Les invités Africains
Deux sud-Africains accompagnés de Raphaël sont au siège de la société de Paul pour finaliser des contrats litigieux, Paul les a conviés à dîner à la maison pour mieux les amadouer.
Vers dix neuf heures, Paul prévient Colette de leurs arrivées. Parvenus à destination, avant même de sonner, la porte s’ouvre sur la ravissante Colette. Son petit chemisier blanc cachant sa poitrine que l’on devine bien remplie sans être importante, sa jupe arrive aux genoux, puis ses jambes sont gainées de noirs terminés par des escarpins de la même couleur, elle offre le tableau de la femme idéale.
Malgré ses cinquante ans, Colette en fait dix de moins. Paul embrasse Colette et constate par la même occasion au touché la présence de porte-jarretelles qu’il affectionne. Elle lui sourit, tout aussi discrètement.
Paul présente Norbert et Simon à Colette, elle connaît déjà Raphaël et ils passent au salon pour déguster quelques coupes de Champagne. Colette est une hôtesse remarquable et chacun peut en juger tant elle est attentionnée pour chacun d’entre eux.
Après ce repas fabuleux qui ne reçu que des compliments, ils retournent au salon pour quelques verres de digestifs et autres. L’ambiance est détendue et les invités semblent apprécier cette soirée et les alcools. Si Colette et Paul sont sobres, Raphaël, Norbert et Simon sont déjà bien partis et parlent parfois dans un dialecte inconnu qui semble bien les faire rire tous les trois.
Raphaël se tourne vers Paul.
– Tu sais ce qu’ils disent ?
– Non, pour tant, cela vous fait bien rire. Lui répond Paul.
– Hé bien. Que ta femme leur plaît beaucoup et que si elle est gentille, elle ferait certainement pencher la balance en faveur de tes contrats. Je te résume, car c’est plus détaillé et crus. Je leur ai dit que deux hommes ensemble ne lui font pas peur, mais trois ou quatre, je ne sais pas si elle accepterait. C’est à toi de voir.
Tous trois parlent, de plus en plus souvent, dans leur dialecte et rient. Paul ce doute maintenant de la raison et de la cible de leurs rires.
Colette est partie dans la cuisine, les laissant deviser entre hommes. Paul la rejoint dans la cuisine. Elle est surprise par cette arrivée. Il raconte la confidence de Raphaël.
-Les salauds !
Répond-t-elle. Après de longues minutes de réflexion, Colette dit :
-Raphaël a pris goût à mon derrière, avec vous deux, c’était très bon, mais tu ne m’as jamais demandé de faire l’amour en groupe. Je t’ai dit que je t’obéirais en tout. Donc, je ferai ce que tu veux – Tu retires le soutien-gorge que tu n’aurais pas dû mettre, ils comprendront.
Colette ouvre son chemisier, retire son soutien-gorge et referme son chemisier, sans fermer les trois derniers boutons du haut.
Lorsqu’ils entrent dans le salon, les trois invités sont debout. Ils regardent Colette et elle voit leurs visages s’éclairer. Il est vrai qu’ils doivent avoir compris à la simple vision de Colette dont les seins libérés semblent avoir leur vie propre sous le chemisier et dont le décolleté est maintenant très prometteur.
– Vous allez bien prendre encore un verre. Propose Paul.
– Oui, si c’est Madame qui nous sert ! Répondit Simon.
Ils prennent place tous les trois dans le canapé et attendent.
Colette se dirige vers la table basse, prend la bouteille, sert chacun des verres et se redresse.
– Non ! Ordonne Simon qui semble prendre les choses en main.
– Restez donc penchée pour nous laisser admirer ce merveilleux tableau.
Colette se penche à nouveau, les mains appuyées sur la table. Grâce à la glace fixée au-dessus du canapé, Paul peut avoir la même vue qu’eux sur ce que leur offre sa maîtresse.
Son décolleté est largement bâillant permettant de voir distinctement sa poitrine libre pendre sous elle.
– Relevez la tête et regardez-nous afin de libérer notre champ de vision. Demande Simon.
Colette obéit, cambre ses reins, relève la tête, laissant ses cheveux se répandre sur ses épaules et offrit la vision de ses seins.
