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La déchéance de Colette qui devient une pute pour hommes et animaux chapitre 13

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Chez le notaire

Colette est conviée à l’étude de maître Bertrand, notaire de Paul, elle est assise dans la salle d’attente de l’étude. Elle vérifie sa petite montre bracelet et voit qui lui reste dix minutes avant son entretien, juste le temps de vérifier son reflet dans le petit miroir, de s’assurer que son chemisier est fermé jusqu’à la gorge et que les petits boutons blancs tiennent bien (ses seins ont la fâcheuse habitude de faire sauter les boutons). Elle arrange sa jupe droite et la lisse vers le bas sur ses fesses et cuisses encore bien fermes.

Un bruit métallique ce fait entendre, la porte du bureau s’ouvre électriquement.                                      – Entrée Madame !                                                                                                                                 Colette est impressionnée par le cadre, l’homme est assis derrière un grand bureau en acajou.

 – Je me présente maître Bertrand, notaire de monsieur Paul, je suis chargé de régler la succession    de Monsieur Paul. Elle reconnaît le notaire qui enregistra la vente de la propriété.                                – Je dois vous remettre le carnet de chèques d’un compte en banque suisse, que monsieur Paul a ouvert à votre nom en le garnissant copieusement pour vous garantir longtemps une vie aisée.

Pendant qu’il parle, maître Bertrand se lève et ce met à côté de Colette.                                           -Monsieur Paul devait beaucoup vous aimer.  Au moment où maître Bertrand met sa main sur l’épaule de Collette, ses nerfs lâchent, elle se met a pleuré la tête dans ses mains. Maître Bertrand la prend gentiment dans ses bras. Colette est dans un tel état de tristesse, qu’elle se laisse aller dans les bras de maître Bertrand .

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Maître Bertrand regarde Colette, malgré sa mine triste, il la trouve désirable. Ses sanglots secouent sa poitrine qu’il devine belle. Une main de Maître Bertrand déboutonne facilement quatre boutons du chemisier de Colette qui ne réagit pas. Une main vient caresser le dos de Colette qui frissonne. Colette recule son buste, relève sa tête, ses yeux rougis de larmes regardent Bertrand qui en profite pour poser ses lèvres sur celles de Colette qui s’abandonne au baiser du notaire. Les mains puissantes du notaire glissent au bas de ses reins, un frisson lui parcourt la colonne vertébrale.

Colette réalise soudainement la situation embarrassante ou elle s’est laissé entraîner. Elle essaie de se dégager des bras du notaire.                                                                                                                    – Je vous en prie, laissez moi. Dit elle dans un ton remplit de lassitude.                                                      Le rire du notaire résonne dans le bureau. Un rire gras et crapuleux qui donne la chair de poule.                                                                                                                                                           – Tu ne vas pas commencer à faire des manières, je sais très bien ce que tu faisais avec Paul, il avait fait de toi sa pute, n’y plus n’y moins.                                                                                                       – J’ai dans mon coffre un chéquier à ton nom et une belle somme en liquide qui est pour toi.                    – Maintenant, tu peux sortir d’ici la tête haute, et demain, je donne le numéro de ton compte en suisse à l’administration fiscale, tu risques te retrouver en prison avec plus un sous en poche.

 La famille de Paul se fera un plaisir de récupérer ta propriété ou alors ?                                                           – Mais c’est mon argent qui est dans votre coffre ? l’interrompe Colette.                                                   – Où alors, comme je disais, tu te soumets à mes désirs et je te donne tout ce qui te revient ?                                                                                                                  – Comment pouvez vous penser que je vais vous ? Vous êtes fou !                                                                 Qu’elle crie des sanglots dans la voix. Le notaire hoche la tête d’un air compatissant à son désarroi.

– Comme tu as été licenciée de ton emploi de secrétaire particulière par la femme dû regretter Paul. Je te prends à mon service comme secrétaire, ce qui justifiera tes dépenses avec l’argent du compte suisse sans que le fisc soupçonne quoi que ce soit.

Une heure plus tard, Colette a l’emploi de secrétaire particulière de maître Bertrand ! Encore mieux, elle doit commencer dès le lendemain.

En fin d’entretien, il lui liste ce qu’il attend d’elle. Elle doit être ponctuelle, traiter toutes les demandes du personnel et avoir une tenue vestimentaire appropriée.

Donc le lendemain matin, Colette arrive dix minutes d’avance, habillée comme pour son entretien, avec une jupe droite s’arrêtant au-dessous des genoux, un soutien-gorge qui lui amenuise ses seins, un chemisier boutonné jusqu’en haut et une veste de tailleur fermée. Avec son maquillage naturel et ses longs cheveux remontés en chignon, elle se sent femme d’affaire.

Lorsqu’il arrive, elle rejoint son bureau. Elle s’assoit dans le fauteuil en cuir à son secrétariat, derrière les grandes portes en noyer du bureau de maître Bertrand. Ne sachant pas que faire, elle prend l’épais manuel de l’employé trouvé dans le tiroir du haut de son bureau et commence à le lire.

Elle sursaute lorsqu’elle entend un imposant appel de la voix de baryton de maître Bertrand à travers la porte entrouverte :

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– Colette, s’il vous plaît, venez me voir !

Inquiète, car elle sent au son de la voix que ça ne va pas, Colette se lève et se précipite, désireux de faire plaisir à son patron en ce premier jour. Il la regarde de haut en bas avec un air sévère sur le visage.

– N’avez-vous pas compris les exigences du poste ?

Colette ne comprend pas ?

– Si ? Si Monsieur. J’ai compris. Qu’ai-je oublié ?

