Première étreinte saphique.
Depuis qu’elle s’est fait prendre par les invités africains, Colette n’a qu’une envie, c’est de recommencer. Son souhait va être exaucé sans le demander.
Cette après midi ensoleillé Sophie, la belle sœur de Paul est venue profiter de la piscine avec Colette.
Comme elles sont toutes les deux à l’abri des regards, c’est dans le plus simple appareil qu’elles se baignent. Enfin d’après midi pendant qu’elles bronzent sur les transats, Paul les rejoint.
– Sophie ! Tu restes avec nous pour dîner. Ce n’est pas la peine de vous habiller, rester comme ça, je commande des pizzas, nous dîneront sur la terrasse.
Elles restent nues sous leur peignoir de bain pour un repas bien arrosé.
-Nous allons rentrer à l’intérieur, car le temps ce rafraîchi. Invite Colette.
Les deux femmes sont assises nues sur le canapé. Paul s’assoit entre elles. Il pose une main sur la chair dénudée de Colette. Sentant cette main chaude sur sa peau, elle tourne son visage, il se penche pour l’embrasser tendrement. Détendue par l’ambiance, elle lui rend son baiser avec passion lorsqu’elle sent une main se poser sur son autre cuisse. Il la regarde droit dans les yeux en lui disant :
– Embrasse-la, elle en meurt d’envie !
– Je ne peux pas faire ça avec une femme !
– Rappelle-toi, ce que tu m’as dit, tu m’as promis d’être obéissante en toute circonstance !
Repensant à sa promesse d’amoureuse, elle tourne son visage vers Sophie et la laisse poser ses lèvres sur les siennes. Colette n’oppose aucune résistance lorsque la langue de Sophie franchit la barrière de ses lèvres, elle va même à sa rencontre pour unir leurs langues dans un baiser langoureux. C’est la première fois qu’elle embrasse une femme, c’est plus agréable que dans ses souvenirs d’internat. Paul écarte ses cuisses et guide la main de Sophie vers le sexe de Colette. A ce contact, elle soupire dans la bouche de sa dominatrice alors qu’elle lui caresse le clitoris d’un doigt.
Paul approche son visage, Sophie tend ses lèvres vers les siennes pour un baiser langoureux.
Sophie reprend la bouche de Colette, tandis qu’elle vient de glisser un doigt dans sa vulve trempée, elle exprime son approbation en râlant dans sa bouche. Encouragée par sa réaction, elle enfonce un deuxième doigt dans sa grotte et commence à la pistonner lentement. Sous la caresse, Colette rejette la tête en arrière et dit dans un soupir :
– Oh, oui ! c’est bon !
– Maintenant, tu es notre chienne ! Je suis aussi ta maîtresse. Tu nous seras toujours soumise, n’es ce pas ?
– MMMHH . Oui ! Je suis votre chienne ! MMMH ! Maîtresse Sophie !
– Oui, c’est ça, tu es notre chienne.
Paul se lève du canapé, il se régale du tableau et ordonne :
– Approchez-vous et caressez-vous le corps !
C’est Sophie qui fait le premier pas, elle tend les bras pour attirer Colette à elle. Maintenant leur corps se touchent, comme attirées, leurs bouches s’unissent avant un rappel à l’ordre :
– Non ! Ne vous embrassez pas ! Sophie, pose tes mains sur ses fesses et caresses les !
– Toi, caresses les seins de Sophie !
Elles exécutent scrupuleusement ses ordres.
– Sophie, écarte les cuisses !
– Et, toi ! Chérie, tu vas passer la tienne entre ses jambes et lui frotter la chatte avec ta cuisse.
Colette se colle à Sophie et ne voulant pas être en reste ? elle ouvre ses cuisses. A présent, elles ont chacune une cuisse posée sur le sexe de l’autre et elles se contorsionnent pour se caresser.
– Chérie, approches tes lèvres des siennes !
– Doucement, pas trop près ! Écartes légèrement tes lèvres !
– Toi, sors ta langue et lèche lui les lèvres !
Très excitées par le petit jeu de Paul, elles s’exécutent docilement en continuant de se frotter mutuellement le sexe.
– Chérie, tu vas maintenant entrer ta langue dans la bouche de Sophie et l’embrasser comme une pute
Elles s’embrassent à pleine bouche. Ce petit jeu les excite tellement ? qu’elles râlent de bonheur en se frottant mutuellement le sexe de leurs cuisses. Il les regarde en se déshabillant, il ordonne à Sophie après quelques instants :
– Met-toi à genoux et vient me sucer !
