Durant les jours suivants, Mamadou se partage entre son travail, et me baiser sans aucune retenue.
Sur la demande de Mamadou, je suis nue et reste ainsi toute la journée.
La nudité ne me pose plus de soucis, j’aime désormais rester ainsi dans la plus simple appareil, et se
tenir à la disposition de Mamadou pour qu’il me fasse jouir encore, et encore.
Je ne me lasse pas de mon chauffeur, j’aime son corps, son sexe, son sourire. Tout…..
J’adore qu’il me baise dans toutes les positions, par tous les orifices, même mon cul ne me pose
plus de soucis, sa grosse queue a fait son œuvre, désormais mon anus est bien dilaté pour la recevoir
profondément.
Hier il m’a sodomsé, alors que j’étais penchée sur le canapé, l’immense miroir qui trône au milieu
du salon, reflétait notre image obscène, je voyais son gros mandrin noir qui s’enfonçait dans mon
anus, ses larges mains noires me caressaient les seins, c’était bon, excitant, il me disait combien il
aimait baiser le cul de sa maîtresse blanche.
J’adore son langage cru, jamais je n’aurais imaginé une telle excitation, en entendant des mots si
orduriers. Mais le simple fait, qu’il me baise en m’insultant de salope, de grosse pute…. Tout ça me
mets dans un état d’excitation totale, et la vue de sa bite qui m’encule, a raison de moi une fois
encore, et j’ai joui intensément comme une bête sur le canapé.
Un matin après le déjeuner, il m’embrasse goulûment. Il sait que j’aime quand sa langue s’enroule à
la mienne, notre baiser dure quelques minutes, mais à mon grand désespoir, il me laisse sur ma faim
et sort pour bosser dans le parc.
Surprise de ce brusque changement, je tente de m’occuper, la matinée s’écoule interminable,
plusieurs fois, j’ai failli aller me rhabiller, tant je me sentais délaissée par mon amant.
Puis sachant qu’il a beaucoup de retard, je me dis que peut être, il s’occupera de moi, ce midi, j’ai
tellement envie de lui, de me faire baiser, encore et encore….
A midi, il me rejoint enfin, satisfaite de le voir nu, je suis soulagée.
Quand la sonnerie retentit, je sursaute. Je regarde Mamadou, paniquée. Étrangement, celui-ci me
sourit et dit doucement
– Ne t’inquiètes pas, Mamadou te fait une surprise, je vais ouvrir !
– Mais tu n’y penses pas, tu ne peux pas ouvrir dans cet état !
C’est vrai, Mamadou est dans sa nudité totale il a, en plus, une érection. Il ignore la remarque et va
ouvrir. J’entends parler les deux hommes, les voix s’approchent, affolée, je m’empare du tablier et
tente bêtement de m’en recouvrir.
Je vois que l’arrivant est aussi un black, il est tout aussi grand que Mamadou, mais le crâne est lisse,
le nez aplati. Il émane de chez cet homme une force inouïe.
Je le regarde gênée, puis cherche une explication de la part de mon chauffeur. Pas le moindre bruit
dans la cuisine, tous les trois nous nous toisons ! Puis enfin, la voix de Mamadou résonne dans le
silence.
– Je te présente mon cousin Rachid, je lui ai beaucoup parlé de toi. Je pense qu’à nous deux, nous
saurons bien combler !
Je comprend enfin, je suis estomaquée par l’audace de notre chauffeur, rouge de colère, je
m’apprête à lui dire mon indignation quand l’autre commence à se dévêtir, en quelques secondes à
peine, il est nu. J’en reste muette et stupéfaite, de me retrouver dans une telle situation.
Pourtant je ne peux m’empêcher de constater, à quel point les deux hommes de couleur sont
magnifiques, le fameux cousin bande légèrement, ce qui est plus que prometteur, vu sa taille au
repos.
Il me regarde d’ailleurs, le petit tablier ne cache guère mes seins qui débordent de chaque coté, ni
mes cuisses qui se profilent derrière le tissu. C’est Mamadou encore, qui parle pour annoncer, qu’ils
vont se rendre dans la chambre. Il me prend la main, moi en bonne soumise je ne résiste pas.
