Colette secrétaire particulière.
Dans le cabinet du notaire. Elle se mord les lèvres et essaye de penser, mais c’est impossible alors qu’il lui pince et roule ses mamelons entre ses doigts. Elle ne sait plus que faire. Ou tout du moins tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle doit lui plaire pour récupérer son argent.
Le notaire la retourne pour lui faire face et remet ses mains à l’intérieur du soutien-gorge. Saisissant toute la chair qu’il peut, il soulève les seins pour les extraire et les laisse tomber sur le dessus du soutien-gorge. Sur ces seins sont posés deux petits tétons bruns. Il tire brutalement sur ces deux bourgeons et voit que les yeux de la femme commencent à se mouiller de larmes. Puis, il gifle le sein droit et le regarde rebondir sur le sein gauche. Alors que sous le choc, Colette commence à se tourner, il gifle le sein gauche encore plus violemment.
– Puisque vous êtes lente à comprendre ce que j’attends, je vais vous le préciser. Vous ne devez jamais résister aux exigences des hommes que je vous présente. Vous devez vous habiller convenablement. Et puisque votre esprit ne comprend pas, une tenue appropriée signifie que vos seins doivent être exposés autant que possible.
Les mains de maître Bertrand quittent finalement ses seins et glissent vers le bas, sur ses hanches, agrippant le tissu de sa jupe.
– Votre jupe doit être juste assez longue pour couvrir votre chatte et votre cul. Vous êtes une femme bonne à baiser, donc vous devez vous habiller comme tel.
Il s’agenouille, glisse ses mains sous l’ourlet de la jupe et commence à explorer son entrecuisse. Il sourit.
– Comme si je devais entendre des confirmations de votre part. Cette culotte humide et ce sexe gonflé sont la confirmation que vous êtes une salope qui aime servir de jouet sexuel. Sentez comme vous êtes mouillée, c’est que vous aimez ça.
Colette n’a jamais été aussi humiliée. Mais ce traitement dégradant lui fait de l’effet. Ses mamelons durcissent et elle peut sentir l’humidité entre ses cuisses.
Elle se demande si maître Bertrand veut la baiser ou tout simplement la malmener. Mais elle en a conclu qu’elle lui aurait tout permis. Elle n’est peut-être qu’un jouet sexuel pour hommes.
Après une nuit presque sans sommeil, Colette se réveille en sursaut, honteuse de ses rêves humides et de son anticipation de la journée.
Maître Bertrand ne l’a pas baisé hier. Après la scène humiliante du miroir, il a pris des ciseaux et coupé la jupe juste au-dessous des fesses. Puis il l’a poussé sur le sol, la faisant marcher à quatre pattes, la chatte exposée et humide. Le reste de la journée fut consacré à un vrai travail de secrétaire, mais elle était habillée comme une pute.
Aujourd’hui, elle entre dans l’étude, prête à exposer ses seins et son cul. Elle est prête à tout du moment que son argent lui revient. Son habillement étant trop embarrassant en public, Colette porte un grand manteau. Dessous, elle a une minijupe sans culotte. Elle a compris la leçon de la veille. Elle n’a attaché qu’un bouton à son chemisier, juste celui en dessous de son soutien-gorge pigeonnant, exposant ainsi son ventre plat et affichant sa poitrine dans son soutien-gorge en dentelle noire visible à travers la blancheur de son chemisier.
A chaque pas, ses seins ballottent et menacent de s’évader de leur soutien. Elle a terminé avec un maquillage de star du porno, ses longs cheveux attachés en longue queue de cheval et une haute paire de chaussures à talons. Elle se sent salope et oscille entre l’humiliation et le plaisir.
Elle pense qu’elle est mieux habillée pour aller travailler dans une boite de strip-tease que dans une étude de notaire
Après avoir déposé son manteau, elle prépare le café de Maître Bertrand et elle l’attend à la porte de son bureau, tête baissée. Avec appréhension, elle espère qu’il aimera ce qu’il verra. Il entre, jette un regard et lui sourit.
– Ah voilà, c’est beaucoup mieux. Vous ressemblez à la pute que vous êtes. Suivez-moi dans mon bureau !
En entendant ses paroles dégradantes, Colette commence à mouiller. Elle a honte de réagir ainsi à ces mots insultants et paradoxalement cette honte augmente l’humidité de son entrejambe. Elle espère qu’il ne voie pas le liquide qui coule le long de l’intérieur de ses jambes. Elle le suit.
Maître Bertrand dépose le café sur son bureau et se tourne vers elle. Il la regarde et sourit lorsque qu’il s’aperçoit du liquide qui coule le long de ses cuisses.
– Il avait raison Paul, tu aimes être maltraitée. Mets-toi à genoux et ouvre grand la bouche !
Sans hésitation, elle se laisse tomber par terre, ouvre la bouche, attendant ce qu’elle sait qu’il va faire. Mais au lieu de mettre sa queue entre ses lèvres rouges brillantes, il saisit les joues de Colette dans une main et en serrant, la force à ouvrir encore plus grand.
