– Attend ce n’est pas tout ! Je continue.
Nous avions un chien baptisé Roro. Il fut notre premier chien dans cette villa, il est mort depuis. Je
me doutais que Daniel espèrait me faire saillir par Roro qui a été dresser pour ça.
– Un dimanche l’heure du déjeuner est arrivée.
Je passe un body sexy avec un chemisier à fleurs et une jupe plissée s’arrêtant pas loin sous mes
fesses. En arrivant à table, Daniel me complimente sur ma tenue avec un clin d’œil. Le repas se
passe un peu comme dans un rêve pour moi qui songe par anticipation à mon après-midi.
Pendant que je range Daniel file chercher Roro au garage.
En pensant à tout cela, je sens ma moule commencer à se trempée. Nous sortons dans la propriété et
commençons à nous diriger vers le bois avec Roro qui fait des allers et retours entre le bois et nous.
Daniel est habillé d’un short et d’une chemisette. Il porte avec lui un sac à dos jeté sur l’épaule,
avec une couverture à l’intérieur. Il m’embrasse, en me caressant les fesses, je réponds avec plaisir à
son baiser et m’entraîne vers le bois, Roro, libre de toute laisse tourne autour de nous en jappant
joyeusement.
Il passe parfois son museau sous ma jupe pour me flairer les fesses et parfois donne un coup de
langue sur mon body imbibé de mouille, je m’accroche au bras de Daniel, l’excitation monte en
flèche. Daniel me sourit en ouvrant mon chemisier pour me caresser la poitrine emprisonnée sous le
body Tout en continuant ses caresses, il me guide vers un endroit où le bois est un peu plus épais.
Arrivés où il le voulait, il installe la couverture au sol et m’y guide en m’embrassant et en
m’enlevant mes vêtements. Roro, lui, a planté sa truffe dans mes fesses, il me lèche le sexe en
remontant dans la raie des fesses. Daniel doit le repousser brièvement pour dégrafer l’entrejambe du
body puis laisse Roro reprendre ses léchouilles. Je sens mon excitation monter en flèche sitôt mon
sexe et mon bouton livrés directement à la langue canine.
Blottie dans les bras de Daniel, j’ai rapidement un premier orgasme sous la langue de Roro.
Si Daniel ne m’avait pas retenue, je se serait effondrée sous la décharge de plaisir. Il m’assoit et en
profite pour se dénuder rapidement. Il présente sa queue déjà bien gonflée à ma bouche qui
s’empresse de la gober et la sucer comme une affamée. Roro, ne pouvant plus accéder à la source
du jus de sa maîtresse tourne autour de nous en jappant d’impatience. Après quelques instants à
sucer mon mari, je me relève, laissant Roro reprendre ses léchouilles, et j’embrasse mon Daniel.
Il me murmure à l’oreille qu’il aimerait bien me prendre par derrière pendant que Roro me prendrait
par mon puits d’amour. Mais avant de rentrer dans mon cul, Daniel va devoir me préparer, il me
retourne pour me mettre dos à lui. Roro a alors accès directement a mon sexe qui dégouline autant
de salive canine que de ma propre mouille.
Daniel commence à me fourrer un doigt dans le cul, puis profitant de la mouille et de la salive, il
lubrifie progressivement ses doigts avant d’en enfoncer deux puis trois dans le cul de sa chérie.
Estimant le chemin prêt, il remplace ses doigts par sa bite et s’enfonce à travers ma rondelle
assouplie, je gémit de bonheur en sentant ma rondelle écartelée. Roro lui, continue son travail sur la
moule de sa chienne, attendant de pouvoir aller plus loin Quelques allers et retours plus tard, Daniel
m’entraîne en arrière pour m’asseoir, tout en gardant sa bite enfoncée dans mon jardin secret.
Sitôt Daniel au sol, mon sexe est au bon niveau, Roro, impatient, se précipite pour prendre la place
libre. Son sexe déjà bien érigé émet déjà du liquide tellement Roro est excité, moi, toute à mon
bonheur avec la bite dans le cul, je ne me rends pas tout de suite compte que Roro est en face de
moi et tente de rentrer sa bite dans ma grotte brûlante Après quelques tentatives infructueuses, la
bite canine trouve le chemin inondé et rentre d’une traite jusqu’au fond de mon impasse. Le nœud
ne tarde pas à gonfler et à bloquer les deux bites dans mes puits d’amour. Je commence à hurler
mon plaisir, Daniel, la bite coincée par le manque d’espace dans mon cul, sent les contractions de la
bite de Roro émette une grande quantité de liquide dans ma grotte.
