La lumière crue des néons découpe l’espace exigu, révélant chaque détail sous un éclairage impitoyable. L’odeur âcre du cuir neuf se mêle à la pointe métallique du désinfectant.
Louis guide Horty vers la table centrale, ses doigts enfoncés dans sa chair.
La surface en cuir rouge, lisse et légèrement froissée, est cerclée de chaînes chromées, grande chaîne à chaque coin, avec des mousquetons à verrouillage automatique. Des sangles réglables courent le long des bords, leurs boucles en acier poli conçues pour enserrer chevilles et poignets sans jeu. Un levier discret sous la table permet d’écarter progressivement les attaches, millimètre par millimètre.
Au fond, le fauteuil gynécologique, masse imposante contre le mur, brille de leviers et de commandes. Les repose-jambes, gainés de cuir synthétique noir, s’articulent à 180 degrés sur des vérins hydrauliques silencieux.
Près de l’entrée, la douche expose son arsenal. Le pommeau principal, percé de dizaines de jets fins, voisine avec une lance à pression réglable, capable de passer du filet d’eau à un flux coupant. Le robinet central se termine par un embout conique en acier brossé, son diamètre gradué pour s’adapter à tous les orifices. Un tuyau caoutchouté, équipé d’une valve de contrôle, serpente jusqu’à un réservoir marqué « solution saline ».
« Pour un nettoyage en profondeur » dit Louis.
La cage, enfin. Ses barreaux épais, espacés de cinq centimètres à peine, forment un rectangle assez bas pour contraindre de se rester à quatre pattes. Le matelas de mousse mince, strié de traces sombres, est clouté d’anneaux d’acier à intervalles réguliers. Des menottes à crans de précision pendent des parois, leurs chaînettes assez courtes pour forcer les poignets dans le dos.
« Très confortable, ton futur lit, il est à ta taille » souligne Louis.
Louis pousse Horty vers la vitrine en verre cadenassé, pres de la douche,, son souffle chaud contre son oreille. Le cadenas chromé brille sous les néons, sa clé déjà dans la main de Louis.
À l’intérieur, les bracelets de cuir noir s’alignent, gravés aux initiales « LG ». Des colliers en acier mat, épais comme des doigts, portent des plaques numérotées.
Les ceintures de chasteté (rose pâle, rouge sang, noir profond) sont exposées comme des trophées, leurs serrures à code bien visibles.
Des pinces à seins en acier inoxydable, leurs morsures striées pour une adhérence maximale, voisinent avec des ballions en silicone texturé, taillés pour étouffer jusqu’au dernier sanglot.
A coté, l’étagère métallique, haute jusqu’au plafond, regorge de jouets imposants. Des godes violets, veinés et courbés, côtoient des buttplugs anales en métal massif, leurs bases évasées aussi larges qu’un poing.
Des pots de lubrifiant, certains étiquetés « chauffant » ou « mentholé », s’empilent près de spéculums chromés, leurs lames ajustables prêtes à écarter, à exposer.
Dans le coin, une caisse déborde des menottes et de chaînes épaisses, leurs maillons froids déjà tachés de sueur séchée. Des cordes de jute, striées par des nœuds professionnels, serpentent entre les menottes à dents, chaque cran conçu pour mordre la chair au moindre mouvement.
Louis sourit en saisissant un collier. “Un joli collier pour ma princesse…” murmure-t-il, la boucle métallique déjà ouverte.
La boucle métallique du collier se referme d’un claquement sec autour du cou d’Horty, le numéro gravé à froid pressant contre sa pomme d’Adam. Les bracelets en cuir s’enroulent autour de ses poignets, les chaînes courtes cliquetant lorsqu’elles s’accrochent aux anneaux du collier, forçant ses bras à rester pliés devant elle.
Le « pénis gag », d’un longueur de 10 centimètres, en silicone glisse entre ses lèvres avant qu’elle ne puisse protester, la bave coulant déjà le long de son menton. Louis tapote sa joue.
“Bien. Maintenant, la table, Allonge toi sur le dos !”.
Elle s’allonge sur le cuir, les attaches des chevilles déjà en place. Louis étale le lubrifiant entre ses doigts avant d’en enduire largement sa chatte, l’huile froide la faisant tressaillir. Deux doigts s’enfoncent sans précaution, écartant ses lèvres gonflées. Puis quatre, ouvrant lentement son orifice palpitant, chacun de ses halètements étouffés par le gag.
Louis commence un très long dilatation vaginal.
Il saisit un gode épais, les veines en relief frottant contre ses doigts avant de s’aligner avec l’entrée distendue. “On va prendre notre temps,” murmure-t-il tandis qu’il enfonce la première longueur, le silicone étirant ses parois rougies.
