Julien et Claire Un week-end bien rempli

Julien et Claire, ont décidé de s’accorder un week-end de détente dans un cottage isolé en pleine nature, un endroit que Marie, sa belle-mère, a loué pour eux. Marie, une femme séduisante d’une cinquantaine d’années, pleine de charme et d’assurance, sait que sa fille a besoin de cette escapade se refaire une santé, car elle s’épuise au travail.

Le vendredi soir, après avoir déballé ses affaires, Claire savoure un verre de vin sur la terrasse, en admirant le cadre enchanteur. C’est alors qu’elle aperçoit un homme s’approcher, Alex, C’est un ami de son mari, qu’elle connait. Cet homme au charme indéniable, et en plus très séduisant.
Claire sent une impulsion immédiate en le voyant, une attirance qu’elle n’avait jamais osé reconnaître. Ils se saluent et Claire demande :

– Alex que fais tu dans ce coin paumé ?

Il répond en souriant :

-C’est Julien qui m’a invité, donc me voila !

Julien apparait, il sourit à son meilleur ami et dit :

-Je l’ai invité pour passer le week-end avec nous, cela ne vous dérange pas j’espère ?

Claire et sa maman répondent en cœur :

-Bien sur que non, il est le bien venu !

Claire ne cesse de dévisager Alex, qui lui, ne cesse de lui sourire. La maman, consciente de la tension qu’il y a entre Claire et Alex, se dit, que l’ambiance s’annonce prometteuse. Claire son mari et Alex ne se quittent pas de la journée. Pendant que Marie fait une courte sieste.
Ils explorèrent la forêt environnante, se plongent dans des conversations profondes tout en partageant des rires. Chaque regard échangé sont chargé de promesses.

Marie sur son lit rêve, elle a toujours eu une attirance pour son gendre, et le savoir là, pendant tout le week-end, cela lui met du Baume au cœur. Automatiquement, elle passe sa main sous sa jupe et se caresse la vulve qui rapidement humidifie sa culotte. Elle presse au travers du tissu, son clito qui est déjà gonflé de désir. Elle écarte d’une main sa culotte est de l’autre se masturbe férocement le clito en pensant à son gendre. Sa jouissance est rapide, une nouvelle masturbation est nécessaire pour qu’une jouissance plus forte l’apaise. Elle se lève et va s’étendre dans l’herbe.

Au retour des promeneurs. Marie réalise à quel point que sa fille est attirée par Alex. Elle les observe avec un sourire satisfait, appréciant le rapprochement de sa fille et de son ami, bien que Claire soit mariée, sa maman est ravi de voir sa fille si heureuse.

Julien commence le barbecue. Alex sous les conseils de Marie, allume un feu de camp. Claire propose à Alex de rester autour du feu de camp avec elle. Les flammes dansent, en éclairant leurs visages, tout en créant une atmosphère intime. Tandis qu’ils échangent des regards, Claire sent son cœur battre plus vite. Alex profitant qu’ils sont seuls, se penche sur elle et lui vol un petit baiser.

Soudain, Marie fait son apparition, un sourire amusé sur les lèvres.

-Je ne veux pas interrompre votre moment !

Dit-elle en s’approchant du feu. Claire, prise de court, se redresse, son visage rougit. Mais Alex, décontracté, cherche à détendre l’atmosphère:

-Marie, nous étions en train de savourer une autre sorte de délice ! dit-il avec un sourire malicieux.

Marie, s’installe près d’eux, l’ambiance qui c’est installée, l’amuse. Elle dit ironiquement:

-Il est important de profiter de la vie ! en posant son regard sur Alex. Sa voix douce, trouble Claire, qui à la fois flattée, observe sa mère avec un mélange d’admiration et d’inquiétude.

À mesure que la soirée avance, l’alcool commence à détendre les esprits. Marie se penche vers Alex, effleurant son bras avec une légèreté suggestive :

-Tu sais, Alex, il est bien plus intéressant de vivre pleinement chaque instant !

Ses yeux brillent d’une lueur de défi. Claire, désireuse de participer à cette dynamique, se rapproche du duo.

Dans un élan d’audace, Marie se lève et s’approcha d’Alex, l’attire doucement vers elle, et l’embrasse avec une lenteur brûlante. Claire, choquée mais fascinée, observe la scène avec une émotion mélangeant désir et curiosité. Elle ressent une montée d’excitation en voyant sa maman céder à son propre désir.

