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La baronne Histoire taboue zoophilie extrême Chapitre 7

La baronne Histoire taboue zoophilie extrême Chapitre 7
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Mon cher Patrice je continue a te raconter ma vie d’avant ?
– Oui ! Va y raconte je suis tout ouïe.
– Il faut savoir, qu’a mon premier rendez-vous de femme qu’il m’avait donné j’étais dans la tenue
qu’il m’avait demandé ; Mini-jupe, haut blanc transparent et sans culotte et sexe épilé.
En montant dans sa voiture, ma mini jupe ne pouvait cacher ma chatte nue, entièrement épilée. Ce
jour-là, j’ai découvert mes premiers émois de femme soumise. Il a voulu me soumettre et
développer mes capacités de soumise.
Lorsque j’arrivais chez Daniel, il m’ordonnât de me déshabiller entièrement et de m’installer à
genoux. Je tendais fièrement mon cou lorsqu’il s’approchât de moi avec un collier de chienne
soumise. Il me l’attachât en me caressant les cheveux. La jeune fille allait se muter en soumise.
Chez lui, il aimait me promener à quatre pattes, tenue en laisse. Je m’appliquais à garder mon cul
bien cambrée, prête à tout instant à me faire prendre en levrette, comme une bonne femelle.
Daniel devait pouvoir se servir de tous mes trous quand il le souhaitait. Il en va de même
concernant l’utilisation de ma bouche. Mon amour voulait pouvoir la baiser comme mes autres
trous. Il m’avait appris à le sucer et à faire des gorges profondes. J’étais enchantée qu’il puisse s’en
servir comme vide couille quand bon lui semblait. Déguster son sperme était toujours un plaisir.

Mes seins et mes puits lui étaient toujours facilement accessibles. Je me devais d’être toujours prête
à son arrivée, et maquillée. S’il était facile et évident pour moi de le satisfaire ainsi, il m’a fallu un
certain temps pour être totalement ouverte aux autres hommes à qui il me présentait. Son appétit de
sexe étant énorme, il m’avait offert un gang bang pour mon anniversaire. J’étais rassurée qu’il mène
cette réception et me disait combien il aimait voir sa femme ainsi abusée. Je pouvais recevoir dans
tous mes trous ces bonnes grosses queues juteuses et encaisser leurs incessants allers retours, en
jouissant comme une folle.
Pour moi c’était ça l’amour, faire ce que me demandait mon homme.
Quelques mois plus tard nous étions marié, et je lui avais déclarée que je l’aimais et qu’il pouvait
faire de moi ce qu’il voulait du moment qu’il m’aime. Il était souvent absent des jours entier pour
son travail.
Un soir, en rentrant, je reçu un appel téléphonique de Daniel me demandant :
– Retrouvons nous au restaurant pour le dessert. Tenue sexy exigée bien sûr !
Je le rejoignis rapidement. Il m’attendait devant le restaurant. Daniel était accompagné de son chef ?
Nous avons passer un moment très sympa avant de rentrer chez nous. Je sais que Daniel ne pensait
plus qu’à une chose à présent. Dans cette tenue mes courbes étaient encore plus marquées. Mon
sexe coulait déjà et j’attendais la suite des hostilités avec impatience.
Affublée du collier et de la laisse Daniel me laissait m’allonger sur le canapé. Je gardais les jambes
bien écartées afin d’exhiber mon sexe de comme une bonne chienne en chaleur. Son chef ne put
s’empêcher de me tripoter et mon mari le laissa faire d’un sourire approbateur. Il fouilla ma grotte
d’amour et je sentais mon désir monter en flèche. Je me tourna vers l’entrejambe de son chef pour
avaler sa queue bien raide.
– Daniel !! Ta chienne est une vrai pompe à foutre. C’est un vrai bonheur d’avoir sa queue dans la
bouche !
Pendant que je le suçais, les doigts de son chef me fouillaient le minou. Daniel l’invita à me remplir
bien plus la bouche. Il me fourra ainsi la bouche pendant quelques minutes avant que je ne puisse
reprendre ma respiration.
