Le clerc maintenant
Nous sommes toujours dans le cabinet du notaire.
Repoussant les pensées qui lui suggèrent qu’elle ne mérite pas cela, elle se détend et permet au membre de s’enfoncer plus profondément. Sa vision commence à s’obscurcir alors qu’elle commence à manquer d’air.
Pourtant l’homme lui soulève la tête, lui permettant de reprendre une bouffée d’air puis appui de nouveau. Cette fois ci, elle permet à la queue de s’enfoncer facilement jusqu’au fond de sa gorge.
– Voilà ma grosse pute, je baise ta bouche.
Il continue le mouvement de haut en bas avec sa tête sur sa verge. A chaque fois, sa bite glisse jusqu’au fond, le nez de la femme s’écrasant sur son ventre. Alors que Colette a trouvé le bon rythme, elle entend des pas masculins derrière elle qui lui font stopper net sa fellation.
– Vous ai-je dit d’arrêter espèce de salope ?
Son maître la gifle.
– Continuez de me sucer jusqu’à ce que je vous ordonne le contraire ! C’est la seule chose qui doit vous intéresser !
Colette reprend sa fellation, cependant son attention est axée sur ce qui se passe derrière elle. Consciente du plug dans son cul, elle se rend compte que le nouvel arrivant peu le voir sous sa jupe. Elle espère que c’est maître Charles qui l’a déjà sodomisée plus tôt dans la journée. Elle ne peut supporter qu’un autre étranger la voie dans cet état de dégradation. Puis le nouveau venu parle, mais avec les bruits de succion, elle n’arrive pas à reconnaître cette voix. – Maître ! Je vois que vous êtes occupé !
La voix se met à rire et maître Bertrand rit avec lui.
– Cette salope ne pouvait pas attendre, elle voulait me sucer. Que voulez-vous que je fasse ? Mais n’hésitez pas à profiter de ses autres trous si vous le souhaitez Bernard.
Bernard ? Bon sang, quel est le prénom de maître Charles ? Colette ne se souvient pas, mais elle sait que ce n’est pas Bernard. Elle serre les fesses sur le plug alors que des mains soulèvent sa jupe. Ensuite ces mains se posent sur son cul nu et s’appuient dessus pendant que le nouvel homme s’agenouille derrière elle. Maître Bertrand la regarde, avec sa queue dans sa bouche et regard Bernard et sourit.
– Je pense que je dois faire les présentations. Ceci est ma nouvelle chienne ! Comme la plupart des putes à mon service, elle est un peu lente à comprendre parfois. – Colette ! Voici Bernard, mon clerc de notaire.
Colette ne voit pas ce nouveau venu, mais elle le sent derrière elle. Soudainement, il retire le plug de son cul et dit.
– Je suis toujours heureux de rencontrer une de vos nouvelles putes !
Colette gémit, la bouche pleine, en sentant son trou du cul vide tout d’un coup. Elle tortille ses fesses, espérant que le nouveau venu s’amuse avec son clitoris. Alors que sa tête continue ses va et vient et que son nez tape le ventre du notaire, Bernard passe sa main à l’intérieur des jambes de la femme, récupérant le jus de sa grotte dans ses doigts.
– Je n’arrive pas à croire comment elle mouille cette pute ! Elle aime vraiment ça !
Colette grogne et gémit, la bouche engloutit le membre de son maître. Elle souhaite qu’on la soulage, qu’elle puisse enfin jouir.
Bernard essuie sa main sur l’anus de la femme puis y enfonce son index. Ensuite, il y met un autre doigt.
– Bon sang ! Même son trou du cul est mouillé !
Il introduit un troisième doigt.
Maître Bertrand soulève la tête de Colette, sa bite sort de sa bouche et lui demande.
– Pouvez-vous dire à mon clerc pourquoi votre trou du cul est humide, petite pute ?
Colette se racle la gorge, avale sa salive et répond !
– Oui Monsieur ! Mon trou du cul est humide, car il a déjà servi et il est rempli de sperme.
Le clerc Bernard s’esclaffe.
– HA ! HA ! Comme je suis heureux de pouvoir vous aider en ajoutant une autre décharge dans votre cul de pute.
Alors Colette sent le gland de l’homme pousser la petite porte de ses reins et entrer facilement tellement son trou a été élargi avec le plug et la bite de maître Charles. Elle essaye de reculer son bassin afin qu’il la pénètre le plus profondément possible. Elle le sent plus long et plus large que ce qu’elle a déjà eu. Elle aime ça. L’homme commence ses va et vient, s’agrippant aux hanches de la femme, et s’enfonce le plus profondément possible. Sans même y penser, Colette se balance afin d’accompagner la queue.
