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La déchéance de Colette qui devient une pute pour hommes et animaux chapitre 12

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La disparition de Paul

Ce week-end, Paul est allé chercher de documents rester chez sa femme. Paul ne rentrera plus à la maison, sur le chemin, il est percuté par un chauffard, à quelques centaines de mètres de chez sa femme. Paul décède sur le coup. Quelques jours plus tard, le corps décharné de Paul est inhumé à la tombée du jour.

A l’enterrement, aucune personne de la ville ne s’est déplacée. Il n’y a que la famille de Paul, parmi lequel Colette reconnaît la belle sœur de Paul et ses deux fils. Colette reste à distance et attend que la famille soit partie pour jeter dans la tombe une rose écarlate amèrement symbolique.

Lorsqu’en quittant le cimetière, elle voit partir leur voiture, elle remarque un de ses deux fils qui la fixe intensivement à travers le pare-brise arrière jusqu’à ce qu’ils disparaissent ?                        Il a le même regard que Paul.

Colette a confié son désespoir à Pierre, son ancien mari qui est venu passer quelques jours chez elle pour la consolée et lui renouveler sa proposition de reprendre leur vie de couple. Maintenant cela fait un mois que Colette déprime dans son grand lit seule.

Les deux fils de Paul viennent demander à Colette la permission de prendre les documents personnels de leur père, ainsi que tout ce qui concerne sa société. Colette connaît bien les deux fils de Paul, ils sont venus plusieurs fois déjeuner à la maison tout en profitant de la piscine.

Marc trouve plusieurs clés USB dans une boite au fond d’un tiroir du bureau de Paul.

Il en connecte une sur l’ordinateur de leur père et ouvre le fichier.

– Jean, regarde ça ?

La vidéo montre un groupe de cinq hommes avec Colette dans le salon de la maison.

Les deux frères découvrent Colette dans une robe qui laisse tout paraître, des hommes la pelote et elle se laisse faire, le tout devant leur père. Les hommes font subir les pires outrages à Colette, sodomies, double fellation, double pénétrations, etc.                                                                            Jean et Marc ne sont plus sûrs que d’une chose, Colette est devenue sous les ordres de leur père une salope qui couche avec n’importe qui.

Ils ne sont pas au bout de leurs surprises, une autre vidéo montre Colette soumise aux turpitudes d’une femme et de leur père, on peut voir qu’elle est consentante et qu’elle aime ça.

Quand ils voient le visage de la femme qui soumet Colette, Jean pousse un petit cri et manque de tomber de sa chaise, c’est la tante Sophie, la sœur de leur mère.

A la fin de la vidéo, Jean et Marc ont du mal à trouver leurs mots.

– Tout ça avec la sœur de maman sous les ordres de papa, c’était un vrai salaud quand même ?

– Ouais, ouais ? Tu as raison, en plus elles sont de belles salopes, je crois qu’avec ses vidéos, on va pouvoir se vider les couilles ?

– Tu veux baiser Colette et aussi baiser la tante Sophie ? Hein ? C’est ça gros dégelasse.

Répond Marc.

– Allez fait pas ton faux-cul et avoue, qu’elle te plaît cette vidéo, voir la Colette et la tante baiser comme des chiennes.

– Oui, elle est pas mal, mais c’est pas dit qu’elle soit d’accord, elle a l’air fatigué et abattu par la mort de papa.

– Tu m’étonnes, avec tout ce que l’on vient de voir, ça vaut le coup d’essayer, on n’a rien à perdre ?

– Colette n’est pas un modèle de vertu, elle est attirée par la bite que ce soit la tienne, celle d’un inconnu ou même celle d’un clebs, ça doit être la même pour elle et puis ce n’est que du sexe après tout.

Jean décide que son frère à raison, il appelle Colette.

Colette porte maintenant un tee shirt sans fioritures et une jupe large. Jean se met à parler.

– Ah ! Colette, j’ai quelque chose à te montrer, viens t’asseoir entre nous.

– Je n’ai vraiment pas le temps les enfants.

– Mais si tu as le temps ! Tu as tout le temps.

– Bon d’accord, mais vite alors ?

Elle s’assoit entre les deux garçons, Jean lance la vidéo. Au début, elle ne comprend pas, puis elle se voit dans sa robe transparente et là, c’est le déclic.