Daniel n’a pas besoin de bouger, mes contractions anales et celles de la bite Roro suffisent à lui
provoquer un massage des plus agréables Afin de tenter de réduire le bruit de mon plaisir, Daniel
me fait tourner la tête et m’embrasse avec fougue. Au bout d’un temps qu’aucun de nous ne pourrait
estimer, le nœud de Roro dégonfle. Ce faisant, il libère du même coup la jouissance de Daniel, qui
avait la queue trop comprimée dans mon boyau pour pouvoir jouir. Épuisée par la jouissance
ininterrompue depuis que Roro était entré en moi, je me rends à peine compte que Daniel joui à son
tour.
Sitôt sa bite sortie de mon puits d’amour, Roro entreprend un nettoyage en règle de sa chienne.
Lorsque mon mari retire à son tour la bite du cul de sa femme, Roro élargi ses coups de langue à
toute ma raie culière. Une fois le nettoyage de Roro terminé, Je me glisse sur la couverture et
m’endort. Daniel m’enlace, alanguie par tant de jouissance, et me contemple en train de dormir.
Dans son coin, Roro nettoie sa bite en train de rentrer dans son fourreau avant de s’allonger et
d’attendre la suite. Bien que Roro ait nettoyé les orifices de sa maîtresse, du foutre continue de
s’échapper de mes deux trous. Daniel sort son téléphone et prend quelques photos de sa belle au
bois dormant. Il s’installe ensuite sur la couverture et m’enlace à nouveau avant de faire une petite
sieste lui aussi.
Quand Daniel se réveille, je suis en train de jouer négligemment avec sa bite qui recommence à
durcir sous mes attouchements. Une fois la bite redressée et bien gonflée, je plonge dessus et suce
mon mari avec vigueur. Je ne le lâche pas jusqu’à ce qu’il se vide dans ma bouche J’avale alors le
fruit du plaisir de mon amoureux avec délectation.
J’embrasse Daniel avant de me relever et de commencer à me rhabiller, Daniel reprend son
téléphone et fait quelques photos de moi enfilant mon body puis mes habits Une fois habillée,
Daniel se lève et se rhabille à son tour Il ramasse la couverture tâchée de foutre et la roule en boule
pour l’emporter dans son sac, il sort une bouteille d’eau et m’en propose avant de boire à son tour
Une fois le tout rangé, il m’enlace la taille et, appelant Roro, nous reprenons le chemin de notre
maisons en nous embrassant régulièrement.
Quelques mois plus tard…………………….
– Ma chérie, ma soumise… Je doit m’absenter pendant un long moment, mon chef de cabinet
m’envoie en Afrique.
Comme je veux t’emmener plus loin, là où même tes fantasmes ne t’ont jamais emmenés. Je te
confit aux bons soins de Monsieur.
– Avant de continuer je vais t’expliquer comment j’ai connu Monsieur.
C’était autre jour, nous partons au restaurant, avec Daniel, comme d’habitude, il me demande :
– Tu n’as rien mis sous ta robe j’espère ? On ne sait jamais, chérie.
Je comprends qu’il y a de l’exhibe dans l’air, je suis déjà émoustillée. Dans ces cas-là, c’est toujours
une robe à boutons ouverte devant. Au Resto, le placier vient :
– Nous serons trois..
De ma part ??
– Trois pourquoi ?
– J’attends un ami !!
On s’installe, apéritif, deuxième, commande, au bout d’un quart d’heure, arrive un homme, bonne
cinquantaine, visage très dur, athlétique. Il me jauge.
– Bonsoir Monsieur, je te présente Odile dont je t’ai beaucoup parlé..
Repas très arrosé, champagne, la conversation tourne très vite au cul, naturisme, échangisme.
On connaît bien vu nos passages à Agde, où moi je n’ai jamais rien fait de concret, à part exhibe,
dans les vignes avant que ce soit très surveillé, maintenant.
