...
Fétiche - BDSM Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets Uro - Scato

J’urine en pleine sodomie, mon mari en redemande

On t'offre 200 jetons et 1 semaine de test Ultimate sans conditions : Teste le générateur IA Photos & Vidéos !   

Nous sommes en juillet 2024, et Marseille ploie sous une chaleur suffocante, l’air salé de la mer se mêlant à l’odeur des ruelles brûlantes. J’ai 36 ans, mariée à Antoine, 40 ans, depuis une décennie, et nous vivons dans un appartement lumineux près du Vieux-Port, où les volets restent entrouverts pour capter la moindre brise. Notre intimité a toujours été libre, audacieuse, un terrain où nous explorons nos désirs sans honte. Mais ce soir-là, dans la moiteur de notre chambre, quelque chose d’inattendu s’est produit, un débordement qui a transformé notre plaisir en une extase nouvelle.

Tout a commencé après le dîner, un repas léger sous le ventilateur du salon, nos corps déjà collants de sueur. Antoine portait un short léger, son torse nu luisant sous la lumière douce, et moi, une robe fine qui glissait sur mes épaules, mes cheveux auburn relevés en un chignon lâche. Nous nous sommes regardés, un éclat complice dans les yeux, et sans un mot, il m’a prise par la main pour me conduire au lit. La tension montait, nos peaux se frôlaient, et bientôt, nos vêtements ont jonché le sol, abandonnés dans l’urgence de nos envies.

Il m’a allongée sur le ventre, mes hanches relevées par un coussin, mes fesses offertes sous ses mains fermes. “Je veux ton cul ce soir,” m’a-t-il murmuré, sa voix rauque caressant mon oreille, et j’ai acquiescé, un frisson me parcourant l’échine. Il a pris le lubrifiant sur la table de nuit, en a enduit ses doigts, puis mon entrée, ses caresses précises ouvrant doucement mon anneau serré. J’ai soupiré, mes muscles se détendant sous son toucher, et lorsqu’il a pressé son gland contre moi, j’ai poussé un gémissement, prête à l’accueillir.

Il m’a pénétrée, lent au début, sa queue épaisse écartant mes chairs avec une pression qui me faisait trembler. La sensation était intense, un mélange de douleur et de plaisir qui irradiait dans mon bassin, et je sentais chaque mouvement, chaque centimètre qui s’enfonçait plus profondément. Il a accéléré, ses mains agrippées à mes hanches, mes seins écrasés contre le matelas, et je gémissais, emportée par cette vague brute qui montait en moi. Mais alors qu’il me prenait plus fort, une pression soudaine a grandi dans mon ventre, une urgence que je n’ai pas su retenir.

Un jet chaud a jailli, incontrôlable, éclaboussant mes cuisses et son bassin alors qu’il continuait à me sodomiser. “Oh merde,” ai-je soufflé, confuse, honteuse, mais Antoine a ralenti, un grognement sourd dans la gorge. “Putain, c’est ça,” m’a-t-il dit, ses yeux brillants d’une excitation que je ne lui connaissais pas. Le liquide coulait encore, tiède, mêlé à la sueur et au lubrifiant, et il m’a retirée de lui, sa queue luisante sous la lumière tamisée. “Ne t’arrête pas,” a-t-il ordonné, et il s’est allongé sur le dos, m’attirant vers lui. “Viens t’essuyer sur moi.”

J’ai hésité, mais son regard, intense, m’a convaincue. Je me suis placée au-dessus de son visage, mes cuisses écartées, mon cul encore palpitant de sa pénétration, et j’ai senti l’urine goutter sur sa peau, tachant ses joues, son menton. Il a grogné, “oui, comme ça,” et sa langue a surgi, léchant les traces humides, goûtant ce mélange salé qui coulait de moi. J’ai frissonné, troublée par son audace, et il m’a saisie par les hanches, m’attirant plus près. “Vide-toi, donne-moi tout,” m’a-t-il murmuré, et j’ai lâché prise, incapable de résister.

Un flot tiède s’est échappé, plus fort, arrosant son visage, sa bouche ouverte qui recueillait chaque goutte, ses yeux fermés dans une extase silencieuse. Je voyais ses lèvres briller, son nez trempé, et il buvait, avalait, ses mains serrant mes fesses pour me tenir en place. L’odeur âcre emplissait l’air, se mêlant à celle de nos corps en sueur, et je sentais ma propre excitation monter, un plaisir pervers né de cette intimité crue. Quand le dernier jet s’est tari, il m’a tirée contre lui, sa langue cherchant la mienne, un goût salé partagé dans un baiser profond.

Il m’a rallongée, sa queue toujours raide, et m’a pénétrée à nouveau, cette fois par devant, mes cuisses poisseuses s’écartant pour lui. “T’es incroyable,” m’a-t-il soufflé, et nous avons joui ensemble, un orgasme violent qui nous a laissés pantelants, trempés de sueur, d’urine et de désir. Marseille pouvait bien brûler dehors, ce soir-là, nous avions trouvé une nouvelle front

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

paragraphe 4 ia porn

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. ia porn generator free tokens"baise

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Générateur Porno IA

generateur porno gratuit