Daniel gare sa voiture dans l’allée. Il coupe le moteur et attrape ma tête. Il enfonce sa bite tout au
fond de ma gorge et me tient comme ça jusqu’au moment où je me débat pour avoir de l’air. Puis il
relève ma tête et fait en sorte que mon visage soit bien éclairé par la lumière du porche. On voit les
rideaux du salon bouger. On sait que maman regarde.
– Très bien Odile, ça suffit. Maintenant je veux que tu sortes de la voiture. Tu te tiens devant et tu
enlèves ta culotte. Puis tu me l’amènes.
Sachant bien que ma mère regarde, je sors de la voiture seins nus. Je me dirige vers l’avant de la
voiture, soulève ma jupe et enlève ma culotte imbibée de sperme. Les phares m’aveuglent presque.
Je tend ma culotte à Daniel. Il la prend puis il me tripote les seins et pince chaque mamelon. Puis il
me donne mon haut que j’enfile sur mes seins nus et je disparaît par la porte arrière de la maison.
Ma mère est furieuse. Daniel n’a pas seulement baisé sa fille, il l’a transformée en esclave sexuelle.
Elle n’a aucune idée de ce qu’elle va faire. Elle est tellement en colère qu’elle ne peut penser
correctement. Et sa colère est décuplée quand elle voit pendre ma culotte au doigt de Daniel. Elle
sort, du venin dans les yeux. Elle s’avance vers lui.
Daniel sort de la voiture, s’appuie sur le capot et attend. Il sourit, et lève le bras, la culotte imbibée
de sperme au bout de son index.
– Bonsoir Madame ! Odile a oublié quelque chose dans la voiture.
– Petit salaud !!! Tu as baiser ma fille !!! Alors c’est le mariage ou la prison ??
– Je ne pense pas aller en prison ……….. Donc ce sera le ?
Toute nue, sans me laver, je me glisse sous mes draps tout en réalisant que plus rien ne sera pareil.
En une nuit, mon monde a été bouleversé. Je suis devenue une esclave sexuelle d’un garçon que je
connaît à peine. Je suis à la fois effrayée et excitée par l’avenir.
Il m’avait ordonné après notre mariage.
– Tu t’habilleras avec les robes les plus sexy et tu porteras aucun sous-vêtement, je veux que tu me
sois toujours offerte.
– Avec lui, j’ai eu à mon actif, pas mal de partenaires, de l’homme seul (en trio) à plusieurs hommes
(jusqu’à douze !) et aussi avec un couple. Il y a eu plusieurs couples ; l’amour au féminin, avec une
ou plusieurs partenaires et aussi des relations avec un ou plusieurs animaux. J’étais entièrement
sous son emprise, j’étais sa soumise, son esclave sexuelle.
– Avec mon mari, nous étions vraiment débridés et aventureux d’un point de vue sexuel.
Il me prenait littéralement quand il voulait ; pendant mon sommeil, au réveil, en levrette sur la table
pendant ma pause café, je le sucer devant la télévision, assis, debout, au cinéma, au restaurant, au
spectacle. Enfin bref, j’étais sa chose, son esclave sexuelle sans vergogne, et ça m’excitait
beaucoup.
– A vingt ans, j’avais déjà assouvi la plupart de mes fantasmes, pour les siens, il lui suffisait de
m’en parler. J’étais devenue une accro du sexe, je dirais même que j’étais devenue une
nymphomane. Durant de nombreuses années, j’ai fait l’amour avec un bon nombre de mecs, j’ai
baisé avec beaucoup d’hommes, je me suis fait sauter à deux, à trois, à plusieurs, j’ai été prise dans
toutes les positions possibles, en simple, en double, en sandwich, je peux dire que j’ai tout essayé,
j’ai avalé des litres de sperme, j’ai eu dans ma chatte des petites bites, des moyennes, des longues,
des courtes, des grosses, des bien membrées, des noires, mais rien ne me satisfaisait totalement.
– Il y avait toujours quelque chose qui me manquait, un je ne sais quoi ! Étais-je devenue une
femme insatisfaite par les hommes ! Que se passait-il avec mon corps ! Que devais-je faire pour
retrouver un bien-être.
– Mais avec la bite d’un chien ça me donne des sensations absolument différentes de celui d’un
homme : Plus visqueux, plus pointu, plus long aussi, je le sens très profondément. Et le rythme
aussi est différent, plus rapide. Et la sensation de cette fourrure contre ma peau sa chaleur sur mes
reins. Puis le durée de l’accouplement, par fois interminable.
Tandis qu’elle lui donne ces détailles, Pat voit dans ses yeux un nuage rêveur que perce une lueur
malicieuse. Elle semble penser : C’est incroyable ! Je me fait prendre par des chiens ! ?