Je commence à être très pompette. Ça va expliquer la suite…
Le type me regarde vraiment, me détaille, visage, poitrine, me scrute, il laisse tomber sa serviette, la
ramasse. Il veut voir mes cuisses sous la table, je serre les jambes me sachant sans slip. Le repas se
passe assez vite. Ils sont pressés, manifestement une idée en tête.
Là, Daniel prend directement le chemin d’un endroit où l’on va de temps en temps, vers un bois.
Monsieur assis à l’arrière, je suis devant. Daniel me dit :
– Chérie, tu devrais te mettre à l’aise, tu sais comme nous faisons. Je le regarde surprise, mais, tout
en conduisant, il déboutonne le haut de ma robe, laisse sortir mes seins qu’il caresse de la main
droite, comme il sait bien le faire,
– Continue, Odile ouvre là ! Ça ne te gêne pas Monsieur ? En général après le resto, elle aime bien
faire une exhibe ! Penche ton siège, chérie, allons Monsieur en a vu d’autre…
Je suis surprise, un peu dans les nuages, je m’exécute.
Je suis robe ouverte, nue, position couchette, à sa demande, je ne tarde pas, a mettre les deux pieds
sur le tableau de bord, cuisses grandes ouvertes, moule bien visible. Monsieur ne bronche pas. Pas
un mot, limite indifférent.
Là, un petit camion de chantier, plateau bas, Daniel, double, ralentit, double encore, forcément le
chauffeur me voit.
Daniel allume le plafonnier, éteint, plus de doute pour le camion, appels de phare. Ils suivent…
Ils sont trois dans le camion. On s’arrête sans un coin reculé, les types descendent du camion, des
ouvriers de chantier encore en tenue, entre cinquante cinq et soixante ans. Oh… Trois blacks !!
Me voyant, robe ouverte, toute nue, ils savent déjà qu’ils vont se régaler… L’endroit est connu.
Ils se placent de mon côté, sortent leurs bites !!
L’un est assez élancé, les deux autres petits gros, queues courtes, épaisses.
– Monsieur, monsieur, c’est votre salope ?? On peut toucher ??
Daniel fait non de la tête.
– Mais elle va tout vous montrer, t’inquiètes !!
Il me place la tête sur ses genoux, j’offre aux regards des blacks ma grotte, ouverte.
En fait je suis sur le dos, orientée vers eux, Daniel me caresse partout, me branle, m’excite, je
mouille beaucoup, je ruisselle même, très excitée.
Il retire ma robe. Il la tend à Monsieur qui la met sur le siège arrière. Je suis entièrement nue.
L’alcool, aidant, je me laisse aller… Je me retourne vers mon mari, offrant mon cul aux mateurs.
Ils se branlent comme des fous…
– Monsieur, s’il te plaît, on peut toucher ?? Baisses ta vitre, elle est trop bonne, quelle salope ! On
peut la baiser ?? Non ?
Échauffée au plus au point je me tourne, je m’écarte, je me présente !!
Là, Monsieur, commence à me caresser aussi. Je tressaille, Daniel me dit :
– Allons Odile, Monsieur est mon ami. Laisses toi faire ma chérie. Je suis d’accord.
Monsieur me ramène en position couchette, je suis donc à côté de lui, allongée, les blacks matent,
se branlent. Il me caresse partout lui aussi, les seins, le ventre, la moule, il me pétrit, comme si déjà
je lui appartenais. Daniel baisse la vitre électrique ce qu’il n’avait jamais fait auparavant.
De suite les mains des deux blacks les plus âgés se précipitent, fouillent ma grotte très ouverte, très
humide, mais avec ménagement. Leurs queues sont sorties, raides, tendues, un a baissé son
pantalon.
Je ne sais plus quoi faire, encore une fois. D’ailleurs quoi faire ? Je laisse, l’un des deux demandes :
– Monsieur s’il te plaît, ouvres la porte, on voudrait la baiser c’est une vraie salope que tu nous
donnes, pour une fois, s’il te plaît !!!!!
