Soudain Odile s’écit.
—OOH! J’arrête là mes élucubration !! Tu a vu l’heure ??
– Moi j’aime bien t’entendre dévoilée ta vie commune avec Daniel, j’apprends a te connaître et a
mieux comprendre ton comportement avec tes chiens.
– OH !! OOH!! Mon histoire te fait de l’effet on dirait ???
S’exclame Odile en montrant le pantalon du pyjama de Patrice tendu par une belle érection.
– Allez viens. ! Si tu veux toujours de moi ?? Je te donnerais tout ce que tu pourra prendre de moi,
je serai a toi comme je l’ai été avec Daniel.
– Je te prend comme tu es, je te ferai revivre tout les bon moments de ta vie de couple d’avant.
– Et pour mes quatre amants canins ! Qu’es ce que j’en fait ???
– On ne change rien, ils seront toujours les bien venus dans notre vie de couple, tu pourra toujours
te faire saillir par tes quatre amants à quatre pattes.
—OOH!!! Merci Pat !!! Je t’aime déjà plus fort que tout à l’heure, tu es un amour !!!!! Viens me
prendre comme un homme !
Pat prend affectueusement Odile par la main et la relève pour la serrer dans ses bras. Elle aussi, elle
l’enlace, reposant sa tête sur l’épaule de ce nouvel amant. Elle sent ses mains douces parcourir
tendrement son dos et sa nuque puis il relève le visage aux longs cheveux et dépose sur ses lèvres
un baiser. La regardant au plus profond de ses yeux, il murmure :
– Est-ce que tu vas vraiment tout te donner à moi, je dit bien tout ?
– Oui. Répond t-elle à demi-voix dans un souffle. Puis elle lui sourit en replongeant son visage
contre son épaule.
Elle serre maintenant ce nouveau corps contre elle en caressant les cheveux fins de sa nuque. Pat se
dégage en arrière la longue chevelure de la femme, pose ses mains sur ses épaules et la guide dans
la chambre afin qu’elle s’allonge sur le drap de couleur.
Il commence de légers effleurements de sa main. Il s’attarde sur les hanches, le ventre et descend le
long des cuisses. Sa main est si douce et si expérimentée qu’Odile sent une chaleur soyeuse
l’envahir. Intérieurement, elle s’étonne que cet homme qui ne l’avait jamais vue jusqu’à avant hier
puisse connaître aussi bien son corps. Il semble parfaitement percevoir tout ce qu’elle ressent au
plus profond de sa chair, au plus profond de son âme. Elle ferme les yeux et respire la bouche entreouverte en relâchant ses épaules. Son ventre se soulève sur une longue et apaisante expiration.
La main experte décrit de lentes circonvolutions sur l’intérieur des cuisses, sur l’aine puis sous le
nombril juste avant le pubis galbe. L’épilation de la femme permet à l’homme de parcourir
savamment du bout des doigts de petites zones sensibles autour de la vulve. La respiration d’Odile
s’accélère, elle relève les bras en croix le long du drap comme pour l’inviter à poursuivre.
Bientôt elle n’entend plus les bruits ambiants, absorbée totalement par les divines sensations de
cette main virtuose. Sa moule bombée est maintenant trempée de désir.
Glissant rapidement sur les grandes lèvres dilatées, Pat introduit deux de ses grands doigts au plus
profond de sa chair et commence un délicat mouvement de bas en haut. Son autre main est posée
sur le visage d’Odile comme pour la rassurer. Elle ne peut s’empêcher de toucher son bras pour
sentir la peau de cet homme sous la pulpe de ses doigts. Il lui parle d’une voix calme. Elle ne
comprend pas tous les mots tant son désir occulte sa raison mais il semble l’inviter à relâcher son
bassin, à tendre les muscles de son périnée et à respirer profondément.
Le mouvement exquis des doigts dans sa grotte change pour un autre beaucoup plus profond. Le
rythme s’accélère aussi et les va-et-vient deviennent enivrants, presque addictifs. Elle sent qu’elle
est sur le chemin d’une nouvelle extase. Sa main agrippe maintenant le bras de Pat. Son cou laisse
apparaître quelques veines gonflées. Son souffle devient saccadé et se mêle de gémissements.
Son dos se cambre au rythme de sa respiration soulevant sa poitrine aux mamelons dressés. Et, lors
d’un mouvement de doigts dans sa chair, elle sent une première vague immense, comme une
déflagration, parcourir brutalement tout son corps. Elle ne peut s’empêcher de resserrer ses cuisses
et de contracter ses fesses. Son bassin se soulève mais les doigts sensuels continuent plus avant
encore leurs mouvements affolants. Son visage grimace, elle ouvre les yeux un instant et aperçoit le
visage de Patrice.
Son corps devient incontrôlable, sa mâchoire se crispe, elle sent les muscles de son puits d’amour se
convulser, ses joues deviennent brûlantes. Dans un dernier soubresaut, elle laisse le plaisir la
submerger et lui extirper plusieurs longs cris de délivrance.
Une larme coule de ses yeux, que la main de Pat essuie d’un glissement de son pouce. Elle ressent
maintenant de délicieux spasmes dans tout son corps. Pat a retiré la main de son sexe pour la poser
sur son mont de vénus et continuer de douces caresses.
Dans une expiration, elle sourit à cet homme qui la couve des yeux avec tendresse. Il reste
silencieux et un sourire aimant vient illuminer son visage. Elle relâche la prise de son bras pour lui
prendre la main.
Le calme est revenu dans la pièce alors, frissonnant un peu, elle se relève pour se blottir contre la
peau tiède de son nouvel amant. Elle sent sa verge dure contre son flanc. Elle relève ses longs
cheveux qui tombent devant ses yeux et le regarde un peu surprise. Puis, sans un mot, juste pour le
remercier de tant de plaisir, elle glisse sa main vers ce sexe tendu mais Pat lui prend le poignet :
– Repose-toi maintenant. Savoure cet instant pour toi et ne pense pas à moi. Elle ferme les yeux et
reste contre lui, cachée dans ses bras.
Mais Odile a sa queue dans sa main. Elle la branle un peu. Elle grossit encore. Elle l’a prend dans la
bouche, la mordille un peu, elle passe sa langue sur un gland qui sent bon. Ses lèvres coulisse
autour du sexe. Elle le suce comme jamais il a été. Sa main vient vers son cul. Elle lui masturbe
l’anus, chose qu’il ne connaît pas du tout. Son doigt vient sur le petit trou, elle le frôle, lui donne
envie qu’elle aille plus loin. Qu’elle l’entre en peu.
Odile est allongée sur le dos, les bras écartés, offerte. Elle lui murmure :
– Viens sur moi, j’ai très envie de toi !
Pat s’allonge sur elle et la pénètre doucement. Ils s’embrassent à pleine bouche, intensément. À la
fin de leur baiser, il lui chuchote doucement :
– Tu m’excites à mort, tu sais.
– Je sais, tu es brûlant, je te sens gros et dur en moi.
– Tu n’as pas peur d’être livrée à un type comme moi ?
– Je ne sais pas ? Pour l’instant, je suis excitée à mort, et… Morte de trouille ! Mais on est
ensemble, tu as envie que je me fasse baiser, et moi, de me faire baiser… Alors on y va. Embrassemoi, vite !
Leur baiser est interrompu par le grincement de la porte d’entrée. Pat se retourne, il aperçoit les
chiens dans l’encadrement de la porte, laissée volontairement entrebâillée.
Il chuchote à voix basse à l’oreille d’Odile :
– Ils sont là !
– Qui ça ?? Ils ??
– Trois de tes quatre amants réguliers.
À ces mots, Odile tressaille. Elle ressent un curieux mélange d’émotion. Cette émotion, elle l’avait
jusque-là seulement ressentie lorsqu’elle fantasmait sur des expériences de pluralité masculine.