– Oh mon dieu, il nous a filmé !

Marc lui répondit

– Et oui, il ta filmé, je ne savais pas que tu as les talents d’une actrice de film porno.

– Pourquoi vous me montrez cette vidéo ?

– A ton avis ? Nous voulons profiter de tes talents et après on ira voir notre tante Sophie, tu sais celle qui t’a léché le cul et après qui t’a enfoncé un énorme gode dans le centre de tes reins.

– Mais ça va pas ! Pour qui me prenez vous ?

– Pour une chienne que papa a dressé pour ce faire baiser par tout le monde. A présent, tu seras nôtre chienne si tu ne veux pas que cette vidéo se retrouve sur le net.

-Je crois que mon père avait fait le bon choix, ses enfants vont s’occuper de toi, tu vas voir, je suis sûr que tu vas adorer nos grosses bites. Reprend-il en ouvrant son pantalon imité par son frère.

Il sort un gros engin, qui bien qu’encore au repos, est déjà bien plus gros que tous ceux qu’elle a vus. Il pend jusqu’à la moitié de ses cuisses et se termine par un gros gland. L’autre, bien que moins bien membré, a un sexe imposant.

-Bon, fini de parler. Désormais, tu es à nous, tu vas te faire baiser toute la nuit.

-Vantards ! Dans cinq minutes, vous aurez fini, moi je resterai sur ma faim.

– Tu crois ça ? Tu ne vas pas être déçue ! Maintenant, à genoux, et ferme-la !

Un peu surprise du ton que Marc a pris, elle se met à genoux sans rien dire, presque comme hypnotisée. À peine en position, les deux garçons se placent devant elle, deux belles bites bien dures pointent dans sa direction. Colette les attrape et commence à les branler. Jean l’attrape par les cheveux, il lui enfourne sa bite dans la bouche. Elle le suce tout en continuant de branler son frère.

Ce dernier l’arrache de son frère pour lui donner le sien à sucer. Marc est moins doux que Jean, il pose ses mains de chaque côté de son visage et lui impose un rythme très rapide. Il lui baise littéralement la bouche, son gland cogne au fond de sa gorge, ce qui la fait saliver énormément. Colette s’agrippe à ses cuisses pour ne pas perdre l’équilibre. Jean part dans la cuisine et revient avec une paire de ciseaux.

– J’ai envie de voir ses seins.

– Donne les ciseaux, frérot !

Tout en lui lâchant la tête, Jean prend les ciseaux. Il pince son téton gauche entre son pouce et son index, le fait rouler pour la faire crier un peu. Ensuite, il tire sur le tissu de son tee-shirt et plante les ciseaux dedans, coupe le tissu. Une fois fini, son sein sort par le trou qu’il vient de faire. Il fait pareil au niveau de son sein gauche.

– Voilà. Tu aimes tellement les faire voir, maintenant, c’est chose faite.

Il rend les ciseaux à son frère et prend sa bite en main pour la faire claquer sur ses joues en la traitant de salope. Jean s’assoit près d’eux sur le canapé et se branle doucement.

– À mon tour ? Je veux qu’elle me suce aussi.

– Pas de problème, je vais m’occuper de sa petite chatte en même temps.

Colette n’a pas un mot à dire. À peine éloigné, Jean la tire par les cheveux et lui roule une pelle. Leurs langues tournent l’une autour de l’autre. Colette est en eau, elle sent sa cyprine couler le long de ses cuisses. L’instant d’après elle se retrouve à le sucer, elle sent Marc lui relever le bassin par la ceinture de la jupe. Elle est à quatre pattes devant Jean en train de le sucer, elle sent son frère lui relever sa jupe puis plonger son visage dans sa fente. Colette sent sa langue laper son jus, il lui lèche toute la raie, s’arrêtant sur sa rondelle de temps en temps. Il lui doigte la chatte et l’anus, ce qui la fait gémir de plus en plus. Colette alterne entre pipe et branlette. D’un coup, elle sent que Marc se retire.

Quand elle tourne la tête pour voir ce qu’il fait, elle le voit nu, la bite à la main, en train de se positionner derrière elle. Colette n’a pas le temps de lui dire quoi que ce soit qu’il lui perfore son puits d’amour d’un trait. Cette pénétration la fait crier sans retenue. Pour la faire taire, Jean lui enfourne sa bite dans la bouche et la force à l’avaler en entier. Son frère lui lime la chatte avec énergie ; elle sent ses couilles lui claquer le clitoris à chaque fois. Jean prend son portable et filme la scène, Colette en train de se faire prendre en levrette tout en lui prodiguant une gorge profonde.