Tout en continuant de me faire baiser la bouche, je me positionna à quatre pattes sur le canapé
présentant mon cul tendu à mon mari qui décida alors de défoncer mon petit puits d’amour. Je me
concentrais sur ma bouche pour ne pas faire mal à son chef. alors que mon mari me bourrait le cul
rudement. J’adorais être ainsi utilisée et avoir la bouche et le cul bien remplis en même temps.
Je m’appliquais pour faire du bien à son chef et devenais folle sous les coups de reins de Daniel. Je
jouissais d’être ainsi prise des deux côtés. Mon sexe était inondé, j’étais aux anges. Nos orgasmes
se mêlèrent dans des cris de bêtes. Après une tel débauche, nous avions tous besoin de retrouver des
forces et j’essayais de résister à la fatigue qui me submergeait. Son chef nous quitta quelques temps
plus tard me laissant aux pieds de mon Daniel sans oublier d’utiliser mes orifices une dernière foi.
Daniel m’envoya rejoindre mon lit à quatre pattes. Je m’attachais à me déhancher avec le plus de
sensualité possible, lui offrant la vue de mes trous encore rempli de sperme de son chef et grimpais
sur le lit en restant à quatre pattes. Il voulait se faire encore plaisir dans mon cul. Il s’enfonça alors
dans mes entrailles et me défonça profondément le cul, sans ménagement. J’avais du mal à ne pas
couiner.
Je cambrais un peu plus mon dos pour qu’il puisse aller encore plus profondément en moi. Je
sentais les spasmes de sa queue et il vida ses couilles en déversant son sperme chaud en moi. Je
m’endormis ainsi ouverte et remplie peu de temps après, heureuse et reconnaissante envers mon
amour de m’avoir utilisé sans retenue comme une bonne chienne.
Mon mari et ses amis aimaient me maltraiter. Ils aimaient me traiter comme une chienne. Il faut dire

que Je suis une chienne. Je le suis sûrement depuis toujours.
J’ai toujours aimé être humiliée et maltraitée. J’étais devenue qu’une vide-couilles comme disait
mon mari à ses amis lorsqu’il leur proposait de me baiser. Ma seule ambition est de plaire a mon
homme. Il pouvait se servir de moi comme il lui plaisait. Mon mari était un vicieux. Il n’a jamais
cherché à me garder pour lui seul. Je ne me refusais jamais à un homme, ni à une femme. Un jour, il
m’a emmenée sur sa moto voir des copains. D’abord il a fallu que je les suce tous puis ils m’ont
baisée.
J’ai adoré les remarques obscènes de ces garçons qui se servaient de moi pour leur plaisir. J’ai adoré
le foutre dont il me souillaient le corps. L’un de ses copains était militaire. Il était très viril et très
dominateur. Il aimait me ligoter comme il avait appris à le faire dans les commandos. Lorsque
j’étais totalement à sa merci, il me fouettait et malmenait mes seins. Après ça, quand Daniel était
absent, j’ai été l’esclave d’une femme. Les soumissions avec elle étaient plus psychologique et
subtiles.. Elle avait l’art de m’humilier avec raffinement. C’était moins douloureux, et plus jouissif.
J’avais rencontré Monsieur il y a longtemps à la demande de Daniel. Je croyais qu’il était un de ses
amis et j’avais pour ordre de le satisfaire. Ce soir, j’allais à nouveau lui faire plaisir devant Daniel
en bonne chienne que j’étais, toujours disponible. En rentrant le vendredi soir, je savais que Daniel
était avec son ami a qui j’avais déjà été offerte. Je filais sous la douche, me détendis sous l’eau
chaude, me pomponnais et enfilais une tenue sexy. Je les rejoignis ainsi dans le salon.
Je savais que Monsieur ne pensait qu’à une chose mais Daniel aimait faire que la tension monte
petit à petit pour arriver à son paroxysme. C’était aussi un moyen pour lui de montrer qu’il était le
seul Maître à bord. Je me sentais bien dans mes habits de bonne chienne. Je savais que dans cette
tenue mes courbes étaient encore plus marquée et j’adorais cela. Mon sexe coulait déjà et j’attendais
la suite des hostilités avec impatience.