Après quels va-et-viens douloureux, Louis retire le jouet et se saisit d’un spéculum. Il l’enduit abondamment de lubrifiant. Le spéculum chromé claque en s’ouvrant entre ses mains. Les lames glacées glissent contre ses cuisses avant de se loger contre son orifice, prêtes à forcer l’ouverture.
Les lames du spéculum s’écartent avec un craquement métallique, écartelant ses lèvres en une ouverture humide et tremblante. Horty gémit autour du gag.
Louis passe un doigt le long du bord rougeoyant de son vagin distendu, la chair pulse sous son toucher.
Il attrape le gode le plus large, un monstre violet strié de nervures saillantes, et l’enduit d’une couche épaisse de lubrifiant chauffant. La pointe appuie contre son ouverture béante, déjà élargie par ses doigts. “Respire,” ordonne-t-il avant d’enfoncer lentement la première longueur, les veines du jouet raclant contre ses paroi sensibles.
Horty se cambre, ses chaînes cliquetant tandis qu’il pousse plus profondément, chaque centimètre écartant davantage son passage serré. Louis règle le spéculum plus large, immobilisant son sexe écartelé, avant d’ajouter un deuxième gode, plus mince, mais plus long, qu’il glisse à côté du premier.
La pression est brutale, la dilatation méthodique. Il tourne les jouets en synchronie, fouillant ses profondeurs, tandis que ses muscles se contractent en vagues désespérées autour de l’invasion.
“Tu vas tout prendre,” murmure Louis en saisissant une bouteille de lubrifiant mentholé. Il en verse un filet glacé directement dans son vagin ouvert, la sensation brûlante et froide à la fois faisant hurler Horty derrière son bâillon.
Les doigts de Louis s’enfoncent brutalement à côté des godemichés, écartant encore plus ses chairs palpitantes. Le lubrifiant mentholé coule en ruisseaux entre ses cuisses, l’effet glacé contrastant avec la chaleur de son sexe forcément ouvert.
Il retire les jouets d’un coup sec, ainsi que le spéculum, laissant béante son entrée rougeoyante, puis glisse sa main entière dans le lubrifiant.
Un à un, ses doigts disparaissent à l’intérieur, sa paume pressant contre son orifice distendu. Horty secoue la tête, ses chaînes grincent tandis que ses hanches se soulèvent malgré elle.
Louis enfonce lentement son poing, ses jointures raclant contre les parois sensibles. Ses muscles se contractent en pulsations désespérées, essayant vainement de repousser l’invasion. “Regarde,” grogne-t-il en écartant ses doigts, étirant son vagin en un O humide et frémissant.
Un dernier coup de poignet, et sa main est entièrement logée en elle, chaque mouvement des doigts soulevant des frissons violents le long de son corps. Il tourne son poing, explorant chaque repli, tandis que des filets de fluide coulent sur la table.
Les cris étouffés d’Horty résonnent dans la pièce, son corps convulsant sous la torture délicieuse que Louis lui inflige. Louis continue son travail de dilatation extrême de la chatte d’horty, Horty hurle de douleur et de plaisir se sentant complément ouverte et offerte aux phantasmes de son maître.
Louis alterne des godes de très grandes tailles et le travail avec les spéculums.
Il retire son poing d’un mouvement lent, laissant béante son entrée luisante, avant de saisir un godemiché noir, épais comme un poing et strié de veines artificielles. La pointe s’enfonce avec une pression implacable, écartant encore davantage ses chairs déjà distendues.
Horty se cambre, les chaînes de ses bracelets sonnant tandis que le jouet la remplit jusqu’à la garde. Louis règle les spéculums plus larges, forçant son sexe à rester ouvert, exposant chaque repli palpitant.
Il alterne entre godemichés massifs et ses doigts, puis son poing, chaque intrusion laissant Horty plus ouverte, plus offerte. Horty jouit en continu maintenant.
Trente minutes s’écoulent ainsi, ses muscles se contractant en vagues épuisées autour des jouets, ses jouissances se succédant sans répit. Puis Louis replace sa main, enduite d’une nouvelle couche de lubrifiant. Cette fois, il pousse plus profond, ses jointures frottant contre son col béant.
Un grognement rauque lui échappe quand il atteint l’utérus, la chair chaude et serrée cédant sous la pression. Il enfonce son avant-bras à moitié, sentant ses entrailles s’adapter à l’invasion, tandis qu’Horty hurle, secouée par un orgasme dévastateur. Les fluides coulent en ruisseaux sur la table, mélangés au lubrifiant.
“Tu es magnifique comme ça,” murmure Louis en tournant légèrement son poignet, prolongeant son supplice exquis.
MonsieurLouis

























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