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La déchéance de Colette qui devient une pute pour hommes et animaux chapitre 15

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Maître Charles

Dans le cabinet du notaire.

                                                                                                                                                            Maître Charles monte à califourchon sur le fauteuil, les genoux de chaque côté du corps de Colette. Il lui enlève son chemisier puis son soutien-gorge, exposant ainsi sa poitrine. Il se met à malaxer ses seins d’une main alors que de l’autre, il déboutonne son pantalon, laissant apparaître sa grosse queue rigide. Tandis qu’il caresse sa bite, elle peut se rendre compte qu’elle est de bonne taille, pas comme celle de Paul, mais beaucoup plus grosse et longue. Penché sur sa poitrine, Charles crache à la base des seins. Puis il crache à nouveau, la salive coule entre ses seins. Ensuite, il crache une dernière fois dans sa main et continue à se masturber alors qu’il regarde le gros plug noir qui bâillonne la bouche de Colette.

– Serrez vos seins, je vais me faire branler par votre poitrine !

Elle se souvient que Paul aimait faire la même chose, donc elle obéit, sachant comment faire.

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Le Notaire glisse sa queue entre les seins de Colette et il commence des mouvements du bassin de haut en bas poussant ses obus comme s’il baise un autre trou.

– Dites-moi que vous aimez ça putain !

Colette gémit. Elle vient juste de rencontrer cet homme, elle ne le connaît pas, mais il se masturbe entre ses seins, alors qu’elle suce un plug anal qui a été dans son cul pendant plusieurs heures. Elle ne peut pas parler avec cet objet. Elle gémit et grogne, se sentant de plus en plus excitée. Maître Charles ralentit ses mouvements et descend du fauteuil.

– Maintenant que vous acceptez votre situation de pute, levez-vous et allez-vous pencher sur la table et écartez vos fesses avec vos mains.

Elle fait comme il lui a ordonné et est récompensée en sentant la tête du gland de l’homme se poser contre son trou du cul. De la bave coule de sa bouche obstruée par le plug, mais elle ne peut pas s’essuyer, ses mains étant occupées à écarter ses fesses.

Maître Charles entre quelques doigts dans sa chatte humide, après les retire pour frotter son anus.

– Rien de tel que votre mouille pour vous lubrifier. Je vais vous sodomiser et éjaculer dans votre cul de pute. Alors, vous serez vraiment nôtre putain.

Ensuite, il enfonce d’un cou sa queue au fond du cul de Colette, ses testicules viennent taper contre ses fesses. Et sans la laisser s’habituer à sa bite, il commence à la pistonner avec de coups violents.

– Tenez ma grosse bite espèce de pute ! Voilà ce que vous méritez ! je sais que vous aimez ça que l’on bourre votre cul de pute.

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Il continue à l’enculer, sans pitié, se délectant des cris étouffés de Colette. Il sent qu’elle se lève sur la pointe des pieds pour essayer de faire sortit la queue qui la baise. Mais il la maintient, tout en continuant de la sodomiser, il tire sur ses cheveux, forçant la tête en arrière et la poitrine en avant. Maintenant un gémissement continu sort de la bouche de Colette avec un grognement à chaque fois qu’il s’enfonce en elle. Il continue à la sodomiser jusqu’à ce que les gémissements deviennent des râles de plaisir et qu’elle commence à se pousser contre lui, se baissant afin d’obtenir plus de bite dans son cul.

Il ralentit son enculage puis enfonce le plus profondément possible sa bite dans le cul de la femme. Il se penche sur la table et retire le plug de la bouche de Colette en lui disant.

– Maintenant, dites-moi ce qui vous êtes et ce que vous voulez ? N’aimez-vous pas être sodomisée ?

Lorsque sa bouche est libre, elle crie.

– Oui ! oui ! je suis votre putain ! Utilisez-moi comme vous le voulez ! Je ne suis que bonne à baiser ! S’il vous plaît, enculez-moi encore ! Utilisez mon cul comme vous le voulez !

– C’est vrai que vous êtes un sac à sperme ! Mais vous avez oublié de m’appeler Monsieur, grosse chienne !

Et tout en recommençant de la pilonner ? il gifle son cul.

Elle crie et resserre son trou du cul autour de la bite du notaire.