C’est le moment que choisit Simon pour s’adresser, toujours dans son dialecte, aux deux autres et que tous trois se mettent à rire.
– Vous pourriez avoir au moins la politesse de nous parler dans une langue que l’on puisse comprendre ! Leur dit Paul. Simon lui répond
– Vous avez tout à fait raison et nous vous prions de nous excuser, cela ne se renouvellera plus. Je
disais à nos amis qu’avec une si belle paire de seins, si votre femme savait ce qu’on va lui faire, elle sourirait aux anges comme une bonne salope qu’elle doit être, d’après les confidences de Raphaël.
Avant, même que Paul ait eu le temps de répondre, il plonge la main dans le décolleté de Colette et lui caresse les seins sans aucune retenue.
-Ses seins remplissent bien les mains d’un honnête homme, sa peau est douce et ses pointes sensibles, elle a l’air d’aimer ça la cochonne, vous devriez essayer mes amis ? Continue Simon en libérant la place.
Il a raison, Colette adore qu’on lui caresse les pointes de ses seins. Maintenant, ce sont les mains de Norbert et de ce salaud de Raphaël qui profitent des seins de Colette. Ce dernier connaît les points sensibles de Colette. Il est vrai, que contrairement aux deux autres, il ressemble plus à un Apollon.
A force, de lui triturer ainsi les seins sans ménagement, bientôt le chemisier de Colette cède jusqu’à son nombril, libérant complètement sa poitrine et l’espace nécessaire à un accès total.
Mains posées, chemisier grand ouvert et ses deux seins pendant se reflétant dans le verre de la table basse. Rapidement, Norbert et Raphaël reprennent la danse de leurs mains sur la poitrine de Colette qui semble les hypnotiser.
Simon fait alors le tour de Colette, lui flatte les reins et se tourne vers Paul, il lui demande.
-Tu permets que nous prenions possession du corps de ta femme.
Paul reste interdit, ce n’est plus lui qui dirige la débauche de sa maîtresse adorée, il se sent frustré.
Simon qui semble être le mâle dominant de la soirée dit.
– Alors, j’attends, il faut savoir offrir sa femme pour avoir les contrats !
Paul s’approche de Colette, prend le bas de sa jupe et la relève sur ses reins en déclarant
– Je vous offre le corps ma femme pour la soirée !
Norbert et Raphaël qui se sont arrêté pour regarder la scène s’exclament en même temps.
– En plus, elle a un porte-jarretelles la cochonne. On adore !
Simon se recule et clame.
– Merci, j’accepte ton offre, je vais l’utiliser à ma guise. Regardez, c’est pas beau, une femelle qui attend la saillie ?
Paul, comme les trois autres, regarde ainsi Colette, perchée sur ses escarpins noirs, penchée en
avant, les seins pendants sortant de son chemisier, la jupe relevée découvrant ses jolies fesses encadrées pas le porte-jarretelles retenant ses bas noirs. C’est vrai qu’elle est bandante ainsi et Paul se rend compte qu’il bande. Colette, tourne la tête, le regarde dans les yeux. Ce qu’il y voit lui fait chaud au cœur. Elle semble dire, je me soumets à ses hommes parce que je t’aime.
Tous les trois s’approchent et examinent le fessier de Colette.
– Écartent tes cuisses pour nous montrer ton trésor ! Ordonne Simon. Colette obtempère. Simon s’approche et prend chacune de ses fesses dans ses mains et les écartent.
– Regardez ce joli petit trou qui demande qu’à être visité. On dirait qu’il nous parle.
Puis, il met son doigt dans sa bouche, l’humecte et le place sur la corolle de Colette et lentement et inexorablement le fait disparaître dans son petit trou. Paul voit ce doigt noir s’enfoncer au fond de sa maîtresse. Elle se pince les lèvres, les mains crispées sur la table basse, subissant cette pénétration dont elle n’est pas préparée. Puis, le doigt ressort pour s’enfoncer plus rapidement et
plus profondément. Norbert en profite pour s’agenouiller et glisser sa tête entre les cuisses de Colette.
