Nouvelle servitude pour Colette
Colette regagne sa demeure, épuisée. Elle se sent collante.
Dans la douche, elle ouvre le robinet d’eau et elle ôte ses vêtements, libère ses seins. Alors que l’eau se réchauffe, elle regarde son reflet dans le miroir de la salle de bain.
Elle a des ecchymoses et des égratignures sur ses seins, et ses mamelons sont encore distendus par les pinces que son nouveau maître a utilisées. Elle a eu peur que ses prothèses en silicone éclatent sous les abus de la journée, mais sa poitrine est toujours aussi belle.
Avançant ses épaules, ses seins rebondissent d’avant en arrière, la faisant légèrement grimacer de douleur.
En regardant vers le bas, elle voit le sperme séché entre ses jambes. Elle admet qu’elle a été excitée cet après-midi par la sensation du sperme de son maître séchant sur sa vulve et ses cuisses. Mais maintenant, elle a besoin de se laver pour tout enlever avant de se coucher dans des draps propres.
Colette entre dans la douche et le nuage de vapeur, laisse cascader l’eau chaude sur son corps courbaturé.
Tandis qu’elle savonne son ventre, ses hanches et son entrejambe, elle se souvient du gros plug anal encore logé dans son cul. Elle pense qu’elle est vraiment une pute pour avoir oublié sa présence.
Délicatement, elle attrape le bout du plug qui ne bouge pas. Elle s’inquiète d’avoir à l’enlever elle-même. Jusqu’à présent, le plug est ôté par ses partenaires sexuels ? Elle ne sait plus ce que sont ces hommes pour elle.
Serrant les dents, elle assure son emprise sur le plug et tire fortement. Le jouet sort d’un coup, laissant son trou du cul béant. Avec ses doigts, elle peut sentir l’importance de l’ouverture. Elle espère qu’il va se refermer.
Quelques secondes plus tard, les décharges de sperme de la journée commencent à sortir, gouttant dans la douche. – Oh mon dieu ? C’était de grosses éjaculations dans mon cul. Inconsciemment, Colette attrape ce mélange de sperme pour le frotter sur son sexe et son clitoris, l’utilisant comme lubrifiant pour se masturber. Puis, elle glisse deux doigts dans son vagin, tout en travaillant son clitoris et en pensant à sa journée de soumise à son maître.
Soudain, la sonnerie du téléphone. Sursautant, elle pousse un petit cri, elle se rince et ferme l’eau, oubliant ses dernières pensées honteuses. Que faisait-elle ? Comment pouvait-elle se masturber après une journée pareille ?
Colette attrape une serviette puis enfile son peignoir. Le téléphone sonne toujours, Colette décroche un peu étonnée. – Bonsoir ma pute ! C’est maître Bertrand, alors on est bien rentrée ? – Demain, vous ne viendrez pas au bureau, le facteur vous portera une lettre avec des instructions que vous suivrez ! Vous avez intérêt à obéir si vous voulez continuer à recevoir l’argent que vous a légué Paul. Sans attendre la réponse de Colette, le notaire a raccroché. Une nouvelle fois, elle maudit son ex-amant Paul de l’avoir mise dans une telle situation.
Ce matin le facteur est venu remettre à Colette un paquet recommander à son nom.
Elle ouvre le paquet, et l’enveloppe qui est à l’intérieur sur laquelle est noté son prénom. Elle en sort une lettre manuscrite sur laquelle elle peut lire :
– Mouloud avec une voiture viendra pour vous prendre à quatorze heures. -Vous porterez la robe que ce colis contient sans rien en dessous . Vous obéirez à tout ce que l’on vous demandera si vous voulez pas que vos comptes soient fermés dans la journée. Colette sort du colis une robe longue magnifique, fendue très haut sur les jambes, un dos nu descendant presque jusqu’aux fesses et un décolleté plongeant à faire pâlir une star sur la croisette.
Elle glisse son corps dans cette robe somptueuse, s’ajustant parfaitement à ses courbes, on croirait du sur mesure.
La robe est parfaitement ajustée, elle laisse entrevoir ses formes les plus intimes, ses seins généreux que l’on devine totalement libres sous le mince tissu, ses hanches voluptueuses sur lesquelles tout homme aimerait poser ses mains et ses fesses très appétissantes captant encore tous les regards. Colette se sent plus femme que jamais, tel un joli bijou que l’on va exposer aux regards pleins de convoitise.