– Monsieur ! Oui, Monsieur, je suis votre sac à sperme ! Crie-t-elle

Encore une grosse claque sur sa fesse.

– Baisez-moi, Monsieur ! Clac !

– Enculez-moi, Monsieur ! Clac !

– Violez-moi, Monsieur !

– On ne viole pas quelqu’un qui ne souhaite que ça, ça s’appelle une pute !

Une autre grosse claque et il fore son cul avec son membre rigide. Maître Charles sait qu’il ne peut tenir encore longtemps avec les crispations du trou du cul dû à la fessée. Il donne encore quelques coups puis se décharge au fond des entrailles de la femme !                                                                                     – Prends mon sperme dans ton trou de pute !

Colette sent le liquide chaud envahir le fond de ses entrailles. Elle regrette qu’il finisse déjà. Elle qui sentait un orgasme venir, alors qu’il l’humilie et l’insulte pendant ce viol anal. Après, elle pense qu’elle s’est penchée sur la table et a tenu son cul ouvert comme une invitation donc ça ne peut être un viol. Ses pensées tournent dans sa tête, tandis qu’un sexe ramollit dans son cul.

Maître Charles retire sa queue et met à sa place le gros plug anal.

– Gardez ce jouet dans votre cul ainsi que mon sperme à l’intérieur de vous toute la journée ! Qui sait, peut-être quelqu’un ajoutera quelque chose à cette collection de sperme que vous avez commencé.

Puis il range sa bite, désormais flasque, dans son pantalon, remonte la fermeture éclair, après, il sort de la pièce, laissant Colette penchée sur la table.

Colette se redresse, sentant le plug fermer son cul avec le liquide à l’intérieur. Elle remet ses vêtements, puis essaye d’arranger son maquillage comme elle le peut. Sur ses jambes tremblantes, elle retourne à son bureau, s’assoit en poussant le plug un plus haut, elle se demande par qui maître Bertrand allait la faire baiser la prochaine fois.

Elle s’enfonce dans son fauteuil, essaye de pousser le plug plus loin. Elle ne peut s’empêcher de penser à ce moment passé dans la salle de conférence avec maître Charles. Elle voudrait être offensée et en colère pour ce que les gens appellent ça un viol la plupart du temps. Mais elle ne peut pas.  Elle a besoin qu’on remplisse tous ses trous. Elle a été privée de son orgasme au dernier moment et ça lui manque. Elle sait que les hommes s’en foute qu’elle jouisse ou non, sauf Paul, lui voulait toujours qu’elle jouisse, peu importe les conditions, le ou les partenaires qui la prenaient.       Avec maître Bertrand, elle est seulement là pour qu’ils se vident en elle.

Le vieux notaire s’est masturbé entre ses seins puis l’a sodomisé et éjaculé en elle. Si c’est cela faire la pute pour maître Bertrand. Avant ces deux derniers jours, elle ne se considérait pas comme une pute, ayant seulement couché avec les hommes que lui présenter Paul, ce n’était qu’un jeu sexuel. Elle rit en elle-même en relisant qu’elle découvre qu’elle est assez salope pour en prendre du plaisir.

– COLETTE ?                                                                                                                                         Le notaire, son patron,  interrompe ses pensées en l’appelant dans son bureau.

– Rampez jusqu’à moi à quatre pattes comme la chienne que vous êtes.

De suite, Colette quitte son fauteuil, sur les mains et les genoux, elle avance sur la moquette du grand bureau de son patron. Elle est soulagée que cette partie du bâtiment soit vide et protégé par un code d’accès, de sorte que personne ne peut la voir se comporter comme une chienne en marchant à quatre pattes. Surtout qu’elle a un gros plug noir qui sort de son cul sous sa mini-jupe, que les bords de son puits d’amour sont mouillés d’un fluide qui lui coule le long de ses jambes.

Alors qu’elle avance dans le bureau, le notaire fait pivoter son fauteuil vers l’angle de son bureau, bras appuyé sur le plateau d’acajou.

– Voilà une obéissante petite pute ! Continuez à avancer ! Ici, à la droite de votre nouveau maître.

Il tapote son genou comme il le ferait pour un chien.

– Je suis content de voir que vous avez accepté votre condition de chienne !