Je m’allongeais sur le canapé et gardais les jambes bien écartées afin d’exhiber mon sexe de
chienne en chaleur. Monsieur ne pouvait s’empêcher de me toucher et Daniel le laissait faire d’un
sourire approbateur. Il me caressait le sexe et je sentais mon désir monter en flèche. Daniel
ressentait mon trouble et finissait par me dire :
– Lâche toi ma petite salope. Donne toi totalement à mon ami !
Alors que Daniel me caressait les seins, je prenais dans ma bouche le sexe tendu de Monsieur et
avalais sa grosse queue. J’étais une vraie pompe à foutre. Les doigts de Monsieur me fouillaient et
j’adorais ça. Je m’employais à lui faire une gorge profonde comme je savais si bien les faire. Je
l’invitais à me baiser la bouche. Je souriais à mon Daniel, heureuse de me comporter en bonne
chienne sous ses yeux.
Il me souriait approuvant la situation. Je me positionnais à quatre pattes et présenta mon cul tendu à
mon mari qui décida alors de me sodomiser. Je me concentrais sur ma bouche pour ne pas faire mal
à Monsieur alors que Daniel me défonce le cul. J’adore être ainsi utilisée et avoir la bouche et le cul
bien remplis en même temps. Je m’applique pour faire du bien à Monsieur et deviens folle sous les
coups de reins de mon homme.
J’ai jouis une nouvelle fois d’être ainsi prise des deux côtés, d’être une bonne chienne et sentir que
mon sexe était inondé. J’étais aux anges. Nous avions tous besoin de retrouver des forces et
j’essayais de résister à la fatigue qui me submergea. Après quelques verres de champagne, je
prenais une position provocatrice pour attirer l’œil des deux mâles. Cette fois, mon homme me
présenta sa queue à l’entrée de ma bouche. Je l’avalais à son tour. J’eus une pensée tendre alors que
je sentais mon plaisir monter pendant que Daniel me défonçait la bouche. J’avais découvert ce
plaisir grâce à lui, celui de la gorge très profonde et j’aimais lui montrer quel plaisir je prenais

maintenant à être ainsi malmenée au fond de ma gorge. Pendant ce temps Monsieur s’occupe de
mes trous jusqu’à ce qu’il me recouvrit le cul de son sperme concentré et épais.
Je savais que mon mari était satisfait de sa bonne chienne. C’était aussi pour moi un honneur de
faire plaisir à ses amis. Je voulait le remercier pour cette soirée. Étant à quatre pattes à ses pieds, je
commençais à lui lécher les pieds. Je me frottais ensuite à sa jambe comme une bonne chienne le
ferait avant de reprendre sa queue en bouche. Mon art l’a fait éjaculer rapidement et il se vida sur
mon visage. Tous épuisés, Daniel m’envoya rejoindre mon lit à quatre pattes.
Toujours aussi chienne, je me déhanche et me cambre avec le plus de sensualité possible, lui offrant
la vue de mes trous. Nous nous endormîmes enlacés heureux de notre nuit de folies.
– Il faut que je te dise que moi aussi je ne suis pas que soumise, j’ai tendu la perche un peu trop loin
des fois ce qui m’a valu des situations scabreuses après de la part de Daniel.
– Écoute bien ce que je vais te raconter tu comprendra que j’ai aussi ma part de responsabilité dans
ma débauche.
Un jour je décide de prendre ma voiture pour passer l’après midi à faire les boutiques.
Il faisait chaud ce jour là. Le midi j’avais manger un peu trop épicé, ce qui m’a donnée une soif du
tonner.
Je décidé de passer par une petite supérette de quartier pour acheter une bouteille d’eau. J’allais
souvent au même endroit, car il y a un jeune caissier timide, que j’aimais bien aguicher. Quand il
me voyait, il rougissait immédiatement. J’étais vêtue d’une robe légère, blanche à impressions, à
fines bretelles. Ma poitrine généreuse soulevait le décolleté ample, il suffisait que je me penche un
peu pour que l’on puisse avoir une vue totale dans mon décolleté et sur mon ventre. A cette heure le
magasin était peu fréquenté.