Il me tire, je le suis, derrière moi, Rachid ne perd rien de mes fesses nues exhibées, il tire le cordon
du tablier et se régale de mon cul blanc. Son sexe durcit en pensant à sa bitte qui va m’enculer, son
cousin lui a sûrement dit que j’étais bonne à baiser et que j’aime ça.
Nous sommes tous les trois dans la chambre, le tablier est retiré rapidement, Mamadou me demande
de m’asseoir sur le bord du lit, je m’exécute, devant moi, les deux blacks ont la queue dressée,
luisante et noire, ils se masturbent doucement. Rachid le nouvel arrivant annonce !
– Allez ne nous fait pas attendre, lèche nos queues, prends en une, dans chaque main.
Ils s’approchent tout près de moi, je sens leur odeur de mâle, mes mains se posent sur leurs sexes, je
les branlent, fascinée par la taille.
– Suce nous, s’impatiente Rachid.
J’engloutis le sexe de Mamadou avec avidité, mais l’autre exige que je m’occupe aussi de lui, à
regret, je quitte la verge de mon chauffeur et avale l’autre sexe, il est plus large encore, il est
impatient, il veut s’enfoncer au fond de ma gorge et il ne me ménage pas
– Suce, petite pute en rut, continue à branler mon cousin ! AAHH ! T’as raison Mamadou, elle
pompe bien MMMM !! A son tour, suce le et branle moi.
J’ai de la bave plein le menton, je me libère de sa bite et me jette une nouvelle fois sur la verge de
Mamadou, tout en branlant l’autre
Mamadou est béat de voir sa maîtresse, s’occuper de leurs queues, il a envie de juter une première
fois dans ma bouche pour faire voir à son cousin comme j’avale bien, alors n’y tenant plus, il
éjacule un premier jet, puis un second, sa main sur ma tête, j’avale son sperme, sans hésiter.
– MMMM !! Avale tout !!!! Fais voir à Rachid que tu aimes ça.
Le cousin est terriblement excité, à peine Mamadou a fini de juter, il n’attend pas plus et me
demande de me mettre à quatre pattes sur le lit conjugal. J’obéis, la bouche encore souillée, ma
moule trempée reçoit la grosse bite de Rachid, il est sauvage, plus brutal que mon Mamadou.
– MMMM !! C’est vrai que c’est une grosse salope, MMMMM !! T’es une bonne Madame.
La verge épaisse s’enfonce en moi, puis un doigt pénètre mon anus
– AAARRF !! t’es bonne, MMMMM !!
Un autre doigt rejoint le premier, il les agite frénétiquement dans mon anus, j’en gémis de plaisir
– OUUIIII !! Gémit Madame, on veut t’entendre jouir, hein Mamadou ! Viens te faire lécher la
queue pendant que je la lime.
Mamadou me présente son sexe ramolli, je me jette dessus, c’est tellement bon, je tète la bite encore
molle, elle regonfle doucement dans ma bouche chaude et humide. La pine qui me baise me remplis
le vagin totalement, l’orgasme arrive, je le sens qui monte et enfin j’explose de bonheur, en hurlant.
– OUIIII !!! Jouis, je vais te remplir de mon jus ! AARRFF !! C’est bon !!! hurle Rachid.
Je ne peux reprendre mes esprits, car Mamadou toujours dans ma bouche, bande à nouveau comme
un âne, il me dit :
– Reste dans cette position, je vais enfoncer ma queue dans ta chatte remplie.
Je ne bouge pas, il change de place ??
– Vas y cousin, enfile ta queue dans mon jus tout chaud, ça te plaît ?
Mon Mamadou prend la place de Rachid, sa verge disparaît dans mon puits d’amour inondé du
sperme de son cousin, c’est chaud, c’est bon, il voit sa bitte qui ressort pleine de sperme, il s’y
enfonce à nouveau, sa verge glisse dans le sperme, ça le rend fou d’excitation, il recommence le
petit manège, à chaque fois sa bite est luisante de foutre, il n’y tient plus, se plonge en moi à
nouveau et décharge lui aussi son sperme, qui se mélange à l’autre.
Il jouit intensément.
Mes deux hommes, les couilles vides discutent gaiement pendant que je file me faire une petite
toilette.
Il est treize heures.