Elle attend, essayant de trouver une logique à la situation, mais ses pensées se perdent dans le vide. A l’heure dite une grosse voiture aux vitres opaques s’est garé juste devant l’entrée de la villa .Ce n’est pas celle du notaire et ce n’est pas le même chauffeur.
Colette ouvre la porte d’entrée et le chauffeur vient vers elle. – Je vois que vous êtes obéissante, croyiez moi c’est pour votre bien , je connais maître Bertrand. Vous êtes vraiment bandante, c’est le moment d’y aller.
Il l’accompagne à la voiture, mais lui ouvre la porte arrière. Mouloud est assi à l’intérieur.
La portière, coté conducteur claque à son tour. La voiture démarre lentement, un air de musique douce berce Colette pendant le trajet. Quand la voiture s’arrête la musique s’arrête aussi. Une portière claque puis celle à côté de Colette s’ouvre sur le chauffeur de maître Bertrand. Une maison de campagne entourée d’arbres envahie la vision de Colette. – Suis moi, s’il te plaît. Lui dit le chauffeur en entrant dans la grande maison.
Colette suit Mouloud. L’homme n’a pas encore cinquante ans, c’est plutôt un bel homme avec un beau corps. Après avoir parcouru un long couloir.
Elle descend des escaliers en colimaçon. Elle longe un petit couloir, puis Mouloud ouvre une porte. La pièce n’est pas grande, et sans fenêtre, ça doit être une cave aménagée. Il y fait sombre. Elle voit surtout un lit en fer forgé avec un matelas. Et maître Bertrand son maître .
– Approche, Colette.
Il la prend dans ses bras, pour l’embrasser goulûment. Colette est honteuse, Mouloud reste planté là à les regarder. Pendant qu’il l’embrasse, elle sent qu’il remonte sa robe. Elle essaye instinctivement de l’en empêcher. Mais alors qu’elle veut le repousser, elle sent deux autres mains sur elle.
Mouloud l’embrasse dans le cou, en caressant ses seins. Il effleure ses tétons, Colette se met à frissonner. Elle aime ça. Elle aime qu’on les touche, qu’on les palpe. Maître Bertrand arrête de l’embrasser et lui bascule la tête pour qu’elle pose ses lèvres sur celle de Mouloud.
Le notaire s’écarte. Il regarde son chauffeur peloter Colette, glisser ses mains entre ses cuisses à demi-ouvertes pour la masturber. Colette a fermé les yeux, tant pis pour le notaire, elle aime, elle mouille. Mouloud la déshabille lentement, lui enlevant la robe. Elle ne voit pas que Bertrand a enlevé son pantalon.
Alors qu’elle est face à Mouloud, elle est attirée vers l’arrière. Maître Bertrand l’a poussée et elle se sent tomber sur le matelas. Quand elle le voit le sexe raide, elle comprend. Le notaire vient s’emboîter entre ses jambes, devant Mouloud, qui regarde en souriant, en se malaxant les bourses dans son pantalon, Maître Bertrand pénètre Colette.
Elle garde la bouche ouverte, les assauts du notaire la font crier, elle regarde Mouloud, qui se déshabille à son tour. Deux hommes, elle est livrée à deux hommes.
Mouloud s’agenouille à hauteur du visage de Colette et chevauche sa tête, afin qu’elle gobe son sexe. Elle n’a pas eu le temps de le regarder, mais elle sent qu’il est plus gros que celui de son patron et plus dur. Il la fait sucer au plus profond qu’il peut, alors qu’elle a la chatte en feu, recevant le sexe du notaire.
Après de longues minutes, les deux s’arrêtent. – On va te baiser en double ! Dit alors le notaire en laissant sa place à Mouloud. Colette le voit la pénétrer rapidement. Elle ne peut retenir un cri, il lui a fait mal. L’homme la pilonne violemment, en gémissant. Sa queue est dure, elle a l’impression d’avoir un bout de bois en elle. Elle voit le notaire tourner autour d’elle, en les regardant. Elle pousse des AH ! HAN ! OOH ! Elle manque presque de souffle tellement, elle est remplie par cette grosse bite.
– Retourne la, je vais la prendre ?
La voix du notaire est rauque, elle peut entendre sa respiration rapide. Mouloud prend Colette par les hanches pour la retourner comme une poupée, si vite et si fort qu’elle a même mal. Elle sait ce qui va suivre. Mais quand elle entend le notaire dire ! – