Il est dix-huit heures lorsque il lui indique que ce soir, ils sortent à l’extérieur. Il lui demande de
s’habiller de la manière la plus désirable possible, c’est-à — dire nue, dans un manteau croisé,
perchée sur ses plus hauts talons. Elle devra se farder les seins et mettre le plug numéro cinq dans
son cul.
Il est vingt heures lorsqu’elle descend. Elle écarte les pans de son manteau ; il la redécouvre dans sa
nudité biblique. C’est vraiment une femme magnifique. Un corps dans la pleine plénitude de son
âge que beaucoup de minettes pourraient lui envier : pas une ombre de cellulite, des seins fermes,
légèrement pendants, dus à leur lourdeur, des tétons proéminents, des jambes bien droites, un mont
de Vénus sans une vergeture. Elle s’avance vers Pat avec difficulté, en cause l’olisbos planté dans
ses reins.
— Tu es sublime, lui dit Pat. Si nous n’étions pas attendus, je te baiserais sur-le-champ.
— Je peux te sucer si tu veux.
— Non, je dois parfaire ta présentation et je veux être performant pour cette soirée.
Il lui demande de s’enfiler dans sa grotte d’amour des boules de geishas télécommandées. Une fois
bien en place, il ouvre une application dédiée sur son smartphone et il commence à jouer avec la
télécommande. Pat utilise le programme « Jouissance immédiate » et en moins d’une minute, Odile
a un orgasme violent. Pat ne regrette pas son achat…
Ils prennent la voiture, direction la maison de campagne du dénommé Julien, située à plusieurs
kilomètres de chez Odile. Celle-ci a pour particularité d’être isolée en pleine campagne et surtout
d’avoir une pièce spécialement équipée pour des jeux érotiques.
Pendant tout le trajet, la manteau d’Odile est ouvert. Pat a mis en route le programme spécial « En
voiture Simone ». D’après ce qui est expliqué dans le tuto, les boules de geishas simulent les cahots
nombreux et les arrêts brutaux que subit une voiture. Inutile de vous dire que le travail ainsi effectué
dans son vagin la mène à de multiples orgasmes. D’autant qu’il en profite aussi pour lui peloter les
seins. Son visage tourné vers lui est extatique tellement elle jouit. Elle murmure des mots
incompréhensibles, des onomatopées, qui expriment sa joie d’être ainsi traitée.
Arrivés à destination, Pat la fais descendre de voiture, lui fait enlever son manteau. Il s’aperçoit
qu’une flaque de mouille macule son siège en cuir. Il la traite de cochonne et lui fait lécher ce
qu’elle a répandu. Elle s’exécute sans regimber comme la bonne soumise qu’elle est devenue. L’air
est frais, son corps frémi, elle a la chair de poule.
Pat la dirige vers l’entrée de la maison, il sonne. C’est Julien qui ouvre.
– Je vous attendais !
Pat fait les présentations. En regardant Odile, Julien ne peut s’empêcher de commenter :
— T’es canon ma belle ! Christophe avait raison, c’est vraiment un beau morceau que tu à là
Patrice. Dit-il en lui touchant les seins ;
— Tu vas bien t’amuser avec elle, elle a du potentiel. Allez, venez je vais vous présenter ! Intime
Julien la propulsant d’une tape sur les fesses vers la grande pièce à vivre.
Odile se laisse faire, elle a compris ce qu’il lui a préparé d’autant qu’elle découvre deux très jolies
femmes intégralement nues elles-aussi.
Chloé, la compagne de Julien, une belle rousse de trente-cinq ans, pas très grande, totalement
épilée, une poitrine refaite. Ses cheveux roux sont relevés en chignon. Sa grande bouche, est
soulignée par un rouge agressif. Elle est nu-pieds ce qui la rend beaucoup plus petite qu’Odile
perchée sur des échasses.
Sophie, la blonde à cheveux courts coupés en carré, est pacsée avec Marc. Elle a pas le même âge
que lui : quarante-cinq-ans. Des seins magnifiques que Marc aime particulièrement fouetter et
malmener lors de leurs ébats sexuels. Deux anneaux pendent de ses tétons et lorsqu’elle écarte ses
jambes on peut apercevoir que le capuchon de son clitoris est équipé d’un piercing droit pour
l’exciter en permanence. Son sexe surmonté d’une touffe de poils, est de toute beauté. Toujours
humidifié grâce au piercing de son bouton d’amour, il est agréable à bouffer tellement il est
goûteux.
Ce soir ils ont le choix entre Chloé la rousse, Sophie la blonde et Odile la brune. Mais pour l’instant
le centre d’intérêt de tous c’est Odile.
Des mains avides commencent à la palper. Qui un nichon ? Qui une fesse ? Qui sa moule ?
Les deux femmes se l’accaparent et l’emmènent vers le canapé. Chloé l’embrasse sur la bouche,
pendant que Sophie lui tète les seins. Au début Odile est réticente ; c’est la première fois qu’elle se
gouine ; mais elle répond vite à leurs sollicitations tant les femmes savent y faire. Sa langue
s’enroule avec celle de Chloé pendant que ses mains partent à la découverte de ses seins siliconés.
Des gémissements se font entendre venant des trois corps qui s’emmêlent. La bouche de Sophie est
passée à plus sérieux. Elle est descendue, désormais posée sur le pubis d’Odile. Sa langue entre en
action pour découvrir le capuchon qui masque le clito d’Odile. Elle pousse de petits cris, Sophie lui
fait du bien.
Les hommes, regardent le spectacle avec intérêt. Marc glisse dans le creux de l’oreille de Patrice,
qu’il a une chance inouïe d’avoir dégotté une femme aussi portée sur le sexe. Julien, lui fait part
qu’il aimerait bien connaître son cul et se libérer dedans. Marc émet le même souhait. Autant dire
qu’ils aimeraient lui faire un double anal. Vue que désormais elle est ma soumise, ça reste du
domaine du possible. Quant à Pat ce sont ceux de Chloé et de Sophie dont il aimerait faire
connaissance.
Julien s’allonge sur le tapis et demande à Odile de venir s’emmancher dos à lui en ayant enlevé au
préalable le plug. Il veut d’abord tester sa chatte pour voir si elle s’adapte à son mandrin. Il la
bourre un moment puis décide de changer de trou. Là c’est plus dur, elle a du mal à le faire entrer.
Pat fait un signe à Marc qui prend une bombe de lubrifiant et asperge copieusement le sexe de
Julien et le cul d’Odile. Ça y est ! Ça glisse tout seul. Il la fait pencher en arrière sur le torse de
Julien. Dans cette position, Marc tente la double pénétration anale. Un coup devant ça ne veut pas
s’engager ; elle crie ; un coup sur le côté c’est bon il y est. Elle a désormais deux bites dans l’anus.
Ils vont lui craquer le cul et la faire entrer dans un délire sexuel intense. C’est surtout Marc qui la
travaille et lui fait pousser des cris de douleur d’abord puis de bonheur ensuite. Plus elle est
défoncée, plus elle en redemande.
Pendant ce temps-là Patrice fait mettre Chloé et Sophie à quatre pattes, côte à côte. Apparemment
elles ont l’habitude de ce genre de demande. Elles en profitent pour s’embrasser à bouche que veux tu. C’est d’abord Chloé qu’il veut enculer. Elle écarte ses fesses et ça rentre tout seul. Pat la
sodomise un moment et je change de trou. Elle aime bien l’alternance. Il passe alors à Sophie et il
s’enfonce dans son rectum. Il passe ses mains sous son corps et il tire sur les anneaux qui
transpercent ses tétons. Marc doit souvent lui appliquer ce traitement car elle approuve par des
enchaînements de :
– Oh !! Oui continue ! J’aime.
Pat n’a pas l’intention de finir avec elles. Aujourd’hui la reine de la fête c’est Odile. Elle est
maintenant sur Julien qui la prend par la chatte et Marc lui explose la rondelle. Sa tête, ravagée par
les larmes, ballotte dans tous les sens. Julien lui mordille un sein, pendant qu’il compresse
fortement l’autre. Pat lui relève la tête et enfourne sa bite ; couverte des sécrétions vaginales et
anales de Sophie et Chloé ; jusqu’au fond de sa gorge. Elle éructe mais s’adapte à son nœud qui
envahit sa glotte. Sans qu’aucun d’entre eux ne se soit concerté, ils éjaculent ensemble dans son cul,
son puits d’amour et sa bouche.
Ils la déposent sur le canapé, épuisée. C’est sans compter sur l’appétit sexuel des compagnes des
amis qu’il a laissées en plan au bord de l’orgasme. Elles se jettent sur elle, Chloé en position de
soixante-neuf bouffe la chatte engluée d’Odile qui, en retour lui lèche la foufoune. Sophie se rabat
sur Chloé et fait entrer le plug dans son trou de balle. Voyant ce spectacle Marc lui écarte les fesses
et la sodomise sans aucune précaution. Quelques allers-et-retours et c’est dans sa bouche qu’il vient
planter son sexe et inonder sa cavité buccale.
La soirée a débuté sur les chapeaux de roues. Il est temps de se reposer un peu. Pat en profite pour
interroger Odile et ainsi connaître ses impressions :
— Alors que penses-tu de ma surprise ? Ça t’a plu ?
— Ce fut dur. Vous m’avez fait souffrir mais j’ai eu des moments intenses où vous m’avez fait jouir
au-delà de mes espérances. J’ai découvert aussi les amours lesbiens et le goût de la chatte d’une
rousse. C’est fort mais délicieux et enivrant. Je soupçonne qu’elle ne se soit pas bien lavée exprès…
— C’est très possible ?. Elle est d’une perversité égale à celle d’une femme de ton âge. Tu sais que
tu vas encore jouir ?
— Soumet moi ?
— Oui tu es une soumise qui se révèle de jour en jour. Je me demande comment j’ai pu vivre sans
toi jusque-là ? Quand je t’ai aperçu la première fois lors de ton accident, j’ai cru que tu étais une
coincée du cul. Je me suis rendu compte depuis que c’était le contraire.
— C’est grâce à toi parce que tu es un vrai mâle dominant. Tu me fais faire tout ce que tu veux ;
c’est fou ce que tu peux être inventif ; et j’accepte. Tu sais que je voudrais être percée comme
Sophie et même plus, avoir les lèvres de mon sexe traversées par des anneaux, pouvoir le faire rien
que pour toi. Tu aimerais ?
Tout le monde lui fait des compliments sur Odile, particulièrement sur sa docilité. Pat est fier d’elle.
Le sera-t il encore après la séance qu’ils lui réservent dans quelques minutes, le temps de finir de ce
restaurer. Le buffet est abondant et le Champagne coule à flots. Ils commencent tous à être un peu
pompette…
Il est temps de passer au stade supérieur.
Quand les hommes se sont levés en dirigeant leurs regards vers Odile, elle a eu un tremblement qui
a parcouru tout son corps des pieds à la tête, elle c’est levée à son tour et a suivi le maître des lieux,
entourée des deux couples. Ils sont entrés dans une autre pièce où une quelques cages abritaient
chacune un chien. Julien a expliqué que tous ces chiens sont en pension chez lui et qu’il en profite
pour en utiliser certains qui présentent certaines aptitudes pour s’accoupler avec des femmes. Les
deux femmes faisait des commentaires.
Au milieu de la salle, trône une sorte de table basse réglable par plusieurs manivelles, c’est un genre
de table qui a été bricolée et arrangée avec un certain confort pour la personne qui l’utilisera.
S’adressant à Odile, Julien la rassure, en lui disant qu’il est habitué de voir venir chez lui, de belles
femmes comme elle venir se faire enfiler par ses chiens. Il leur explique qu’il organise une fois par
semaine des soirées de ce genre, avec Chloé et Sophie en vedette. Odile est un peu gênée, car elle ce
fait saillir par ses chiens en toute intimité. Mais elle sent la chaleur empourprer sa figure, elle
transpire abondamment, elle a la moule trempée, dégoulinante.
Elle est très excitée par ce qui va se dérouler, elle sait maintenant quelle était sa surprise et ce que
son homme lui a réservé, le salaud !!
Pat voit le visage d’Odile blêmir… Il s’approche d’elle et lui dit à l’oreille :
— Tu ne vas pas me faire honte ? Tu es toujours décidée à me garder ?
— Non tu seras fière de moi. Qu’allez vous me faire subir ?
— Toi qui aime te faire saillir par tes chiens, là tu va te faire saillir à la chaîne comme une pute.
— Tu es belle, fière. Relève la tête et regarde-moi bien au fond des yeux. Tu sais que je t’aime ?
— Oui mais j’ai quand même un peu peur. Je t’aime aussi.
Julien demande a Pat si il accepte qu’Odile soit filmée et photographiée. Il répond qu’il accepte,
cela donnera un peu plus de piment de penser que d’autres se masturberont lorsqu’ils la
visionneront en train de ce faire saillir.
Les hommes eux semblent impatients que cela commence, de belles bosses sont formées dans leur
pantalon. Très gentiment et avec un petit sourire Julien a Odile demande par quel chien elle veut
commencer. Honteuse et mal à l’aise par cette question, fuyant son regard elle lui demande un
animal avec un sexe pas trop gros pour commencer. Odile s’allonge sur la table d’abord sur le dos
les cuisses bien écartées pour laisser voir sa grotte d’amour qui, elle le sent, ruisselle abondamment.
Marc est particulièrement intéressé par son anatomie qu’il trouve à son goût, l’ayant bien regardée
sous toutes les coutures, il est allé chercher un chien noir de taille moyenne. Les jambes pendantes
de la table, Marc l’approche lentement de son sexe, en parlant pour le rassurer et le mettre en
confiance l’animal semble assez méfiant.
Sa moule, luisante de mouille, doit dégager une odeur assez caractéristique, le chien est intéressé et
attiré par cette odeur bien caractéristique qui doit lui chatouiller son instinct de mâle. Il commence
par lui lécher copieusement le cul et la grotte qui coule abondamment. Très vite Odile pousse
quelques petits cris de plaisir, quand il lui enfonce sa langue assez profondément dans le vagin, les
spectateurs qui regardent ont mesuré combien sa jouissance est importante sous la langue de
l’animal.
Le chien en veut plus, il couine, il grimpe sur ses pattes arrière, elle voit le bout rouge de son sexe
qui est bien sorti de son fourreau et qui lâche par instant des giclées de liquide.
Aidé par Julien qui positionne sa bite à l’entrée de sa moule tout en profitant pour lui introduire un
doigt qu’il fait coulisser plusieurs fois dans son vagin. Les pattes de devant de l’animal ont enserré
son buste, la bite visqueuse tape sur ses cuisses à l’entrée de sa grotte jusqu’à ce qu’elle trouve
l’entrée de son puits d’amour. Dans cette position le chien ne peut pas la pénétrer trop
profondément, quelques va-et-vient ont suffi pour le faire éjaculer.
Après ce qu’elle a pris avec ce chien, il me faut plus gros et plus long pour la satisfaire, les
spectateurs, les yeux brillants regardent le sperme canin s’écouler de sa moule toute gluante.
Julien déclare tout en regardant Odile que maintenant il faut passer aux choses sérieuses, les chiens
qui ont senti l’odeur de la femelle et du sperme deviennent nerveux et poussent par instant des
couinements plaintifs. Marc libère un gros chien noir assez robuste de type malinois, il fait allonger
Odile sur le ventre le cul légèrement cambré par des coussins, il pose une couverture sur son dos
pour la protéger lui dit-il des griffures. Le gros chien noir s’avance, il lui lèche la chatte et le cul,
quand il se projette sur son dos Odile comprend qu’il s’agit d’un gros calibre, d’une poussée assez
forte et guidé par Marc, il entre en se cambrant, lui soulevant le cul, enfin là elle est bien emplie,
comblée, elle sent la longue et grosse bite chaude pomper dans son ventre. Le chien lâche de belles
giclées de foutre canin qui tapissent copieusement l’intérieur de son puits d’amour.
Après cinq minutes de ce traitement, il s’est enfoncé encore plus profond en elle lui arrachant un cri
de surprise, le bout de sa bite investit assez profondément son utérus puis subitement elle sent son
nœud se mettre à gonfler. Son amant la remplit au plus profond de elle-même en se projetant de plus
en plus, c’est douloureux et bon. La pression dans son ventre est terrible, elle jouit devant les
spectateurs comme une folle prononçant des encouragements à son partenaire qui la tringle. Les
hommes masturbent les deux autres femmes en la regardant, quelle belle salope disent-ils, il faudrait
la faire saillir régulièrement, regardez comme elle se donne à son amant.
Patrice déclare sous l’excitation du moment que tous les chiens ici présents ont le droit au plaisir de
sauter une chienne. Odile a dit-il le devoir de tous les satisfaire.
Marc la relève alors et l’amène jusqu’à la table spéciale toute en plexiglas, moulée en creux pour
accueillir un corps de femme.
Il la penche alors et ses seins viennent tout naturellement se placer dans deux trous pratiqués dans
cette coque. Dans cette position, ses tétons bien tendus vu la compression de ses seins sont
accessibles par en dessous.
Son menton repose sur un petit coussin qui lui redresse la tête à l’horizontale, faisant en sorte que sa
bouche se retrouve dans le prolongement de son œsophage.
La courbure de la console lui rehausse ses cuisses en maintenant ses pieds à terre faisant en sorte
que ses fesses soient bien redressées. Une échancrure dans le bord laisse un accès aisé à sa chatte et
son anus. Marc lui écarte bien les cuisses en liant ses chevilles aux pieds de la table.
Sophie lui met deux tire lait électriques aux seins, immédiatement la pompe est mise en marche, elle
sent ses seins se déformer par la succion de la machine
La taille des tétons d’Odile est stupéfiante !
Le plus incroyable c’est que Patrice se rend compte qu’elle a l’air d’aimer le traitement infligé à ses
seins. A aucun moment elle n’a cherché à se soustraire à la succion mécanique de ses pointes.
Pat sait qu’elle aime qu’il joue avec sa poitrine, mais il ne ce serait pas douté à quel point elle peut
prendre du plaisir avec cette partie de son corps.
Les yeux fermés, la tête partant vers l’arrière, elle semble en proie à un plaisir intense comme en
témoignent ses gémissements que l’on entend malgré le bruit de l’aspirateur.
Brusquement son corps se cambre, on voit quelques larmes perler sur ses joues, le visage marqué
par une grimace qui veut cacher quelque chose.
A la répugnance éprouvée de ce qu’on lui fait subir, vient donc de s’ajouter la honte de jouir du
pétrissage mammaire et du supplice exercé sur ses tétons.
Julien s’en rend compte également.
— Voilà…. C’est bon ça hein Odile…. ! T’aimes bien jouir des mamelles dis donc… ! Tu dois être
bien prête alors….. Allez amené ses amants qu’ils la prennent comme une chienne !
Un à un, tous les chiens l’ont baisée ou enculée déversant une grosse quantité de foutre dans ses
orifices mis à mal par les nombreuses saillies.
Un grand chien blanc genre berger belge lui donne énormément de plaisir quand il investit son cul
avec sa longue tige qu’il fait coulisser assez rapidement dans ses entrailles.
Odile sent son pénis buter au plus profond de ses reins, à chaque coup de butoir, elle sent une
douleur qui très vite ce transforme en un orgasme indescriptible.
Marc est allé chercher un autre chien qui est dans une réserve, mais en tournant lentement la tête,
quand Odile voit l’animal elle pousse un cri d’effroi, quelle bête, elle voit l’arrivée d’un âne.
— HOOO !!!! Non pas ça
Les hommes le guident vers le côté de la table où se trouve la tête d’Odile. Ils commencent à lui
caresser le sexe qui se met à grossir de manière démesurée, en une longue tige dont le bout
triangulaire est percé d’un trou. Ils l’approchent alors de la bouche pulpeuse d’Odile pour le lui
introduire. D’instinct, ses lèvres se mettent en cercle et la pointe de velours bute sur l’arrondi. Elle
se laisse faire en ouvre grand la bouche. Ses mâchoires sont forcées, ils réussissent à introduire tout
le gland dans ce bain de salive.