– Vous avez envie de ma bite hein ? Eh bien, vous ne la méritez pas encore !
Ensuite, il lui crache dans la bouche ouverte puis, lui gifle la joue, lui dévissant la tête sur le côté. Bien que choquée, la femme reste assise sur ses genoux, le sang monte à sa joue. Elle avale la salive. Son patron la force de nouveau à ouvrir la bouche et lui y enfonce un mince plug anal noir.
– Suces putain !
Elle suce le plug docilement, le mouillant avec sa salive. Le notaire sourit devant cette scène, Colette les yeux brillants, agenouillée et craintive, suçant ce plug avec ses lèvres rouges.
– Avez-vous déjà été copieusement sodomisée ?
Colette rougit, détourne le regard avant de hocher lentement la tête. Pourquoi n’est-il pas surpris ? Il tire le mince plug de la bouche de sa secrétaire, se tourne vers son bureau pour le remplacer par un plus gros.
– Alors, vous m’évitez l’éducation de votre trou du cul. Je ne sais pas si je suis heureux ou non. J’ai embauché une vraie salope.
Colette veut commencer à parler, mais le notaire glisse un plus gros plug sans sa bouche, la bâillonnant efficacement. Elle crie dans sa tête, qu’il a mal compris, elle avait aimé et son petit trou du cul plissé avait été habitué à être baisé régulièrement.
Maître Bertrand fait coulisser le plug en avant et en arrière plusieurs fois dans sa bouche. Enfin, le jugeant assez humide, il le sort, ordonne à Colette de se lever et de se pencher sur le bureau. Tremblante, elle lui obéit. Alors, qu’elle se penche, sa jupe glisse, exposant le bas de ses fesses et les lèvres de sa vulve. Il admire la vue, puis relève complètement la jupe afin de révéler son trou du cul serré. Lorsqu’il appuie le plug humide contre l’œillet, il la sent serrer ses fesses et gémir.
– Si tu ne te détends pas, ça va faire mal !
Colette fait de son mieux pour suivre son conseil, tandis qu’il pousse petit à petit le plug dans son anus. Elle se sent écartelée par la grosseur. Saisissant le bord du bureau, elle se mord les lèvres alors que ses yeux s’emplissent de larmes. Son tourmenteur lui tapote les fesses, tire sur sa jupe puis la remet debout en tirant par sa queue de cheval. Ensuite, il la renvoie s’asseoir à son bureau.
Après quelque heures à répondre au téléphone et exécuter quelque tâches administratives, Colette se tortille sur sa chaise, constamment consciente du jouet dans son cul. Elle n’a jamais porté de plug et se sent très dilaté. Elle se dit que plus, elle se détendra, mieux elle se sentira bien. Humiliée par ses propres pensées, ses mains ne cessent de vouloir aller toucher son clito palpitant. Elle souhaiterait que ses doigts caressent son clitoris et les plis de sa chatte mouillée.
Mais à chaque fois, elle est mortifiée de penser à elle, se caressant, un plug dans le cul. Même les objets ordinaires sur son bureau prennent un sens nouveau alors qu’elle spécule sur leur taille et leur forme. Un tas de stylos réunis par un caoutchouc, une bouteille de rhum trouvé dans le fond de son bureau, même l’agrafeuse. Tous ces objets prennent un sens phallique. Elle n’a jamais connu ça avec Paul. Que lui arrive t’il ?
Alors, qu’elle essaye une fois de plus de faire sortir toutes ces pensées de sa tête, Colette entend des pas dans le couloir. Désespérée d’être trouvée par quelqu’un habillée de cette façon, elle cherche à se cacher ou se couvrir, mais elle ne trouve pas. Elle décide qu’elle ne peut rien faire à part se tenir droite et afficher un faux sourire sur son visage, aussi faux que les seins siliconés dans son soutien-gorge.
Assise sur le plug, ses seins poussés vers le haut et hors de son chemisier, Colette se sent ridicule.
Les pas se rapprochent et s’arrêtent lorsque l’arrivant la voit derrière son bureau.
– Eh bien ! qu’avons-nous ici ? Maître Bertrand m’a parlé de la nouvelle secrétaire qui va servir de pute, alors je suis venu me rendre compte. Levez-vous !
En transe, Colette ne peut toujours pas croire qu’elle autorise les hommes l’appeler pute. A ce moment, maître Bertrand sort de son bureau pour accueillir le visiteur.
– Charles, je pensais bien vous voir aujourd’hui.
Il cligne de l’œil puis se tourne vers Colette.
– Colette, voici maître Charles. Vous devez le traiter avec plus de respect que pour moi.
En regardant en direction de maître Charles, il continue.
– Elle est toute prête. A vous le premier tour !
Colette pâlit. Il semble qu’elle va enfin se faire baiser. Elle ne veut pas. Mais sa vulve la brûle alors qu’elle fait quelques pas en arrière sur ses talons pour s’éloigner de l’homme en face d’elle. Son instinct la pousse à s’enfuir. La seule chose qui l’arrête est la pensée d’être à la rue, sans argent ni toit. Elle a besoin de cette place pour récupérer son argent.