– HUMM ! Elle est épilée et elle sent bon, j’ai envie de lui bouffer la chatte. Joignant le geste à la parole, il enfourne sa langue dans la fente de Colette à la recherche de son petit bouton. Colette adore ce type de caresse et rapidement cela lui fait oublier ce doigt qui la visite. Son corps semble vivre sa propre vie et se cambre pour rechercher cette langue qui lui fait tant de bien.
– C’est bon, elle a une super chatte, la cochonne et en plus, elle en redemande ! Dit Norbert entre deux coups de langue.
Raphaël fait alors le tour de Colette et se retrouve devant elle. Il défait son pantalon qui tombe au bas de ses jambes. Fait glisser son slip et qui retrouve son pantalon et exhibe un sexe qui lui parait encore plus énorme depuis la dernière fois qu’elle l’a vus.
-Paul, tu m’en voudras pas, j’ai toujours été excité par Colette avec son air de petite bourgeoise et j’ai envie de sentir ma queue baiser sa bouche de salope, je peux ?
Avant même que Paul réponde, il attrape la tête de Colette et place sa bite au niveau de ses lèvres.
– Allez ma petite chérie, ouvre ta bouche de bourgeoise, suce encore ma grosse queue d’ébène.
Son gland vient buter sur la bouche de Colette qui s’entrouvre, il pousse et son membre s’enfonce
entre les lèvres de Colette. Il lui maintient la tête et d’un coup de reins bute sur sa glotte. Colette s’étrangle, des larmes encombrent ses yeux et elle recrache son sexe.
– Ça va pas ! Salope reprend moi dans ta bouche et suce moi bien à fond.
Il relève la tête de Colette, écrase ses lèvres sur les siennes. Lui roule une pelle, puis remet sa queue devant la bouche de celle-ci. Colette, un doigt dans les fesses et une langue dans la chatte, reprend sa fellation.
– Tu fais moins la fière, avec ma bite dans la bouche, tu ne te doutais pas que je ferais encore grossir ma grosse queue et qu’un jour tu en profiterais encore, moi si !
Paul comprend alors que Raphaël a dû certainement tout préparer dans l’espoir que les circonstances lui permettent d’assouvir son fantasme. Simon a profité de cette opération pour se libérer à son tour. Il demande à Norbert de se pousser et présente son sexe à l’entrée du puits d’amour de Colette. Son gland écarte ses petites lèvres et lentement sa queue qui est de belle taille, prend possession de son puits d’amour. Après, un ou deux aller-retour, il ressort complètement et vient se placer devant la petite porte de son jardin secret. Elle arrête sa fellation et essaie de se dégager.
– Non ! Pas là ! Je ne suis pas prête ! Mais Raphaël, la rattrape et lui remet sa bite dans la bouche, Norbert la bloque et Simon d’un léger coup de reins, son gland ouvre la petite porte de ses reins et en passe le seuil dans un gémissement étouffé de la belle soumise qui se libère la bouche un instant pour crier.
-Oh la vache ! Qu’elle est grosse ! J’espère que vous n’allez pas me déchirer ! – C’est bon ! ça va rentrer ! Paul est hypnotisé par cette colonne de chaire noire qui s’enfonce entre les fesses blanches de sa maîtresse. Bientôt, elle se trouve complètement empalée.
La bite de Raphaël dans la bouche, ce dernier la tenant par les seins qu’il malaxe sans douceur en l’insultant. Simon, enfoncé dans ses reins, commence lentement à bouger, la libérant pour mieux la reprendre, les mains bien plantées dans ses hanches. Elle ne tarde pas à réagir malgré la situation et donne des coups de reins malgré elle. – Alors ! Ma salope ! Qu’en penses-tu d’une bonne queue de noir dans ton ventre ?
– AH ! Oh ! OUIIII ! Oh ! Encore ! AHHRRG ! Pendant ce temps ? Norbert, balade ses mains et son sexe, qu’il a ? lui aussi libéré, sur toutes les parties du corps de Colette restées libres.