Quand elle arrive à se dégager la bouche, elle regarde Jean droit dans les yeux et lui dit :

– Au lieu de filmer, tu veux pas plutôt m’enculer pendant que ton frère me baise ?

– Tu veux qu’on te prenne en double ?

– Oui. Vous ne voulez pas découvrir des choses ? Je suis votre objet cette nuit, non ?

– Oh, putain ? Elle est encore plus chienne que je croyais !

– Tu vas couiner, salope, prépare-toi !

– J’attends pour l’instant, j’ai connu mieux avec votre père.

Colette est dans un état second, elle veut se faire baiser.

Marc se retire et s’allonge sur le dos, elle s’empale sur sa bite puis commence les va-et-vient. Jean, maintenant nu lui aussi, se place derrière elle. Colette sent un truc froid sur sa rosette, après une petite résistance, il entre dans son jardin secret.

C’est trop petit pour être sa bite ?                                                                                                               Elle tourne la tête et voit Jean se lubrifiant la bite avec des petites plaquettes de beurre ?                             Elle n’y croit pas ? Il vient de lui en mettre une dans le cul ! Il lui en met une deuxième, puis une troisième. Elle sent à présent ses doigts entrer dans son fondement. Directement deux, après trois,  enfin, il présente son gland. Son frère la tient serrée contre lui, son gland entre sans résistance, elle sent son membre coulisser dans son rectum tout doucement. Il se cale à fond dans ses reins.

Colette se sent pleine ? Elle est pleine. Ils commencent à bouger chacun à son rythme pour petit à petit bouger au même rythme. Rythme qui augmente au fur et à mesure de ses couinements et de ses ondulations. Elle a l’impression qu’ils vont la perforer de part en part. Colette crie de toute sa voix, elle jouit de ses deux trous constamment. Elle a la tête qui tourne, elle va tomber dans les pommes. Enfin, elle les sent gicler dans ses cavités. Leur sperme chaud la remplit et déborde. Colette a les jambes en coton.

Jean se retire le premier et lui fourre sa bite dans la bouche. Colette le suce sans réfléchir, il a le goût de son cul et de son sperme mélangés. Elle aime ça. Sa pipe post-coït lui redonne de la vigueur. Son frère fait de même, elle le nettoie, il reprend de la vigueur aussi grâce à sa langue experte.            Ils changent de trou. La joute est encore plus intense, ils sont plus endurants. Ils se mettent à la prendre en double vaginale, ils tentent la double anale, mais échouent heureusement pour elle.

Tout à coup, ils se retirent en même temps, ils la mettent à genoux devant eux, se branlent et éjaculent sur elle. Les premiers jets arrivent directement sur son visage et ses cheveux, les autres terminent sur ses seins libres, elle tire la langue pour récupérer cette merveilleuse semence.                Tour à tour, ils se font lécher pour avoir une bite bien propre. Les deux frères s’affalent sur le canapé et la regardent, souillée, le maquillage coulant. Ils la prennent en photo, Colette n’a plus la force de dire quoi que ce soit, alors elle les laisse faire, ils ont mérité leur trophée.

– Tu as aimé, salope ?

– Oui. Vous m’avez surprise, à vrai dire, je ne vous pensais pas aussi pervers.

– Mais tu n’as encore rien vu, ma chère !

– Me dites pas que vous avez encore du jus ? Je ne vous croirais pas.

– Du jus, pas pour l’instant, tu ne vas pas t’en sortir comme ça, tu vas goûter à notre spécialité !

– Tu crois qu’elle peut le faire ? Demande Jean à son frère.

– Bien sûr. Regarde Sophie ? Elle a eu deux enfants, sans compter la double vaginale qu’elle vient de faire sans résistance. Sophie le faisait bien avant de réussir la double.

– Tu as raison, je vais chercher ce qu’il faut.

Qu’est-ce qu’ils mijotent ? Ils viennent de la baiser deux fois de suite par ses deux trous, ils en veulent encore ?

