Quel temps Il pleut depuis la veille sur la moitié de la France.
L’autoroute est bloqué sur les deux voies suite a un terrible accident impliquant plusieurs poids
lourds. Ils les ont fait sortir de l’autoroute par une bretelle de service. Les automobilistes ce sont
retrouvés en rase campagnes sans panneaux indicateurs pour ce repérer.
Pat roule tranquillement dans sa deux chevaux, car avec ce temps orageux et cette pluie battante, les
essuies glace de la voiture ont du mal évacuer l’eau de pluie ce qui ne facilite pas la vue de la route
au chauffeur.
Il c’est retrouvé sur cette route au milieu des bois, après être obligé de quitter la route nationale a
cause d’une maison en feu à la sortie d’un hameau.
La nuit est tombée de puis deux heures maintenant, il n’y a pas âme qui vive sur cette départemental
Ce soir, une violente tempête sévit sur la route. Au volant, Odile commence à paniquer. Elle se
maudit d’être allée voir sa mère à cinq cent km de chez elle justement ce jour là où la prudence
élémentaire impose de ne pas conduire. Au détour d’un virage, un énorme sanglier traverse la route
devant son pare-brise embué et elle commet l’erreur de freiner.
La voiture percute l’animal. Elle parvint tant bien que mal à s’en extraire et constata les dégâts
alors que la pluie trempe sa chevelure et ses légers vêtements désormais collés à son corps. La
catastrophe. Heureusement, elle n’est pas blessée. Même pas une écorchure. Elle veut téléphoner
avec son portable mais lui aussi a pris l’eau. Il ne reste plus qu’à faire du stop pour essayer de
trouver un garagiste.
Mais personne ne passe sur cette route, elle retourne s’asseoir derrière son volant.
Après un virage, une voiture est arrêtée sur la route, ses feux de détresse sont allumées.
Prudemment, Patrice s’arrête à quelques mètres derrière la voiture, il sort de sa deux chevaux un
parapluie à la main, et ce dirige vers la voiture arrêtée. Une femme est assise derrière le volant.
La femme d’un certain age, à l’air hébétée. Il frappe a la vitre latérale qui s’abaisse.
– Ça va madame ?? Vous êtes blessée ??
La conductrice tourne sa tête vers lui.
– Oui !! Ça va……Moi j’ai rien…… Mais la voiture est foutu ?? Saloperie de sanglier !!!
Pat regarde l’avant de la voiture, il est complètement défoncer, du liquide de refroidissement coule
sur le sol mouillé. Un énorme sanglier agonisant, gît sur le bas coté de la route.
La femme interpelle Pat en agitant son téléphone portable à la main.
– Vous avez du réseau ?? Le mien passe pas !!
Pat sort son portable de sa poche. Lui non plus n’a pas de réseau.
– Non !! Moi aussi j’ai rien !!
Odile dévisage à peine son sauveur, trop occupée par son obsession de trouver un garagiste.
– Mais madame, nous sommes dimanche, vous ne trouverez personne d’ouvert dans le coin
aujourd’hui. Et puis, il faut vous mettre à l’abri car la tempête ne fait que commencer, le pic est
encore loin d’être atteint à ce que j’ai entendu à la radio. La nuit est tombée, les hôtels sont encore
loin et vous êtes trempée.
– Écoutez Madame ? Prenez vos affaires et je vous amène au premier village, nous trouverons peut
être de l’aide.
– D’accord !! Je prends mon sac et je monte avec vous.
Les voilà tous les deux dans la dedeuch, roulant sous la pluie dans le noir. Pour la première fois,
Odile se tourne vers le conducteur. Sa proposition est-elle vraiment honnête ? N’est-ce pas un de ces
pervers prêts à fondre sur les femmes fragiles comme elle actuellement ? Physiquement, il ne lui
apparaît pas désagréable. La cinquantaine, des mains bien manucurées posées sur le volant, des
vêtements genre sport wear. Rien d’inquiétant a priori mais faut-il lui faire confiance pour autant ?