– Ou, s’il vous plaît ! Baisez-moi ! Enculez-moi avec votre grosse bite Monsieur !
Colette gémit. Elle se sent si sale. Sodomisée deux fois dans la journée et une fellation, elle a déjà servi à trois queues depuis son arrivée aujourd’hui. Dire que c’est ex-amant qui lui a fait connaître la sodomie. Maintenant, elle mendie pour être baisée. Elle ne comprend pas ce changement. Peut-être que Paul avait su lui montrer quelle salope elle est. Il lui a démontré qu’une femme qui se fait gonfler les seins n’est vue par les hommes que comme une pute. Quoi qu’il en soit, elle est reconnaissante à son notaire de son embauche comme pute. Elle sent les couilles de l’homme venir taper sa grotte alors qu’il l’encule. Elle accompagne le mouvement de plus en plus.
Maître Bertrand attrape ses cheveux pour la tirer en avant. Par réflexe, Colette essaye d’agripper les mains qui lui blessent le cuir chevelu, criant un peu de douleur, et agacée qu’il interrompe la sodomisation. Le notaire tire encore sur les cheveux, la force à le regarder. – Vous n’oubliez pas quelque chose alors que vous vous faites enculer ? Me SUCER !
Il lui crache au visage.
Tandis que la salive coule le long de sa joue, Colette recommence sa fellation. Bernard, lui, reprend sa sodomisation.
– C’est vrai ! vous n’êtes qu’un jouet sexuel, une putain ! Prenez ces bites dans vos trous !
A chaque fois que la queue de Bernard arrive au fond de son cul, elle est poussée en avant jusqu’au fond de la gorge sur la bite du notaire. Elle est prise par les deux bouts et elle aime ça, n’arrêtant pas de gémir autour du sexe de son Maître.
Soudainement, celui-ci retire sa grosse bite de la bouche de sa pute.
– Je veux vous voir prise par les deux trous de putain. Si vous pouvez tenir un petit moment sans une bite dans votre cul, rampez jusqu’à mon canapé.
A son clerc, il dit.
– Bernard, ne seriez-vous pas plus à l’aise assis sur le canapé, laissant cette chienne travailler ? Je la paye pour être ma pute après tout !
Bernard retire sa bite du jardin secret de Colette, maintenant grand ouvert et se lève pour aller prendre place sur le canapé. Il entend Colette le suivre lentement à quatre pattes, son maquillage complètement défait et étalé sur son visage, de la salive sur la joue et de la bave au menton.
– Asseyez-vous sur ma bite ! vite !
– Oui Monsieur !
Colette n’a qu’un simple coup d’œil à Bernard, assis sur le canapé, caressant son sexe dans une main, l’autre bras sur le dos du siège, les yeux noirs fixés sur elle.
– J’espère que vous savez dans quel trou je veux mettre ma queue ?
Colette est sur le point de glisser la bite dans son puits débordant d’amour, mais à présent, elle doute. Comme elle se retourne pour présenter son cul à sa queue, elle répond.
– MMMHH ? Mon cul Monsieur ?
Il rit.
– Mais vous n’êtes pas aussi stupide que ça. Oui, baissez votre cul sur ma queue et montrez-moi vos talents de pute notariale.
Elle le fait. Ensuite, elle commence des mouvements de haut en bas sur la tige, faisant tressauter ses seins en rythme. Soudain, elle remarque le téléphone mobile que tient le notaire. Elle tressaille. Son maître sourit.
-Souriez Colette ! Nous allons faire de vous une star de la baise !
Colette rougit et sourit timidement alors qu’il filme ses mouvements. Sa chatte se serre à la pensée de l’utilisation que pourrait faire maître Bertrand de cette vidéo et des conséquences possibles. Pourtant, elle continue de chevaucher la bite de Bernard en fixant le téléphone. Puis, prise dans l’excitation de la scène, pour plus d’effets, elle saisit ses seins, soulève un sein jusqu’à son visage, lèche le téton et se met à le sucer, gémissante.
– Oh oui, j’aime ça putain ! Continuez avec vos seins et continuez à enfourcher cette bite, je reviens !
En deux pas, le notaire arrive à la commode, ouvre un tiroir pour fouiller dedans. Trouvant ce qu’il cherche, il revient vers le canapé et les deux amants. Il tend la main vers le sein gauche rebondissant, le caresse puis saisit le mamelon, l’étire, faisant crier la femme de douleur, et met une pince sur son téton. De nouveau, elle crie sous cette douleur. Maître Bertrand répète le processus avec l’autre sein. Après il recule et regarde rebondir les deux seins dont les tétons sont mordus par deux pinces liées par une petite chaîne.