Pat se couche sur le dos, sur le lit.
– Viens t’asseoir sur le pivot de la joie.
Odile met ses jambes de chaque des hanches de Patrice. Il dirige son membre très dur entre les
lèvres de la moule d’Odile et elle descend sa croupe cette bitte qui l’a pénètre. La bitte de Pat est
beaucoup moins grosse que celle de ses chiens ce qui incite Odile se mettre à la fourrer. Elle va du
bas vers le haut. Elle apprécie secrètement cette baise. Pat ferme les yeux pour apprécier. Elle se
couche sur lui en posant sa tête sur sa poitrine.
Pendant ce temps, Titus un de ses amants s’approche.
La langue rose de Titus lèche de haut en bas la raie culière, et s’attarde quelquefois sur le mandrin
qui va et vient dans le trou du dessous. Odile est aux anges…
Égarée, le cerveau vide, enfin comblée par les ardeurs masculines aux moyens redoutables… Elle
cède aux caprices de ses amants.
Sa grotte ruisselante est pour Titus comme une invitation car d’un bond il saute sur le lit. De ses
deux pattes avant, il s’accroche aux hanches satinées de la femelle qui râle de plaisir. Odile sait que
son amant veut maintenant pénétrer sa femelle.
Le sexe de Titus est devenu long d’environ une vingtaine de cm et d’un diamètre de cinq cm.
Lorsqu’elle sent le sexe de Titus forcer sur son anus, elle ne tente de se dérober, Pat la tient serrée
contre lui et lui bâillonne la bouche de ses lèvres. Les fesses largement ouvertes, le Titus trouve
rapidement l’entrée du puits de ses reins…
Elle sent la pointe du membre ouvrir les parois de son anus. Il réussit à pénétrer tout sa verge, même
le nœud est maintenant dans le fondement d’Odile. Dans un cri de bonheur, elle est prise en
sandwich par ses deux amants.
Odile, le cul bien en l’air, se fait limer à qui mieux-mieux par le Titus qui la sodomise avec une
vitesse décuplée, et Pat qui pistonne son puits d’amour avec avidité. Les griffes de Titus
commencent à marquer la peau ambrée de ses hanches de striures rouges.
– Oui ! Oui ! Plus vite ! Plus fort ! Oui c’est ça… Encore… Crie t-elle pour les encourager…
Et de la langue, elle lèche les gouttes de sueur qui coulent du front de son amant.
Elle est en transe et répond aux coups de butoir de ses deux amants par des mouvements de bassin
incontrôlés. La bouche ouverte, elle profite du plaisir intense que lui procure cette étreinte bestiale.
Des petites gouttelettes de sperme canin gouttent de son rectum, l’animal doit commencer à
épancher son besoin de se vider. Comme de petites perles, la semence de Titus coule sur sa grotte et
glisse dans sa raie jusque sur les bourses de Patrice. Le Titus couché sur son dos d’Odile, la tête
posée sur son épaule, accélère encore l’allure tout en poussant de petits aboiements.
Ce cul qui tant de fois a reçu de queues est pour le Titus un régal. Malgré le contrôle qu’il exerce
sur ses sens, Pat s’avise qu’il va être emporté prématurément par son plaisir, il ne s’attendait pas à
trouver une femme aussi chaude et aussi salope. Alors d’un coup, il agrippe les hanches de sa bien
aimée, son visage a un rictus, son corps s’arque boute, le Titus de son côté s’enfonce plus encore
dans les entrailles de sa maîtresse et pousse sur ses pattes arrières.
Odile, les seins gonflés par la jouissance, pousse un cri rauque, ses deux amants se vident d’un
même élan dans son corps magnifique. Son anus et son sexe débordent de semence blanchâtre. Le
plaisir d’Odile les a contaminé. Le sperme coule sur les cuisses d’Odile. Celle-ci sent le nœud de
son amant grossir dans son rectum.