Il parait deviner ses hésitations :
– Ne vous inquiétez pas, je ne vous veux pas de mal. Mais si vous voulez, je peux vous descendre
au prochain village, et m’en retourner, libre à vous.
Elle a trop envie de se mettre au sec et en sécurité. Les arbres chahutés la terrorisent et la voiture
fait parfois des embardées dues au vent. Ils arrivent dans un petit village éclairé. Sur la place de
l’église il y a un petit hôtel restaurant allumé.
Après avoir stationné la dedeuch, ils rentrent dans l’établissement.
– Bonsoir ! Lance Pat. A la cantonade, il s’adresse a l’homme derrière le comptoir.
– La voiture de madame est accidentée à une dizaine de kilomètres d’ici, un gros sanglier lui a
coupé la route et impossible d’avoir du réseau sur nos téléphone. Dit il au supposé patron.
– La foudre a grillé le relais le plus proche d’ici, ses messieurs sont là pour le remettre en route…..
Dit le patron en désignant quatre hommes attable devant un repas.
– Marcel !! C’est du boulot pour toi ! Lance le patron.
– Marcel ? C’est notre garagiste, il va vous la remorqué jusqu’à chez lui votre voiture, et demain il
vous dira ce qu’il peut y faire a votre voiture.
– Demain !! S’écrit la femme.
– Écouté Madame ?? Il est vingt heures, Marcel a fini sa journée, il est bien gentil d’aller chercher
votre voiture sous cette pluie d’orage !! Et puis on est pas bien ici ??
– Je peux vous servir deux repas et il me reste une chambre de libre avec un grand lit. Alors ???
La femme ce tourne vers Pat.
– Je vous invite a soupé et a dormir dans la même chambre que moi. Vous m’avez dit que vous étiez
un homme seul et en plus nous sommes mouillé tout les deux, ça nous fera du bien de séché nos
corps et nos vêtements !!! Quand pensez vous ??
– Si vous insistez, je ne dit pas non, j’ai tout mon temps.
– Bon ! C’est OK ! Nous prendrons deux repas et la chambre.
Pendant le repas, ils ce font les présentations.
La femme ce présente :
– Je me prénomme Odile. J’ai quarante cinq ans, je suis veuve sans enfant. Mon mari est décéder
dans un accident d’avion privé.
A cause d’un terrible accident sur l’autoroute, ils nous ont fait sortir, j’en ai profité pour prendre un
raccourci pour rentrée chez moi. Sans ce sanglier je serai sûrement bientôt rentrée.
Pat ce présente a son tour :
– Je me prénomme Patrice, tout le monde m’appelle Pat. J’ai cinquante ans, je suis veuf ? après une
longue maladie mon épouse ma quitté. Je me rendais chez un ami par des chemins détournés.
A la fin du soupé ? Marcel vient dire à Odile que sa voiture est a l’abri dans son garage.
Ils montent tout les deux dans la chambre, c’est une chambre avec un lit deux place, une salle de
bain et un WC communicant.
– Je vous laisse vous couchez Odile, je reviendrais après que vous soyez dans le lit, vu que nous
avons aucun vêtement de nuit.
– Merci Pat ……. Je mettrais mes vêtements a sécher sur une chaise devant le radiateur électrique.
Je vous conseil d’en faire autant avec l’autre chaise. Restez dans le couloir j’en ai pas pour
longtemps, je vous appellerais quand je serai dans les draps.
Pat patiente pas très longtemps dans le couloir, Odile ce manifeste rapidement.
Quand il rentre dans la chambre il voit la tête d’Odile émerger des draps.
– A vôtre tour ! Dit elle. Je ferme les yeux…………..
Pat ce déshabille ne gardant que son slip. En étalant ses vêtements sur la chaise à coté de ce
d’Odile, il remarque qu’il y a son soutient gorge mais pas de culotte.
Il ce couche, lui d’un coté, Odile de l’autre, il y a une vide entre eux deux.
Dans la nuit un terrible orage éclate, Pat sent le corps d’Odile ce coller contre son dos, ses seins nus
plaqué contre son corps. Ses bras l’étreignent avec force ?? Une de ses mains est descendu dans son
slip, agrippant les poils de son pubis.