– J’aime voir ces seins et la chaîne les liant ! Ça, vous fait paraître encore plus pute que vous l’êtes !
Soudain, il gifle son sein droit qui rebondit dans son sein gauche, faisant cliqueter la chaîne. Il recommence encore et encore jusqu’à ce que la peau devienne rouge et meurtrie. Elle crie et grogne à chaque gifle.
– Je vois que vous aimez ça ! Chaque fois que je frappe un de vos gros seins, je peux voir votre chatte se contracter et baver.
Elle ne peut pas le nier. Mamelons pincés, une bite dans le cul, ses seins maltraités, elle ne peut pas résister, ses mains s’approchent de son clitoris. Elle ne sait pas si son patron lui permet, car elle a besoin de jouir. Le notaire regarde ses mains écarter les lèvres de sa chatte afin de trouver son clitoris gonflé.
– Gifle ta chatte Salope !
Elle le fait.
– Plus fort, claque ta chatte !
Elle gifle son clitoris encore plus violemment et elle trouve qu’elle aime ça. Elle frappe sa chatte encore et encore puis en alternance elle la caresse alors qu’elle monte et redescend sur la bite dans son cul.
Son maître recommence à filmer d’une main tandis que de l’autre il se masturbe.
– Quelle chienne ? Je vais te pénétrer la chatte et éjaculer sur ton visage de pute ! Vous n’êtes qu’un sac à foutre ! Vous allez prendre deux bites dans vos trous de pute !
Ces mots dégradants achèvent Colette. Elle gicle dans sa main, arrosant le canapé, les couilles de Bernard. Des vagues de plaisir la submergent et elle crie son plaisir !
– Oui Maître ! S’il vous plaît, baisez-moi ? Utilisez-moi ! Je ne suis pas une bonne pute sans aucunes bites en moi !
Bertrand repousse légèrement Colette sur la poitrine de son collègue qui, lui, attire les hanches de la femme afin de ne pas sortir de son cul. Maintenant que les jambes de Colette sont en l’air, écartées, son puits d’amour est plus accessible, son patron commence à frotter la tête de son gland contre le clitoris puis pénètre son sexe dégoulinant avec sa grosse queue. Colette ne s’est jamais senti autant prise. Elle n’a jamais atteint une telle excitation avec Paul.
Maître Bertrand la ramone, sentant la bite de son collègue à travers la fine paroi du sexe de Colette.
– Ou, vous êtes une vraie pute ! Nous allons agrandir tous vos garages à bites !
Il halète fort.
– Putain ! Sale putain ! Sac à foutre !
Alors qu’elle pense qu’elle est plus salope qu’elle ne le sera jamais, elle attrape ses seins en les serrant, tire sur la chaîne tenant ses mamelons pour étirer ses seins.
– Baisez-moi Maître ! Utilisez-moi comme vous le voulez ! Je suis votre sac à sperme ! Je suis votre jouet ! Enculez-moi ! Baisez-moi !
Elle râle sans plus aucuns remords à être utilisée comme une putain.
Elle a presque oublié la bite dans son cul quand Bernard lui dit.
– Préparez-vous à prendre ma décharge de sperme dans votre cul ! Je vais l’ajouter à celle que vous avez déjà !
Elle le sent éjaculer dans ses entrailles, mélangeant son sperme avec celui qui y est déjà.
Pendant ce temps, le notaire, son maître, continue de sortir et d’enfoncer sa queue dans son adorable puits d’amour. Il prend la chaîne et tire très fort dessus afin d’étirer les mamelons au maximum. Colette se tord de plaisir et de douleur. Enfin, sans avertissement, son maître donne encore quelques coups brutaux, enfonçant sa bite au fond du col de la femme et décharge une grosse quantité de sperme dans son ventre.
En reprenant son souffle, de la sueur gouttant de son visage au corps de la femme, il lui sourit.
– Comment vous sentez-vous avec tout ce sperme dans vos trous de pute ? Du sperme de trois hommes différents en seulement quelques heures ! Vous êtes vraiment une chienne, je suis content de vous avoir embauché !
Il recule alors que Bernard, le clerc du notaire grogne.
– Barrez-vous Salope !
Colette baisse ses jambes en regardant son maître fouiller dans les tiroirs de la commode. Il en tire un autre plug anal, encore plus gros que celui du matin. Il le promène sur le visage de Colette, le faisant glisser sur les lèvres. Il lui dit.
– Descendez de cette bite ! Mais ne soyez pas trop déçue. Maintenant penchez-vous et montrez-moi comment votre trou du cul est ouvert !
En regardant la grosseur du nouveau plug, Colette sait que son cul n’est pas assez ouvert. Elle descend de Bernard et se penche sur le coussin à côté de lui, exposant son trou du cul béant, attendant le jouet avec appréhension. Elle est certaine que son maître peut voir le fond de ses entrailles, avec le sperme tout au fond.