Colette est vraiment une mauvaise physionomiste. Jamais, elle n’aurait imaginé qu’ils soient comme ça. Des vraies bêtes de sexe, insatiables ! Elle pense qu’elle va prendre cher, rien que d’y penser, elle recommence à mouiller. Jean revient avec de nouveaux petits pains de beurre. Il en donne à Marc qui les pose sur le canapé en lui disant :

– À toi l’honneur, tu as les mains plus fines.

Jean, sans rien dire, se beurre les mains ? Elle n’ose y croire ? Ils ne vont quand même pas la fister, ces pervers ?

Colette a sa réponse : Marc la saisit par les épaules, il lui plaque le visage sur le sol, il lui relève la croupe et la fesse deux ou trois fois. Elle a le cul qui lui brûle, elle se met à couler. Jean s’approche de son derrière et entre trois doigts sans hésitation dans sa grotte. Il la pistonne, il fait bouger ses doigts en elle. Elle gémit de plaisir.                                                                                                             – Tu vois, elle adore ça, Jean. Passe à la vitesse supérieure !

Jean écoute son frère sans dire un mot. Il lui enfonce quatre, puis cinq doigts. Sa main résiste un peu à entrer, il force plus et d’un coup son corps cède. Il a son poing dans sa grotte ?                                       Il reste immobile un instant avant de commencer à faire des rotations. Colette sent sa cyprine couler sur ses cuisses. Jean le remarque aussi, il n’hésite pas à le faire remarquer à son frère. Marc bande de nouveau, il prend son téléphone et filme la scène tout en se branlant. Jean s’amuse avec sa grotte comme un chat avec une souris. Il sort son poing et le remet avec de moins en moins de résistance. Il lui pistonne son puits d’amour avec son poing. D’un coup, il se retire, il écarte ses deux globes fessiers au maximum.

– Marc, prends sa chatte toute ouverte en photo, sûr que je peux y mettre les deux mains ?

Colette commence à paniquer, être fistée par deux mains, elle ne l’a jamais subi. Elle pense qu’il va la déchirer, mais elle n’a pas le temps de réagir qu’il commence. Il entre une main puis elle sent l’autre glisser le long de son poignet. Il entre un doigt, après deux, ainsi au fur et à mesure, il entre ses cinq doigts. Sa grotte la brûle, ses larmes coulent sur ses joues et sur le sol. Son frère l’encourage en lui beurrant les parties de sa main encore à l’extérieur. Les minutes paraissent longues à Colette. D’un coup, elle les entend crier de joie ?                                                                     Il a réussi à lui rentrer ses deux mains dans sa grotte ! Colette horrifiée pense qu’elle ne sentira plus jamais une bite ? Il a flingué sa grotte d’amour !

Après l’excitation de sa prouesse, il commence à la pistonner. Elle crie de douleur et de plaisir à la fois, la chaleur est tellement intense qu’à la fin, elle ne la sent plus. Colette recommence à jouir de plus belle, ce qui le conforte dans sa prouesse et lui fait commencer un mouvement de va-et-vient. Elle jouit sous ses coups de poings dans sa grotte. Marc n’en peut plus, il lui ordonne de se retirer pour qu’il puisse l’enculer de nouveau. Quand Jean retire ses mains, elle sent comme un courant d’air dans son puits d’amour, cette sensation lui provoque un énième orgasme.

Lorsqu’elle revient sur terre, Marc est déjà dans son cul, il la lime sans retenue. Jean a pris le relais pour filmer.

– Jean, passe-moi le beurre !

– Qu’est-ce que tu veux en faire ?

– Passe, putain !

Jean le lui passe et reprend le cadrage de la scène. Colette n’a plus de forces pour quoi que ce soit. Elle n’ose même pas imaginer ce qu’il a en tête, mais ça ne peut pas être pire qu’un double fiste.

Colette s’est trompé ! Il se retire et commence à lui fourrer des plaquettes de beurre comme si elle était une dinde de Noël.                                                                                                                               Il ne va pas tenter ?  Mais si ?                                                                                                                      Elle commence à sentir ses doigts autour de sa corolle dilatée. Elle ne sent même pas les doigts entrer, juste son poing cogné sur son sphincter. Il est plus violent que son frère, il la fait bouger sur le sol. Colette essaie de se retenir au canapé, sa tête cogne sur le pied à chaque mouvement de sa part, son visage frotte le sol.