C’est ainsi qu’il ce sont réveillé de concert. Pat n’ose pas bougé, il faut dire qu’il ce réveille avec
une érection matinale. Sans bougé d’un poil Odile lui dit :
– OH !! Excusez moi ?? L’orage m’a toujours fait peur, a chaque fois je m’agrippais a mon mari
comme a une bouée de sauvetage, c’est ce qui a du ce produire cette nuit dans mon sommeil ?
– Mais dites moi ? Je ne vous suis pas insensible ?? Dit elle en empoignant sa verge tendue.
Devant le manque de réaction de Pat et de son silence, Odile ce lève. Elle est seins nus et en petite
culotte.
– Nos affaires sont sèches, je vais prendre la douche la première.
Odile s’enferme dans la salle de bain en ayant pris ses vêtements au passage.
Pat a bien regardé Odile, elle est belle pour son age, avec un corps encore ferme ainsi que ses seins
et ses fesses.
Une fois lavée et habillée, elle sort de la salle de bain. Pat est assis dans le lit, il attendait la place.
– Je vous attends dans la salle en bas pour prendre le petit déjeuner ensemble ! Lui dit elle en venant
lui faire une bise sur le front.
A son tour Pat occupe la salle de bain. Il ne sais pas quoi penser de l’attitude d’Odile. Lui fait elle
des avances ou bien ??
Après le petit déjeuner, Odile comme promis règle la note et ensemble ils vont au garage de Marcel.
En entrant dans le garage ils voient que la voiture est très bien accidentée. Marcel qui les accueille
dit a Odile :
– A mon avis elle est foutue, ces anciens modèles italiens sont fragiles, la réparation sera plus
coûteuse que le prix de l’argus, l’expert ne la fera sûrement pas réparer ? Venez madame, nous
allons faire les papiers dans le bureau.
Pat sort du garage en attendant qu’ils remplissent les papiers. La météo c’est un peu amélioré, le
ciel est toujours gris mais les orages sont passées.
Odile ressort du garage avec un sac de voyage à la main.
– Je crois que j’ai gagné ma journée !!! Ma voiture est foutue !!
– Patrice !! Pouvez vous me ramener chez moi ?? Et si vous le voulez, je vous invite a passer la
semaine chez moi.
– D’accord !! je vous ramène chez vous, je veux bien passer la semaine avec vous, mais je ne veux
déranger personne ??
– Vous ne dérangerez personne, je vis seule avec mes quatre chiens qui garde ma propriété. J’espère
que vous n’avez pas peur des chiens, les miens sont pas méchant avec mes invités.
– Non ? Je n’ai pas peur des chiens !!
– Alors en route ! Il y a encore une centaine de kilomètres a faire……..
Les voilà tout les deux dans la dedeuch en route vers l’avenir.
– On pourrait ce tutoyer Pat, maintenant que nous avons dormi dans le même lit. Moi vous pouvez
m’appelle Dile car Odile je trouve que ça fait mondain ce O !! Moi je peux vous appelez Pat ?
– Oui ! On peut ce tutoyer, et tu peux m’appeler Pat……………..Dile
Après deux heures trente de route et de déballage de vie privée. Les gens de son village l’appelle la
baronne, car son nom maritale est Baron, comme son mari était très riche, ils ont fait vite un
rapprochement avec le titre mondain. Odile a héritée la totalité des avoirs de son mari, il lui a laisser
de quoi vivre royalement pour le restant de son existence.
Ils arrivent devant un grand portail en fer. Odile sort une télécommande de son sac, le portail
s’ouvre sur une grande allée arborée.
Un grand homme noir surgit devant le capot de la deuch, il a un fusil de chasse dans une main. Il
lève l’autre en signe d’arrêt. Odile sort de la voiture en criant :
– Mamadou !! C ’est moi !!!
Puis elle va saluer Mamadou, elle doit lui narrer son périple, plusieurs fois elle pointe du doigt Pat
et Mamadou le regarde avec complaisance.
Odile remonte dans la voiture, Mamadou s’efface de l’entrée.
