La chasse aux mamies est ouverte Chapitre 1

Chapitre 1 : L’Éveil des Sens

Imaginez un gamin de 18 ans, un peu comme Julien, qui n’a pas les yeux sur les pom-pom girls du lycée, mais sur des femmes qui ont vécu plusieurs vies avant même qu’il ne naisse. Oui, vous avez bien lu, Julien était fasciné par les vieilles dames, celles qui ont plus de 70 ans, parfois même 80. Pourquoi ? Eh bien, disons simplement qu’il y a quelque chose de magique dans les histoires que leurs corps racontent.

Ce matin-là, le parc était un spectacle d’automne, avec ses feuilles qui crissaient sous les pieds, et c’est là que Julien a trouvé son nouveau chapitre. Marguerite était assise sur un banc, l’air de quelqu’un qui a vu le monde changer plusieurs fois. Sa robe à fleurs aurait pu sortir d’un vieux film, lui donnant l’allure d’une héroïne romantique oubliée.

Marguerite, avec ses cheveux blancs comme la neige, avait un visage couvert de rides, mais pas n’importe lesquelles – celles qui semblent dessinées par les sourires et les larmes, chaque ligne un souvenir. Ses yeux, d’un bleu passé, avaient cette douceur qui vous fait penser à un ciel d’été en fin de journée. Et son corps ? Eh bien, il racontait une histoire de vie, d’amour, avec des seins qui pendaient comme des fruits mûrs, un ventre qui montrait la douceur de l’expérience vécue, et des bras où chaque veine et chaque tache de vieillesse était une note de son histoire.

Julien s’est approché, le cœur battant comme un tambour. “Bonjour, je ne pouvais pas m’empêcher de venir vous parler, vous avez une beauté qui n’est pas de ce temps,” a-t-il dit, avec la sincérité d’un gamin qui vient de découvrir un trésor caché. Marguerite a rougi, ce genre de rouge qui vous rappelle que, peu importe l’âge, on peut toujours se sentir vivant, désiré.

Ils ont parlé, mais oh, chaque mot de Julien était comme un fil tendu vers quelque chose de plus profond. “Vous savez, je crois que les femmes comme vous ont une classe, une histoire que les jeunes n’ont pas encore écrite,” a-t-il avoué, sa main touchant la sienne, sentant la texture de la vie sur sa peau. Marguerite, elle, a ressenti cette chaleur monter, comme un feu oublié qui reprend vie sous les cendres.

Ils ont échangé des anecdotes, Julien parlant de son amour pour les histoires, pour les vies qui ont laissé des marques. Marguerite, d’abord un peu gênée, s’est laissée emporter par cette conversation. Elle a réalisé combien elle aimait se sentir vue, non pas comme une vieille dame, mais comme une femme qui a encore quelque chose à offrir.

Julien, avec une douceur qui contrastait avec son âge, a posé sa main sur la cuisse de Marguerite, sentant la différence, la douceur d’une peau qui a vu tant de saisons. “C’est fou comme on peut encore se sentir jeune, non ?” a-t-il murmuré, presque à lui-même. Marguerite, sous cette caresse, a ressenti ce que c’est d’être désirée à nouveau, comme si le temps lui avait offert une petite parenthèse.

Ils ont convenu de se revoir, parce que, pourquoi pas ? Julien savait qu’il avait trouvé quelque chose de rare, quelque chose qui le faisait vibrer d’une manière qu’il ne comprenait pas encore pleinement. Pour lui, chaque ride, chaque courbe était comme un chapitre d’un livre qu’il voulait lire jusqu’à la dernière page.

Ce premier moment avec Marguerite, c’était le début de quelque chose de différent, un jeu où l’âge n’était pas une barrière, mais une porte vers des aventures inexplorées. Et vous, vous seriez-vous attendu à ce que le cœur d’un jeune homme batte pour des femmes dont la jeunesse est un souvenir lointain ?

Lilian

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