Sophie saisit la queue de Paul et dépose un baiser sur le bout de son gland. Elle prend la main de Colette et la pose sur sa bite, elle s’écarte pour la laisser prendre le beau membre en bouche. Elle fait aller et venir ses lèvres sur la queue toute raide alors qu’elle lui malaxe doucement les couilles.
Elle lui avale littéralement la queue en l’enfonçant au plus loin dans sa gorge. Une main de Sophie glisse entre les cuisses de Paul et d’un doigt vient caresser son anus. Il semble apprécier cette caresse, car il gémit en descendant ses fesses vers le doigt inquisiteur. Sophie prend la main de
Colette et porte son majeur à sa bouche pour le sucer et l’enduire de salive. Elle retire sa main de l’entrecuisse de son beau frère pour saisir celle de Colette et l’amener au même endroit.
De ses doigts, elle guide le majeur de sa main vers l’anus de son maître et le pousse doucement pour qu’il pénètre en lui. Colette n’a jamais imaginé ce genre de caresse, elle regarde Sophie d’un air interrogatif tout en suçant son amour. Elle l’encourage du regard en glissant un doigt dans sa vulve. Colette poursuit sa pénétration jusqu’à faire disparaître complètement son majeur dans l’anus de Paul qui gémit en la regardant. Sophie s’allonge sur le tapis, place sa tête entre les cuisses de Colette et attire son sexe sur sa bouche. Elle pose sa langue sur son clitoris bien tendu et le titille avant de parcourir toute sa fente bien lubrifiée. Cette caresse affole les sens de Colette, elle frotte son sexe sur le visage de Sophie en activant sa bouche de plus en plus vite sur la queue de son maître.
La langue de Sophie s’est déplacée vers la petite porte de ses reins entrouverte, son anus de chienne en chaleur. Colette fait coulisser son majeur entre les fesses de Paul et très excitée par ses gémissements, elle écarte ses fesses de sa main libre pour faciliter la pénétration de Sophie qui vient de poser un doigt sur sa corolle. Elle se laisse aller et va même au devant de ce doigt en poussant mes fesses en arrière. Le doigt coulisse librement dans l’orifice dilaté.
Colette stoppe sa fellation pour crier.
AAARRHH ! Oui ! MMMHH ! c’est bon !
– Ma chère Sophie, va chercher dans mon bureau le jouet que j’ai acheté, je pense qu’il va te servir ?
Elle se lève pour prendre un gode-ceinture ainsi qu’un tube de lubrifiant qui attend dans le bureau.
Paul entraîne sa maîtresse vers le tapis du salon et après s’être allongé sur le dos, il l’attire à lui. Elle pose un genou de chaque côté de son bassin et descend lentement ses hanches pour s’empaler sur sa queue tendue. Il la prend par les épaules pour qu’elle vienne poser ses seins sur son torse. Ainsi, ses fesses sont bien offertes à Sophie qui se présente derrière, elle est équipé du cadeau de son beau frère.
D’un doigt, elle enduit de lubrifiant la porte des entrailles de Colette et le fait coulisser lentement lui arrachant un profond soupir.
Colette sent les douces mains de Sophie qui ouvrent les fesses. Puis un truc froid contre son anus.
C’est Paul à présent qui tient largement ouvertes ses fesses. Le truc froid pousse la porte de ses entrailles.
– C’est bien comme cela ! Pousse maintenant ! Vas y encule la, cette chienne !
– Sophie va faire de ton derrière une entrée de garage à bites pour qu’il en rentre plusieurs à la fois.
La pression contre son anus augmente rapidement pour devenir assez forte. Le truc froid ouvre la porte de ses entrailles. Colette ne voit pas ce qui entre dans son intimité, c’est épais, très épais. Sa corolle se dilate douloureusement. Les larmes inondent ses yeux tandis qu’elle serre les dents.
Le pilon a ouvert brusquement son muscle anal, lui arrachant un petit cri de douleur. Colette commence à comprendre ce qui lui arrive. La femme derrière elle ne la pistonne pas, elle se contente de pousser pour enfoncer l’engin le plus loin possible.
Colette a brusquement cru que son ventre allait exploser sous la pénétration du monstre froid.
Sophie agite ses hanches d’avant en arrière et fait pénétrer de plus en plus profond le gode jusqu’à le faire entrer complètement. Elle se colle au dos de Colette.