Maître Charles desserre sa cravate et enlève sa veste de costume, la jette sur le bureau. Il se dirige vers Colette. Il passe le dos de sa main le long de la joue puis encercle avec ses doigts le cou de Colette, serrant peu à peu. Elle peut encore respirer, mais elle devine la menace. L’homme se penche, sent son odeur et lui dit à l’oreille.
– Je sens le désespoir en vous, mais je sens aussi le besoin de vous y habituer, car vous êtes faites pour ça.
Colette ne sait pas si elle est désespérée de se faire baiser, mais elle sait qu’elle en donne l’air avec sa tenue de pute. Elle a honte.
La lâchant et se frottant la bosse qui se forme sur le devant de son pantalon de costume, maître Charles commande.
– Suivez-moi la pute ! je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps.
Sur ce, il tourne les talons et part, sans douter que la femme le suit, muette et résignée. Il le faut, Colette le suit dans un petit couloir puis, dans une salle de conférence. Il se retourne, lui saisit le bras, enlève ses talons et la plie tête première sur la table de conférence.
Elle obéit les pieds bien à plat, écartant le plus possible ses jambes. Il tire sur la jupe, la remontant sur la taille de la femme. Observant pour la première fois le plug à l’intérieur de son cul, il se réjouit.
– Ah voilà ce que j’aime voir ! Un trou du cul de salope prêt pour ma bite !
Il commence à masser les fesses de Colette et la sent se détendre. Puis subitement, il lève la main droite après la laisse tomber rapidement et avec force sur la fesse droite de Colette. Elle sursaute et gémit. Il recommence encore et encore. Le petit cul dodu se trémousse à chaque claque, devenant de plus en plus rouge. Elle rougit d’humiliation en s’imaginant sa position, penchée en avant, jupe relevée, un plug dans l’anus, recevant une fessée, sa cyprine coulant le long de sa jambe.
La fessée s’arrête. Maître Charles la saisit par sa queue de cheval pour lui faire lever la tête. Il prend ses joues dans une main et force la mâchoire pour qu’elle ouvre la bouche.
– Laissez votre bouche de pute ouverte ! Tous vos trous doivent être prêts à l’utilisation. Vous n’êtes bonne qu’à ça !
Sa main glisse en arrière le long de la joue, dans son cou, sur le dos du chemisier puis sur son cul jusqu’à atteindre le plug anal. Il tire doucement dessus faisant gémir la femme. Après quelque va et vient dans son anus, il retire le plug, regarde le petit trou se fermer lentement. Cependant, il ne le laisse pas longtemps fermé, car il enfonce de nouveau le plug d’un geste brusque.
Colette crie et essaye de fuir en avant l’invasion du sex-toy, mais son tourmenteur l’arrête avec son autre main enroulée autour de sa queue de cheval, tenant sa tête comme on tient un cheval.
– Oh vous allez encore plus souffrir du trou du cul ! Attendez juste que ma grosse bite prenne la place de cet objet en plastique. Alors, vous crierez pour de bon, trou à bite, sac à foutre !
Il insiste en poussant encore plus le plug, puis il le sort et le remonte vers le visage de Colette. Elle a un mouvement de recul tandis que le jouet anal atteint ses lèvres. Elle lutte pour échapper à l’emprise de l’homme. Elle ne veut pas que cet objet sale pénètre dans sa bouche. Elle se débat et essaye d’échapper à Charles. Mais il la tient solidement par les cheveux. Il sait qu’elle le veut. Il suffit qu’elle écoute son corps plutôt que son esprit. Tirant fort sur ses cheveux, lui tournant le visage vers le plafond, il l’entraîne à reculons jusqu’à un fauteuil en cuir placé contre un mur où il la lâche.
Puis il la gifle violemment, plusieurs fois, jusqu’à ce qu’elle se blottisse.
– Cela vous apprendra à vous laver le trou du cul tous les matins ! Parce que je veux pouvoir baiser tous vos trous : la chatte, la bouche, le trou du cul ! Dans l’ordre que je voudrais ! C’est la raison de votre embauche de Putain ! Bien sûr, vous êtes libre de partir quand vous voulez. Maître Bertrand gardera votre argent liquide qui est dans son coffre et donnera le numéro de votre compte bancaire en suisse au fisc, vous vous retrouverez soit en prison et à la rue. Et que ferez-vous avec ce corps de pute, ces faux seins ? Je pense que vous êtes bien ici, n’est-ce pas ?
Le maquillage des yeux de Colette coulent sur son visage avec ses larmes. Elle arrête de se débattre et le regarde, se rendant compte qu’il a raison. Elle le laisse tripoter son visage avec ses doigts, étalant le maquillage. Elle baisse sa lèvre inférieure alors qu’il pointe son pouce vers sa bouche
– Ouvrez grand Salope !
Finalement, elle obéit tandis qu’il enfonce le plug lentement entre ses lèvres. Elle est dégoûtée, mais l’humiliation la fait encore plus mouiller. Elle commence à sucer l’objet.
Sam Botte
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