Dans sa bouche, la tête du membre grossit encore entre ses mâchoires distendues. Sa langue tourne
autour de cette chair étrangère, ralentie par une poussée en direction de sa gorge. C’est chaud,
envahissant, étouffant et bon à la fois. L’amant se met à user de sa bouche comme d’un sexe. Sa
salive déborde, le membre glisse de plus en plus facilement, progresse, heurte l’intérieur de sa
gorge, il cogne sur une joue à plusieurs reprises, ses lèvres sont à la limite de la rupture. Cela dure
cinq minutes, le temps que le membre soit dure pour la saillie.
Puis ils amènent la bête derrière elle, il lui pose les pattes sur la table.
Elle sent l ’œuf qui se frotte sur ses lèvres comme pour apprivoiser sa vulve déjà lubrifiées par les
éjaculations précédentes, une pression et sa grotte s’ouvre pour accueillir la chose.
Heureusement il va doucement. Le gland est entré, et déjà elle se sent remplie, il s’avance et tout
doucement il s’introduit, ses chairs sont écartées comme jamais elles ne l’ont été par une bite, il en
reste encore dehors car elle sent toujours pas ses couilles sur ses fesses. Odile se laisse envahir sans
protester. Il pousse au maximum, mais seulement la moitié de sa verge a pénétrée le sexe distendu.
Il commence alors des va et vient, poussant chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin. À force
de persévérance, il a mis le feu à ses sens.
Ils le laissent s’accoupler bestialement avec la femme. Elle se sent écrasée par un corps qui pèse sur
elle. Odile pousse des feulements de chienne qui se fait saillir car c’est ça dont il s agit : une saillie
mais que c est bon, maintenant c’est elle qui aspire le monstre de chair. Elle le veut en entier dans
son ventre d’elle même elle accélère la cadence. Elle n’y tient plus, ça y est elle sent les couilles
taper sur son clitoris, plus un millimètre n’est disponible dans son puits d’amour.
Il lui semble qu’il touche son nombril.
Elle est écartelée par ce morceau de viande dur et chaud. Les pointes de ses seins sont brûlantes.
Dans son ventre elle sent le mouvement rapide de la bite géante.
Il ahane sur elle, sa gueule c’est refermé sur sa nuque, sa bave est sa chaude haleine lui font un bien
fou. En ouvrant les yeux, elle aperçoit les spectateurs qui regardent son baiseur en plein effort.
Il va et vient, distend les parois de son vagin, va cogner brutalement tout au fond contre l’entrée de
l’utérus qu’il force, puis ressort entièrement puis se renfonce dans sa grotte d’amour, son humidité
d’amour facilite l’intromission dans la cavité, son gland en forme de gros œuf frotte à l’intérieur de
ses lèvres meurtries.
Aux premiers gémissements de plaisir de la femme, son amant multiplie les sorties complètes,
suivies de pénétrations puissantes, violentes, il force l’allure, il s’impose une cadence infernale. Elle
croit qu’il lui perce le ventre, à coup de croupe puissante, le bout du sexe de son amant a ouvert le
col de son utérus ce qui augmente la profondeur de sa grotte. Maintenant à chaque coup de reins les
couilles de son amant s’écrasent sur son clitoris et lui provoque des orgasmes à répétition. Cela dure
au moins vingt minutes quand enfin elle sent une rivière de liquide chaud gonfler son ventre cela
n’en finit pas, elle le sent couler le long de ses cuisses.
Elle n’a jamais ressentie cela, elle continu a jouir sans discontinuer, elle est pleine de sa semence.
Enfin l’amant se retire avec un bruit de ventouse, sa moule reste les lèvres ouvertes, au milieu
desquelles on distinguait un vagin dilaté avec, plus au fond, un col de l’utérus, lui aussi évasé. De
cette caverne s’échappe un filet de liquide blanc, mais plus épais et abondant. Il coule entre ses
cuisses, rejoignant une deuxième source qui lui sort de l’anus comme deux rivières alimentant un
fleuve. Un fleuve qui poursuive sa course le long des pieds de la table pour finir sur le sol en
carrelage de la pièce.
Épuisée, groggy, elle a les yeux mi-clos, révulsés, comme comateuse. Les seuls signes prouvant
qu’elle est encore consciente, sont de petits soubresauts de ses cuisses, et quelques tremblements,
dans son état proche du coma à cause de l’abus de sexe et de jouissance, elle s’assoupit légèrement.
Les sphincters n’arrivent plus à refermer son petit trou qui, par moments, fait des bulles pour
évacuer l’air emmagasiné par les va-et-vient répétés. On peut aisément y glisser un pouce sans
toucher la moindre parois.
Ils débarrassent Odile des embouts de la trayeuse, les seins pendent, les pointes démesurément
déformées et allongées par la succion de l’aspirateur.
Odile est trop fatiguée, pourtant elle pense à la prochaine fois, s’il est encore là, elle recommencera
par lui car se prendre une telle tige est le rêve de toute femme un peu salope comme moi….
En sortant de chez Julien, elle sait qu’elle je reviendra. Elle a le cul et la chatte en feu, mais
heureuse de s’être faite saillir par autant de mâles.
Pat détache Odile, il est gêné dans ses gestes par Julien qui filme la croupe d’Odile en gros plan.
Quand il lui détache les chevilles il voit devant son nez le puits d’amour d’Odile béant. On peut voir
le colle d’utérus ouvert, débordant de sperme animal.
Devant sa mine interrogative Julien le rassure.
— Ne t’inquiète pas ? Mon ami, dans une heure ses deux puits d’amour redeviendrons normal. Et
comme tu me l’a demandé au téléphone, nous allons lui faire connaître d’autres plaisirs insolite et
un soupçonnés.
Chloé toujours nue passe par là avec un plateau de rafraîchissements. Pat prend deux coupe de
champagne et en tend une a sa compagne. Au bout de quelques verres, ils en étaient aux
confidences. Puis Pat l’emmène faire un brin de toilette. J
Sa coupe à la main, Odile titube. Pat l’aide à s’asseoir sur le large rebord de la baignoire. Elle se
laisse embrasser sans résistance. Après lui avoir rendu son baiser, elle lui annoncé qu’elle désire
prendre un bain pour rafraîchir ses orifices et ses idées. Pat a ouvert les robinets. Elle m’a demandé
de l’aider à rentrer dans la bain. Comme Pat l’aide à se glisser dans l’eau tiède, elle dit :
– Je t’aime, j’ai envie de toi. Tu es désormais ma drogue. J’ai hâte qu’on baise encore ! Et que sa
présence avait contribué à l’intensité de sa jouissance,…………..
À quatre pattes dans l’eau tourbillonnante, les reins creusés, la croupe relevée, elle l’invite à la
rejoindre dans la baignoire. Son timbre est devenu rauque, elle agite l’arrière-train comme une
chienne en chaleur. Pat obéi promptement à l’injonction. Il se retrouve nu derrière elle, dans l’eau
que les sels de bain rendent toute bleue. Sous ses yeux, son vagin et son anus béaient en chœur, rose
cru, pressés de se faire encore remplir. Comme il hésite sur l’orifice à investir en premier, elle passe
sa main entre ses cuisses pour diriger sa queue en bas, vers son puits d’amour. Il est encore souillé
de ses précédents amants. La pénétration s’est faite d’une seule poussée jusqu’au fond.
Merveilleusement implanté au cœur de sa grotte de velours. Au fur et à mesure de la pénétration,
elle s’anime, pousse des cris, agite le bassin pour s’empaler sur sa bitte. C’est si bon pour lui, être
au fond de son puits d’amour. Ils se déchaînent dans les eaux bleues qui éclaboussent tout autour.
Au moment de l’éjaculation, comme si c’était tout naturel, il lui mord la nuque. En hurlant de
douleur et de bonheur, elle s’est mise à pisser sous elle comme une vraie chienne qui s’abandonne
sous la lune…
Quand il retire sa bite, épuisée, elle s’effondre dans la baignoire. Pat coupe les robinets, l’aide à
sortir, à se sécher. Elle se laisse faire en reprenant des couleurs.
Avant de quitter la salle de bains, elle se refait une beauté, nue devant la glace du lavabo. Pat se
tient à ses côtés. Elle lui adresse un sourire à son reflet dans le miroir. Ses paupières sont lourdes,
ses yeux cernés.
— Je suis vannée. J’ai bien été baisée… Plus qu’avec mes chiens. C’est affreux, j’ai l’impression de
les avoir trompé.
Ils reviennent au salon tout les deux, Odile dans un peignoir qu’il y avait dans la chambre.
— Passons à table dit le maître de maison.
Le repas est des plus sympathique, la matelote d’anguilles qu’a concocté Chloé est excellente. Elles
proviennent de l’étang du domaine qui est à quelques mètres de la maison.
Marc les enchante de ses expériences sur les plantes. Il commence à se très tard et après le repas
bien arrosé, ils font plus ample connaissance. Pendant les dames débarrassent la table, ses messieurs
discutent un verre de digestif à la main.
Pat aperçoit dans la pièce voisine un très beau billard………..
– Vous voulez en faire une partie lance Julien à son adresse.
Le billard trône dans une immense pièce décoré avec beaucoup de goût, dont le fond est tapissé
d’un grand aquarium, à l’intérieur de celui-ci quatre grosses anguilles s’enroulent sur le fond.
Voyant que Patrice s’en approche, Marc lui dit :
– Celles-ci ne finiront pas en court bouillon, elles sont apprivoisées…
Pat le regarde avec d’étonnement ???
Pendant qu’ils tapent la boule, les trois hommes discutent. Ainsi Patrice apprend que le corps de
ferme restauré par Julien et son ami lui appartient. Marc est vétérinaire, il s’occupe bien des
animaux du domaine. Il y a une vingtaine de chiens, deux un ânes et deux poneys. Ils dressent les
chiens pour saillir les femmes, quand ils sont bien habituer a saillir les femelles humaines, ils sont
vendus. Ils en vendent un ou deux par moi. Il n’y a jamais eu de reproche sur la qualité de leur
dressage. Il faut savoir que c’est Sophie et Chloé leur compagne qui font les frais de leur éducation.
