine, signaler qu’elle ne respecte plus rien du tout que les clients présents se sont rendu compte.
Entretemps Christelle est revenue et avec Alicia elles accueillaient et plaçaient les clients à leurs tables.
Quand je suis revenu en salle avec la patronne, je ne m’étais pas rendu compte que la table 35 était occupée, mais surprise de ne pas voir deux couples homme et femme mais deux couples homme. Pourquoi pas les gays ont aussi droit de s’installer à la table 35, mais qu’elle ne fut pas ma stupeur lorsqu’en m’approchant de reconnaître les deux qui nous ont agressé l’autre jour dans la salle alors que deux de ses collègues naissait la patronne sur le plan de travail.
J’ai pris la commande, il ne se privait pas pour prendre le menu gastronomique. Pour le moment ils étaient corrects et polis, je verrais plus tard au cours de leur repas.
Je suis quand même allé signaler à la patronne la présence de ses personnes, Elle ne dit rien et me demanda de ne pas faire de scandale si l’un ou l’autre essaye de vous toucher.
‘Pardon, je ne suis pas une pute’ qu’aucun des quatre oses me toucher et je quitte le resto de suite et je ne reviendrais plus et j’emmène Manon Alicia et Christelle”.
La patronne : “Aucun des quatre ne vous touchera, ils sont venus pour me baiser comme la dernière fois après le service”
Moi : “Je croyais que vous êtes, devenues raisonnable, mais je constate que non,”
Je retournais à mon service et comme ces messieurs n’étaient pas pressés ils étaient toujours à l’apéro.
Puis ils se décidèrent à vouloir l’entrée, je suis allé débarrasser les verres vides, pour pouvoir prendre les verres des deux assis au fond j’ai dû m’étirer, me pencher car aucun des deux ne me favorisait la tâche au contraire il éloignait de plus en plus le verre, c’est alors que je sentais une main se poser sur ma jambe et remonter sous ma minijupe.
Je n’osais pas crier à cause des autres clients, alors je lui ai dit monsieur vous me lâcher ou je crie, Il a fini par céder.
Je suis allé voir Alicia et en lui expliquant elle m’a dit comme ils vont rester jusqu’après la fermeture, laisse-toi faire aussi longtemps s’il ne fait pas plus que de te mettre la main aux fesses. Faits comme si tu aimes et puis quand il n’y aura plus personne nous t’aiderons.
Ils continuèrent leur déjeuner et à chaque fois que je venais pour débarrasser ou servir ils profitaient pour glisser leurs mains sur mes fesses. L’un ma même demander de déboutonner mon chemisier, j’ai refusé, mais après être revenu j’ai ouvert un bouton et mes seins étaient visibles sans les découvrir entièrement.
La majorité des clients ont quitté le restaurant. La grande salle était vide, Alicia et Christelle débarrassaient les tables et dans la petite salle un couple qui terminait leur café et demander l’addition. Le couple parti, Christelle m’aidait à débarrasser les tables alors que la patronne allait fermer à clé et revenant vers les quatre hommes s’asseyait en bout de table et discuta un moment avec mes quatre, quand j’entendais l’un d’entre eux dire qu’elle doit se déshabiller.
Elle ne se fit pas prié, déboutonnais son chemisier le retirais dézippait sa minijupe la laissa tomber au sol, puis un des quatre hommes lui demandait de rester en porte-jarretelles et bas.
“Assieds-toi salope” dit le premier des quatre en se levant et en sortant sa queue qu’il présenta devant la bouche de la patronne.
“Salope tu vas nous sucer l’un après l’autre, et après nous nous occuperons des autres salopes”
La patronne s’exécuta pris la queue du premier en main la branla un court instant avant de la prendre en bouche tandis que le second donna sa queue à branler. Elle suçait l’un et branlait l’autre. Le premier éjaculait dans la bouche et il quittait sa place laissant la place au second pour se faire sucer et le troisième se faisait branler et ainsi de suite.
Le premier se dirigea vers moi et voulu que je remette en forme sa queue pour qu’il puisse baiser la salope en parlant de la patronne.
Trop c’est trop, je lui administrais une gifle, puis Alicia et Christelle ont déclaré à la patronne :
“Si c’est ainsi nous ne resteront pas une minute de plus dans ce bordel, vous terminer vous mêmes le travail.
J’ajoutais, faites ce que vous voulez, mais si mercredi nous n’avons pas le solde de tout compte et les certificats de travail, nous déposerons plainte.
Pendant qu’elle terminait de sucer le quatrième Christelle est allé prévenir Manon d’aller se changer et de prendre ses affaires perso de son placard.
Alicia prévient son mari que nous arriverons plutôt que d’habitude pour le chercher pour cette partouze chez Christelle.
À suivre !
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