– Une fois, nous en avions même réalisé deux en même temps ; le faire sur la plage et en trio avec
son pote black. Sous ses ordres, j’ai sucé la grosse bite de son pote pendant qu’il me laminait le cul,
allongé sur le côté. Ils m’ont remplie de foutre, c’était très bien !!
– Chaque jour, nous repoussions nos limites sexuelles sans encombre et avec beaucoup de
créativité.
Jusqu’à ce jour, ou plutôt cette soirée, au cours de laquelle nous avions parlé à son ami Gustave.
Il avait une assez large carrure, des habits amples, des cheveux longs, bouclés et bizarrement
attachés, c’était un bon ami d’enfance de mon mari, que nous avions déjà croisé plus d’une fois en
soirée.
– Nous avions picolé et parlé de sexe, comme toujours. Ce soir-là, il nous a laissé sur place lorsqu’il
nous a avoué que le sexe avec nos amis les chiens était bien plus d’actualité et répandu que nous ne
pouvions l’imaginer. Il connaît parfaitement ces bêtes, il travaille dans un chenil.
Impossible de le croire ?? Et qui pourrait faire ça ?
Quelques semaines plus tard, Gustave s’était lassé d’entendre Daniel lui dire que c’était un mytho.
Alors il nous a proposé, si nous avions suffisamment de courage, de venir constater par nous mêmes…
Je me souviens en avoir beaucoup ris, puis finalement, Daniel m’a dit :
– Pourquoi pas ? Après tout, c’est juste pour regarder, vérifier, alors il a accepté l’invitation.
Moins de dix jours plus tard, il nous recontacta pour nous donner les précisions suivantes :
Vendredi, vingt trois heures trente, au Chenil d’un ami à Gustave.
Nous étions tellement excités, qu’on a baisé une demi-heure avant d’y aller.
Ensuite, j’ai enfilé une robe noire une pièce qui s’arrête au milieu des cuisses, elle me donne un air
un peu pute, il aime bien ça pour nos soirées. Mon corps était bien emballé ainsi.
Le Chenil se situait à deux kilomètres de la départementale, au bord d’une petite forêt, à notre
arrivée, les chiens aboyaient dans un sacré vacarme, qui s’était rapidement estompé.
Gustave nous accueillit.
– Ah !! vous êtes venus c’est bien, vous ne serez pas déçus.
– Pourquoi choisir cet endroit pour la soirée ? lança mon Daniel.
– Vous verrez, ce soir, c’est la preuve de mes dires. Une seule condition ; énorme discrétion, pas un
mot, nous dit-il en se retournant avec un regard dur et sérieux, pointant son doigt sur les lèvres.
– OK, ça marche, promis. Répond mon Daniel.
Nous sortîmes du parking en avançant dans l’allée sinueuse. Il y avait une petite maison,
probablement de deux-trois pièces, agencées spécialement pour l’utilité du lieu (une salle de soin,
une de toilettage et l’accueil). Au fond du terrain, éclairées par deux petites lampes, on pouvait voir
des cages grillagées en grande quantité, d’où s’élevaient sporadiquement les hurlements de chiens.
Puis nous entrâmes dans l’espace qui servait d’accueil, où nous attendait un autre ami avec quelques
bières fraîches, que nous n’avions pas tardé à boire.
Moins d’une demi-heure après, on entendit une voiture dans l’allée, Gustave interpella ses
collègues :
– Allez c’est parti !!
Ils se mirent à bouger dans tous les sens, mais de manière parfaitement ordonnée, chacun savait ce
qu’il avait à faire, probablement grâce aux expériences antécédentes. Gustave nous fit chut de la
main, puis fit signe de le suivre.
Nous avions marché le long d’un sombre chemin, puis nous sommes entrés dans une sorte de grand
parc pour chien, grillagé autour, quelques jeux épars et un spot qui éclairait un coin discret du lieu.
Au milieu de la place se trouvait un banc rembourré. Le banc était suffisamment haut pour que
quelqu’un puisse s’allonger dessus sur le ventre à quatre pattes en étant soutenu. Il y avait une plateforme parallèle, mais s’étendant au-delà de la longueur du banc, avec ce qui semblait être des
empreintes rembourrées pour les genoux, et à l’extrémité des plates-formes, il y avait des sangles en
cuir bouclées.
Gustave a rit quand il m’a surpris en train de regarder l’engin.
– C’est un banc d’élevage !! dit-il en riant…….
J’étais totalement effrayée, entre l’obscurité de la nuit, le silence et parfois quelques hurlements de
chien. On aurait dit une scène de mauvais film d’horreur.
Je me suis agrippée au bras de mon mari.
Qu’est-ce qui nous attend ? Dans quoi il m’a entraîné ? Autant de questions qui trottaient dans ma
tête.