Les deux femmes sont bien sur volontaire pour éduquer ses nouveaux amants pour femme. Rien ne
les rebute, elles donnent tout leurs orifices aux apprentis à la saillie humaine.
Pendant que les hommes ce livrent, les trois femmes font de même dans la cuisine. Odile ce livre
totalement a ses consœurs. Ça lui fait un bien fou de ce dévoiler enfin a des femmes qui ont le
même penchant canin qu’elle. Elles n’hésitent pas à narrer leur intimité.
Les conversations s’étalent assez tard. Comme le programme proposé par Julien à Patrice pour
soumettre Odile, demain la journée sera plein d’imprévu leurs dit Julien, qu’il vaudrait mieux aller
dormir pour avoir une bonne nuit de repos.
Après une bonne nuit sage et un petit déjeuner copieux, Odile va se faire une beauté. Pendant ce
temps, Pat converse avec Marc. Prêter par Chloé, Odile revient, avec une petite robe noire en
stretch, moulante comme une seconde peau et on peut voir dans les yeux de Patrice comme un aveu
d’admiration.
Marc repris sa conversation avec Pat. Odile s’assoit à la table.
Alors que Marc explique les vertus aphrodisiaques de certaines d’entre elles, Odile part d’un éclat
de rire :
– Nous sommes allés à la Martinique il y a quelques années avec mon mari, expliqua-t-elle, celui ci
a bu du bois bandé… Et il a dormi toute la nuit ?? Je n’y crois pas du tout à tout cela, c’est un
attrape gogo, lança-t-elle.
— Libre à vous de croire ou pas, si vous voulez je vais vous faire essayer celui de ma composition.
Venez dans la pièce voisine.
Ils sont dans la salle de billard. Et Marc se dirige vers un placard, prend une petite fiole et verse
dans un verre un peu de liquide brun et le lui tend :
– Buvez-en juste une gorgée, pour un premier essai, c’est plus prudent, dit-il à Pat en souriant.
Le breuvage est fortement amer, à peine les lèvres trempées, il le tend à Odile.
Rapidement, avec un grimace, elle en avale une longue rasade avant que Marc n’est pu la retenir.
– Pouah !! C’est infecte, dit-elle en posant le verre, je ne pense pas qu’un liquide aussi infâme puisse
inciter à l’amour… !
Julien et Chloé les rejoignent, la conversation devant un café reprend. Une heure plus tard ?
– Il fait vraiment chaud dans cette pièce, ça me donne un peu mal à la tête.
Pat se tourne vers Julien un peu étonné, la température est agréable, même un peu fraîche.
– Ne vous inquiétez pas, dit Marc, c’est l’effet du breuvage, vous avez un peu trop forcé la dose, et
quelques troubles risquent de se produire… Sophie va vous faire un massage et ce mal de tête va
disparaître.
Il appelle Sophie qui apparaît dans l’encadrement de la porte vêtue d’un merveilleux sari en soie
orangé.
– Couchez vous sur cette banquette, dit-elle en basculant le siège clic-clac.
Une fois Odile couchée sur le ventre, Sophie lui fait glisser les bretelles qui retiennent le haut de sa
robe et lui roule jusqu’à la taille. Elle s’enduit les mains d’une huile parfumée et commence à
masser, avec beaucoup de douceur, le dos et la nuque d’Odile.
- Bon, si on continuait la partie d’hier soir, lance Marc.
Tout en jouant, Pat jette quelquefois un coup d’œil furtif sur Sophie. Les longues mains de celle-ci
s’attardent quelquefois sur la chute de reins d’Odile puis remontent aux épaules, se glissent sous les
aisselles et s’attardent sur les seins d’Odile qui décolle son buste de la banquette lit pour mieux
profiter de la caresse. Sophie susurre quelques mots à Odile qui se retourne. Sophie fait glisser la
robe d’Odile, celle-ci couchée sur le dos, les yeux fermés se laisse dévêtir. Les mains à présent
courent sur le ventre, sur les seins d’Odile… Elle se laisse aller à cette délicieuse sensation…
Inconsciemment ses jambes s’écartent… Ses hanches et son ventre se soulèvent…
Les joueurs de billard ce sont arrêtés de jouer pour admirer le spectacle… Et ils commencent à leur
faire de l’effet.
– Je lui avais pourtant bien dit de faire attention, ce n’est pas dangereux mais le mélange de ces
quelques plantes est quelque peu détonnant… Si on vous laissez seul, car elle semble avoir besoin
de vous…. Pourriez-vous… Si je puis dire, être à la hauteur… Dit-il Marc en regardant Patrice d’un
air malicieux…
– Je crois qu’il va me falloir beaucoup de résistance ??? Lui répondit il.
– Bon continuons ce que nous avons commencer hier. Reprend Julien.
Il se dirige vers l’armoire de la salle et en sort une boite de couleur noir en marqueterie, il l’ouvre et
stupéfait, Pat découvre à l’intérieur toute une panoplie de vibromasseurs de tailles et de formes
différents. Des veinés, des noirs, des biscornus pour des doubles pénétrations, en bois, en
plastiques…
– Crois tu qu’elle ai une préférence ?
— Ma foi je n’en sais rien, prend celui qui te semble le mieux adapter à la situation, dit Pat en
riant…
Odile entrouvre les yeux et leur sourit en les voyant près d’elle. Son corps sent bon, Pat approche
son visage du sien et il l’embrasse sur les lèvres.
– Faite moi l’amour, baiser moi, j’en ai envie… Lui dit-elle dans un souffle.
Elle se redresse sur les coudes pour regarder dans la direction des deux autres… Julien s’est
approché de la banquette, Odile est sur le dos, il glisse une main entre les cuisses et instinctivement
celles-ci s’ouvrent.
Il enfouit sa tête dans le compas de ses jambes et avec délectation, il lèche le petit bourgeon de chair
qui brille au milieu. Sous la caresse, Odile soulève son bassin pour qu’il puisse encore enfoncer plus
loin sa langue, puis les doigts de Julien se frayent un passage dans le doux calice et impriment des
mouvements de va-et-vient. Odile gémit, assise sur le rebord de la banquette, elle agrippe Julien par
les épaules. Pat se dévêt rapidement, son sexe lui fait mal tant sa tension est forte et il l’approche de
la bouche d’Odile qui l’absorbe jusqu’à la base des couilles.
Appuyée sur le chambranle de la porte Sophie les regarde, la gêne de Patrice est de courte durée car
devant la vision de la main de Julien, entrée entièrement et fourrage la grotte d’Odile qui avec sa
langue chaude sur sa hampe, Pat ne peut à son grand regret se retenir plus longtemps et la
jouissance l’emporte…
– Oh ! Non, pas déjà… Se désespère Odile en continuant à pomper le divin breuvage…
— Tu aurais du, à l’inverse d’Odile, prendre plus de la potion, lui dit julien en relevant la tête, et en
ressortant délicatement ses doigts de la vulve d’Odile.
— Apporte-moi la petite boîte, intime-t-il à l’adresse de Sophie, qui en silence accoure.
A l’étonnement de Patrice, Julien, se saisit dans la boite que Sophie lui tend, d’un godemiché, noir,
il lui semble énorme bien qu’un peu mou… Il comporte une petite poire à son extrémité.
– Mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit, et écartes bien les jambes.
Il tutoie Odile d’une voix rude, Pat en est étonné, celle-ci acquiesce sans broncher, le rouge aux
joues. Pat sait qu’en ces instants son corps entier est en feu, et qu’elle ne va qu’être un pantin voué à
son plaisir jusqu’à l’épuisement de son désir. Julien, d’une prudente et longue poussée, introduit
dans la fente huilée de cyprine la tête du vibromasseur. Tout en tournant l’engin, il l’entre un peu, le
ressort, l’introduit un peu plus afin de dilater doucement à son maximum les chaires écarlates.
Odile la bouche grande ouverte, la respiration profonde, ses seins gonflés ballottent sous elle, elle
savoure cette emprise diabolique. julien se tourne vers Pat :
– Ça lui fait plus d’effet que ce que l’on lui procurait tout à l’heure !
— Rempli la poire de lait chaud ! Elle souhaite connaître un grand moment ! lança-t-il à Sophie.
— Et toi bouge, bouge, bouge, répète t-il à Odile tout en la frappant sur les fesses et en imprimant
des mouvements de va et vient à l’engin fiché entre ses fesses.
Odile les reins creusés, avance et recule son bassin pour profiter pleinement de l’introduction.
Julien s’empare de la grosse poire caoutchoutée que lui tend sa femme, il envoie dans un petit
orifice situé à la base du gode une longue giclée. Odile sursaute et tend une main à pat. Sa paume
serrée dans la sienne, ses yeux fixés sur lui, elle lui fait comprendre sans un mot tout le délice que
lui procure cette sensation nouvelle…
Deux ou trois nouvelles poires sont vidées ainsi dans le corps du godemiché.
– Ce lait est à environ 39°-40° et ne risque pas de la brûler, on emploi du lait car il refroidit moins
vite que l’eau ! Le vibromasseur est maintenant gonflé à moitié et tapisse en partie l’intérieur de son
vagin, regarde, comme elle apprécie, et il imprime à nouveau un léger mouvement à l’appareil.
C’est déjà démentiel de la façon dont le gode a dilaté le puits d’amour d’Odile. Celle-ci se mord les
lèvres et sa main serre encore plus fort celle de Patrice.
– Monte à côté d’elle et caresse lui les seins, masse lui le dos, le ventre, soit tendre, afin qu’elle
arrive au bonheur suprême…
Patrice grimpe à son tour sur la large banquette, et serre tendrement Odile dans ses bras.
– J’ai trouvé cet engin extraordinaire en Asie, là-bas il est appelé septième ciel et il est adaptable,
glousse Julien… De petites billes sont à l’intérieur, lorsque qu’il est plein et que l’on actionne le
bouton, les billes frappent la paroi et les vibrations se transmettent dans tout le corps.
— Mets toi couchée sur le dos, les jambes repliés et ouvertes, demanda-t-il à Odile d’un ton ferme.