Seule à la caisse, j’avais posé mes deux petites bouteilles sur le petit tapis roulant. Le caissier s’en
ai saisi pour passer le code barre, en rougissant. Saisissant le porte monnaie dans mon petit sac, je
l’ai vidé sur le tapis pour faire l’appoint. Je m’étais penchée lui montrant ainsi une vue imprenable
sur mes seins et mon ventre. Il a prit l’argent de mes mains, comme une poule qui picore du grain. Il
tremblait, il m’a proposé un sac que j’ai refusé, lui disant que c’était pour consommer rapidement.
Après un grand sourire de toutes mes dents je suis partie. Comme à chaque fois, cet épisode m’avait
mis le feu au ventre, je sentais le fond de mon puits d’amour tout mouillé.
J’avais décidé de faire un peu de lèche-vitrines avant de rentrer, mon mari n’arrivant pas avant
vingt heures ce soir là. Bien entendu, ce sont les magasins d’habillement qui ont retenu mon
attention. Le temps était lourd et mon corps était moite. La circulation automobile était fluide, la rue
calme. Absorbée par la vitrine d’un marchand de chaussures vers laquelle je me penchais, j’ai reçu
une tape et un violent coup entre les cuisses, suivi d’une impression de chaleur sur mon intimité.
La surprise m’a fait pousser un cri. En me retournant j’ai vu qu’il s’agissait d’un chien de bonne
taille, que l’odeur de mon sexe suintant avait attiré. J’ai houspillé ce chien pour le faire partir, il
continuait de me suivre, à chaque fois qu’il le pouvait, essayait de coller son museau sous ma courte
robe pour me lécher. Plus je le chassais plus il me collait, prenant sans doute mes cris pour un jeu.
Agacée, je décidais de retourner prendre ma voiture pour rentrer chez moi. Le chien me suivait, il
ne me lâchait pas.
Sur le parcours qui mène au parking, il y avait un immeuble en chantier. Alors que je criais après le
chien qui avait réussi à me mettre un coup de langue supplémentaire, un homme est sorti d’une
cabane de chantier servant de bureau de vente. Il a réussi à écarté le chien et m’a conviée à patienter
quelques instants en sa compagnie et celle de deux autre hommes présents. Il faisait chaud dans le

bureau. L’homme a expliqué aux deux autres ce qui se passait.
Ils m’ont proposé une bière ambrée que j’ai acceptée. La chaleur et aussi l’alcool de la boisson
m’ont fait tourner la tête rapidement. Dans un faux mouvement, mon petit sac est tombé au sol et
plusieurs pochettes de préservatifs ont atterris au milieu du bureau. Aussi gênant que cela puisse
paraître, j’ai senti que je mouillai violemment.
Comme je me penchais pour les récupérer je fis découvrir mes seins par devant au regard de l’un et
mon cul par derrière au regard des deux autres. L’un a dit que j’étais une femme prévoyante, l’autre
en voyant les pochettes, gourmande aussi. J’ai répondu qu’il fallait savoir prendre des précautions
de nos jours avec les inconnus.
Tous les trois prenaient mes mots pour une invitation. L’homme du début m’attira à lui, il
m’embrassa, je ne l’ai pas repoussé. Très vite je m’étais retrouvée nue. La porte du bureau fermée
les rideaux tirés. Ma moule gourmande demandait du sexe.
Le chien continuait de japper à l’extérieur, peut être qu’il sentait au travers des cloisons du
bungalow ce qu’il se passait ?
les trois hommes se collaient à moi pour me peloter, m’embrassaient. Ils se déshabillèrent
rapidement et je me retrouvais en levrette avec une belle bite dans ma grotte d’amour et une autre
dans la bouche. L’homme qui me baisait s’était servi dans mes capotes et m’enfilait à grand coup de
reins très lents, me serrant par les hanches. Il me projetait à chaque pénétration vers la bite de celui
que je suçais. La bite sentait fort mais ce n’était pas désagréable. Ils ont changé plusieurs fois de
place, j’étais toujours en levrette. Ma grotte d’amour dégoulinait de mouille. Chacun allait de
quelques mots me traitant de bonne salope, de pute et autre.