Alors qu’ils échangent des baisers, Claire se sent tiraillée entre l’envie de s’intégrer, bien que cela soit tentant, elle a peur de franchir une ligne dont-elle, ne pourrait jamais en revenir.
Mais la chaleur de la nuit et le désir palpable autour d’eux l’encouragent à se rapprocher. Dans un élan de confiance, elle se pencha également vers Alex, et l’embrasse. Leur baiser est passionné, Claire tremble de tout ses membres. Sa maman sourit, c’est à ce moment, Julien, arrive pour demander un peu d’aide pour cuire les aliments. Julien, est connu pour son humour et sa personnalité charismatique.

Il est immédiatement accueilli par l’atmosphère chargée de tension :

-Ouah, je tombe au bon moment !

Dit-il en levant les sourcils, amusé par la situation.
Claire, surprise, se tourne vers Julien :

-Tu sais, on discutait juste de comment vivre pleinement la vie !

Julien, avec un sourire complice, s’approcha du feu et dit :

Il semble que vous ayez déjà commencé sans moi !

Il, regarde sa femme rougir. Les yeux de julien pétillent de malice.

Belle-maman, est ravie de cette nouvelle dynamique. La tension dans l’air se transforme en une atmosphère de complicité. Julien, bien qu’amusé par la situation, ne peut s’empêcher de sentir l’électricité qui plane. Depuis des années, il fantasmait sur sa belle-mère, et lui ne le laissait pas indifférente.

À mesure que la soirée avance, le groupe décide de se rapprocher encore plus. Claire, Alex et Julien échangèrent des regards chargés complices, réalisant que cette nuit serait peut-être mémorable. Les rires et les taquineries se mêlent aux caresses furtives, et chacun sent que les limites de leur relation ne sont, pas encore redéfinies.

Marie, de son côté, n’hésite pas à s’impliquer davantage. Elle se penche vers Julien, l’effleurant du bout des doigts, son regard plein de désir, ne le quitte pas. La tension monte d’un cran, Claire réalise qu’elle est à la fois excitée et nerveuse.

Claire, se sent de plus en plus libérée, s’immerge dans l’excitation. Les mains taquinent d’Alex, glissent sur sa peau, les soupirs se mêlent aux rires, et la nuit semble s’étirer à l’infini.

À un moment donné, Claire, se retrouve seule avec Alex, leurs cœurs battent à l’unisson, son regard ardent plongé dans le sien. Claire se laisse aller à ses envies, oubliant sa maman, et son mari, réalise que ce moment est une exploration de ses désirs les plus profonds. Elle ressent une liberté qu’elle n’avait jamais connue auparavant.

Blottis l’un contré l’autre, autour du feu, ils échangent plusieurs baisers, et de furtives caresses. Claire a découvert non seulement la passion, mais aussi un nouveau sens de liberté. Ce week-end, loin de tout jugement, est une aventure qu’elle n’oubliera jamais.

Enfin, Marie et Julien, réapparaissent. Claire à juste le temps de se rajuster L’alcool coule à flot, les esprits s’échauffent. C’est euphorique que Claire s’avance vers Alex, sans se soucier des que dira-t-on, elle l’embrasse fougueusement. Les langues se nouent, le baiser dure un long moment.
Julien et sa belle-mère, se regardent en faisant une moue. Julien se racle fortement la gorge pour faire savoir qu’il est là.

Mais les deux amoureux, l’alcool aidant, semblent l’ignorer. Alex retrousse la jupe de Claire, au travers de la culotte, il lui caresse la vulve, les deux semblent seuls au monde, les sens ont pris le dessus, ils ne peuvent les contenir. La culotte est vite sur le sol, les caresses font geindre Claire. Les doigts de son amant s’enfoncent dans sa vulve en la fouillant profondément.

Claire accrochée au cou de son amant, gémit de plus en plus fort. De sa main libre, Alex sort de son pantalon sa verge dressée, en se tortillant, il se place entre les cuisses de Claire, et lui enfonce son membre entièrement dans le ventre. Claire pousse un long râle, en s’agrippant à son amant pour ne pas chuter.

Les sens des deux voyeurs s’enflamment. Julien s’approche de sa belle-mère, l’enlace et l’embrasse fougueusement les souffles sont bruyants. Marie caresse au travers du pantalon la verge qui déforme le pantalon de son beau-fils.
Elle l’extirpe rapidement et la presse plusieurs avant de l’agiter, plus elle branle l’engin, plus il prend du volume. Les gémissements de Claire sont bruyants, son mari la regarde, il la voit s’agiter sur la queue qui lui fore le ventre. Pris d’une pulsion incontrôlable, Il repousse belle-maman et s’avance vers les amants.