Sophie et Pat l’aide à se retourner tant le phallique engin la gêne dans ses mouvements, elle
s’accroche à Pat qui de sa bouche parcoure ce corps à la peau adorée, de la bouche au cou, du cou à
l’épaule, de l’épaule au sein rond, du sein au ventre au nombril aguichant, du nombril au secret lisse
et parfumé écartelé par l’épieu de plastique.
Julien verse à nouveau vivement trois poires de lait chaud dans l’orifice du gode, celui-ci doit
maintenant tapisser entièrement le vagin d’Odile et à chaque rasade versée, une presque inaudible
plainte de bonheur s’échappe de ses lèvres à demi-fermées. De la voir ainsi grande ouverte et
offerte, sa virilité chancelante reprend de la vigueur.
Julien grommelle en tapant sur les cuisses d’Odile :
– Remonte bien les jambes, pliées sur tes épaules, le plus haut possible, je te l’ai déjà dit et toi
caresse-la, dit-il en s’adressant à Pat.
Pat le voit prestement tourner le bouton du vibromasseur tout en lui donnant un mouvement de va et
vient lent et rythmé. Le diabolique engin fiché dans les chairs intimes d’Odile ne peut bouger et
c’est donc tout le corps de la femme qui avance d’avant en arrière sur la banquette lit.
Le mouvement s’accélère, elle s’accroche comme elle peut et subit avec délectation, les yeux miclos et le souffle court, le choc intérieur des billes qui claquent comme un feu d’artifice dans ses
entrailles. Plus vite…, plus fort…, encore plus vite…, Julien tire et pousse de plus en plus rudement
mais sans violence, la base du pieux qui écartèle la belle. La respiration d’Odile s’accorde avec le
rythme que donne le professeur, le mouvement lent du début a fait place à une danse endiablée qui
unit la femme et son amant synthétique de lait chaud et de plastique.
Les lèvres de Pat parcourent son corps, ses mains caressent ses seins et ses cuisses. La grotte
magique où tant de fois il a trempé sa verge est ouverte comme celle d’une femme en train
d’accoucher. La douce plainte de bonheur qui accompagne la danse, se transforme en un cri rauque
de plaisir intense, et tout son corps s’arque boute plusieurs fois comme électrisé, elle ne tente plus
de s’accrocher et c’est comme un pantin désarticulé qu’elle suit les amples mouvements. La
sarabande dure plusieurs minutes et elle connaît l’extase quatre ou cinq fois ; sa tête dodeline de
droite et de gauche, ses mains agrippent celles de Julien afin qu’il garde la cadence, de fines
gouttelettes de transpiration bordent sa lèvre supérieure, elle ouvre les yeux et leur sourit.
Julien ralentit le rythme et coupe la vibration pour permettre à Odile de reprendre ses esprits.
– Que c’est bon ! Je n’ai jamais senti quelque chose d’aussi fort et d’aussi puissant ! C’est comme
une vague chaude qui monte de l’intérieur et vous inonde de jouissance !
— Je vais expulser le liquide du gode afin de te permettre de te reposer, annonce Julien fier de son
expérience.
Il tourne un bouton et appuie d’un coup sec sur le bas du gode, elle pousse un cri de surprise et de
bonheur…
— Le lait tiède s’est libérée dans sa chatte, informe Julien, il l’inonde… !
Le lait fumant s’écoule dans une bassine que maintient Sophie, appuyée sur les coudes, Odile
regarde ouvrer son doux tortionnaire. Celui-ci tire doucement sur la base du phallique engin ce qui
lui arrache un petit cri de délivrance ou de regret…
La grotte nacrée distendue par le chaud massage reste grande ouverte, les petites lèvres pendantes.
– Viens, approches-toi, demande Odile à Julien, tu mérites toi aussi une récompense.
Elle approche son bassin du bord du lit afin qu’il soit bien à hauteur et lui empoigne la verge. Celleci noueuse et dressée comme un dard semble disproportionnée par rapport à sa taille.
Guidé de la main douce de la femme, il enfile d’un coup jusqu’à la garde son sabre dans la gaine de
velours.
– Ah c’est chaud, c’est bon, grogne t-il tout tressautant sur ses cuisses.
Les mains d’Odile pressent les globes velus des testicules afin de l’amener à l’explosion rapidement
car Pat voit à son attitude qu’elle simule un plaisir qu’elle n’arrive pas à trouver. Est-ce parce
qu’elle vient de connaître quelque chose de très fort, de très puissant ou parce que son vagin
distendu ne lui permet pas de sentir en elle cette queue pourtant de forte taille.
Julien s’en aperçoit et accélère la cadence afin de rapidement se soulager, accroché aux cuisses
d’Odile, il plante au fond, son bâton sexuel, une grimace de bonheur illumine son visage, on devine
les longues giclées de sperme qui doivent fouetter le doux réceptacle. Tendrement, elle le maintient
serré entre ses longues jambes jusqu’à ce que la lance gorgée de sève ai craché ses dernières
gouttes. Julien retire sa verge flasque, elle d’une main essuie sa grotte trempée et la porte à sa
bouche, se tournant vers Pat elle lui tend à son habitude ses lèvres afin qu’avec elle partage cet
instant de bonheur.
– Viens, toi aussi, j’ai envie de te faire ce cadeau, lui dit-elle en tendant la main à Patrice.
Excité par le spectacle précédent, il prend position dans le compas de ses jambes et glisse son pieux
dans le trou largement huilé par Julien, la chaleur procurée par le liquide du godemiché est toujours
présente et irradie jusque dans ses couilles, le sperme de Julien macule sa verge, elle sait combien il
aime ces moments où prise avant par d’autres que lui, elle lui adresse comme une offrande la fin de
ses étreintes pour lui prouver son amour. Elle tente de contracter son vagin dilaté, qui pour toute
récompense expulse le foutre de son précédent amant, elle s’assoit sur le bord de la banquette et
l’attire au plus profond d’elle, ses mains passées derrière ses fesses cherchent son anus, elle le force
à basculer sur son corps. Largement ouvert par deux de ses doigts, son anneau sent s’introduire l’un
deux.
Elle tourne son regard vers Marc, ses yeux le fixent comme une ultime invitation. Celui-ci sans un
mot vient se placer derrière Pat. Il comprend vite sa manœuvre et essaie d’esquiver, Odile lui
bâillonne la bouche d’un baiser brûlant et le serre fort dans ses bras.
Patrice comprend qu’elle tient à ce qu’il soit à la fois la proie et le loup. IL crache sur son anus, et
Le gland humide, force le passage et entre doucement dans mes entrailles… Marc le pénètre
doucement et tendrement. Patrice s’abandonne à quoi bon lutter. Il sent le ventre de Marc écraser
ses fesses, il s’immobilise pour que Pat s’habitue a cette présence en lui.
– Odile a confiée a nos femmes que tu t’étais fait prendre par ses chiens, alors maintenant c’est un
homme qui te prend a son tour, tu sentira la différence je pense.
– Nous savons tout de vous…, déclare Marc.
— Tout ? répète l’air surpris Pat.
Odile tourna la tête pour éviter son regard… Quelle pie…
– Oui tout ! Répète Julien comme pour mieux enfoncer le clou… Votre rencontre, vos multiples
expériences… Disons hors des sentiers battus…
Après cette petite pause, Marc empoigne les hanches de Patrice et commence la sodomie. C’est très
bandant, mais dans un coin de la salle Pat aperçoit une camera qui pointe sur eux. Marc accélère et
le baise fort et vite. Pat enfonce encore plus sa bouche dans celle d’Odile pour ne pas crier.
A chaque coup de butoir de Marc, le sexe de Pat entre plus profondément dans la grotte d’Odile.
– Mais mon chéri tu aime te faire sodomiser ?? Je sent ta queue grossir dans mon puits d’amour, tu
bande plus que d’ordinaire !!!!
L’emprise dure longtemps lui semble-t-il, Pat sent qu’Odile prend un plaisir indicible à le voir
sodomiser. Elle répond par des mouvements amples de ses hanches, tout en serrant Pat dans ses
bras, aux frénétiques coups de reins que lui inflige son partenaire.
Le souffle coupé, Pat réussit a gémir de plaisir pendant que Marc lui laboure le cul en profondeur et
brutalement en faisans claquer ces bourses contre ses fesses. Marc n’arrête pas ses vas en viens
entre ses fesses, il prend du plaisir, se retiens de ne pas jouir, ralenti, puis repart de plus belle.
Marc le prévient, qu’il va jouir, Pat sent son sexe se gonfler dans son anus en lâchant son sperme.
Emporté par le plaisir commun, Marc rempli les entrailles de Pat qui sent la chaleur de sa semence
envahir son ventre, ce qui le fait aussitôt jouir, il arrose à son tour le doux fourreau de sa compagne.
Julien porte son sexe à hauteur de la bouche d’Odile, celle-ci sans hésiter s’en saisit et applique sur
la verge une caresse vieille comme le monde. Pendant que le membre de Marc ramollit lentement
dans le ventre de Pat, puis il en sort.
Julien ayant retrouvé de la vigueur, passe derrière pat et le pénètre directement et sans mal, avec le
sperme de Marc qui coule de son cul. Julien commence le va et vient dans les reins de Pat.
– Mais ! Oui ! Mon chéri tu aime ça ? Je ter sent qui rebande de plus belle dans mon puits d’amour.
Après une dizaine de minute de sodomie, dans un râle de chien en rut, Julien lui décharge tout dans
le cul, il lâche sa purée dans le cul de Pat qui se mélange au sperme de Marc.
C’est ainsi qu’une seconde fois les bourses de leurs hôtes ce vident dans les entrailles de Pat.
La fatigue tant physique que nerveuse laisse Pat pantelant, allongé en travers du lit, il s’assoupit.
Un bruit lui fait ouvrir les yeux. Odile vêtu d’un somptueux sari, remaquillée, les cheveux humides.
Elle s’assoie a son coté. Pat pose sa tête sur son épaule et sent à travers l’étoffe de soie la chaleur de
sa peau, elle lui fait une bise sur les lèvres qui ont un goût de menthe.