Elle sent le nœud arrêter de grossir. À chaque fois que le Titus bouge, elle a un orgasme. Elle aime
bien avoir la queue de Titus bien prise en elle. Elle a trois orgasmes encore puis elle sent le nœud
rétrécir.
Le Titus retire son sexe violacé de l’anus de sa maîtresse dans un bruit spongieux et saute à terre en
se secouant. Pat sort du réceptacle sa bitte débandée qui pourtant reste de belle taille. Odile, repue
de plaisir, se laisse tomber sur le côté, impudiquement les jambes ouvertes, l’on voit s’échapper de
ses trous béants les deux spermes se mélangés.
– Merci beaucoup ma chérie. C’était vraiment délicieux.
– Je peux que te répondre bienvenue !!
Elle descend puis va dans la cuisine. Patrice boit un verre d’eau, il est nu lui aussi. Elle s’approche
de lui et l’enlace.
– Tu es celui que j’espérais, que j’attendais.
Sur ces paroles, elle l’embrasse à pleine bouche. Leur corps nu s’enlacent. Ils vont s’étendre sur le
canapé et s’assoupissent, épuisés de leurs ébats. Odile est la première à se émerger.
Elle remarque que le membre de Patrice est dur et bien dressé. Elle se met à le sucer.
Il se réveille, il est ravi de voir sa nouvelle bien-aimée lui pomper la bitte. Elle se redresse et
l’embrasse. Pat la fait basculer à plat-dos sur le canapé, puis s’agenouille devant le canapé, la tête à
hauteur de son entre-jambes. Enivré par son parfum, il plonge son visage entre ses cuisses,
mordillant ses lèvres intimes.
– Vas-y mon chéri ! Bouffe-moi ! Je n’en peux plus !
Elle maintient sa tête plaquée contre son sexe, l’incitant à descendre vers son petit trou, puis à
remonter et à enfoncer sa langue dans sa grotte dégoulinante. Ses cris de jouissance sont de plus en
plus forts… Pat ne s’inquiète plus de rien, obsédé par ce corps de femme qui s’offre à lui !
Odile l’a maintenant enlacé avec ses jambes et il redouble d’ardeur… Elle s’agrippe à lui, les mains
autour de mon cou…
Elle voit Marcus un de ses amants canin entrer dans le salon. Elle remarque qu’il a déjà une
érection. Ses vingt cinq cm de bitte sont bien durs. Elle passe ses jambes autour des épaules de Pat
pour bien le retenir. Celui-ci ne se doute de rien et mange la moule d’Odile en passant ses bras
pardessus ses cuisses pour masser ses seins.
– J’ai un cadeau pour toi, Mon chéri !
– Hein ?!
– J’ai un beau cadeau pour toi, mon Patou adoré !
Elle a un large sourire plein de malice. Il ne comprend pas tout de suite le sens de ses propos… Et
puis il sent une présence derrière lui… Mais elle L’empêche de tourner la tête pour lui permettre de
voir qui était-ce ?!
Le Marcus se dirige vers le cul en l’air de Patrice, il saute sur son dos. Au contact de sa fourrure, Pat
sait qu’il se fait monter par un chien d’Odile.
– Lâche-moi espèce de sale clebs ! Lâche-moi ! Merde ! Odile, aide-moi.
– Détend toi mon chéri !!! Il ne veut que te faire du bien mon Marcus !!!
Elle regarde avec satisfaction Marcus essayer de pénétrer le cul de Pat. Marcus resserre ses deux
pattes avant autour des hanches de Pat qui est maintenant pris dans un étau. Marcus fait un
mouvement de va-et-vient. Patrice sent le pénis du chien claquer sur ses fesses. Il essaye de se
débattre et de se débarrasser du chien mais la prise de Marcus et d’Odile est puissante. C’est alors
qu’il sent quelque-chose de chaud et dure contre son anus ! Il essai encore de remuer les fesses mais
la pression se fait de plus en plus forte, ses chairs s’ouvre petit à petit pour laisser passer l’intrus.