Jean lui donne un coussin pour poser sa tête. Son poing entre d’un coup. Il ne s’arrête pas là, immédiatement après, il lui pistonne le fion comme un fou. Des bruits obscènes de beurre fondu et de foutre mélangés se font entendre et Colette jouit en continu. Il se retire, fait prendre par son frère des photos en mode selfie et autres, ses orifices distendus.                                                                   A un moment Jean s’absente et revient avec une corbeille en osier remplis avec des canettes et des bouteilles de bière plus une authentique bouteille de coca vide, bombe de déodorant, un concombre et une belle courgette.

– Comme tu aimes les gros calibres ma chérie, tu vas être servi, je te présente tes prochains amants. Tu vas aimer ?

Jean la fait se cambrer, lui écarte les cuisses et les fesses pour exhiber ses deux orifices rougis et encore bien dilatés.

La grosse courgette est la première à la faire crier rapidement, après quelques aller-retour dans son jardin secret. C’est avec une canette et une bouteille de bière que les deux garçons s’amusent un long moment, ils la font jouir fortement des deux cotés

Ils continuent ce jeu avec tout ce qui leur tombe sous la main, elle se laisse tout faire, totalement amorphe et soumise à leurs plaisirs pervers.

En fait, ce petit jeu ne sert qu’à l’humilier, car tout ce qu’il y a dans la corbeille lui est enfoncé dans ses deux intimités.

– Ça t’a plu hein ! salope de te faire défoncer de tous les côtés par des grosses bites ? Réponds !

– Oh ? Ou ! ça m’a plu !

– Tu es notre pute maintenant, notre sac à foutre, tu nous appartiens salope. Dit-il en recommençant à la sodomiser.

– RROOH ! OOUUIIIIII !

Il la sodomise encore pendant un bon quart d’heure, il s’enfonce de toutes ses forces dans ses reins offerts, plonge sa colonne de chair au fond de son jardin secret par la petite porte grande ouverte. Il la fait encore jouir. Jean se met à rugir et se déverse tout au fond de son ventre. Il se vide, lui remplissant le cul.

Il prend une bouteille de bière qui traîne là et l’enfonce sans résistance dans ses reins.

– Tiens, salope !! Un joli gode pour te rappeler cette soirée.

Difficilement, Colette articule :

– Je ne vais pas rester comme ça ! Je vais me nettoyer un peu.

– Bien sûr ! C’est nous qui allons te nettoyer.

– Jean, ouvre la porte et aide-moi à la mettre sur la terrasse.

Jean obéit sans dire un mot. Ils la prennent sous les aisselles et l’amènent dehors, Colette arrive difficilement à marcher. Ils la laissent tomber à genoux et ils se mettent l’un à côté de l’autre devant elle la bite à la main. Colette s’approche pour les sucer, les yeux à demi-clos, quand elle reçoit un premier jet chaud. Elle ouvre plus les yeux, là, elle les voit en train de commencer à lui pisser dessus. Ils l’inondent de leur pisse chaude.                                                                                                     – Voilà, comment on lave des chiennes de ta trempe !

Colette n’en revient pas, ils n’ont aucune limite ? Une fois fini de lui pisser dessus, les deux frères rentrent dans la maison et ferment la porte, la laissant là, souillée de foutre et de pisse, les seins a l’air et cul nu. Colette, reste un long moment sans bouger pour reprendre ses esprits, jetant un coup d’œil pour voir qu’ils sont toujours là. Après de longues minutes, les yeux dans le vague en pensant à tout ce qui vient de se passer, elle se lève et descend de la terrasse pour faire le tour de sa maison, pour rentrer par la porte de la cuisine qu’ils n’ont sûrement pas fermé, du moins elle l’espère. Sur le chemin, elle s’arrête plusieurs fois, car ses jambes ne la tiennent plus.

En traversant le jardin pour aller plus vite, elle tombe même à genoux sur la pelouse, elle sent un courant d’air sur sa fente. En tirant sur son tee-shirt, elle s’aperçoit qu’elle a encore la canette de bière dans le cul. Elle la retire et sent un vide en elle.

La porte de la cuisine franchit, ses jambes l’amènent directement dans la douche. Elle reste assise dans la douche un très loin moment, avant de se nettoyer comme une poupée de chiffon. Colette se couche pour s’endormir instantanément.

Sam Botte

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