– C’est Mamadou ! C’est le gardien, le jardinier, enfin l’homme a tout faire. Mon mari l’a sauvé du
génocide au Rwanda. Il avait dix huit ans, toute sa famille a été massacrée, il était poursuivit par les
assassins. Mon mari l’a caché dans le coffre de son tout terrain jusqu’à l’aéroport ou l’attendait un
jet privé. Arrivé en France avec ses relations il a put le faire naturaliser français.
Depuis il nous est fidèle corps et âme. Il vit dans la grande maison a coté de l’entrée avec sa femme
et ses trois enfants.
– Aller roule !!! La propriété est de dix hectares, la maison est derrière les arbres la-bas a deux cent
mètres.
Pat découvre après les arbres indiqués, une très grande maison bourgeoise avec un perron à
colonnade. La demeure supervise une très grande pièce d’eau, et un parc immense.
– Fait le tour Pat !! On va rentrer par derrière, tu rentrera ta Deuch dans le garage à la place de ma
voiture.
Pat fait le tour de la demeure et découvre un très grand bâtiment avec quatre portes de garage.
L’une d’elle s’ouvre, Pat rentre sa voiture. En descendant il a les yeux écarquillés, car dans le grand
bâtiment il y a, une DS spéciale de mille neuf cent quatre vingt, une vielle Jaguar, une Triomphe
spirifer, et d’autre voitures de luxe des années soixante.
– Aller Pat ! Vient tu visitera ça plus tard, mes chéris m’attendent avec impatience.
Pat suit Odile, qui ouvre une porte au fond du garage, ils prennent un petit ascenseur pour descendre
et accéder à un long couloir qui les conduisent a un autre ascenseur qui les montent dans la
demeure.
– C’est un passage souterrain qui passe sous la cour, ça nous évite de nous mouillés et d’avoir froid
en hiver. Dit Odile.
Trois étages sont inscrit sur les boutons de l’ascenseur.
Ils arrivent au premier qui n’est d’autre que le rez de chaussé de la demeure. Il y a là une grande
salle a manger avec une grande cuisine attenante. Je ne vous parle pas du hall d’entrée qui est
immense.
Odile ce dirige vers la cuisine, ouvre le grand réfrigérateur, le referme, ce tourne vers Pat.
– Tu m’emmène faire les courses avec ta voiture, car je n’ai rien a manger pour ce soir et les autres
jours. En plus ça les fera jaser de voir la Baronne avec un homme qu’ils n’ont jamais vus ici.
– Déjà qu’ils supposent que Mamadou remplace mon mari le soir dans mon lit ? Qu’ils sont cons !!
– Et il faut t’acheter de quoi te changer et aussi des accessoires de toilette.
– Non ! J’ai tout ça dans ma valise, qui est dans le coffre………
– Mais pourquoi tu ne les pas prises hier soir à l’hôtel ???
– Je ne voulais pas te gêner encore plus avec ça.
– Ouais ? On dit ça ! Tu voulais couché nu avec moi. AH ! AH !! Je te taquine ! Aller on y va ?
Ils sortent par la porte de la cuisine, Odile siffle un petit code de rappel. Quatre grand chiens
déboulent de derrière les dépendances en courant vers leur maîtresse. Deux Dogue allemand et deux
Mastiff.
Odile lève la main droite et les quatre chiens viennent s’asseoir aux pied de celle ci. Elle leur fait un
bisou sur la truffe à chacun en caressant le dessus de leur tête. Puis elle s’adresse aux chiens.
– Je vous présente Patrice, C’est MON AMI, alors acceptez le comme moi !!! Aller !!
Les quatre chiens ce lèvent et viennent léchés les mains de Pat, en signe d’acceptation.
Après ces présentations, voilà nos deux protagonistes partis faire les courses au village.
Les voilà revenu chez Odile.
– Pendant que je prépare le repas, va faire la visite de la maison, n’hésite pas a ouvrir toutes les
portes.