Il entend la respiration saccadée de Marcus s’énervant… Au fur et à mesure il sent son cul se faire
pénétrer. Il est entrain de se faire sodomiser, de se faire enculer… Par Marcus un chien d’Odile !
Rien à faire, il sent la pointe de la verge de Marcus ouvrir son anus. En une fraction de seconde, la
bitte de de Marcus est dans le cul de Patrice. Odile se dégage de l’emprise de Pat et se lève pour
admirer la scène.
– Voilà !! Tu va ressentir la même chose que moi quand ils me sodomisent.
Pat crie à chaque coup que Marcus lui donne. Odile mouille ses doigt de salive, elle vient en-saliver
l’anus de Pat ?
Marcus sent que l’on tripote sa verge. Il prend appuie sur ses pattes arrières et d’un violent coup de
rein il fait entrer son nœud dans l’anus de Pat si bien graissé par la salive d’Odile. Elle s’assure que
le nœud est bien rentré dans le cul de Patrice.
– OH ! Ça Oui !! Il y est bien entré. Mis ? Tu bande mon chéri !
– T’aimes te faire enfiler comme une chienne. ? Profite de l’instant ! C’est bon ! T’aimeras aussi ?
Elle s’agenouille et masturbe la bitte de Patrice. Il éjacule presque immédiatement.
Pat ne répond pas. Il est trop occupé avec Marcus. Son anus se dilate et il commence à apprécier de
se faire enculer par un des amants d’Odile.
Elle se glisse entre les pattes des deux amants, pour prendre dans sa bouche la bitte de pat qui n’a
pas ramolli. Pat sent le sperme chaud de Marcus remplir son cul puis couler sur ses cuisses.
Le nœud grossit et une douleur se fait sentir.
– Tu as pris son nœud, tu es pris avec la bitte de Marcus dans ton cul pendant trente minutes.
– Trente minutes ! Merde c’est long.
– Tu vas aimé ça ?
Elle reprend la bitte de Pat en bouche, il n’a pas débander. Le fait d’être verrouillé avec la bitte de
de Marcus l’excite donc. Elle se met a le sucer avec avidité.
Pendant ces vingt minutes, Marcus tente de se libérer mais il est bien pris dans ce petit cul de
vierge. Ce mouvement fait de nouveau jouir Pat, il éjacule dans la bouche de sa nouvelle bien aimée
qui avale tout son plaisir.
Marcus sort enfin du fond de ses reins avec le bruit de succion, très peu de sperme canin ressort du
rectum de Pat, il faut dire que c’est la première fois qu’il se fait sodomiser, son anus c’est vite
refermer.
Pendant cet instant, il a ressenti ce que ressent une femme dans ce moment là. Il s’est senti un peu
femme quand la chaleur de la semence de Marcus c’est répandue dans ses entrailles. Il s’est senti la
femelle qui ce fait fécondé par son mâle. C’est sûrement tout ça a la fois qui l’a fait autant jouir.
Pat reste a quatre pattes au bord du canapé avec Odile qui lui tète encore sa queue. Une main
d’Odile vient le caresser autour du son petit trou. Elle insiste bien sur l’anus, elle l’ouvre encore. Il
sent ses doigts sur l’anus, elle caresse encore ce lieux de délices.
Elle écarte ses fesses largement. Il la laisse faire, c’est bon. Un doigt entre dans le fondement. Elle
le fait aller et venir, pas longtemps, elle en met un autre. Son cul s’écarte, elle en mets encore un. Il
a un peu mal. Elle fait coulisser ses doigts qui ce graissent du sperme de Marcus. C’est bon. Elle
rajoute un autre doigt, Pat est ouvert totalement. Il relève les fesses, en se donnant encore à cette
femme. Le poignet d’Odile est juste à l’ouverture. Il a un peu mal, c’est si bon d’avoir mal ainsi.
Contre toute attente il réjouit pour encore fois dans la bouche d’Odile quand sa main rentre en lui. Il
ne sait jusqu’où elle entre. Il suppose jusqu’au poignet. Que c’est bon de se donner ainsi. C’est bon,
très bon, il jouit encore.