Il déverrouille. La porte s’ouvre. Il n’avait jamais fait ça ! Monsieur m’attrape, me tire doucement la
tête vers lui de façon à ce que ma grotte soit bien orientée vers le black, le plus vieux, avec la plus
grosse bite. Le plus gros aussi, trapu et bedonnant.
Monsieur m’écarte la jambe droite, me tient ferme par les seins, je ne sais plus du tout ce qui se
passe. Mon mari et un type me tient, des blacks veulent me baiser !!
Le black rentre sa bite dans la voiture, se penche sur moi pour me prendre !!
Ébahie, troublée, je comprends qu’un fantasme enfoui va devenir une réalité ??
Daniel lui tend un préservatif, il le passe vite, s’appuie sur moi, me baise… !!
Il enfile sa grosse bite large, je la sens bien, gonflée, doucement, va et vient, ce poids sur mon
ventre est fort, il s’appuie, se colle, s’enfonce, profite de l’aubaine, pas brutal, ses jambes dehors lui
permettent de bien se maintenir pour me fouiller. Maintenue fortement par Monsieur, ses bras sous
moi, il me tient de ses deux mains par les seins. Daniel me dit :
– Relèves tes jambes, ma chérie, bouges bien, garde le en toi, aide le, baise le, pousse sur tes fesses,
laisse le faire !!
– Tu me fais plaisir, à Monsieur aussi, je lui ai dit que tu es gentille et très obéissante. C’est une
vérité ma chérie, je suis vraiment content de toi.
Le black jouit, à grands flots que je sens bien en moi la chaleur de son sperme dans la capote, sa
bite tressaute fort, je suis ailleurs…..
Je jouis aussi !! Cette situation est surréaliste !!
Mieux que dans mes rêves de salope. Les deux autres veulent aussi, Daniel fait non ! Une autre fois.
Ils giclent sur la voiture. Monsieur me ramène à lui. Daniel ferme, on repart.
Toujours toute nue, allongée, je ne réalise plus.
Ces deux hommes dont mon mari, viennent de me donner ! !
On rentre, arrivés près de chez nous, Monsieur me tend ma robe, je l’enfile sans la fermer. On
rentre, toujours robe ouverte, exprès, sur demande de Monsieur, il a pris un certain ton. On est chez
nous. Daniel me dit :
– Va te faire une beauté ma chérie, parfumes toi et reviens, à poil, bien sûr, Monsieur te connaît
maintenant.
Je reviens toute nue dans le salon, talons hauts, mon collier c’est tout et champagne.
Les deux hommes s’installent, un dans le canapé et Monsieur dans le fauteuil.
– Tu as été merveilleuse, ma chérie, au-delà de mes souhaits, maintenant Monsieur fait partie de la
famille… Tu vas nous faire une danse, tu es belle, je t’aime quand tu es comme ça !!
Une musique, très slow, je danse nue pour eux. Daniel me demande d’exciter Monsieur.
– Ne danses que pour lui, offres toi ! Offres toi bien, bouges bien ton cul, donnes toi à Monsieur !!
J’offre ma moule à Monsieur, je danse en prenant toute position, me tourne, me dandine, bouge les
hanches, le cul, j’ouvre ma grotte à deux mains, je me caresse pour lui, comme dans un film.
Je suis saoule de tout. L’alcool, la situation.
Je m’abandonne totalement. Désinhibée. Une impression de liberté totale. Monsieur, dans le
fauteuil sort sa bite, il est très poilu. Il a une bite moyenne, juste assez longue, encore une fois
épaisse, cela m’excite toujours.
– Ma chérie, suces le, j’ai envie de voir ça, suce, ma puce, continue sur ta lancée.
Monsieur se lève me tend sa bite, me fais mettre à genoux, fermement, je la met dans ma bouche.
– Tes mains derrière le dos Odile, avales le, surtout lèches le bien, comme pour moi.
Monsieur joue avec ma bouche, enfile, retire sa queue, me la donne, me la retire. C’est moi qui vais
la chercher, il se recule pour que je vienne la chercher ! Et j’y vais.
Dans ces conditions je suis très souvent à quatre pattes, il se baisse, pour que j’attrape sa queue dans
ma bouche.
Il joue avec moi. Comme il fait chaud, Monsieur baisse son pantalon, son slip, ouvre sa chemise,
torse et ventre très poilu.