Il se place derrière sa femme d’une main, il lui relève la jupe pour découvrir le fessier charnu. Il approche de l’œillet brun son engin raide comme du bois. Il le place contre, et sans préparation, il l’enfonce dans le rectum de sa femme, qui se cabre en poussant un long gémissement. Prise en sandwich, Claire subit pour la première fois de sa vie, une double pénétration. Marie est stupéfaite, elle ravale sa salive, ses sens s’enflamment.

Les deux queues voyagent dans le corps de Claire, en lui arrachant des gémissements de bête. Elle s’agite férocement en couinant de plaisir. Une première jouissance la fait cabrer, elle grogne comme une bête malade, en s’accrochant à Alex. les deux s’acharne sur le corps brulant de Claire.
En recevant une décharge de sperme dans le ventre, la soumise grince des dents et explose une seconde fois, avant que son mari ne lui remplisse le cul de semence visqueuse. Un long moment Claire est le vide couilles de ses amants, ses jouissances successives et violentes, la font hurler de plaisir. Enfin ils la libère, elle s’écroule mollement sur le sol.

Les flammes qui dansent éclaire le corps de Marie, qui est encore ébahi par ce qu’elle vient de voir. Elle regarde les deux verges gluantes, laisser échapper quelques gouttes de sperme sur l’herbe. Elle ravale bruyamment sa salive, son gendre en souriant s’approche d’elle, l’embrasse fougueusement et commence à la dévêtir. Les seins lourds s’affaissent sur le torse de la soumise.
la clarté du feu, permet de distinguer les mamelons épais, trôner aux centres d’aréoles brunes fortement grenelées. Alex est surpris du volume des mamelons, il ravale sa salive et s’approche aussi de Marie.

Julien en embrassant sa belle-mère, la bascule sur l’herbe. Directement sa bouche cherche le fruit juteux qui se trouve entre ses jambes. Automatiquement, Marie écarte le compas, pour faciliter l’accès à sa vulve gorgée de cyprine. Le bouche vorace se plaque sur les grandes lèvres charnues, les aspire, les suce en faisant couiner Marie de plaisir. Marie pousse des grognements de bêtes en ruts, elle agite son bassin, en appuyant sur ma tête de son gendre, qui lui dévore la chatte férocement. Mais lorsqu’il enfonce sa langue dans le conduit brûlant, la belle-mère se cabre en poussant un long :

-Ouiiiiiiiiiiiiiii !

Julien fouille la gaine le plus profondément possible, sa langue habile en fouille chaque recoin, le bougre, recueille le plus de jus possible pour s’en gaver. Marie se cambre comme un pont, en poussant un long râle, lorsque son gendre lui aspire le clito. la bouche vorace la fait couiner comme un animal tombé dans un piège. La tension monte dans son corps, elle appuie plus fort sur la tête de son gendre en gémissant fortement. Une violente jouissance la fait grogner, elle s’agrippe à la chevelure de Julien si fortement qu’il se redresse pour gémir de douleur. Il replonge sa tête entre les cuisses et reprend en bouche le fruit, qui est devenu gros comme une noix. Il dévore avec acharnement la boule de chair qui ne cesse de grossir

Marie répète :

-Oui, oui, encore, sa vient, oui, oui !

Un réjouissance encore plus explosive la fait hurler. Enfin son gendre se redresse sa verge et dressée comme un mat de cocagne. Il la saisit et la branle énergiquement en regardant sa belle-mère pâmer de bonheur.

Alex qui assiste en salivant, retire ses vêtements, sa verge bondée, encore enduite de sperme, s’approche de la bouche de la soumise, qui sans se poser de question, ouvre la bouche et gobe l’engin. Les aspirations sur le gland sont puissantes. Alex grimace il s’agrippe aux cheveux de Marie et tire fortement dessus, sa verge s’enfonce jusqu’aux couilles dans la bouche de Marie, qui subit une gorge profonde. Ses yeux s’emplissent de larmes. Elle a des hauts le cœur tellement la verge s’enfonce dans sa gorge.

Elle repousse Alex pour pouvoir respirer. Le bougre frustré par la réaction de Marie, tire violemment sur les cheveux de Marie, et lui réenfonce sa verge profondément dans la gorge. Il entreprend un va-et-vient terrible, en maintenant fermement la tête de sa soumise. En grimaçant, il déverse dans la gorge de Marie son sperme épais. Il reste quelques secondes sans faire de mouvements, et envoie encore quelques jets dans la bouche qui déborde de sperme. Il se retirer enfin.

