Après manger, le soir, Louis lui explique la prochaine séance : “Je vais te détruire le cul”.
Direction le donjon, Horty sait qu’elle souffrir.
Après une séance complète de 3 lavements anales très profonds, Horty s’installe sur le fauteuil gynécologique. Poignets attachés, chevilles cadenassés sur les étriers. Louis sort les pots de lubrifiants, des spéculums et des godes de toutes les tailles .
Horty halète, la peau moite collée au cuir glacé du fauteuil, ses chevilles déjà attachées par les étriers. Louis aligne les instruments sur un plateau chromé avec la précision d’un chirurgien.
“Trois lavements, c’était juste l’amuse-gueule,” murmure-t-il en enfilant des gants en latex noir. Le spéculum métallique claque dans sa paume. “On va vérifier si ton trou tient ses promesses.”
Elle ferme les yeux quand la pointe froide écarte ses fesses. Le lubrifiant coule le long de son anus distendu, trop épais pour être absorbé.
“Regarde,” ordonne-t-il en lui tirant les paupières. Le premier godemiché, épais comme un poing, luit sous les néons. “Tu vas compter chaque centimètre.”
Un gémissement rauque lui échappe quand l’objet s’enfonce sans préambule. Louis sourit en voyant son ventre se tendre sous la pression.
“Respire, salope. C’est juste la taille de ma main… pour l’instant.” Il tourne le spéculum, forçant l’ouverture béante à se maintenir. “On change d’échelle maintenant.”
Le second godemiché, strié de veines artificielles, arrache un cri à Horty quand il remplace le premier. Son pubis tremble, les chaînes des étriers vibrant sous les secousses.
Louis caresse la protubérance dans son ventre. “Attends de voir ce qui vient après.” Sa main se referme sur un objet cylindrique, bien plus large que les autres.
La vision d’Horty se brouille tandis que la base métallique froide du spéculum s’enfonce plus profondément, l’étirant davantage. L’objet cylindrique dans la main de Louis scintille, épais comme son avant-bras, s’effilant jusqu’à une pointe brutale.
« Non… » Le mot s’étrangle dans sa gorge tandis qu’il traîne le gland dans le mélange de lubrifiant entre ses joues. « S’il te plaît, pas aussi gros… »
« Tais-toi », grogne-t-il, le poussant en avant d’une poussée inexorable. Son corps se débat, ses muscles palpitent sauvagement, mais l’invasion ne s’arrête que lorsque son ventre se gonfle visiblement. Louis expire brusquement, regardant son orifice avaler chaque centimètre strié. « Voilà. »
Ses cuisses tremblent, la chaise gynécologique grince tandis qu’elle tente de se serrer. Il lui tape l’intérieur du genou. « Du calme. Ou j’ajoute l’accessoire gonflable. »
La menace l’ouvre encore plus. Louis esquisse un sourire narquois, faisant tourner le jouet jusqu’à ce qu’elle gémisse. « Bien. Maintenant… » Il actionne un interrupteur sur la base. Les vibrations commencent doucement, puis s’intensifient, faisant claquer ses dents. « Compte les secondes jusqu’à ton orgasme. »
Son cri se brise lorsqu’il enfonce un second spéculum dans son sexe en pleurs, la déchirant d’un coup. « Douze… treize… » halète-t-elle, le dos cambré sous la brûlure du double étirement.
Louis se penche, ses lèvres effleurant son oreille. « Je vais te déchirer avant l’aube. »
Horty hurle lorsque la vibration s’intensifie, son ventre ondulant sous la double pénétration. Les bords de son anus rougi palpitent autour du godemiché géant, chaque secousse électrique le faisant descendre plus profond.
Louis saisit un flacon de lubrifiant chauffant et en verse un filet brûlant le long de la tige. “Tu vois cette bosse ?” Il appuie sur son abdomen, là où la forme du godemiché déforme sa chair. “C’est moi que tu sens.”
Elle secoue la tête, bave coulant sur son menton, mais il lui écarte les mâchoires avec un doigt ganté. “Avale.” Le goût métallique du spéculum vaginal envahit sa bouche tandis qu’il y déverse le reste du lubrifiant. Elle suffoque, les yeux révulsés.
Un cliquetis métallique. Louis brandit une paire de pinces à tétons, les mâchoires recouvertes de picots. “Ton corps va apprendre à jouir de ça.” Les pinces se referment sur ses seins gonflés, et son cri se brise en hoquets saccadés.