Soupirant, maître Bertrand regarde sa tenue.

– Que pensez-vous ? Lorsque je vous ai dit, une tenue vestimentaire appropriée ?

La voyant confuse, il continue :

– Pourquoi pensez-vous que je vous ai engagé ? Je pensais que vous aviez compris votre position.

Il repousse son fauteuil de son bureau, il traverse la pièce afin de se tenir devant elle. Il pose sa main sur la manche de Colette, fait courir ses doigts vers le bas puis lui prend sa main dans ses doigts charnus.

– S’il te plaît, rentre chez toi à l’heure du déjeuner et change toi pour avoir quelque chose de plus, approprié pour moi.

Colette comprend  ce qu’il veut. Elle est vêtue d’une tenue respectable et trop stricte.

Le midi, elle se précipite pour se changer. Elle pense qu’elle doit peut-être montrer un peu mieux ses formes, être plus sexy pour les clients. C’est la seule chose qui lui vienne à l’esprit et ça la rend nerveuse d’avoir à raisonner sans avoir d’instructions explicites. Elle décide de changer son soutien-gorge serré par un autre en dentelle blanche et pigeonnant. Son ex-amant aimait que ses seins rebondissent. En elle-même, elle hausse les épaules. Elle espère, qu’elle a raison.

Après le déjeuner, à son retour, le notaire la trouve à son bureau, portant le même chemisier que le matin avec deux boutons de défait, laissant entrevoir sa magnifique poitrine. Elle sent son regard sur son visage et ses cheveux maintenant déliés et brossés. Il s’attarde sur les lèvres charnues, agrémentées d’un rouge à lèvre brillant ainsi que sur le haut de sa gorge.

– Suivez-moi dans mon bureau s’il vous plaît Colette ! Il a repris le vouvoiement

Colette ne sait pas s’il est content ou non mais se dépêche d’obéir. Après avoir franchi le seuil de son bureau, il lui demande de fermer la porte et la prenant par le coude, il la guide vers un coin de la pièce où se trouvent un canapé, une commode et un grand miroir sur pied.

– Regardez-vous dans la glace Colette et dites-moi ce que vous voyez. ?

La femme a subitement un nœud à l’estomac, pensant avoir mal choisi en revenant habillée plus sexy que plus austère. Elle regarde dans le miroir et voit derrière elle l’aspect sévère de maître Bertrand.

– Répondez moi ?

Nerveuse, ayant perdu contenance, Colette balbutie.

– Je ? Je ? Je me vois, Monsieur !

Elle déglutit.

– Et que faites-vous ici Colette ?

– Je suis votre secrétaire particulière, Monsieur.

Le notaire sourit, pourtant ses yeux restent sévères. Parlant patiemment comme à un enfant, il demande :

– Pourquoi pensez-vous que je vous ai embauché Colette ?

Elle ne sait pas où il veut en venir. Les mains du notaire serrent ses épaules et elle commence à avoir un peu mal. Mais elle reste là, à se regarder, bouche bée, sans savoir que dire. Elle sursaute lorsqu’il répète sa question d’une façon plus menaçante. Elle essaye de trouver une réponse :

– Parce que j’ai besoin de mon argent que vous déteniez Monsieur ?

Maître Bertrand sourit de nouveau, mais il n’y a rien d’agréable dans son sourire :

– Avez-vous vraiment besoin de cet argent Colette ?

A cette question, Colette se retourne, obligeant les mains du notaire à se retirer, elle supplie avec ses yeux, prête à tomber à genoux, ses seins oscillent comme elle se balance de panique.

– Oh Maître ! S’il vous plaît, j’ai tellement besoin de cet argent Monsieur ! Dites moi ce que je dois faire et je le ferais.

Le notaire remet ses mains sur les épaules de Colette et la retourne face au miroir :

– Je ne vous ai pas embauché pour que vous récupériez cet argent. Je vous ai embauché, car vous êtes la meilleure pour ce poste. Je vous ai embauché Colette pour être ma pute !

Colette ne peut croire ce qu’elle entend. Elle rougit de son décolleté à la pointe de ses oreilles et balbutie.

– Oh non pas ça !  Excusez-moi Maître ?

Les mains du notaire glissent doucement de ses épaules vers les boutons de son chemisier. Il déboutonne deux boutons et ses mains pénètrent l’intérieur afin de saisir chacun des seins.

Colette est paralysée. Elle murmure :

– Je ne suis pas une pute ? Monsieur.

Pourtant, elle lui laisse caresser ses seins.

– Mais si vous l’êtes ! Seule une pute ferait refaire ses seins. Cette poitrine me dit que vous en êtes une. Vous êtes assez intelligente pour comprendre cela. Vous êtes ici pour me faire plaisir et je veux que vous vous habilliez comme le jouet sexuel que vous êtes. Regardez, vous me permettez de malmener vos seins. Une autre femme se débattrait et appellerait un avocat pour m’accuser de harcèlement sexuel dès qu’elle trouvera un téléphone. Dites-moi ce que vous êtes si vous n’êtes pas une salope ?                                                                                                                                                   Il serre chacun des seins avec ses mains.

Dans sa tête, Colette panique et n’arrive pas à penser à une réponse cohérente. Il a raison. Dès le moment où elle s’est réveillée avec cette nouvelle poitrine, elle savait qu’elle serait une salope pour le plaisir de Paul. Il est inutile de le nier.

– Oh oui, vous devez avoir raison. Je dois être une salope.

Il pince le mamelon droit et tire dessus. Elle halète

– Enfin, vous commencez à avoir du bon sens, vous êtes ma putain avaleuse de sperme.

Sam Botte

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