Comme à chaque fois cela fait monter la tension et la partie de baise ne s’en trouvait que plus
chaude. Devant ma réceptivité à me faire baiser, l’un d’eux a voulu varier les plaisirs,
m’introduisant un doigt dans l’anus. Voyant le peu de résistance de ma part, il en a mis un second,
puis se servant de ma mouille comme lubrifiant, m’a sodomisé. Comme je suçais toujours une bite
et voyant mon cul aller à la rencontre du sexe, ils ont compris que j’étais habituée à baiser avec
plusieurs partenaires. Chacun leur tour ils m’enculèrent. Le temps passait, et le chien jappait
toujours à la porte.
Le stock de capotes diminuait, je n’acceptais pas de sucer une bite qui venait de m’enculer. Je
n’arrêtais pas de jouir. Ils me relevèrent, l’un s’est allongé sur la table très basse et m’a demandé de
m’empaler dessus. J’avais compris de suite ce qu’il allait faire et je m’y soumettais bien volontiers.
Je m’étais retrouvée avec une bite dans la chatte, une dans le cul et une autre dans la bouche. J’ai
encore joui immédiatement. Ils jouèrent avec mon corps pendant encore une dizaine de minutes. Le
premier à lâcher à été celui que je suçais. Il m’en m’était plein au fond de la gorge au moment ou je
lui m’étais un doigt dans le cul.
Sans me demander mon avis, il a tout déchargé. Comme j’aime le foutre, je le nettoyais bien de ma
langue agile. Restaient la bite dans mon anus et l’autre dans mon minou. Les salauds avaient adopté
une cadence régulière, pompant un coup la chatte, un coup le cul. Curieusement j’étais fatiguée de
prendre du plaisir. J’avais serré les fesses, forçant mon enculeur à jouir rapidement, ce qu’il
n’apprécia qu’à moitié.
Il ne me restait plus que mon baiseur qui lui semblait plus résistant. Je me mis à sauter sur son
ventre, et dans ma frénésie, je n’avais pas entendu la porte s’ouvrir. Par contre je sentis le souffle
chaud et la langue râpeuse du chien me couvrir les fesses. La sensation était pas désagréable. J’avais
laissé les choses se faire. La tension est encore montée d’un cran dans le bungalow quand les
hommes constatèrent ma passivité aux coups de langue du chien. L’homme que je chevauchais,

m’encourageait par des mots salaces. Le chien récupérait de sa langue la mouille qui coulait de mon
vagin. L’un avait suggéré que peut être je n’en avait pas encore assez. Il poussa le chien vers moi. Je
sentais le souffle de l’animal dans mon dos.
D’un coup le chien sauta sur mes reins entourant mes hanches de ses pattes. Mon partenaire
l’encourageait en me ceinturant pour que je ne me déroba pas. Je sentais le chien donné des coups
de reins dans le vide. J’étais excitée par ce qui allait se passer. Les trois hommes m’encourageaient
à me laisser faire. Je sentais des giclées de liquide chaud s’écraser contre mes fesses et couler
jusqu’à l’entrée de ma grotte. L’un des deux s’est approché, il a saisi le sexe sorti du chien, qui
grogna un peu mais se laissa faire. J’appréhendais qu’il me baisa mais comme ma grotte était
pleine, le salaud le dirigea vers mon anus.
Heureusement que tous les trois m’avaient bien rodée. La bite était énorme, bien plus grosse que la
leur. Le chien que la situation excitait depuis un bon moment avait déjà formé son nœud. Quand il
s’enfonça tout au fond et d’un coup la boule est venue se stopper à l’entrée de mes reins s’en
pouvoir pénétrer. Le chien se déchaîna dans un rythme frénétique. Je sentait qu’il m’envoyait des
giclées de liquide chaud dans mon boyau. Sa grosse queue me faisait jouir sans discontinuer. Mon
partenaire avait lâcher son foutre dans la capote dès le début, s’extirpant non sans mal de dessous
moi pour jouir visuellement du spectacle. Je cambrais mon cul, baissé mes épaules vers la table
basse pour que le chien puisse m’enculer plus loin.