Pat saute de la banquette lit sans un mot et plonge sous la douche. L’eau ruisselant sur son corps le
remet rapidement en forme. Odile est entrée dans la salle de bains à sa suite et à travers la vitre de la
douche il peut l’apercevoir nue, absolument radieuse. Elle enfile sans autre façon la petite robe de
stretch.
– Tu es nue sous cette robe me semble-t-il ?? Lui demande Pat en lui caressant les fesses.
— Je n’en ai pas de rechange, hé ! Mon chéri, je n’avais pas prévu de passer la nuit ici, lui lança-telle en le gratifiant d’un baiser sur la bouche.
— Julien et Marc m’ont fait faire le tour de la propriété pendant ta sieste et nous t’attendions pour
déjeuner.
La matinée a passée comme un coup de fusil, aussi ils passent à table pour un repas fait de crudités
et de gibiers et de fromage. Ils discutent de choses sans importance jusqu’à ce que une petite phrase
de Julien adressée à Odile lui fasse dresser l’oreille. —Odile, me disait tout le plaisir qu’elle avait
prit cette nuit avec le gode à liquide, je lui ai dit que cela n’était rien par rapport à disons ce qu’elle
va découvrir, ce sera autre chose que ses amants canins… Mais je ne veux pas lui dire ce que
c’est…
— Du moment que c’est Pat qui le veux !! J’accepte tout !! Répond Odile tout de go.
— Je t’aime et je vais me changer, dit-elle en l’embrassant sur la joue et en se levant de table.
Elle réapparaît quelques instants plus tard sur le pas de la porte, le soleil qui donne dehors fait
rendre un peu transparente sa robe de toile et nous devinons à travers, son corps souple et galbé…
Lorsqu’elle s’approche, elle demande :
– Que faisons-nous ? J’attends avec impatience…
— Puisque tu veux vraiment, nous allons t’offrir de suite, un jeu un peu spécial… Lui dit Julien.
— On va jusqu’au bout Patrice ??
— Jusqu’au bout comme c’était prévu. Répond Pat.
Sans un mot, Julien s’approche d’Odile et la prend par la main, il la guide vers la pièce dans
laquelle est disposé la table spéciale en plexiglas, il l’invite à s’y installer sur le dos.
– Je te mets cette petite cagoule pour que tu ne puisse pas voir et je te passe ces paires de menottes,
je les attache à tes poignets et a tes chevilles ainsi aux montants de la table, n’ai pas peur je ne les
serre pas, les contraintes doivent rester dans les surprises…
Elle est ainsi, à demi nue, les cuisses ouvertes, les jambes écartées et attachées à la table…
– Déshabille-la ! Ordonne Julien et mets lui un coussin sous les reins pour lui relever le bassin.
Pat dégrafe un à un les boutons de la robe d’Odile, mais comme elle est menottée il ne peut lui
retirer entièrement aussi il la laisse ouverte.
Ainsi couchée sur le dos, la robe ouverte, nue, elle apparaît plus excitante que jamais.
Julien fait signe à Pat de l’imiter et chacun leur tour ils taquinent de la langue, qui le petit clitoris,
ou le tendre anneau friper, qui la pointe d’un sein ou le lobe de l’oreille pour revenir au petit
bourgeon de chair sans jamais aller plus loin. De petites gouttes commencent à perler à l’entrée de
la grotte d’amour, Julien se saisit dans une boite d’un premier spéculum, le contact froid du métal
sur sa chair surchauffée fait sursauter Odile.
Julien tourne la vis et le spéculum de gynécologie écarte doucement le vagin, puis s’emparant d’un
autre plus petit, il l’introduit dans l’anus et à nouveau tourne la vis. Odile le guide de la voix :
– Encore un peu… Doucement…. Doucement… Ses mains cherchent désespérément à se détacher,
son bassin tente de s’avancer, mais seul la dilatation des deux orifices semble passionner Julien.
La fine paroi qui séparent le vagin de l’anus semble inexistante tant les deux appareils les ont
distendues. Elle a cessé de bouger et semble attendre ce qui va se passer.
– Laissons la quelques instants comme ça, rétorque Julien et il se dirige vers la salle de billard toute
proche.
Quelques instants après, il ressort avec Marc qui porte un seau qu’il dépose aux pieds de la table.
Pat s’avance vers le seau ?? Il ne peut retenir un juron lorsque son regard plonge dans le récipient.
Les trois gros serpents qui étaient dans le vivarium du salon, se trémoussent et s’entortillent dans
l’eau. Il comprend dans un éclair ce qu’ils comptent faire des trois serpents.
– T’inquiète pas, lui dit Julien.
– Ils sont inoffensifs, ce sont des tricots raillés. Des serpents de mer qui ne mange que du poisson et
sont inoffensifs pour l’homme et nous sommes sûr de l’effet…
Odile est intriguée par la conversation…
– Retirez-moi les menottes et la cagoule, minaude-t-elle, ne me laissez pas comme ça ????
Sans un mot, Marc s’empare d’un serpent au niveau de la tête, celui-ci s’enroule autour de son bras,
une sorte de mucus macule la peau de l’animal. Celui-ci fait bien trente à trente cinq centimètres
pour un diamètre de cinq à six centimètres… Odile, largement ouverte, les fesses relevées sur le
coussin, ne se doute pas à quelle nouvelle expérience elle va être confrontée.
Brusquement et sans un mot, Marc présente à l’entrée du spéculum la tête du serpent qu’il a
préalablement munie d’un préservatif. Celui-ci s’y glisse rapidement en fouettant de la queue.
Un cri d’effroi sort de la gorge d’Odile, elle vient de comprendre sans le voir ce qu’est ce corps
froid qui bat sur ses cuisses et s’insinue centimètre par centimètre dans son intimité… Elle tente de
se détacher en gesticulant sur la table… Peine perdue, cette gymnastique semble revigorer le
serpent à la peau glissante qui comme un ressort se comprime pour mieux se détendre dans le vagin
de la femme. Marc dévisse et retire délicatement le spéculum en le glissant sur le corps de l’animal.
Les lèvres vaginales se referment autour du serpent mais ne l’empêche pas de poursuivre sa
progression…
Odile pleure doucement à présent, ses seins se soulèvent à chaque sanglot et son ventre se contracte
à chaque vibration de l’animale. Pat lui retire sa cagoule malgré le refus de Julien, il l’embrasse
tendrement et sèche les larmes qui coulent sur ses joues. Il embrasse ses seins, son ventre, et la serre
tendrement dans ses bras. Doucement, elle se calme, ses yeux se ferment.
Marc profite de ce bref instant de calme pour introduire un serpent plus petite dans le spéculum
anale, tout aussi rapidement que son congénère, il profite de ce trou grand ouvert pour progresser
par à-coup. Le corps d’Odile se tendit comme un arc, elle pousse un cri strident, la peur apparaît sur
son visage qui blêmit. Marc laisse le reptile s’enfoncer d’une bonne quinzaine de centimètres et
comme il l’a fait pour le plus gros, il retire délicatement le spéculum, le serpent qui a à présent la
tête emprisonnée dans l’anneau fessier se débat et tente de progresser dans la douce chaleur de ce
corps féminin. Julien tranquillise Odile de la voix en lui demandant de se calmer, il la rassure en lui
affirmant que rien de dangereux ne peut arriver, qu’elle se décontracte et se laisse aller… Les deux
reptiles fouettent de leurs queues les jambes et les cuisses de la femme qui ne peut que subir leurs
assauts en gémissant.
Sophie apparaît sur le pas de la porte avec un gros chien sur ses talons, ses grands yeux fixent
Odile. Avec grâce elle fait glisser par dessus sa tête sa robe, elle apparaît nue. Elle s’approche à côté
d’Odile et l’embrasse sur les lèvres, lui caresse le ventre et les seins, sa langue force la bouche qui
peu à peu répond à son baiser. Marc profite de ce moment de répit pour asperger d’eau tiède les
deux reptiles qui reprennent violemment vigueur. Odile se tord sous l’assaut, Marc saisit les deux
serpents par la queue et leur imprime un léger mouvement de recul, puis les relâche afin qu’ils
rentrent à nouveau, de nombreuses fois de suite il reprend ce manège, pendant ce temps Sophie
masse le ventre d’Odile. Les reptiles semblent déchaînées par ce traitement, leur peau devenue
glissante par l’eau a lubrifiée la grotte d’amour d’Odile qui se cambre.
La pâleur de ses joues a disparut, sa respiration devient profonde et l’on commence à deviner le
plaisir qui monte à la vue de ses seins pointés. Sophie est montée et à califourchon offrit à la bouche
d’Odile, tout en la massant, son intimité.
Odile y enfouit sa langue mais, retenue par les menottes, elle ne parvient pas suffisamment à ses
fins. Sur un signe de tête de Julien Pat la détache…
Aussitôt elle écarte des deux mains les fesses superbes qui lui sont présentées et y enfouit son
visage. Marc sort doucement les reptiles de leur tanière pour permettre à Odile de reprendre ses
esprits, il trempe les bestioles dans le seau d’eau et comme les réceptacles dégoulinent de leur
viscosité et les ont lubrifier à l’extrême restent dilatés, il les présente une nouvelle fois à leur entrée.
Sophie les yeux chavirés par le traitement que lui fait subir l’Odile, masse le petit clitoris d’Odile
qui lui rende au centuple ce bienfait.
Comme deux flèches les reptiles s’insinuent rapidement. Odile gémit et se cabre sous l’assaut, son
ventre se contracte et une douce plainte de bonheur leurs emplissent les oreilles. Les reptiles
progressent à chaque contraction du ventre de la femme…
Il laisse le gros reptile entrée librement dans le vagin d’Odile.
– Celui-ci est en train de se tasser dans le fond de son vagin et bientôt, il va se durcir, ce tortiller
afin de tenter de trouver une issue, regardez comme le vente d’Odile ce gonfle ! On peut le voir
bouger, c’est le reptile qui cherche une sortie. Par contre, celui-ci, si je ne la retenait pas par la
queue disparaîtrait dans l’anus et comme il se trouverait prisonnier, il se tortillerait en tout sens à
l’intérieur : Dit Marc.
