Mouloud le chauffeur
Dans l’étude du notaire.
Une fois installée a son bureau, elle s’étonne de ce qu’il lui arrive, elle n’a jamais joui comme ça. Elle en a subi pourtant des parties de baise avec Paul et de multiples partenaires, mais aujourd’hui elle en voulait plus alors, elle c’est lâchée a s’exhiber devant une caméra, a ce faire jouir devant des inconnus.
A la fin de la journée, Colette se demande si elle était autorisée à remettre ses seins dans son soutien-gorge avant de mettre son manteau. Alors qu’elle réfléchit, regardant son manteau, Maître Bertrand arrive derrière elle et répond à la question. Avant il dépose deux liasse de billets de banque sur son bureau . Sans paroles, il glisse ses bras autour d’elle, prend les seins meurtries et les remet à l’intérieur du soutien-gorge, puis il lui reboutonne son chemisier.
– Vous pouvez également refaire votre maquillage avant de partir !
– Merci Maître ! Répondit Colette en prenant l’argent et son manteau.
– Profitez de votre soirée ! Et n’oubliez pas que le plug doit rester dans votre cul jusqu’à la maison.
Sauf si bien sur, vous devez l’enlever pour vous faire remplir un peu plus afin d’augmenter la collection que vous avez commencé dans votre cul.
Il rit et lui claque la fesse.
– Oui Maître !
Il caresse pensivement le cul de Colette, nu sous sa jupe :
– Vous allez être accompagnée par mon chauffeur Mouloud jusqu’à votre maison. Ne vous étonnée pas si vous êtes prise pour une prostituée et que vous soyez violée sur le chemin du retour.
Il sourit malicieusement.
– Mouloud a toute ma confiance, c’est mon bras droit, il faut lui obéir comme à moi.
– Oui Monsieur. Je vous remercie Monsieur !
Il s’agissait de la seule chose que peut répondre Colette. Elle réfléchit sur l’insinuation de ses propos mais elle aura le temps de s’inquiéter plus tard. Par contre elle apprécie d’être ramenée à son domicile par un chauffeur. Elle doute pouvoir gérer les transports en commun ainsi que la longue marche dans son état actuel.
Après avoir refait son maquillage et boutonné son manteau sur sa tenue de pute, elle attrape son sac à main et se précipite dans les couloirs et hors du bureau. Débouchant dans la rue, elle saisit les revers de son manteau, consciente que seuls quelques boutons cachent sa tenue dégradante à la vue des passants.
Devant l’immeuble, le chauffeur tient la porte d’une grosse berline noire. De toute évidence il l’attend. Il sourit.
– Bonsoir la pute !
Alors qu’elle débouche dans la rue, Colette avait commencé à regagner de l’estime pour elle-même malgré le plug dans son cul. Aussi est-elle prise au dépourvu, lorsqu’il la traite de pute. Elle le regarde de haut. Puis elle se souvient des instructions de Maître Bertrand hier. Elle ne doit jamais résister aux exigences de tout homme. Cela veut-il dire que c’est aussi pour l’employé de maître Bertrand ? Elle est en grande confusion. Aussi, elle sourit distraitement au chauffeur et marmonne
– Bonsoir.
Alors qu’elle s’assoit sur la banquette arrière de la voiture, le chauffeur ferme doucement la porte et contourne le véhicule pour s’asseoir sur le siège du conducteur. -Je me présente , je suis Mouloud le chauffeur et homme de main de maître Bertrand.
Il ajuste le rétroviseur afin de voir la femme puis il sort de la place de parking. Il roule pendant quelque temps en silence, les phares des autres voitures et les lampadaires éclairant alternativement l’intérieur de la voiture. Puis soudainement il dit :
– Ouvrez-moi ce manteau ! Que je puisse voir vôtre poitrine dont m’a parler maître Bertrand.
Colette regarde fixement la nuque du chauffeur, voulant résister au commandement étant donné qu’il n’est que l’employé du maître.