Les genoux de Colette commencent à la brûler alors, qu’ils frottent sur la moquette. Ainsi, elle relève un peu son cul pour mieux se déplacer. Enfin, elle arrive et pose son visage sur les genoux de son nouveau patron. Serait-elle assez audacieuse pour frotter ses lèvres et ses joues contre l’entrejambe de l’homme afin de sentir la bite de l’homme qui grossit à travers le pantalon.

La voyant regarder sa queue, maître Bertrand murmure plus pour lui-même que pour elle.

– Merde ! J’ai bien récupéré une vraie Salope !

D’une voix plus forte en direction de Colette, il continue.

– Cela fait des lustres que j’ai envie de vous baiser. Dès le premier jour que je vous ai vu, ici même avec Paul. Le salaud de Paul me racontait ce qu’il vous faisait faire avec les autres sans jamais me faire participer à vos orgies. C’est à mon tour maintenant de vous baiser !

Colette qui a compris ça frustration, glisse ses lèvres sur l’entrejambe, sentant la longueur de la bite à travers le tissu du pantalon. Elle ne sait pas ce qu’il veut. Elle lève les yeux vers lui.

– Monsieur ?

Le notaire grogne, poussant le visage de la secrétaire loin de lui, si bien qu’elle tombe à la renverse, ses seins ballottent dans son chemisier. Il explose de colère et crie.

– Hier, je vous ai précisé quelle pute vous devez être ! Aujourd’hui, vous ne comprenez pas ce que je veux ! Merde ! Je vais vous le dire !  Demandez-moi de vous enculer, demandez-moi de vous baiser tous les trous, demandez-moi de maltraiter vos seins ! Demandez-moi ?

Il se lève de son fauteuil avec fureur et la domine, la main levée, prête à la frapper. Face à une telle colère, Colette tremble.

Elle n’a pas réalisé le tempérament qu’il a. Le regardant avec des yeux craintifs, elle le supplie.        – Oui, s’il vous plaît, Maître, baisez-moi ! Baisez ma bouche, tous mes trous que vous voulez ! S’il vous plaît Maître, utilisez moi comme votre pute !

Maître Bertrand  aime que les femmes le supplient. Il se calme immédiatement. Puis, il baisse son pantalon et retourne s’asseoir dans son fauteuil de cuir.

– Voilà, j’aime mieux ! C’est bien de me dire que vous avez besoin de mon sexe. Venez me sucer  !

Colette se remet à quatre pattes, avance en jugeant la longueur de la bite de l’homme. Après avoir caressé le membre avec sa joue, elle glisse ses lèvres tout du long, étalant son rouge à lèvres. Ensuite, elle prend ses couilles dans son autre main, alors qu’elle tourne la bite sur l’autre côté de son visage et se gifle avec. Son clitoris chauffe, tandis qu’elle sent le velouté de la peau du membre sur son visage.

– Suce-moi ! Ordonne le maître.

Elle lèche une petite goutte de liquide pré-éjaculatoire sortant de la queue. Puis tourne la langue autour du gland. Pendant qu’elle commence, centimètre par centimètre, à avaler ce membre, une partie de son esprit commence à, protester.                                                                                            Que fait-elle ? Que va telle devenir dans les mains du notaire ? Certes, rein ne l’oblige à cette dégradation, à l’utilisation de son corps en pute. Mais elle a besoin d’un homme qui la dirige, la commande, l’utilise à sa guise. Colette a un besoin viscéral d’être dominée d’être soumise. Récupérer son argent n’est qu’un prétexte à sa soumission.

A ce moment, le notaire pousse l’arrière de sa tête, forçant sa bite à venir taper le fond de sa gorge. Colette lutte pour se relever, mais la main de son Maître est ferme et lui tient bien la tête. Bâillonnée, étouffée, elle agite ses mains, saisissant ses cuisses, puis les côtés du fauteuil, essayant de reculer afin de pouvoir respirer plus librement. L’homme la regarde lutter tout en tenant ses mains sur sa tête.

– Vous pouvez vous débattre tant que vous voulez,  j’enfoncerai ma bite tout au fond de votre gorge, car vous êtes ma pute !

Colette ne peut plus respirer, mais en entendant ses paroles, elle sent la chaleur monter dans sa grotte, elle sait que c’est ce qu’elle veut. Elle souhaite lui faire plaisir, sentir sa queue tout au fond de sa gorge. Elle désire être usée et abusée.

Sam Botte

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