– Bonne idée ! Génial !! Dit Daniel.
– Lèches lui le ventre et les seins, lèches ma chérie tu lui fais plaisir, je t’aime.
Je lèche Monsieur à petits coups de langue, il m’amène sur ses couilles. Demande
– Allez Odile, léchez moi sous les couilles, en dessous. Bien !! Très bien, doucement, décidément
Daniel, elle est vraiment bien !! Il va falloir me la prêter, elle est trop bonne, elle a bien apprise.
Monsieur ne jouit pas, il se contrôle parfaitement.
Ce qu’il veut c’est que j’obéisse bien à ses consignes, chaque fois, approuvées par mon mari.
Je le suce, je le suce, je le pompe, j’aspire, je lèche, consentante, obéissante,
Je fais plaisir à mon mari, à lui aussi. Pour moi tout ça est irréel, je découvre un plaisir infini…
Je ne me sens pas humiliée, le contraire, heureuse d’être à la volonté de ses hommes.
Monsieur met fin, dominateur, il me flatte partout le corps, me caresse, en commençant par les
chevilles, remonte, s’arrête sur ma grotte, la pénètre, remonte, pétrit mes seins, me tapote la joue,
content.
Daniel va rechercher du champagne.
– Ma chérie, assis toi dans le fauteuil, écartes toi bien, restes comme ça, donnes nous bien ta moule
et ECOUTES BIEN maintenant ! !
– Dorénavant, tu appelleras mon Patron : Monsieur, toujours. Tu feras ce qu’il te demandera,
comme pour moi. Même en mon absence, j’ai totale confiance…
J’autorise tout, absolument tout, te faire baiser, et plus enfin, si il y a des demandes tu baises à
plusieurs, je suis OK.
Je serai toujours informé, je pourrai en jouir aussi.
– Qu’en penses-tu chérie, tu es obligée, tu le sais. Tu es prête. Il faut y aller, on prendra toute
précaution. D’accord ??
Je m’entends dire :
– OUI, d’accord, oui je ferai, tout ce que tu veux.
– Parce que tu sais Monsieur Jean Paul est doux et ferme, il sait faire, tu vas évoluer beaucoup plus
vite qu’avec moi, lui il n’a pas à t’aimer, je te prête, il se servira de toi comme il voudra, te donnera
à qui il voudra, OK ??
– Oui, j’ai envie ………..Je ferai toujours tout pour toi tant que tu m’aime ??
– Mais bien sûr ma biche, bien sûr que je t’aime !! Je te préviens pas de jeunes, je ne veux te donner
qu’à des mûrs, comme ça tu seras encore plus prête et docile pour nous… Il pourra faire des photos,
je saurais que tu es une gentille salope.
– Je veux que tu sois très généreuse avec d’autres, mais seulement ceux choisis par Monsieur ou
moi. Tu auras de bonnes surprises, surtout des bons vicelards, bien mûrs, en manque.
– Tu seras un plaisir pour eux, dévouée, Monsieur garantit le choix, sans risques, il vérifie avant !
– Bien ma biche tu peux fermer tes jambes, tu es belle………..
– On va se coucher demain école.
Je raccompagne Monsieur, seule, il m’attire dehors sur le palier, toujours nue,
Pour bien me mettre en condition, il m’embrasse les seins… Une main dans ma grotte.
– Au revoir, Odile, prenez en l’habitude !!
– Au revoir Monsieur !!!
– Je reviens bientôt ! Je ne serai pas seul, Vous allez jouir Odile et surtout faire jouir !!
La suite sera largement à la hauteur de toutes ses promesses… !!
– Voilà comment Monsieur est rentré dans ma vie. Je te disais que Daniel s’absentait pour son
travail et qu’il me disait ?
– Tu dois aller à l’adresse indiquée au dos de cette carte.
Si tu ne veux pas alors notre relation s’arrête là tu ne me verra plus jamais ni aucun de mes amis. Si
bien sur tu décides de franchir ce cap, alors tu entrera dans un nouveau monde. Si tu m’aime
vraiment va te mettre au service de Monsieur.
Je tremble en l’écoutant. Perdre mon amour et mari, je ne le veux pas mais aller plus loin ?