C’est à la fois humiliant et bestial de voir sa maîtresse ainsi soumise sans en être le maître, c’est excitant de voir ces membres noirs pénétrer ce corps blanc. Ces colonnes de chaire qui pénètrent ses fesses, sa bouche. Ces mains baladeuses, qui jouent avec ses seins qui pendent et qui ballottent à chaque coup de boutoir, qui aussi s’agrippent à son dos.
L’un après l’autre, ils lui pénètrent la bouche, la chatte et passe la petite porte qui est maintenant grande ouverte. A chaque fois, ce n’est qu’insultes, humiliations verbales, comme s’ils semblent se venger des attitudes des femmes blanches.
– Salope, tu la sens ma bite dans ton cul ? J’adore enculer les petites bourgeoises comme toi. Vient et suce ma queue cochonne. Écartes ta chatte, sens ma queue qui te baise comme une chienne, etc. Elle ne peut croire qu’elle accepte cette situation, ainsi l’excitation prend le contrôle de son corps plus que son esprit. Elle est tellement excitée qu’elle ne se soucie plus de rien. Soudain, elle se sent envahie par un plaisir aussi inattendu qu’incroyable. Elle se sent des vagues plus fortes traverser son ventre et montées vers sa tête.
Les spasmes, l’un après l’autre, lui font prendre conscience qu’elle est en train de jouir, de quelque chose qu’elle ne connait pas et jamais ressenti auparavant aussi fort. Sur le tapis du salon, Norbert s’allonge sur le dos. Celui qui encule Colette sort de son cul. Celui qu’elle suce se retire aussi la laissant haletante. Simon prend Colette par les épaules et l’installe sur Norbert qui pointe sa bite et entre d’une traite dans sa grotte largement ouverte et dégoulinante.
Colette râle de plaisir. Norbert l’enlace maintenant et l’embrasse à pleine bouche. Elle se donne à lui avec empressement. Elle sent derrière elle une présence, dans les brumes du plaisir, elle devine ce qui va lui arriver. Norbert lui réclame. -Écartes tes fesses ! Tu vas t’en prendre deux en même temps ! Alors Paul la voit lancer ses mains derrière et écarter largement ses fesses pour se préparer à une double pénétration.
Simon, pointe son gland et appuie sur sa rondelle qui s’ouvre lentement pour laisser la place à ce gland épais. Après ça, sa corolle lâche prise, le gland passe rapidement la barrière lui coupant le souffle et juste après, elle pousse un long gémissement, pendant que Paul peut voir la bite de Simon disparaître complètement entre ses fesses écartées. Norbert regarde dans la direction de Paul et lui sourit et finit par lui dire. – C’est sa première double avec des africains. Chaude comme elle est bonne à prendre de partout, ta femme ! Je vais même te faire un cadeau !
Il tend la main et Raphaël vient devant Colette qui râle de plaisir. Il la prend par les cheveux pour lever sa tête et prendre sa queue dans la bouche.
Colette soupire et sans aucun signe de réticence, elle referme ses lèvres sur le gland de Raphaël. Et se met à le sucer en gémissant. Paul la voit prendre du plaisir en train de pomper en gorge profonde et se faire remplir le cul et la chatte par deux grosses queues d’inconnus. Après avoir profité de tous ses orifices à leur guise l’un après l’autre ou ensemble en double voir triple pénétrations, ils obligent Colette à s’allonger sur le dos sur la table basse. Après avoir chacun leur tour pénétrer une dernière fois son adorable puits d’amour, en demandant à Paul de bien regardé sa salope de femme se faire baiser ! Ils entourent Colette et l’obligent à les sucer chacun et ils éjaculent tous dans la bouche de Colette qui avale sans réticence une quantité phénoménale de sperme.
Ils demandent ensuite à Paul d’approcher et de se libérer aussi dans sa bouche. Après avoir fait remarquer à Colette son état et que la situation l’excite au plus au point, ils ordonnent à Colette
de le soulager à son tour et de le faire jouir en avalant son sperme. Après s’être soulagé dans la bouche de sa maîtresse ainsi offerte.