Quand Je revient mes blacks sont tranquillement entrain de parler de moi, Mon Mamadou explique
combien j’aime me faire enculer, je ne dit rien.
Je regarde mes deux hommes allongés côte à côte sur mon lit, ils sont beaux comme des dieux, je
pense que l’occasion ne se renouvellera peut être jamais, alors autant en profiter.
Rachid dit qu’il aimerait bien me sucer un peu avant de m’enculer.
– Viens poser ton joli cul sur ma tête, et écarte bien tes fesses, chérie.
J’obéis. Pour le moment, il ne bande pas, je peux savourer sa langue, je m’écarte bien, sa langue
active se faufile partout alors que la grosse bouche de Mamadou dévore mes tétons et me pétrit les
seins, je ne sais plus ou donner de la tête tellement leurs langues me donnent du plaisir, au bout de
quelques minutes, Rachid me repousse et m’ordonne de prendre place au dessus de sa queue.
Sa bite gonflée se dresse fièrement, elle est dure déjà.
– Viens t’asseoir sur ma queue ! De dos, tu vas t’enfoncer ma bite dans ton cul……..
Je n’hésite pas, le pieu est énorme, l’homme est excité.
– Dépêche toi chérie, j’ai envie de ton cul, je t’ai bien lubrifié avec ma salive et le cousin t’a bien
préparé ces derniers jours, grouille toi !
Je me présente dos à lui, me place au dessus de sa queue, je sens poindre le gland sur mon anus. Il
force sur mes épaules pour que je s’assoie, je suis défoncée par la largeur du diamètre………
– AAARRR !! OUII !! Viens !! Encule toi…………..
Il force sur mes épaules et je me retrouve totalement empalée sur ce sexe énorme qui m’encule, je
suis assise sur sa queue, je râle, je halète…
Mon Mamadou regarde le spectacle, lui aussi bande à nouveau, il me caresse le clito, glisse deux
doigts dans mon puits d’amour et sent la colonne de chair de Rachid, il caresse le sexe de Rachid.
– Allez bouge, salope, démène toi sur ma queue, m’ordonne Rachid.
En femme soumise à mes deux amants, j’m’active sur son sexe, Mamadou lui m’embrasse et
continue de me caresser mon clito en feu, sans oublier au passage de frôler la bitte du cousin, je
n’en peut plus, je suis écartelée par la bite disproportionnée qui me sodomise, il y a aussi ces doigts
qui me branle la moule en massant le clito, je vais jouir à nouveau……
– OOOUUUIIII !! Baisez moi, je suis AAAAAAA !!! VOOOOUUUUS !!!! OOOUUUIII !!!!
Telle une furie, je m’empale sur la tige, Mamadou veut son tour :
– Tire toi vite, tourne la, je veux son cul, on va la baiser à deux ?????
Pas le temps de réfléchir, déjà on me bouge, Rachid sous moi, enfonce sa tige dans ma grotte, mon
cul en l’air bien ouvert attend Mamadou, sans attendre, il me sodomise, les grosses queues me
baisent maintenant, je n’ose bouger tellement je me sens investie par les sexes, je les laisse faire. Je
suis comme une poupée entre leurs mains, je crie de plaisir, Rachid enfourne sa grosse langue dans
ma bouche, il écarte encore mes fesses pour le passage de mon Mamadou qui encule sa femelle.
Je suis une femme qui se fait baiser comme une chienne en chaleur, c’est Rachid le premier qui
jouit en sentant de l’autre coté de ma paroi vaginale, la bite du cousin se frotter à la sienne, puis j’ai
un nouvel orgasme quand Mamadou se soulage dans mes entrailles.
Tous les trois nous sommes épuisés quand nous nous séparons. J’ai l’anus en feu et j’ai du sperme
qui dégouline de mes deux puits d’amour.
Rachid est resté jusqu’au retour de Daniel. Je suis devenue une grosse salope perverse. Ces deux
noirs sculpturales, m’ont ouvert, certes le cul, mais surtout un monde de stupre enivrant. Jamais
avant cette époque, je n’avais sucé autant de fois la même bite sur demande, avalé tant de sperme et
été prise par tout les trous en y prenant autant de plaisir.
Sam Botte
La suite demain même heure
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