Trois jours plus tard, Hortense se retrouve immergée dans l’opulence de la villa de Louis. Chaque matin, elle se réveille entourée de luxe, des femmes de ménage s’occupant des détails minutieux de la maison, tandis qu’une cuisinière talentueuse prépare des plats raffinés qui éveille ses papilles.
La présence des gardiens, accompagnés de leurs chiens de garde, lui offre une sensation de sécurité, une protection contre le monde extérieur qui lui semble désormais hostile. Les caméras de surveillance veillent sur elle comme des sentinelles, encapsulant Hortense dans une bulle où elle peut se laisser aller à la douceur de cette vie dorée, loin des tumultes de son passé.
L’argent de Louis, dont elle a toujours rêvé, est devenu une réalité palpable. Cette richesse matérielle, bien qu’irrésistible, n’est rien comparée aux sentiments qui l’étreignent de plus en plus fort. Elle sent son cœur battre plus rapidement à chaque sourire de Louis, chaque attention délicate qu’il lui porte. Sa dépendance grandit, non seulement à l’égard du luxe qu’il lui offre, mais aussi de l’affection qu’elle ressent pour lui.
Cependant, cette bulle de sécurité est assombrie par la réalité de sa situation. Bannie de Twitch et des réseaux sociaux, Hortense est devenue une paria, traquée par ceux qui veulent lui faire du mal. Les murmures malveillants des gens se sont intensifiés, transformant son nom en une cible dans un jeu cruel qu’elle ne comprend pas entièrement.
Elle est terrifiée à l’idée que cette vie de luxe puisse être volée d’un moment à l’autre, mais la présence de Louis la rassure. Il a même pris soin de récupérer ses affaires personnelles à son appartement, témoignant d’un engagement qui renforce son sentiment d’appartenance. Dans cette villa, malgré l’angoisse qui la hante, Hortense se sent à la fois protégée et piégée, oscillant entre amour et angoisse, entre désir et crainte.
Horty s’étire sur le canapé en cuir blanc, les doigts traçant des cercles sur son ventre encore sensible.
Le soleil filtre à travers les baies vitrées, éclairant les dalles en marbre de la villa. Une femme de ménage passe en silence, déposant un verre de champagne frais sur la table basse avant de disparaître.
Louis a tout organisé : les gardiens aux entrées, les caméras, les Dobermans qui patrouillent la clôture électrifiée. Elle n’a plus peur. Ou presque.
Son téléphone vibre : une alerte. Encore une menace anonyme, encore une photo truquée d’elle, les cuisses écartées, le visage tuméfié.
Elle éteint l’écran d’un geste vif, mais Louis est déjà derrière elle, ses mains massant ses épaules nouées. “T’inquiète pas,” murmure-t-il en mordillant son oreille. “Ils ne t’auront jamais.”
Elle se cambre contre lui, sentant son érection à travers le tissu de son pantalon. La peur se mêle au désir, brûlant plus fort que la honte.
“Je veux encore la sucer, Maître” chuchote-t-elle en guidant sa main entre ses cuisses. Il rit, bas et sombre, avant de l’attraper par les poignets et de la pousser à genoux sur le tapis. Luxe et soumission, désormais indissociables.
Louis dit : « on va encore tester tes capacités orales. Mains dans le dos, Tu suces ma queue à fond. cette fois pas d’étouffement et de nausée !! j’exige que mes 26 centimètres rentrent bien au fond de ta gorge ».
Louis lui tire les cheveux d’une poigne brutale, tendons saillants sous la peau de son avant-bras. Ses ongles s’enfoncent dans son cuir chevelu, tirant jusqu’à faire craquer les racines. “Ouvre ta gueule de traînée.” Sa voix est un couteau rouillé qu’il tourne dans la plaie.
Horty ouvre sa bouche et tente de faire la colonne de chair dans sa bouche. Les 15 premiers centimètres entrent facilement.
Horty bave déjà, ses cils tremblants mouillés de larmes réflexes. Les premiers 15 cm lui défoncent le palais, la tête de Louis cognant comme un marteau contre son amygdale. Elle entend le claquement humide de sa salive quand il retire d’un coup sec, juste pour mieux frapper.