Au premier, c’est deux bureaux deux salle de bains, quatre chambres qu’il visite. Au deuxième il y a
aussi une salle de bain et quatre chambres et un salon dit de lecture avec un grand écran plasma. En
bas, au fond de la demeure après la salle de billard, il y a une piscine extérieur couverte par une
verrière, elle est entourée de plantes tropical, fougères, palmier, bananiers, et autre.
Par contre au sous sol sous la demeure c’est aussi grand. Il y une salle de projection avec grand
écran, une petite salle de jeux avec baby foot, flipper, et autre jeux électrique.
Une salle de sport avec une moquette au sol ? Le banc de musculation comporte a chaque pied une
sangle avec attache velcros ? Il y a aussi dans un coin une cabine de douche.
Après la buanderie bien équipée, il y a un couloir avec des bancs le long, ce couloir longe la piscine,
il y a cinq grandes vitres qui sont face aux bancs. On peut regarder les baigneurs nager ??
Après le repas de midi, Odile en Méhari quatre quatre, accompagné des chiens, elle fait visiter le
domaine à Pat.
– Alors tu reste combien de temps avec moi ?? Tu vois. A part mes chiens qui t’ont adoptés, il n’y a
personne d’autre. Comme tu as pu le voir, a part Mamadou l’homme a tout faire, je n’ai pas de
personnel à ma disposition. Quand si j’ai besoin, j’appelle une femme de ménage pour me donner la
main pour l’entretien intérieur.
– Comme famille, j’ai un neveu qui a essayé de couché avec moi après la mort de mon mari, je l’ai
foutu dehors avec l’aide de Mamadou et depuis plus de nouvelle.
Pat téléphone a son ami qu’il ne viendra pas ce mois ci en lui expliquant la raison de sa défection.
Le soir même Odile a concoctée un très bon soupé arrosé au champagne pour fêter : Dit elle leur
amitié naissante.
Odile, la baronne, a du vague à l’âme ce soir, son nouvel ami, c’est couché seul dans sa chambre.
La belle baronne a envie d’amour. Devant sa psyché elle se contemple alanguie, pinçant ses seins
sensibles ; Odile s’est seulement vêtue d’une guêpière avec porte jarretelles tendant ses bas de soie
perchée sur ses talons aiguilles caresse sa vulve de ses ongles carminés, pinçant délicatement son
clitoris érigé.
Madame la baronne se branle rêvant que Patrice lui suce la moule.
Elle se permet un petit orgasme mais elle sait qu’il lui faudra plus ce soir. Jetant un peignoir sur les
épaules elle descend délicatement pour ne pas réveiller Pat.
Elle va réveillée ses deux amis canins qui dorment dans la cuisine, s’accroupissant, elle flatte ses
deux molosses les caressant doucement leur parlant à voix basse. Les deux puissants animaux
s’étirent de contentement heureux de la présence de leur maîtresse. Les dogues allemands savent
que les rôles vont s’inverser et que dans la nuit la baronne va se soumettre à leur désir bestial,
devenir comme souvent leur chienne langoureuse…
Elle les entraîne en bas dans la salle de sport, ce sera plus discret. Le scénario est bien rodé. Odile
se débarrasse de son pyjaveste, elle reste en guêpière et bas, elle se glisse à même la moquette son
visage dans l’encolure des chiens. Elle se frotte contre les poils rêches des animaux se faisant
chienne, elle frotte le ventre de Titus, là où le pelage est plus doux, l’autre s’allonge à ses côté,
attendant son heure.
La baronne effleure maintenant le fourreau poilu et le masturbe tendrement, faisant apparaître hors
de la gaine le bout pointu du sexe canin. Titus gémit doucement se laissant manipuler avant que
d’imposer sa loi. Odile coule comme une fontaine sa vulve sécrétant des quantités de fluides
odorants. Elle se penche vers la verge rouge à moitié sortie et se met à la sucer amoureusement
tétant le bout enflammé de ses lèvres peintes. Le chien se raidit, expulsant dans la bouche de sa
chienne son lubrifiant.