Il enclenche alors la fonction rotative du godemiché anal. Les veines synthétiques frottent contre ses paroi internes avec une précision torturante. Horty se cambre, les chaînes des étriers tintant follement, son cul maintenant aussi large qu’un poing fermé.
“Regarde,” grogne Louis en forçant sa tête vers le miroir au plafond. La vision de son propre corps déformé, violé, la fait gémir. “Tu es née pour ça.”
D’un coup sec, il retire le godemiché et le spéculum, son sexe est béant, palpitant. Louis y enfonce quatre doigts sans prévenir. “Prépare-toi. La main entière arrive bientôt.”
Elle sanglote, mais son clitoris pulse, trahison humide entre ses cuisses. La suite sera pire. Elle le sait. Et son corps impatient l’effraie.
Horty gémit lorsque Louis retire ses doigts, son anus béant frémissant, ouvert bien au-delà de ses limites. Il attrape alors le godemiché gonflable, son latex noir luisant sous la lumière crue, et le glisse sans effort dans son cul encore palpitant.
“Respire,” ordonne-t-il avant de presser la pompe.
Le gonflement est lent, implacable. Horty sent chaque millimètre supplémentaire écartant ses muscles déjà surchargés, la brûlure du lubrifiant chauffant aggravant la sensation. Son ventre se tend, le contour du gode visible sous sa peau.
Louis passe une main sur cette distorsion, admirant son œuvre. “Tu es magnifique comme ça.”
D’un geste brusque, il éteint le vibreur du gode et le silence soudain fait hurler Horty. La privation est pire que la douleur.
Il sourit, relâche un peu la pression du gode anal, puis le re-pompe d’un coup sec. Elle crie, ses orteils se recroquevillant, son clitoris dur comme un caillou malgré tout.
“On alterne,” murmure-t-il en saisissant un nouveau spéculum, plus large, qui remplace le gode dans son anus ruisselant. “Tiens-toi prête.”
Le métal froid force son entrée, et Horty se met à pleurer. Mais son corps, traître, se referme avide autour de chaque nouvel instrument.
Louis rit, impitoyable. “Tu vois ? Tu en redemandes.”
Louis sort de l’étagère ses plus gros godes, Horty est horrifié par leurs tailles, « comment ils vont renter dans son cul » se demande Hortense.
Un par un, il défonce l’anus de horty avec des godes de plus en plus large et longs. Horty hurle, gémit , crie, la douleur est insoutenable, mais son anus s’ouvre sans difficulté.
Après 1 heure de ce traitement, Louis sort le dernier jouet. L’anus d’horty est ouvert en gros, ses lèvres anales sont rouges et et le pourtour proéminent, elle sent le vide dans son cul.
Louis lui présente son dernier joujou, un énorme buttplug anal de 10 centimètres de large. Horty halète, les yeux écarquillés devant l’énorme sextoy que Louis fait miroiter devant elle. Ses cuisses tremblent, son anus encore frémissant de l’assaut précédent. Louis le lubrifie abondement et l’insère très lentement dans le trou de balle d’horty
“T’inquiète pas, il est fait pour toi,” ricane-t-il en étalant une généreuse couche de lubrifiant chauffant sur le plug. La substance brûle aussitôt, ajoutant une nouvelle couche de feu à sa sensibilité déjà exsangue.
Il approche la pointe, appuie. La résistance est immédiate, mais inexorablement, ses muscles cèdent. Horty hurle, les doigts agrippant les chaînes qui la retiennent, son corps entier secoué par l’intrusion.
Louis enfonce centimètre par centimètre, savourant chaque spasme, chaque contraction inutile de son trou distendu. “Regarde-toi,” grogne-t-il en forçant son menton vers le miroir.
Horty voit son propre cul béant, rouge et luisant, le plug s’y engloutissant avec une lenteur obscène. Elle sent son propre poids, la pression insoutenable, et pourtant,
Un dernier coup de rein. Le plug se verrouille en place.
“Parfaite,” murmure Louis en caressant son ventre tendu, là où la forme de l’objet déforme sa chair.
Horty sanglote, mais son clito vibre, trahison humiliante. Son anus, maintenant rempli à craquer, pulse comme un cœur battant.
MonsieurLouis
























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