A peine vécue, ce genre de relation hors du temps, hors de toute logique et de toute morale. C’est
toujours un moment de pur bonheur !
C’est malheureusement après que cela se complique… Quand il faut reprendre le cours normal de la
vie et côtoyer chaque jour ces mêmes personnes dans un contexte complètement différent. Le
regard qu’il a maintenant sur Odile et le sien à son égard, sont de ce fait complètement modifiés.
Et puis, étant donné qu’ils ont pris le temps de discuter ensemble de l’incident, Pat lui a avoué tout
le plaisir, toute la jouissance que cette expérience lui a malgré tout réellement procuré…
Après ce dépucelage anal imprévu. Pat toujours nu c’est assoupi sur le canapé. Odile ce trouve dans
la cuisine pour préparer le repas, pendant que Patrice sur le canapé ce remet de ses émotions.
– Merde !! L’évier est encore bouché !!!
– Pat ! Mon chéri reste pas comme ça là, je vais appeler Mamadou pour qu’il vienne s’occuper de
ça.
– Pourquoi appeler Mamadou, je peux le déboucher ton évier !!
Lui répond Pat en ce levant du canapé. Puis il rentre dans la cuisine dans le plus simple appareil. Il
ouvre les portes dessous l’évier et ce baisse devant ce placard sous l’évier.
– Tu va pas faire ça maintenant ?? Tu es complètement nu !
– Et alors ! Qu’es ce que tu veux qu’il m’arrive ? J’ai juste a dévisser le siphon pour retirer les
saletés qui doivent le boucher.
Alors que Pat est agenouillé la tête sous l’évier, Bill le Mastif vient lui renifler l’arrière train, alors
qu’il ne s’y attendais pas a ça ? Dans un sursaut de surprise, il relève la tête et ce cogne au dessous
de l’évier.
– AIIE !!!
Pat ce frotte la tête, le chien s’approche de Pat pour le renifler. Pat le repousse, il revient pour lui
lécher l’anus qui suinte de la semence de Marcus. C’est assez agréable, il se surprend à le laisser
faire.
Odile lui dit :
– Laisse toi faire, ce Bill a envie de ton cul. C’est a ce moment là que Bill lui grimpe sur le dos, puis
il s’agrippe aux hanches de Pat pour limer comme pour une saillie. Amusé Odile le laisse faire,
l’idée jaillit soudain qu’il peut l’enculer, Pat deviendrait une vraie chienne !
– Odile !! Ma chérie, enlève le, là je suis coincé toi vois bien !!
La dernière chose que ne souhait pas Pat, c’est bien de ce faire prendre par un autre chien ; qui plus
est, se faire saillir dans cette position dégradante. Il serre les dents pour ne pas éclater de rage.
– C’est Bill !! Il a senti l’odeur de Marcus dans ton cul, il veut lui aussi t’honorer de ses bienfaits….
Bill est déjà tout excité, sa bite est déjà sortie de son fourreau et cherche son anus. Sa bite tape un
peu au hasard. Malheureusement pour Pat, un peu de semence de son prédécesseur amant sort de
son anus. La petite porte de ses reins ainsi lubrifié, laisse la pine de Bill qui a la taille d’un petit
concombre s’enfoncer en lui d’un coup dans ce trou si lubrifier.
—OOH!! NON !! Pas là maintenant……….
Bill le sodomise de plus belle, Pat sent son engin enfler en lui et sa protubérance rentrer,
heureusement que Marcus a déjà bien ouvert de ce coté là car celle ci est bien plus grosse que celle
de Marcus.
– OUUCH !! Ça fait mal, ça me brûle, il est brute et a un énorme nœude, il va me déchiré, son sexe
ne cesse de grossir, il a rentré son nœud a l’intérieur de mon anus, j’ai peur de rester encore
coincé !!
