L’appel du vice. Clara et Julien, un couple qui semblait sorti tout droit d’un magazine, avec leurs sourires parfaits et leur apparente normalité, cachaient des secrets bien plus sombres sous leur façade. Clara, une brune au regard perçant, aimait dominer, et Julien, son complice dans tous les vices, adorait être soumis à ses désirs les plus tordus.
Leur passe-temps favori ? Piéger des hommes innocents à travers les réseaux sociaux et les applications de rencontre. Ils cherchaient ceux qui n’avaient jamais goûté à l’urophilie, ceux qui ne savaient même pas ce que c’était, pour leur ouvrir un monde nouveau, un monde où la perversion devenait une libération.
Ce soir-là, Clara, vêtue d’un body qui soulignait chaque courbe, se connecta sur une app de rencontre. Elle fit défiler les profils, cherchant la parfaite victime pour leur jeu. Elle tomba sur Thomas, un type à l’air un peu timide, parfait pour leur petite expérience. Avec un sourire, elle envoya un message aguicheur, l’invitant chez eux pour une soirée “inoubliable”.
Julien, de son côté, préparait la maison. Il aimait ce rituel, ce moment où tout devenait possible. Il installa des draps imperméables sur le lit, des serviettes, des bols pour recueillir le “champagne” de Clara. Il était excité à l’idée de voir sa femme dominer un autre homme, de voir son visage lorsque la réalité de son vice s’imposerait à lui.
Quand Thomas arriva, un peu nerveux mais visiblement excité par l’idée de cette aventure, Clara le prit par la main, le guidant vers le salon. “Tu es prêt pour une expérience nouvelle ?” demanda-t-elle, sa voix douce comme du miel, mais avec une pointe de malice. Thomas, sous le charme, acquiesça, ignorant ce qui l’attendait.
Ils commencèrent par des préliminaires, Clara l’embrassant, le touchant, l’excitant jusqu’à ce qu’il soit dur comme de la pierre. Julien observait, déjà en train de se branler doucement, son regard passant de sa femme à Thomas. “Tu vas adorer ça,” dit Clara, avec un sourire qui promettait bien plus que du plaisir ordinaire.
Elle se leva, sa robe tombant au sol, révélant son corps nu, et elle se plaça au-dessus de Thomas, qui était maintenant allongé sur le lit. “Prêt pour une petite pluie dorée ?” demanda-t-elle, ses yeux brillants d’excitation. Thomas, pris de court, commença à protester, mais le désir dans ses yeux trahissait sa curiosité.
Julien, voyant l’hésitation de Thomas, s’approcha, murmurant à son oreille, “Laisse-toi aller, tu ne regretteras pas.” Et avant que Thomas ne puisse répondre, Clara relâcha un jet chaud et doré, arrosant Thomas de son urine. Il sursauta, mais au lieu de se détourner, il resta là, fasciné, puis visiblement excité par cette sensation nouvelle.
Clara, sentant le pouvoir de la situation, continua, ses jets devenant plus précis, visant le torse, le visage de Thomas. “Bois,” ordonna-t-elle, et avec une hésitation qui se transforma rapidement en désir, Thomas ouvrit la bouche, goûtant à cette nouvelle forme de plaisir.
Julien, ne pouvant plus se contenir, s’approcha de Clara, la léchant, nettoyant sa chatte de ses propres fluides, une adoration perverse qui ne fit qu’augmenter l’excitation de tous. “C’est bon, non ?” demanda-t-il à Thomas, qui, maintenant, ne pouvait plus nier le plaisir que cette expérience lui procurait.
Ce soir-là, Thomas découvrit non seulement un nouveau vice mais aussi une soif qu’il ne savait pas avoir. Et Clara et Julien, en vrais maîtres de la perversion, avaient trouvé un nouvel adepte de leur “champagne”, un de plus à ajouter à leur collection de souvenirs tordus.
Ils se retirèrent, laissant Thomas pantelant, couvert de l’urine de Clara, avec une seule pensée en tête : il en voulait encore.
Lucie
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