Odile le suce avidement ses lèvres s’arrondissant sur la verge allant buter contre la fourrure de la
gaine, elle palpe tendrement les grosses testicules, avalant l’engin devenu énorme, d’une incroyable
raideur, le nœud est apparu et elle le retient à l’arrière se servant de sa bouche comme d’un vagin
enfournant le pieu de chair jusqu’au fond de sa gorge pour mieux le ressortir, suçoter l’extrémité
pointue et le ré-enfourner le pompant amoureusement.
Elle avale au fur et à mesure les giclées de pré-sperme attendant que son amant se libère sur sa
langue. L’amant est au bord de l’explosion et bientôt se cambre sur ses pattes arrières éjaculant de
grosses quantités de semence dans la bouche de sa maîtresse qui déglutit au fur et à mesure les
rasades de liquide gluant. Elle trait le sexe démesuré l’essorant proprement ne perdant pas une
goutte du sperme délicieux.
La baronne va maintenant se faire saillir par le deuxième chien qui s’est relevé avec son sexe
émergeant de la fourrure. Elle se positionne à quatre pattes et immédiatement Marcus vient la
monter, la ceinturant de ses antérieurs. Son deuxième amant n’a pas de mal à trouver le chemin du
vagin trempé de sa chienne qui cambre son cul prête à se faire prendre. D’un coup le bout
s’introduit entre les lèvres vaginales et s’accrochant à la femelle, Marcus l’investit ; son engin
prenant de l’ampleur dans la douceur des muqueuses d’Odile. Elle est pleine de cette verge énorme
et le molosse la soumet la prenant comme une femelle de sa race.
A grands coups de reins le puissant Marcus baise la baronne qui va au devant de son désir, s’ouvrant
encore aux saillies de son amant. Son nœud est à ras des lèvres, d’un coup le chien se fait plus
violent et rentre la totalité de sa verge dans la vulve gluante. Elle est liée à son amant qui la
maintient fermement entre se pattes. Le chien s’est immobilisé, son engin enfoui dans l’intimité de
la femelle.
Pendant de longues minutes il n’en finit pas de se vider à longs traits brûlant dans le ventre de sa
chienne dont le vagin resserré le tète. La baronne se laisse imprégner par le molosse coulant ses
orgasmes sur l’énorme barre qui la remplit toute. Les deux amants sont liés pour quelques minutes.
Pat est couché dans la chambre voisine de celle d’Odile. Il n’arrive pas a trouver le sommeil, trop
bu de champagne peut être ?
Avec d’infini précaution, Pat sort de sa chambre pour faire un petit tour dans la demeure histoire de
mieux digéré le soupé au champagne.
Tient ? La porte de la chambre d’Odile est entre baillée ? Veut elle qu’il la rejoigne dans son lit ?
Il descend au rez de chaussé pour boire un peu d’eau gazeuse. Puis il veut revisité le sous sol. Là au
moins s’il fait du bruit ça ne s’entendra pas là haut pense t il. C’est comme ça que Pat surprend la
Baronne. Attiré pas les cris de jouissances d’Odile, il c’est dirigé vers la salle de sport, dont la porte
est rester entre baillée. Après avoir poussé légèrement la porte, il peut voir tout le spectacle qui ci
déroule.
Odile est là a quatre pattes poussant des râles de jouissance avec Marcus sur son dos, lui insérant la
taille de ses pattes avant, son arrière train collé à la croupe de sa maîtresse.
Son amant enfin, se retire la laissant pantelante, sa grotte d’amour maculée de crème toute poissée
du foutre canin…
Titus maintenant reposé revient rôder autour d’Odile reposant en position fœtale sur la moquette
finissant de cuver son orgasme, la chatte grande ouverte toute dégoulinante de sperme blanchâtre.
Il vient se gaver du liquide de son compagnon, lapant avidement la vulve offerte de la femme,
léchant par derrière de l’anus jusqu’au clitoris, faisant frissonner la femelle consentante. Titus bande
maintenant la truffe pleine des odeurs intimes de la chienne qui gémissante qui se repositionne en
levrette pour lui offrir sa croupe…
Le molosse monte la femme devenue chienne qui se cambre prête à la saillie. Le sexe du chien
émerge de la gaine et le bout pointu vient frotter le vagin enflammé d’Odile, il tape contre l’entrée
de sa grotte d’amour entrouverte, il trouve le chemin gluant, il enfile la femme, grossissant à mesure
de ses violents coups de reins. La baronne n’est plus que volupté, gémissante elle s’offre à cette
pénétration contre nature bavant de jouissance.