Enfin après quelques minutes, il s’est cramponné à moi de ses pattes avant, il resta collé et
m’envoya des jets chauds et saccadés au fond du cul. Les trois hommes étaient ébahit par le
spectacle ils ne disaient mot, un filmait la scène avec son portable. Moi je continuais de jouir.
J’appréciais la chaleur de ce liquide dans mes entrailles, comme un liqueur apaisante. Le chien se
décolla et après s’être lécher la queue il était venu me lécher le cul. La porte s’ouvrit à cet instant
sur un homme noir habillé d’un uniforme.
Stoppant net sur le seuil. Il laissa échapper le chien qui son acte accompli sentait qu’il était de trop.
Le nouveau venu était le vigile du chantier. Il était surpris de nous voir tous les quatre nus, moi les
seins collés à la table le cul à l’air. Le chien qui l’accompagnait ne se posa pas de question. Les
odeurs qui flottaient dans la pièce étaient explicite pour lui.
D’une Brusque détente la laisse a échappé à la main du maître, tout de suite ma chatte s’est trouvée
envahie d’un nouveau sexe. Moins gros que le premier, le chien me pompait la chatte avec encore
plus d’ardeur. Je sentais sa bite au moins aussi volumineuse que celle de son congénère taper au
fond de ma matrice. Il a renforcé sa prise de ses pattes avant, poussé plus fort, et je sentais une
grosse boule se former dans mon ventre. J’avais la chatte écartelée, le souffle coupé. Il pris appui
sur mon dos, ses pattes arrières ne touchaient plus le sol.
Il se vida dans ma grotte. Je sentais les traits chauds de son sperme dans mon ventre. Pendant qu’il
resta accroché à ma moule, j suçais son maître, j’avalai son jus au moment ou le chien se détacha de
mon corps dans un bruit de succion. Pendant que son sperme coulait sur mes cuisses, je me léchait
les lèvres du jus de son maître, en regardant la grosse boule rentrer dans son fourreau.
Sur le chemin du retour, les jus canins s’écoulaient sur mes cuisses en les lubrifiant. J’en riais
pensant que mon mari serait très fort s’il arrivait à identifier à l’odeur ou au goût de ma moule et de
mon cul, le nom de mes amants ?
Dix minutes de marche séparaient le chantier du parking. En marchant je sentais le vent refroidir
mes cuisses maculées de sperme canin. Il était environ dix neuf heures trente quand j’arrivais chez
moi. Mon Daniel était là. Comme à son habitude depuis tant d’années de mariage il m’attira à lui

pour m’embrasser, et ce faisant mit sa main entre mes cuisses.
Étonné de trouver autant de sécrétions sur mon entre jambes, il portait ses doigts à son nez pour
s’assurer que c’était bien ce qu’il pensait. Devant son air interrogatif, j’ai dû lui faire part de ma
dernière aventure. Il n’a pas été étonné quand je lui ai dis que trois hommes m’avaient baisée, mais
quand je lui ai parlé des chiens, j’appréhendais sa réaction.
J’étais très étonnée en comprenant qu’il aurait bien aimé être là pour me voir enfilée par un chien. Il
s’est d’ailleurs posté derrière moi pour m’enfiler, sans préambule par derrière, faisant jaillir de mon
anus des reliquats de sperme canin. Il me demanda de lui décrire dans les moindres détails ce que
j’avais ressenti. J’ai dû lui avouer que j’avais joui très fort, que oui j’avais aimé et que pourquoi pas
j’étais prête à recommencer.
Après cet épisode qui m’avait comblé, nous avons passé une période d’un petit mois où à chaque
occasion mon mari me reparlait des chiens.

Sam Botte

La suite demain même heure

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