Pat se sent un peu honteux de cette pratique vicieuse, mais réflexion faite cela semble naturel pour
Bill, il faut dire qu’il est habituer à ça avec Odile.
Mais malgré sa répugnance, Pat ce détend, son plaisir est énorme, il a honte, mais c’est tellement
bon qu’il ne peut résister longtemps au plaisir. Cette grosse queue fait merveille et ses coups
puissants le chavirent. Pat ne peut plus dissimuler le bonheur qu’il a honte d’éprouver.
Il voudrait dire a Odile de l’interrompre, mais il a du mal à le dire entre deux cris de plaisir
incontrôlables qu’il ce reproche, d’autant qu’il lui provoquent mille frissons dans et sur son corps.
Son esprit, sa raison, sa dignité et son orgueil voudraient qu’il arrête, mais son corps veut qu’il
continue. C’est son corps qui gagne.
En attendant Bill lui bourre le cul à une cadence infernale. Ce faire prendre une nouvelle fois pour
pour une chienne l’excite. Était-ce le coté vicieux et inhabituel de la situation qui lui plait ?
Les deux sans doute ! Pat rebande très fort !
– Bien mon cochon !! Je vois que tu aime bien ça ! Bill lui profite de toutes les occasions !
Odile, nue se glisse sous l’arrière train de Bill et de Pat pour sucer sa queue gonflée. Sur son dos
Bill bave, le griffe, Pat sent son ventre grossir sous les giclées de sperme au fond de son cul.
Au moment ou Bill se répand dans les entrailles de Pat. Ils jouissent ensemble. Il a honte, mais de
moins en moins. D’ailleurs, il ne peut plus se maîtriser. Jamais il n’avait ressenti un tel plaisir et il
atteint un bel orgasme.
Son corps le trahit malgré lui. Il ce lâche, envoyant plusieurs giclées de foutre dans la bouche
d’Odile qui sont suivit de quelques giclées d’urine. Elle avale le tout avec délice. Odile est
heureuse, car elle a définitivement livrée son nouvel amant au saillie de ses amants canin.
C’est trop génial ! Pense t-elle.
Ça dure plus de trente minutes, Pat a encore joui dans la bouche d’Odile pendant que bill prend sont
pied sous le regard d’Odile, puis son sexe a dégonflé, le chien se retire dans un bruit de succion.
Une quantité incroyable de sperme c’est écoulé de son anus. Pat qui est maintenant a quatre pattes
dans la cuisine, sent couler de sperme de son amant dans sa raie et ses couilles. Le Bill vient de lui
même lui lécher le fruit de son plaisir.
L’un des chiens vient lécher sa bitte. Voilà qu’il bande à nouveau. Odile se glisse sous lui, guide son
membre tendu dans ses entrailles à elle. Pat lui clame son amour éternel et ils baisent pendant que
les autres chiens font la queue pour l’enculer.
Pat sort de là, complètement vidé, le cul en feu.
– C’est de la folie ce qui vient de lui arriver ? Là c’est toi qui m’a perverti avec tes chiens ! Mais je
t’aime quand même ma salope.
Odile s’accroupit devant son visage, il a juste assez de force pour lécher son sexe et son cul suintant
de son foutre. Cette fois, c’est lui qui paie de sa personne pour s’être fait enculer par les chiens, il ne
sait combien de fois.
L’évier fut débouché comme le cul de Pat
Patrice va prendre une douche et un bain de siège pendant qu’Odile fini de préparer la repas.
Il culpabilise à présent. Il se sent sali. Il s’en veut de s’être ainsi laissée aller sans pudeur, sans
amour propre… Jusqu’à ce que, le temps passant, les meilleurs moments se substituent dans sa
conscience au déshonneur. Le souvenir de l’orgasme se superpose à la honte.
Pat a découvert de nouveaux plaisirs qu’il se promet de renouveler. L’idée de faire prendre par les
quatre chiens d’Odile refait son chemin dans sa tête.
Sam Botte
La suite demain même heure
Ajouter un commentaire