Leur ami a raison !! Odile repousse les fesses de Sophie afin de Odile halète, gémit, sa peur et sa
honte ont disparues et elle vit comme une fête ce moment magique où à l’unissons de ses sens les
deux bestioles fourragent dans son corps ; Sophie retire les menottes qui retiennent les chevilles de
son amie. Odile se met sur les coudes, les cuisses écartelées, les yeux fermés, sa poitrine se gonfle à
chaque inspiration et un profond cri de plaisir monte de sa bouche entrouverte à chaque fois que les
reptiles se détendent à l’intérieur de son corps. Marc laisse ainsi Odile plusieurs minutes savourer sa
complète jouissance. Tour à tour ils caressent ce corps et ce ventre afin d’exciter au maximum les
bestioles… Plusieurs fois Marc sort le serpent de son anus et à l’aide d’un chiffon l’imprègne d’eau
qui le revigore, et à chaque fois, comme une flèche, il retourne au paradis.
L’attention de Pat est attirée par Chloé qui à genoux près du gros chien le masturbe. C’est
impressionnant l’ampleur du désir qu’elle suscite chez l’animal. Un bâton rouge et énorme bat entre
ses pattes.
Puis on voit la tête du reptile sortir entre les lèvres vaginales d’Odile. Il ce tortille pour sortir
complètement. Marc retire avec douceur les serpents des orifices d’Odile qui semble avoir à présent
des regrets, il lui demande de se retourner sur la table. Celle-ci, les narines pincées, obéit sans un
mot, les yeux dans le vague. Les seins d’Odile ce logent automatiquement dans les deux trous de la
table prévus a cette effets. Julien descend la table au niveau de la hauteur du chien. Sur un signe
discret de sa maîtresse, le chien saute et s’empare du corps offert de la femme. La moule, encore
visqueuse des sécrétions des deux introductions, reçoit sans problème l’énorme mandrin. Accroché
aux hanches étroites d’Odile et sans que celle-ci ne manifeste un refus, le chien accélère l’allure,
lorsque leurs amis voient que des gouttes commencent à couler le long des cuisses bronzées, ils
tirent la bête en arrière et fichent l’épieu de chair dans l’anus dilaté d’Odile.
Sous la brutalité de l’assaut celle-ci pousse un cri et tente d’échapper à l’emprise, mais déjà la
vigueur du chien lui fait comprendre cette impossibilité et elle répond en creusant les reins à la
bestiale étreinte. Enfoncé jusqu’à la base du nœud, le poitrail collé sur le dos d’Odile le chien
crache son sperme liquide à l’intérieur de la femelle, elle tente de le retenir le plus longtemps
possible en serrant les fesses pour coincer le mandrin. Aussi rapidement qu’il est rentré, son amant
sort dans un bruit mou sa matraque canine. Elle reste pantoise de la rapidité de la prise, et de son
anus grand ouvert, s’écoule vers sa moule le liquide blanchâtre.
Julien relève la table pour être à la bonne hauteur pour les saillies avenir.
Pendant que le chien faisait sa saillie, Sophie est entrée avec un poney. Elle se met à masturber
l’équidé, qui semble apprécier le traitement. Sa pine, est maintenant bien raide, elle fait dans les
trente-cinq centimètres pour une grosseur d’au moins sept à huit. Cela dure cinq minutes, le temps
que le membre soit dure pour la saillie.
Pat devine la suite, il est dégoûté de la tournure que prend la soumission d’Odile mais il ne le
montre pas. Jusqu’à là rien de bien extraordinaire, avec les reptiles ça passe, mais là avec un poney
c’est un peu exagéré…………………
Sophie attrape l’animal par son harnais et le dirige vers Odile qui étant sur le ventre ne voit rien
venir. Puis elle amène la bête derrière Odile, Sophie lui pose les pattes sur la table.
Le mâle est maintenant au dessus de la femme qui a sa moule bien ouverte, le sexe tendu du poney
est à quelques centimètre de l’entre-cuisse de la femelle. Julien ordonne a Sophie de mettre en
contact les deux sexes, dés qu’il sent la douceur et la moiteur du vagin, le géniteur s’excite et donne
deux ou trois violent coups de reins pour pénétrer la femelle offerte.
Sous l’assaut, Odile est embrochée assez profondément, elle pousse un cri de surprise.
Comme c’est bien visqueux, il peut la rentrer d’un coup !
Le poney est arrivé à lui rentrer plus de vingt centimètres tout d’abord. Au fur et a mesure des va et
vient, c’est au moins plus de trente centimètres de bite qu’il arrive a faire circuler dans son vagin
distendant les chairs d’une manière obscène. Odile se laisse envahir sans protester. À force de
persévérance, il met le feu à ses
sens. Ils le laissent s’accoupler
bestialement avec la femme. Elle se sent écrasée par un corps qui pèse sur elle.
Odile pousse des feulements de femelle qui se fait saillir car c’est ça dont il s agit : une saillie.
Mais que c est bon, maintenant c’est elle qui aspire le monstre de chair. crie son plaisir………….
Patrice fasciné par le spectacle, voit les lèvres de sa moule collées au mandrin qui la ramone. Elles
l’épouse, elle rentrent avec lui quand il rentre. Elles le collent quand il ressort comme pour le
retenir. En ouvrant les yeux, elle aperçoit les hommes qui regardent son baiseur en plein effort.
Personne cherche à contenir le mâle qui le sexe tendu et bien raide, enfile cette femelle qui est
ballottée et qui à plusieurs reprises a bien failli être désarçonnée de la table d’où elle s’accroche
comme un naufragé s’accroche a sa bouée.
– Bon sang que c’est bon !! Ce qui circule comme ça en moi, c’est gros et dur, comme j’aime…
Odile arrive comme cela a une sorte d’orgasme très spécial, a la fois puissant et violent.
Le mâle ne se contrôle plus, il lui bourre la moule a grands coups de reins en poussant des cris de
satisfactions.
Après l’avoir tringlé pendant encore quelques instants. La première fusée fait gonfler la gaine
vaginale déjà encombrée, une mare de foutre se crée autour du gland et remonte difficilement vers
la sortie. Le reproducteur à lâché une quantité impressionnante de sperme qui coule sur les cuisses
de la femme, le reproducteur se retire doucement, laissant une impression de vide impressionnante
son sexe a perdu de sa rigidité.
Odile ne bouge pas, heureuse, et repue de ce qu’elle vient de se prendre dans son puits d’amour qui
n’en fini pas de se vider d’un liquide blanchâtre assez épais.
Sophie raccompagne le Poney, en sortant elle croise Chloé avec l’autre poney. Arrivé derrière la
suppliciée elle entreprend de masturber l’autre poney, qui très vite s’est mis à bander en présentant
de bonnes dispositions.
Chloé qui n’aspire qu’à une chose, faire subir a Odile le même traitement que son amie. Comme
précédemment, elle approche la bête par le licol, Chloé se saisi du membre bien raide pour le diriger
non pas dans la grotte de sa copine mais dans son anus encore imprégner de semence canine.
Odile reprend ses esprits, au fond d’elle-même elle se passerait bien de la sodomie pour rester sur ce
souvenir de bonne baise …….
Dés qu’il rentre en contact et qu’il sent la chaleur anale, avant qu’elle n’est pu réagi, il enfonce son
gland sans prévenir, le mandrin de l’assaillant plonge dans les entrailles de sa nouvelle femelle.
Poussé par de violents coups de reins, il écarte les chairs intimes de la femme, pour venir se ficher
dans le ventre d’Odile, une brûlure atroce accompagne la pénétration.
– AIIIIIIIEEEEEEEE ! J’ai très mal, retirez le !!
L’anus d’Odile est mis à rude épreuve sous les assauts répétés de son amant, Pat à de la peine pour
elle.
— Allons, ne fais pas ta mijaurée, tu ne t’attendais pas à ça ?? Elles y sont toutes passées et y sont
revenues !! Quand la tête est passée, le reste passe, dans une minute tu nous en diras des nouvelles.
Lui dit Julien
— … C’est vrai la douleur s’en va……… Ça fait bizarre par là ….
— Tu vois ? Il rentre comme dans du beurre, ça fait toujours mal ?
— Ben, non ça va, ça fait même du bien maintenant !!
Elle sent la queue entrer toujours plus loin, les chairs distendues font que le membre entre par à-
coups.
Pat regarde fasciné, cette bite bicolore rentrée et sortir de cette anus qui ce resserre autour de celle
ci. Les deux grosse couilles viennent frappées violemment les lèvres intimes et le clitoris d’Odile
dans un bruits mouillés. Elle pousse de grands râles qu’on peut facilement assimiler à de la
jouissance. La bouche grande ouverte, elle semble chercher de l’air pour pouvoir mieux crier.
– HOOUUUUU !!! HAAAA !! OOUUIIIII !!!! OUI ! OUI ! OUI ! OUIIIIIIIIIIIIIII !!!
Malgré tout cette femelle projette son postérieur au devant de cette matraque qui la laboure en lui
arrachant plusieurs cris. Maintenant à chaque coup de reins les couilles de son amant s’écrasent sur
son clitoris et lui provoque des orgasmes à répétition, inondant la table deux fois d’une éjaculation
féminine. Cela dure au moins dix minutes quand enfin elle sent une rivière de liquide chaud gonfler
son ventre cela n’en finit pas, elle le sent couler le long de ses cuisses. Elle n’a jamais ressentie cela,
elle continu a jouir sans discontinuer, elle est pleine de sa semence.
Enfin l’amant se retire avec un bruit de ventouse, le sexe débandé sort de son anus rougi
complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot ininterrompu de sperme s’échappe de
l’anus béant de la femme, flasque il retombe en laissant un flot de semence couler au sol.
Après s’être fait ramoner ses deux puits d’amour, d’où ne cesse de couler un liquide épais qui fait
penser à du yogourt, elle reprend peu à peu ses esprits.