Marie, larmes aux yeux sent la crème onctueuse glisser dans sa gorge, elle déglutie pour tout avaler. Julien commence à lui pétrir les seins, il malaxe les lobes, en enfonçant ses doigts dans la chair souple.

Belle-maman ne peut que gémir, mais dès qu’il lui gobe un mamelon, elle se cabre en gémissant comme une bête blessée. Alex regarde, sa respiration est rapide, il récupère lentement. Julien suce et tète le mât de chair en faisant gémir sa belle-mère. Le mamelon devient monstrueux, Julien prend un malin plaisir à le mordiller, l’étirer le plus possible, Marie geint de plaisir, en s’agitant. Alex se penche et aspire l’autre, il lui fait subir les mêmes outrages. Marie devient presque hystérique, elle grogne :

-Oh mes chéris vous me faites mourir, oh comme c’est bon, encore, encore c’est trop bon !

Julien se redresse, et prend place entre les cuisses de sa belle-mère
Il place sa queue contre la fente dégoulinante et donne un grand coup de reins. En poussant un long râle Marie subit la pénétration profonde et brutale en s’agrippant à son gendre, elle couine :

-Oui, oui, mon chéri, défonce moi, j’ai trop envie de ta queue, vas-y, vas-y, je suis ta salope !

Julien encouragé par les propos de sa belle-mère, commence un pilonnage violent, sa queue voyage dans la gaine gorgée de cyprine sans faire une pause. Chaque coup de reins fait geindre Marie, elle s’accroche à son gendre en gémissant. Alex lui dévore les mamelons avec rage. Cela augmente le désir de Marie, qui couine sous les assauts répétés de son gendre. la bite vigoureuse finit par cracher son jus, la douce chaleur du sperme dans son corps, fait exploser Marie, qui se tend comme un arc qui va décocher sa flèche. Sa jouissance est violente, elle donne des coups de reins terribles en geignant fortement, pour s’empaler le plus loin possible. Une seconde jouissance aussi violente lui secoue les entrailles.

Julien lui saisit le bas des reins, et tire fortement pour l’embrocher totalement. Il donne des coups de reins sauvages, en marmonnant :

-Tient, tient, prends ça, tu l’aimes ma grosse queue hein avoue !

En gémissant, Marie répond :

-Oui, oui, défonce moi bien mon chéri !

Le pilonnage que lui inflige son gendre est dévastateurs, elle jouit une nouvelle fois , en s’agrippant à lui. Julien roule sur lui même en entrainant sa belle-mère, elle se retrouve sur lui. Julien dit :

-Alex fais toi plaisir, viens nous rejoindre !

A la lueur du feu de camp, Alex regarde la croupe large de Marie qui continue de s’agiter sur a queue de son gendre. ¨Pour c’est comme une invitation. Il s’approche caresse la croupe, insère ses doigts dans le large sillon, et commence à agacer l’anus. Pour Marie, ce n’est que du bonheur. Lorsque un doigt s’enfonce dans son rectum elle gémit :

-Oui, oui, Alex encule-moi mon chéri !

Alex retire son doigt, et prend place derrière Marie, qui attend la pénétration anale avec un peu d’appréhension. Il met son gland contre la petite ouverture et pousse. Lentement, le membre d’Alex s’enfonce dans le rectum de Marie qui grince des dents. Il investit la gaine millimètre par millimètre. Une fois bien en place. Il commence le va-et-vient. Les deux queues, semblent être dans le même conduit tellement la paroi qui sépare les deux orifice est mince. Marie souffle comme un dragon, elle se cramponne à Julien en grimaçant. Les deux verges voyagent dans ses entrailles en la faisant gémir comme une agonisante.

La vitesse augmente, la synchronisation est parfaite. Défoncée comme jamais Marie hurle :

-Oui, oui, oh putain vous me faites mourir mes cochons, je suis votre salope défoncez-moi, faites moi gueuler, oh putain, oh putain comme c’est bon !

Les queues ne cessent de la défoncer, une jouissance terrible la fait hurler, elle est suivit de plusieurs autres. Enfin, à tour de rôle les deux acteurs lui remplissent le corps de sperme. Claire, ne savait pas sa maman si gourmande. Les jours suivant, les deux femmes avec bonheur, se partagent les deux hommes.

Linsee