– Hé bien ! Écoutez-moi bien ! Aucune femme n’obtient les faveurs de maître Bertrand sans faire la pute. Et il m’a dit comment vous étiez chienne. Cessez donc de résister comme une pucelle. J’ai le droit de me servir de vous.
Hébétée, Colette hoche la tête et baisse les yeux. Elle déboutonne son manteau, et en ouvre les pans afin de montrer son décolleté. Le conducteur regarde dans le rétroviseur et lui dit.
– Malaxez vos seins !
Elle le fait, sans enthousiasme, suivant les instructions sans réfléchir.
– Je sais que vous aimez ça ! Montrez-le moi !
Elle serre ses seins plus fortement, frottant ses pouces sur les mamelons à travers son chemisier. Mais elle garde les yeux baissés et montre une absence totale d’empressement à se conformer aux ordres. Le chauffer déplaça ses mains sur le volant.
– Ouvrez votre chemise ! Laissez-moi voir votre soutien-gorge.
Les mains de Colette s’immobilisent et son esprit se révolte. Non, elle est en congé, elle est sortie du bureau. Elle n’a pas à se soumettre à cet homme.
Elle lève les yeux sur l’arrière de la tête de l’homme, pince ses lèvres, ferme son manteau et croise les bras sur sa poitrine. Puis elle regarde par la fenêtre, essayant d’oublier le chauffeur.
Celui-ci freine brusquement, faisant crisser les pneus.
– Espèce de pute ! Vous croyez être meilleur que moi ? Vous n’êtes qu’une putain. Si je veux voir vos seins, vous me les montrez. Attendez que je parle de votre attitude a maître Bertrand.
Une voiture klaxonne derrière la berline alors le chauffeur redémarre, accélère, roulant plus vite qu’il ne le doit, en colère.
Colette commence à douter de sa détermination. Maître Bertrand lui a dit qu’elle était sa pute et qu’elle doit être disponible pour tout les amis et les employés du notaire ? Que faire s’il la renvoyait pour ne pas avoir obéi au chauffeur ? Mais si elle doit simplement se faire baiser au bureau, que dirait-il si elle le fait ailleurs ? Le conducteur accélère, énervé. Elle ne veut pas qu’il soit en colère contre elle. Alors, les mains tremblantes elle ouvre a nouveau son manteau et dit d’une voix à peine audible :
– Je suis désolée, bien sur vous avez raison. Je ….. ne sais pas à quoi je pensais
– Voilà ! C’est mieux !
Il ralentit puis tourne dans une ruelle entre deux bâtiments sombres. Colette baisse les mains et regarde par la fenêtre.
– Où sommes-nous ? Je suis désolée mais je pense que vous avez du vous tromper de route !
– Vous croyez que je ne le sais pas la pute !
Le chauffeur stoppe la voiture et enlève sa ceinture de sécurité. Il sort de la berline puis il vient ouvrir la portière de Colette.
– Sors !
Alors que Colette hésite il la prend par le bras pour la tirer hors de la voiture, l’homme lui tient le bras plié dans le dos alors que son autre main se balade sous son manteau et sa jupe, découvrant son cul nul dans l’air frais de la nuit.
– Tais toi pute ou tu vas souffrir dix fois plus !
Colette serre les lèvres alors qu’il caresse son puits d’amour qui commence a s’humidifier malgré elle. Elle écarte les jambes pour laisser ses doigts envahir son intimité.Cette rudesse, cette domination l’excite.
– Je sais que tu es une salope, je sais que tu aime ça. Lui dit-il ,à l’oreille
Il la tire jusqu’à la voiture, déchire son chemisier, et la jette à plat ventre sur le capot de la voiture.
– Remontes ta jupe salope !
Elle lui obéit et attend qu’il voie son plug anal. Elle se demande ce qu’il va en penser.
– OH ! Bravo pour le plug ! Je voulais juste te baiser mais comme je vois que votre trou du cul est prêt, il faut que j’en profiterai pas.