Gustave installa un grand drap blanc sur le banc en attendant son hôte. Au loin, nous voyons un
collègue accueillir deux personnes qui sortaient d’une voiture de luxe. Plus les ombres
s’approchaient, plus on pouvait les distinguer. C’était un couple visiblement très riche. L’homme
presque la soixantaine, les cheveux gris blancs, plaqués en arrière, chemise beige aux manches
repliées, pantalon en lin blanc, mocassins, il tenait quelque chose sous le bras. La femme d’une
quarantaine d’années, belle femme, fine et grande, blonde, avec un visage un peu sévère. Elle
portait uniquement un gros vison clair, cintré, de marque, et sous le bras un sac.
Ils s’arrêtèrent en nous voyant, Gustave les réconforta en leur disant :
– Ils sont cool, ne vous inquiétez pas. Ils nous saluèrent poliment. Nous avions discutés un peu. La
femme était, à notre grande surprise, vraiment sympa et ouverte. Pendant ce temps, l’homme
installait la petite caméra sur trépied qu’il avait ramené sous le bras.
– Tu es prête chérie ?
– Comme jamais poussin, lui répondit-elle, excitée.
– OK, la caméra est prête, on peut commencer.
On se douta rapidement ce qui se tramait devant nous, néanmoins on ne veut pas vraiment le croire,
comme si le cerveau bloquait cette information impossible à concevoir par notre éducation. Jusqu’à
ce que l’on aperçut la bête intenable, excitée, tirant un malheureux qui maintenait sa laisse depuis la
sortie des boxes. C’était un magnifique mâle berger allemand, à poils longs, robuste, dont les
dresseurs tentèrent absolument de calmer le rut.
La blonde s’élança, comme pour entrer sur un ring, elle ôta d’un coup son vison.
Surprenante révélation !! Elle était complètement nue en dessous, de son long corps tout fin, ses
beaux seins pointant, sa fente totalement épilée, seuls ses bijoux épars sur les poignets et le cou
étaient maintenus, par pudeur probablement. Elle s’allongea en pleine lumière sur le banc à quatre
pattes. Elle pouvait se détendre, le banc la soutenait pleinement. Le banc était assez court pour que
ses seins pendent librement d’un côté et son corps inférieur de l’autre, la largeur des fermetures
signifiait que sa chatte et son cul étaient exposés aux éléments, elle y était totalement vulnérable.
Le chien à peine calmé et libéré tournait nerveusement autour d’elle, lui sentant l’entrejambe
ruisselante, dégoulinante. Le canidé avait beau lécher sa chatte, il n’aurait jamais écumé toute la
mouille qui en sortait. Elle gémissait. Aucun des deux ne semblait être novice en la matière.
J’étais tétanisée, tremblotante, alors j’ai attrapé le bras de mon mari pour me blottir, sans louper une
miette du spectacle. Mes tétons pointaient durs.
Le mari encourageait sa cochonne :
– Allez va-y chérie, ça tourne !
Dans un ultime tourbillon, la femme s’immobilisa, le berger allemand la recouvrit pratiquement de
sa robustesse, alors que son bassin cherchait nerveusement son bonheur.
D’une main habile, elle le guida à son puits inondé. Un coup de bite du clébard suffit à l’emboîter.
Les autres s’enchaînèrent frénétiquement, le chien vibra dans le bassin de la bourgeoise à une allure
impressionnante, lui infligeant de puissantes saccades.
Sous nos yeux, la femme, protégeant son corps en tenant les griffes de l’animal, gémit, couina sous
les assauts puissants du chien. Elle eu deux violents orgasmes, le premier peu après la pénétration
de la bête, le deuxième pendant l’accouplement. Son jus inonda le drap blanc.
Alors que son mari branlait une petite bite en filmant la scène.
Voyant ça, il s’approcha de la belle et lui présenta sa queue devant la bouche. Emportée par
l’excitation, elle se jeta sur ce sexe offert et commença une fellation. Mais la situation le dépassa, il
fit tout ce qu’il peut pour se retenir, mais la situation est telle qu’il n’y arriva plus. Il tenta de sortir
de la bouche de sa femme, mais celle-ci s’accrocha à son sexe comme un bébé à son biberon Il ne
put plus se retenir et dans un long gémissement, il lâcha son foutre dans la bouche de la femme qui
avala l’offrande avec plaisir, le chien toujours en elle, elle continua à sucer le dard de son mari qui
de ce fait ne perd presque pas de vigueur. Ils restèrent dans cette position pendant un moment, elle
jouissant tant et plus avec le sexe du chien dans le sien et pompant celui du mari dans la bouche.