– Reste dans cette position, demande Julien à Odile en contournant à son tour la table, il présente sa
bite turgescente aux lèvres de la femme qui lui délivre la plus belle fellation dont elle est capable…
Devant cette croupe offerte le sang de Patrice ne fait qu’un tour et à son tour il plonge avec
délectation son gland dans la grotte sacrée. La tension sexuelle qui lu a noué le bas du ventre lors de
tous ses ébats se libère et à son tour, il s’épanche dans ce corps offert… Alors qu’il saisit un rouleau
d’essuie tout pour essuyer le sperme de ses amants, le sien et les viscosités laissées par les poissons,
et qui s’écoulent du corps d’Odile, Sophie, revenue, le repousse et se met en devoir de la bouche et
de la langue d’effectuer cette toilette. Julien à son tour explose dans la bouche d’Odile. Le temps
qu’elle finisse d’avaler le plaisir de Julien. Marc investit a son tour cette bouche si chaude et si
accueillante, pour recevoir le même traitement que son ami, dont il ne sera pas privé.
La nuit était déjà bien entamée lorsque ils quittent la pièce.
Odile, couchée sur le dos sur le côté, se repose, en silence. Ils ce dirigent vers la salle de bains afin
de prendre une douche. Quelques temps plus tard, alors qu’ils sirotent un whisky dans le salon et
que Julien lui dit tout le bien qu’il pense de leur couple, Odile douchée, parfumée et vêtue d’un
peignoir, accompagnée de Chloé et de Sophie font leur entrée parmi eux.
– Je vais me coucher, tu m’accompagnes ? Déclare Odile en le regardant de ses grands yeux et dont
les cernes qui les bordent disent toute la fatigue qu’elle ressent.
Ils prennent congé de leurs hôtes et ce dirigent vers leur chambre.
Odile fait glisser son peignoir pendant qu’il se déshabille, il admire la courbe de ses hanches,
quelques griffures dut aux pattes des chiens strient sa peau. Ils se glissent dans les draps frais et il la
serre dans ses bras.
— Merci pour ce cadeau un peu douloureux mais tellement original et excitant, lui dit-elle en
offrant ses lèvres…
Ils s’endorment rapidement serrés l’un contre l’autre.
Les premières lueurs de l’aube pointent lorsqu’ils glissent hors du lit sans faire de bruit. Patrice
laisse un petit mot à Julien pour le remercier de son hospitalité sans faire référence aux traitements
dont Odile a été le jouet……………….
Les voici de retour à la maison, il est très inquiète de sa réaction, elle lui dit combien elle est ravi de
ce qui s’est passé, et qu’elle a vécue une découverte extraordinaire.
– Permets-moi d’aller prendre une douche, je dois me nettoyer !!
Une demi-heure plus tard, Odile est de retour. Elle a revêtu un peignoir léger et vient se blottir
contre Pat.
Dès qu’il l’a devant ses yeux, elle le fait fondre. Avec tout ce qu’elle a endurée, sa seule
consolation, c’est de savoir qu’en dépit de tout, elle l’aime et il en est persuadé.
– Voila ce que j’ai à te dire, je ne peux pas t’expliquer ce qui c’est réellement passé en moi,
pourquoi tous ces délires, pourquoi m’être identifiée autant à la femelle de ces mâles ? Mystère !
— Ma chérie ! Je me doutais que ces deux jours n’allaient pas être de tout repos, mais là, ça a
dépassé tout ce que j’aurais pu imaginer ! Quant à tes délires, tu sais, je pense que cela vient de ta
particularité à sur-réagir à toute forme d’excitation sexuelle dès lors qu’il s’agit de circonstances
exceptionnelles. C’est ainsi quand tu te trouves des mâles qui commencent à t’exciter, bien vite tu
perds pieds et tu ne maîtrises plus rien du tout, ce qui t’amène aux excès que tu as pu connaître
dernièrement.
La différence avec les chiens, c’est que là avec les anguilles et les équidés, il s’agissait d’une
expérience inédite, un coït d’une nature inaccoutumée qui t’a remplie d’une façon extrême et
excessive, d’où une jouissance à la mesure de ces excès qui a complètement déréglé ton esprit.
Inconsciemment tu as alors fait un transfert de personnalité, de femme humaine, tu es passée à la
femelle de celui qui te montait. Comme une femelle qui ne se fait saillir que dans le but de procréer,
puisqu’elle n’accepte le mâle que pendant les périodes où elle est fécondable, tu t’es sentie investie
dans ce rôle normalement dévolu à une : assurer une descendance à celui qui t’ensemençait.
Maintenant je ne te cache pas que cela m’inquiète, tu as vraiment quelque chose qui ne fonctionne
pas chez toi ! Tu me l’avais plus ou moins expliqué, tu as un désordre dans tes organes génitaux qui
ne te permettent plus de réagir logiquement lorsque ceux-ci sont anormalement excités.
— Je ne m’attendais pas a tout ce qu’ils ton fait subir. Au départ il était question de m’enseigner a te
soumettre comme tu aime………Mais là je ne veux pas te faire subir tout ce qu’il ton fait subir. J’en
resterais surtout a arrêter toute nouvelle expérience zoophile, car tu finirais par en perdre la raison.
— Tu crois ? Pourtant j’ai ressenti une telle jouissance, comparable à nulle autre, que c’est tentant
d’y retourner.
— Écoute, si tu le fais, ce sera sans mon aval ! Et crois bien qu’un jour où l’autre ça risque de mal
se terminer ! Surtout si tu retentes l’expérience avec ces espèces de serpent aquatiques, un jour il ne
te laisserons plus repartir. Et ces équidés avec leurs manies de te prendre le cou dans leurs
mâchoires, tu te rends compte s’il venait à serrer un peu trop fort? Ce genre d’amant ne sent pas sa
force !
— Mais non ! Tu exagères ! Jamais ils ne me feront de mal, il me considère comme une femelle !
— Bon, écoute, on en parlera un autre jour. Sinon, physiquement, tu ne souffres pas trop au niveau
de tes parties génitales ? Elles ont été tellement malmenées.
— Ben, ça pourrait aller mieux ! J’ai la vulve distendue et endolorie, et l’anus aussi. Il me faudra
quelques jours pour que tout redevienne normal.
— Tu veux que je te mette de la crème adoucissante ?
— Si tu veux !
— OK ! Va dans la chambre et allonge toi sur le lit, j’arrive.
Pat passai donc dans la salle de bains prendre le pot de crème et une serviette et part la rejoindre.
Pat la trouve allongée. Il dégage son peignoir et lui fait écarter les cuisses. Il prend une bonne dose
de crème avec ses doigts et lui étale sur la vulve qui est effectivement bien rouge. Il enduit
l’extérieur puis entreprend de lui en mettre également à l’intérieur. Très vite, ce sont quatre doigts
de sa main qui entrent sans difficulté à l’intérieur de son puits d’amour. Il est complètement
distendu. Pat réunit ses doigts en cône, le pouce à l’intérieur, et pousse sa main en tournant et en
rajoutant de la crème. Sa main avance sans difficulté, la partie la plus large disparaît bientôt à
l’intérieur et quelques instants plus tard, c’est sa main complète qui est introduite. Cela se fait sans
aucune difficulté. Il est en train de fister Odile sans qu’elle n’émette aucune plainte.
— Ça va ?
— Oui ! Oui !
De contempler ce moignon de bras enfoncé puis ressortir du sexe de cette femme lui provoque un
véritable délire sexuel.
Pat entreprend la même opération sur l’anus d’Odile. Là aussi sa main rentre sans aucune plainte
d’Odile.
L’érotisme de cette scène lui déclenche une glorieuse érection. Pat sort sa main de ce fourreau
brûlant et s’essuie rapidement dans la serviette. Puis il prend position entre la fourche des cuisses
restées écartées et s’engouffre dans ce sexe béant. La sensation est des plus bizarres dans la mesure
où il ne sent pratiquement pas les parois du vagin dans lequel coulisse librement sa verge. Sa
compagne ne réagit pas non plus. Il faut dire à sa décharge, qu’après ce qu’elle a vécu ces derniers
jours, ce n’est pas un sexe d’une taille même relativement enviable qui va la faire monter au
7ème ciel.
Par contre, en ce qui le concerne, même avec une excitation mécanique plus que modérée, rien que
de savoir qu’il occupe la même place que celle qui ont été complètement envahie par une énormité
animal le met en transes. Très rapidement il sent le plaisir lui monter des reins et il se déverse
longuement dans ce pauvre sexe malmené.
Complètement épuisée par ces deux journées dont elle se souviendra longtemps, Odile dort déjà.
Pat l’installe dans le lit et la recouvre avec drap et couvertures. il lui dépose un baiser sur ses lèvres
en lui souhaitant une bonne sieste, mais elle ne l’entend pas.
Enfin d’après midi, Odile se lève. Lorsqu’elle le rejoint dans la cuisine pour prendre un petit goûter.
Il m’aperçoit que la sieste lui a fait du bien.
Par contre, le soir, il voit que cela ne va pas si bien que ça. Elle est toujours rêveuse, elle semble
comme absente. Lorsqu’il lui en fait la remarque, elle le rassure :
— Non, non ! Tout va bien !
Toute la semaine ce fut la même chose. Ce qui l’inquiète au plus haut point, c’est le fait qu’elle
semble avoir perdu tout appétit sexuel. Le calme plat ; pas de soirée avec son amour, pas de gang
bang non plus avec ses amants canins, lorsque Pat essaye elle lui fait comprendre qu’elle n’a pas
envie. Pat en vient à craindre qu’elle ne soit en train de sombrer dans une dépression. Il ce jure de
ne plus recommencer a vouloir la soumettre ainsi.
En fait, elle est sortie très marquée de sa partie de soumission et surtout de son expérience
chevaline. Le bouleversement qui s’est opéré en elle a atteint son équilibre psychique.
Le week-end suivant ils sont aller chez les enfants de Patrice. Si le lundi il voit qu’il n’y a pas
d’amélioration, ils iront consulter.
Heureusement le changement d’air du week-end semble lui être bénéfique. Elle parait plus gaie,
plus active. Le mardi soir, ils ont fait l’amour.
La semaine suivante sa santé s’améliore tous les jours, elle est désormais sortie de l’espèce de
spleen baudelairien qui l’isolait et l’avait plongée dans une crise d’angoisse.
Signe de sa guérison, elle reprit ses galipettes habituelles avec ses amants canins.
A partir de là, leur vie peut donc reprendre son cours.
Sam Botte
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