La pointe du plug glisse facilement et avec peu de résistance dans le trou du cul de la femme. Il commence à le pousser lorsqu’il est entré à moitié, son notaire force le reste de l’objet dans son anus, elle laisse échapper un râle de douleur et de frustration.
– Il serait dommage de perdre tout ce que mes collègues vous ont donné. Avec ce bouchon, vous allez le garder en vous. Par contre, je veux voir mon sperme couler de votre chatte le reste de la journée. Vous n’êtes pas autorisée à vous nettoyer. Je veux que vous vous regardiez dans un miroir afin de voir votre visage barbouillé, que vous sentiez mon sperme dégouliner et que vous profitiez de ce plug verrouillé dans votre fondement. A la fin de la journée, vous pourrez rentrer à la maison. Et là seulement vous pourrez vous laver, prendre une douche, enlever ce plug. Par contre, demain matin, vous vous ferez un lavement puis vous remettrez le jouet en place. Vous comprenez ?
Malgré le sex-toy qui lui viole le cul ou peut-être à cause de cela, alors qu’elle écoute les instructions, Colette veut se toucher le clitoris. Elle est tellement excitée qu’elle ne peut résister à toucher ses seins et tirer doucement sur la chaîne agrippée à ses mamelons alors qu’une main descend sur sa grotte. Elle réalise qu’elle doit donner une réponse à son maître.
– Oui Maître, je vais faire ce que vous dites. Mais ? Mais ?
Colette rassemble son courage, prend une profonde inspiration et demande.
– Puis-je me masturber Maître ?
Les deux hommes commencent à rire :
– Tu es vraiment une chienne !
Maître Bertrand fouille dans le tiroir à jouets de la commode et en ressort un énorme gode noir assez réaliste. Il l’agite devant le visage de la femme.
– Bien sûr que vous pouvez ! Prenez ce gode, allez vous l’enfoncer au fond de la chatte et ramonez-vous avec tout en regardant mon appareil photo, je vais faire un petit film pour l’internet.
Colette rougit de honte, car elle a besoin de jouir. Elle a déjà utilisé un vibromasseur sur ordre de son ex-amant Paul, mais il n’était pas aussi gros. Lentement, elle pénètre son puits d’amour avec l’objet tout en titillant son clitoris avec son autre main. Elle est doublement pénétrée avec deux gros objets noirs. Elle se sent comme une star de porno. Elle écarte les jambes afin que la caméra puisse capturer chaque image et elle râle. Surprise que le gros gode entre sans difficulté dans son sexe, elle se pilonne le vagin avec force. Roulant son clitoris entre ses doigts, elle halète et râle. Puis, les yeux fermés, elle jouit, ses fluides giclent sur le canapé et le sol, fluides mélangés au sperme de son maître.
Une fois qu’elle a fini, le notaire lui demande.
– Comment vous sentez vous ?
Colette, fatiguée et n’ayant plus le courage de paraître embarrassée, elle répond.
– Comme une salope bien baisée Maître !
L’homme cesse de filmer et range son téléphone.
– Bon ! Maintenant, vous allez nettoyer ! Vous laverez ce gode puis vous enlèverez tout ce sperme, cette sueur et je ne sais quoi d’autre de mon canapé et du sol et vous retournerez à votre bureau. – Oh ! Vous pouvez enlever la chaîne et les pinces de vos tétons. Vous pouvez remettre votre jupe correctement afin de couvrir votre sexe et l’objet dans votre cul. Par contre, vous laisserez vos seins a l’air comme la pute que vous êtes.
Colette se remet sur ses pieds et obéit. Le mélange de liquide coule de sa grotte faite pour l’amour et glisse le long de ses cuisses. Faisant comme il a dit, elle retire les pinces une par une de ses mamelons, gémissant alors que le sang revient. Elle masse un petit peu ses tétons et risque un coup d’œil dans le bureau. Le clerc a disparu et maître Bertrand est absorbé dans son travail à son bureau et l’ignore complètement tandis qu’elle nettoie les dégâts. Après qu’elle a frotté le sol, le canapé, ses seins ballants, pendant environ un quart d’heure, le notaire lève les yeux vers elle, exaspéré.
– Suffit ! L’équipe de nettoyage finira le ménage ! Foutez le camp de mon bureau et allez répondre au téléphone !
Colette cour pour sortir du bureau. Il regarde ses seins tressauter à chaque pas ainsi que le liquide luisant à l’intérieur de ses jambes. Elle a l’air tellement chaude qu’il envisage quelques amusements après le travail.
Sam Botte
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