Je susurrai à l’oreille de mon Daniel :
– Si tu savais comme ça m’a excitée, j’ai de la cyprine qui dégouline sur mes jambes depuis tout à
l’heure.
– Moi j’ai la bite qui va exploser dans mon pantalon, quand on rentrera, je te déglingue ma salope.
On s’est embrassé fougueusement.
Bizarrement, la femme et le chien ne se sont pas séparés, Gustave nous informa à voix basse que
c’est dû à la nature du chien et d’une boule qui gonflerait pour bloquer sa proie du jour.
Au bout d’un long moment, le nœud de son amant ayant dégonflé, celui-ci peut retirer son sexe de
celui de la femme. Il descend de sa chienne et entreprend de lui lécher tout le foutre qui sort de sa
chatte dilatée
Devant ce spectacle, son mari se répandit une nouvelle fois dans la bouche de la femelle ainsi que
sur son visage, car elle lâcha la queue en criant de plaisir, elle peina à revenir dans le monde réel,
lui, il contempla sa femme encore sur son nuage de jouissance il la trouva belle.
Son mari lui demanda :
– Tu as envie de te faire baiser par d’autre ?
Elle leva la tête, pour répondre :
– OH ! Oui mon chéri.
Inutile de prétendre autre chose.
Un collègue de Gustave amena un Mastiff anglais. Puis Gustave s’adressa à lui.
– Va aider son amoureux à enculer cette femelle !
Le nouveau mâle de son nez hume l’air et il remua la queue. Il se souvint bien d’elle et… De son
odeur ! Les chiens sentent des centaines d’odeurs de fois mieux que nous.
La pine du chien grossit encore d’où s’écoule un liquide. Gustave dit sèchement :
– Aide le à la monter sa femelle.
Le chien, monte sur elle en faisant attention de ne pas la griffer. L’assistant positionne le bout tout
mouillé de sa pine contre l’anus de la femme lui, dit :
– Vas-y !!!
Un grand coup de reins de l’animal et la femelle se retrouva avec une énorme bite dans le derrière !!
Ses yeux s’écarquillèrent et elle poussa un cri de douleur en relevant la tête !!
Heureusement ce n’est pas la première dois qu’elle se fait sodomiser. Enfin, par un chien ??
Le mari demanda :
– Pas le nœud ! L’assistant se précipita et entoura le sexe du chien de la main. Sinon, un bon coup
de reins et il aurait vraiment dépuceler l’anus de la femme…
Le chien accéléra, elle commença à grimacer et à geindre de plaisir. Il faut dire que le sexe de son
amant est énorme. Enfin, il envoya à son tour, la sauce.
– L’autre chien. !! Dit le mari qui filmait toujours.
Sa femme est toujours à quatre patte sur le banc, le sperme ne ressortit pas de son cul comme il l’a
fait de sa chatte !
Gustave amena l’autre chien. Il avait bien sûr envie de monter la femelle à son tour, c’est un Danois
avec une bite bien plus grosse. Le mari parla a sa femme.
– Allez fait pas cette tête là, ça glissera mieux !!
A son tour, le Danois prit la femelle, entre ses pattes et l’encula bien profond.
Qu’est ce qu’il avait dit le mari ? Ça va tout seul !! Enfin pour le chien, sa femme recommença à
geindre de plaisir !! Le mari, redemanda :
– Cette fois, le nœud !
Le Danois accéléra, Gustave mets sa main sous eux. Il sentit le nœud gonfler, et dit au chien :
– Vas-y !!!
Oh oui, il y va ! Il donne un tout grand coup de rein et la femelle était secouée par un orgasme du
tonnerre avec un cri en rapport !!
Ça y était le nœud de la taille d’une orange avait forcé l’anus qui se referma sur la base de la pine !!
Elle continua à jouir !! C’était dedans, il n’y a plus rien à faire !! Les cris de jouissances de la
femme redoublèrent, il dut l’ensemencée.
Le mari coupa sa caméra pour aller jouir sur le visage de sa femme, cette dernière lui lustra le sexe
pour patienter le temps restant. Puis, lorsque le chien se déboîta, ça y est… le sexe, le nœud, le
sperme, tout ressortit de son anus, qui resta bien ouvert !
J’eus le visage rougi d’excitation, la chatte humide et gonflée, un rien, un effleurement m’aurait fait
exploser dans un puissant orgasme. Je ne réalise toujours pas ce qui s’est passé en moi ce jour là.
Je n’aurais jamais pu imaginer une telle chose si j’avais croisé un jour cette femme dans la rue, avec
toute sa classe et son élégance.
Mais indéniablement, cette histoire a fait naître en Daniel le germe d’un nouveau fantasme, la
zoophilie.
Arrivé à la maison ce fut un festival d’amour physique.
Sam Botte
La suite demain même heure
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