“Tu respires par le nez, putain.”
Il lui écrase les narines d’une main, l’autre lui tirant la mâchoire ouverte. Son gland explose dans son pharynx, déchirant les muqueuses. Elle suffoque, ses spasmes l’encerclant comme un étau vivant.
Mais le plus dure arrive, centimètre par centimètre , elle pousse. mais la nausée arrive et elle recule. La gifle arrive avec le bruit d’une chair morte tombant sur du marbre. Ses dents tranchent l’intérieur de ses lèvres.
Louis est furieux et la gifle violemment plusieurs fois, lui serre la gorge en l’insultant longuement. Louis dit : « recommence et applique toi, sinon la punition va être terrible »
Il enfonce ses pouces dans les commissures de sa bouche, écartant jusqu’à ce qu’un craquement sec résonne. Sa queue s’enfonce d’un coup de reins, écrasant son épiglotte. Horty voit des éclairs blancs, ses ongles s’arrachent contre le parquet.
“Avales ou je te défonce le cul à la bouteille.”
Louis plaque son pubis contre son nez, l’asphyxiant dans son propre vomi. “Lèche mes couilles pendant que je t’utilise.”
Elle obéit, la langue épaisse, chaque mouvement déclenchant des haut-le-cœur. Il jouit en râlant, la remplissant à ras bord, elle avale par réflexe, s’étouffant sur les dernières gouttes.
“Voilà comment on dresse une chienne.” Sa paume craque contre sa joue enflée. “Maintenant, recommence.”
La paume de Louis s’abat encore, marquant la peau d’Horty d’un rouge vif. Il saisit sa mâchoire, enfonce brutalement sa queue entre ses lèvres entrouvertes et commence un va-et-vient rapide, sans ménagement.
Sa chair dure frappe le fond de sa gorge à chaque poussée, les muscles d’Horty se contractant en réflexes désespérés.
“T’as la gueule faite pour ça,” crache-t-il, un filet de salive atterrissant sur ses paupières tremblantes. Il retire d’un coup sec, laissant sa bite luisante claquer contre son front avant de lui cracher encore au visage, le liquide chaud mêlé à ses larmes.
“Ré-commence,” il ordonne, doigt enfoncé dans sa bouche pour écarter ses mâchoires. “Et cette fois, tu souviens toi, une pute comme toi avale tout.”
Elle s’efforce d’ouvrir plus grand, les coins de sa bouche douloureux, son souffle sifflant entre ses dents. Dès qu’elle hésite, une nouvelle gifle la fait tituber.
“Plus vite.” Sa voix est rauque, impatiente. Il lui attrape les cheveux, scelle ses lèvres autour de lui, et l’oblige à suivre le rythme , dur, brutal, sans air. Ses genoux glissent sur le sol, le parquet brûlant sous sa peau.
Un dernier crachat atterrit sur sa joue meurtrie. “Vas-y. Montre que t’es bonne à rien d’autre.”
La dernière poussée est brutale, puis son gland gonflé pulvérise des jets épais sur le visage d’Horty. Le liquide chaud éclabousse ses paupières, sa bouche entrouverte, glissant le long de ses joues en stries blanches.
“Bouge pas,” grogne Louis, tirant sa queue encore luisante loin de sa bouche. “Tu gardes ça que ta sale gueule de pute.”
Horty cligne des yeux, le souffle court, mais un sourire étire ses lèvres tremblantes. Son visage est couvert de sperme.
“C’est mieux,” murmure-t-il en saisissant sa nuque. “Tu progresses, salope.”
Elle exhale, soulagée malgré la brûlure de sa gorge. Horty reprend son souffle et, contente du compliment, elle sourit.
“Viens. Je vais te faire découvrir un endroit spécial” Il l’attire pour la relever, la traînant vers l’ascenseur. Les portes coulissent, révélant le garage sombre. Une pression contre un panneau discret, un clic, puis un couloir étroit apparaît.
Au bout, une porte blindée. Louis compose le digicode, le métal gri1nçant en s’écartant.
“Tu vas adorer,” ricane-t-il en la poussant vers l’intérieur de la pièce.
MonsieurLouis

























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