Excité, il lui arrache le plug. Colette gémit en sentant son anus grand ouvert. L’homme crache, répandant sa salive dans et autour de son cul pour le lubrifier. Si seulement il savait combien son trou est déjà humide se dit-elle.
Colette entend le bruit d’une fermeture éclair. Ensuite l’homme rentre sans peine sa bite dans son cul et sent le sperme de ses précédents visiteurs.
– Merveilleux ! Ça c’est un trou fait pou ma bite !!
La queue en question est aussi large que le plug anal, si bien que la femme la prend facilement. Elle pense même qu’elle aurait voulu une encore plus grosse bite ou alors une deuxième.
Alors qu’il sodomise Colette avec force, la voiture se balance sur ses pneus. Puis il sort de son cul et s’enfile dans sa grotte aux délices, la faisant gémir.. Elle veut être baisée violemment.
– OUAIIS !!! Vous aimez ça hein ??
Après quelques coups dans sa grotte, il sort et revient dans son cul. Puis il alterne les deux trous.
– J’aime les putes avec options ! Le cul ou la chatte ?
Il ricane alors qu’il n’arrête pas de changer.
– La seule question que je me pose, c’est dans quel trou que je vais éjaculer ? J’ai une bonne dose de sperme pour toi !
Colette essaye de se concentrer sur la bite qui la ramone plutôt que sur la voix de l’homme. Elle glisse lentement sa main vers son clitoris espérant qu’il ne le remarque pas. Soit il n’a rien vu, soit il s’en fout, elle veut masser son petit bouton sensible. Il cogne dans son cul encore plus fort. Elle sait qu’il arrive au bout du voyage. Agrippé fermement à ses hanches, il déverse tout son sperme à l’intérieur de son fondement.
– Chienne ! prend ça ! prend tout dans ton cul !
En frottant ses doigts sur son clitoris ,elle a un nouveau un orgasme en sentant le jus lui rentrer dans le cul. Alors qu’elle halète, elle crie lorsque qu’il lui remet le plug dans le cul.
– Garde le tout au chaud !
En tremblante, elle se relève du capot, elle tire sur sa jupe pour la remettre en place. Puis elle entend des appels, des sifflements et applaudissements d’un balcon deux étages au-dessus. Ils ont eu un public tous le temps ! Les voix disent :
– C’est combien pour la salope ? Venez nous voir et vous passerez du bon temps !
Le chauffeur se tourne vers eux, levant les deux pouces.
– Une autre fois les gars ! Je ne l’ai pas encore bien en main !!
– Quelle nous montres ces seins alors ?
Colette est mortifiée. Le conducteur la tire vers lui.
– Montre leur tes seins de pute !
Soudain, l’idée de montrer ses seins à de parfaits inconnus ne lui semble pas si mal à coté de ce qu’ils ont déjà vu. Alors elle retire ses seins du soutien-gorge et secoue les épaules pour les faire balancer. Les sifflets reprennent de plus belle.
– Quels seins magnifiques ! Merci Madame ! Revenez quand vous voulez !
Le chauffeur lui jette son manteau à la figure.
– Bien, je vois que vous êtes prête à tout mais l’exhibition suffit. Maître Bertrand ne vous a pas encore confiée a moi.
L’homme se dirige directement vers son siège, sans prendre la peine d’ouvrir la porte à Colette. Celle-ci hausse des épaules, ouvre et grimpe sur le siège arrière, s’asseyant sur son cul douloureux. Elle se sent vraiment devenir une salope mais après tout, n’avait-elle pas laissé son ex-amant Paul jouer de son corps tant qu’il le voulait. Cela ne fait-il pas d’elle une pute ? Elle est maintenant pressée de rentrer chez elle et de voir la quantité de sperme qui va s’échapper de son cul sous la douche.
Colette reste là un long moment regardant la voiture s’éloigner, maintenant il me faut affronter son quotidien et peut être les remords.
Pour elle, ce fut une journée extraordinaire en émotions, cela a décuplé le plaisir et les sensations ressenties en matière de sexe, elle redécouvre les plaisirs de la chair.
Sam Botte
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