Une fois terminé, ils demandent à Colette de restée ainsi allongée, nue, jambes écartées afin d’offrir à leurs yeux sa chatte, ses seins et son visage ravagé par l’excès d’orgasmes. Ils réclament
un dernier verre, qu’ils boivent assis autour de la table basse décorée du corps de Colette en commentant encore une fois avec force détails vulgaires, le corps de celle qui leur a donné tant de plaisir et qu’ils sont certains en avoir aussi pris. Simon caresse les seins de Colette, descend sur son mont de venus imberbe, puis une main vient s’emparer de son bouton à jouir. Il le branle en le décalottant. Colette commence à remuer son bassin en fermant les yeux. Des doigts écartent les lèvres de son sexe. – Tu mouilles comme une chienne en chaleur qui a envie que l’on la baise. S’esclaffe celui-ci.
Simon ne peut s’empêcher de glisser ses doigts à l’intérieur. La sentant bien ouverte et bien lubrifiée d’un peu de sperme africain. Il met alors sa main en flèche, il commence à essayer de l’insérer. Il arrive au plus large de son poignet, il insiste un peu. Les parois vaginales s’écartent pour laisser passer ses doigts.
Aussitôt Simon donne un dernier coup de poignet, il réussit à la pénétrer entièrement avec sa main, ce qui déclenche un long râle de Colette qui ouvre encore plus le compas de ses cuisses. Il fait quelques va et vient. Celle-ci glisse aisément en elle, bien lubrifiée par la mouille de la femme. – HOO ! AH ! Oh ! Mon Dieu ! Han ! Fait Colette à chaque enfoncement de la main en elle. Simon ferme le poing en elle. Colette a la sensation agréable d’une caresse à l’intérieur de son ventre.
Ils ne font plus qu’un par l’intermédiaire de cette main. Simon module la vitesse de pénétration en fonction de ses gémissements, pour finir par la baiser avec sa main comme l’aurait fait un homme avec son sexe. Un orgasme monte du centre de son ventre. Elle crie littéralement de bonheur quand la jouissance l’envahit. Simon retire sa main du ventre ravagé de la suppliciée pour l’essuyer dans ses cheveux.
Avant de partir, ils serrent la main de Paul en lui donnant rendez-vous pour le lendemain. Puis s’approchant de la table, Raphaël caresse le visage de Colette en lui disant. – Les contrats seront signés grâce à toi ma belle, à bientôt au CAP ? Quand la porte est refermée et qu’ils sont partis. Paul regarde Colette qui reprend son souffle et constate dans son regard qu’elle vient de jouir de cette soumission. Paul demande à Colette son ressenti et ses impressions. Elle avoue qu’elle plane encore, qu’elle n’a jamais eu autant d’orgasmes, ce que Paul n’a pas de peine à croire vu son état et son comportement de tout à l’heure. Il imagine les litres de sperme dans son estomac.
Il prend sa maîtresse dans ses bras et lui fait couler un bain, l’aide à se laver puis la borde douillettement, il voit dans le regard fatigué de Colette tout l’amour qu’elle a pour lui. Paul ne se couche pas tout de suite. Il se sert un alcool fort pour calmer sa frustration. D’habitude après les dîners d’affaires avec les gros clients de sa société. Là, systématiquement en fin de repas, Paul offre sa maîtresse à ces clients. Il s’est bien rendu compte que les hommes et les femmes sont plus attirés par les bourgeoises mûres et belles qu’ils ont l’impression de forcer. Mais ce soir ce sont ses trois hommes qui l’ont forcé à leur offrir sa Maîtresse. Jamais encore Colette n’avait eu à subir trois hommes aussi pervers sans qu’il puisse participer aussi. Il n’aurait jamais imaginé lui faire subir ce qu’ils ont imposés à Colette. Il n’a pas pu être maître du jeu et ça le frustre énormément ce soir.
Mais une idée vient de germer dans son esprit en se rappelant les paroles de Colette : ( Tu peux faire de moi ce que tu veux. Tu peux me prostituer, m’enculer selon ton bon plaisir. Je suis ta chose.) Colette est devenue une véritable salope pour le plus grand plaisir de Paul. Cette vie satisfait pleinement Colette, elle permet, à Paul d’assouvir ses fantasmes sexuels qui ont fortement évoluées depuis qu’ils sont ensemble.
Sam Botte
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