– Il y a longtemps que je rêvais d’enculer la femme qui nous a pris notre amant et mari.
Sophie ne bouge pas. Son bassin bien collé contre les fesses tendues de Colette, qui attend que la douleur s’estompe en cambrant bien ses reins.
– C’est incroyable ce que tu as dans ton cul ? Le gode a la même taille qu’une petite bouteille de Perrier, bien plus gros que la main qui t’a fait jouir.
– Maintenant, je vais te sodomiser comme une chienne en chaleur que tu es !
Sophie commence à la limer. Colette voit mille étoiles dans ses yeux. Elle a mal, elle a aussi envie de jouir. Son visage frotte contre le torse de Paul. La bite de plastique coulisse de plus en plus vite et Sophie trouve le bon rythme pour dévaster les intestins de Colette.
Elle halète et donne des coups de reins de plus en plus violents. A chaque fois que le bout du gode tape au fond, ça fait sursauter Colette.
– Ça te fait quel effet de te faire enculer par une femme ? Tu sens comme tu es dilatée ?
– Tu as trente cinq centimètres dans le cul ! Après ça tu auras du mal à t’asseoir ma chère Colette !
Les pointes de ses seins contre son dos. Ses jambes fines contre les siennes. Son souffle dans ses cheveux. Et sa vitalité à lui défoncer l’entrée de ses reins. Colette est soumise à Sophie, avec la bite de Paul dans son ventre, elle se pâme de bonheur.
– C’est bon de te prendre comme une pute ! Clame Sophie dans un souffle.
– Oh ! Oui ! C’est bon ! Ou, prenez moi, je suis votre chienne !
– Tu aimes te faire défoncer les deux trous ? Demande Paul.
– OOOOH ! Oui ! Vous me défoncez comme une pute !
Colette se redresse sur la queue de Paul et tourne la tête vers Sophie qui prend sa bouche de ses lèvres et enfonce sa langue au fond de sa gorge. Elles échangent un baiser passionné.
– AAAH ! Prenez-moi, défoncez-moi ! Faites de moi ce que vous voulez ! Crie Colette.
Les deux bites s’agitent dans son ventre, elle part dans une jouissance qu’elle n’a jamais connu jusqu’alors, Paul malaxe ses seins en pinçant ses tétons. N’y tenant plus, Paul se vide les couilles au fond de son ventre, Colette est devenue leur jouet sexuel. Elle s’effondre sur Paul les deux queues toujours dans son ventre.
Au bout de quelques minutes, Paul rompt le silence.
– Ce soir, nous passons notre première nuit ensemble.
Sophie, à genoux derrière Colette se redresse en l’entraînant avec toujours le gode planté dans les reins de Colette. Avec ses bras, elle ceinture Colette sous les seins. Dans un mouvement acrobatique, Sophie se relève accompagné de Colette, qui a le dos collé à son enculeuse.
– Très bien ma chérie. Marche devant, je te suis jusqu’à la salle de bain.
Paul voit sa Colette marcher en canard vers la salle de bain avec sa belle sœur collée à son dos.
Arrivé dans la salle de bain, Sophie assoit ses fesses sur le bord de la baignoire. Elle se penche en arrière, les mains posées au fond de la baignoire.
– Toi l’enculé, fais la toupie, passe ta jambe par dessus moi avec toujours ma bite dans le cul.
Colette arrive tant bien que mal, à se retrouver face à Sophie avec ses deux jambes de chaque côté de celle-ci qui pendent dans la baignoire. Sophie s’est redressé non sans avoir ouvert le robinet pour remplir la baignoire. Elle enlace Colette et lui roule une pelle d’amoureuse durant le temps que la baignoire se remplisse.
La baignoire pleine, Sophie bascule doucement en arrière, entraînant Colette dans l’eau. Elle se désaccouple de Colette, qui regarde le gode, il lui paraît énorme à présent qu’elle le voit de près.
– C’est ça que tu as rentrée dans mon cul ! Je dois avoir l’anus grand ouvert ?
S’exclame Colette. Elle passe une main entre ses fesses. – Ne t’inquiète pas ! Il s’est déjà refermé ton cul. Il est prêt à en recevoir d’autre ! Lui dit Sophie.
Depuis ce jour Sophie vient souvent passer la soirée et la nuit avec eux, elle a initié Colette aux plaisirs saphique. Paul est aux anges, cependant il ne sait pas que ce soir, c’est leur dernière étreinte.
Sam Botte
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