Elle est complètement emmanchée par la bite canine, qui a pris une ampleur démesurée.
Complètement investie par le membre énorme elle pousse du cul pour aller à la rencontre de son
mâle, heureuse d’être prise, sa moule frottant l’engin qui lui procure tant de bonheur. Le chien est
devenu maître à son tour, il est bien ancré dans le puits d’amour féminin, son nœud venant buter
contre les lèvres vaginales, ses testicules venant battre contre le clitoris de la baronne. Lui aussi veut
la féconder et d’un coup de butoir plus ample il l’enfile enfonçant la nodosité dans le velours de
cette merveilleuse vulve.
Odile a la moule complètement bourrée de la verge de son compagnon et se contractant, elle le tète
amoureusement contractant ses muscles intimes, sentant dans son ventre les giclées de sperme
brûlant. Le molosse lui noie son puits d’amour de sa semence gluante, éjaculant sans discontinuer
collé à sa femelle.
Elle reste bloquée par son mâle de longues minutes sentant tressaillir sa verge dans son puits
d’amour noyé de foutre. Elle jouit sans discontinuer, balbutiant des mots sans suite. C’est en
remuant sa tête dans tout les sens qu’elle entrevoit la porte maintenant a demi ouverte d’où Pat
regarde la scène de son accouplement insolite.
Elle le regarde maintenant dans les yeux. Il peut y voir tout le plaisir qu’elle ressent, jusqu’au
moment où son vagin distendu laisse échapper le divin membre canin. Elle plie les genoux, ses
fesses collent sur ses talons. Marcus vient léché sa vulve ouverte débordante de fluide d’amour
mélangé. Odile a un dernier sursaut d’orgasme sous les coups de langue de son dernier amant.
Les deux danois viennent lécher les deux mains de Pat, puis ce couche à coté de leur maîtresse.
Pat s’approche de d’Odile la baronne. Elle le regarde, lui tend la main en signe de d’aide pour ce
relever. Il l’aide a ce remettre debout, du sperme canin goutte sur ses cuisses.
– Maintenant tu es au courant, à ce que je vois. Je suppose que tu ne veux plus me revoir,
maintenant que tu sais.
– Je n’ai pas dit ça, je n’ai rien dit, j’aurais préféré l’apprendre de ta bouche.
– Toi aussi tu as eu d’autres aventures, avant.
– Pas avec des chiennes, que je sache.
– Je savais que tu serais déçu si je te l’avais dit l’autre jour.
– Je voudrais savoir depuis combien de temps tu ?
– Combien de quoi ? Ah !! Oui !! Avec les chiens. Oh ! Là ? C’était un accident ?
– Ce n’était pas un accident, il n’y a aucune raison que cela se ne reproduise pas. Mais tu n’as pas
honte ?
– J’ai le vice en moi tu sais, certaines femmes sont attirées par d’autres femmes, moi je suis attirée
maintenant par les chiens. Un jour ou l’autre, j’ai toujours envie de recommencer. Je vois dans tes
yeux que je te dégoûte, mais je n’y peux rien, c’est comme cela. Je pense que tu n’as plus envie de
me voir dans ces conditions, je me trompe ? Tu veux partir ?
– Non ! NON !!
– Es tu vraiment mûr pour accepter les différences ?? On reparlera de tout ça demain !!!
– Accompagne moi dans ma chambre, ils m’ont épuisé ses deux là, j’ai les jambes en coton.
Sam Botte
La suite demain même heure
Super, où trouver la suite ?
Tu as le moteur de recherche ici : http://xfr.fr/?s=La+baronne+Histoire+taboue+zoophilie+extr%C3%AAme+Chapitre+ et la liste des histoires ici : http://xfr.fr/liste-des-histoires-taboues-publiees-sur-le-blog/
Bisous