Je fini par lui dire que j’obéirais a sa demande. Il me félicite d’avoir fait le bon choix.
C’est une semaine plus tard, alors que Daniel venait de prendre l’avion que je me rends a l’adresse
indiquée.
C’est Monsieur qui m’ouvre la porte ??
– Bonjour Odile ! Daniel veut que je te perfectionne dans ta soumission, alors on y va ?? Tu
m’appellera Maître dorénavant.
Moi ? J’attends la suite comme la bonne soumise qu’il veut que je sois. Il ôte sa ceinture et je
m’attend au pire. Mais je suis décidée de poursuivre cette aventure. Je le regarde un peu effrayée
croyant qu’il va me fouetter mais il me la passe seulement autour du cou.
– A défaut d’un collier et d’une laisse, je vais te traiter comme une chienne domestique !
Je le regarde surprise et interloquée puis baissant les yeux, je lui dit :
– Oui Monsieur !!
– Tu apprend vite je vais te dresser et tu connaîtra mille plaisirs mais aussi mille souffrances….
Domptée ?? Il me tient en laisse avec sa ceinture passée autour du cou et m’emmène sur un parking.
Il ouvre le coffre d’une voiture et prend quelques lanières. J’ai soudain peur ? J’ai beau me débattre
et essayer de crier, je me retrouve rapidement bâillonnée et poignets attachés derrière le dos.
Comme un sac de linges sales je suis jetée sur la banquette arrière et bloquée par les deux ceintures
de sécurité. Je gesticule dans mes entraves comme un ver de terre et ça a plutôt tendance à amuser
Monsieur. L’homme sans un mot se mets au volant et démarre. Au bout de vingt minutes, il me
semble que nous quittons la ville et roulons dans la campagne. Nous quittons la route pour
emprunte une allée.
La voiture entre dans ce qui je suppose être un garage et j’entends le bruit d’une porte qui se
referme. Il m’extirpe de la voiture.
– D’abord, tu vas apprendre à te conduire comme je l’entends. Je veux bien enlever ton bâillon mais
si tu pousses le moindre cri, je te le remets et pour des heures, OK ?
J’acquiesce les larmes aux yeux, en hochant la tête.
– Pas la moindre mot sans mon autorisation, compris ?
– Oui Monsieur ! Dis je brisée.
– Tu vas d’abord apprendre que c’est moi qui donne les ordres. Ensuite Daniel a décidé que tu seras
son jouet sexuel et je compte bien te dresser pour cela.
– Mais pourquoi ? J’étais prête à me donner à Daniel sans limites ?
– Parce que son fantasme est que sa femme soit dressée à être une pute soumise. Tu vas être une
chienne saillie par de nombreux hommes. Tu seras un objet sexuel, une vide couilles et une
bouffeuse de chattes.
– Je ne comprends pas ? Qu’es ce que vous dite ???
– Ne fais pas l’idiote, je sais beaucoup de choses sur toi, sur tes fantasmes, sur ce qui te fait
mouiller… C’est pas vrai ?
– Je veux que tu m’obéisses au doigt et à l’œil, OK.
– Oui Monsieur.
– Tu vas être dressée, crois-moi et il y aura des punitions pour te faire réfléchir. Je vais te détacher
et tu vas te mettre à poil.
– Oui Monsieur.
Je reçois une claque sur les fesses et là je ne peux m’empêcher de lâcher un petit cri de douleur. Des
larmes de honte et de douleur coulent sur mes joues.
– Maître ! salope ! Pas Monsieur.
– Oui Maître.
– Allez petite chienne ! A poil ! Ici tu n’auras pas besoin de fringues.
Une fois détachée, Je me déshabille fébrilement une boule au ventre.
Une foi nue, je tente bêtement de dissimuler de mes mains mes seins et ma chatte.
– La position à adopter pour une soumise est les mains derrière le dos et le regard baissé.
– Oui Maître.
Aussitôt malgré ma honte, je regarde le sol et me dévoile à cet homme en croisant mes bras dans le
dos.
– Met juste ce manteau sur toi. Nous partons dans une quart d’heure.
Je suis surprise et presque choquée mais j’obéis. J’enfile le dit manteau.
Sam Botte
La suite demain même heure
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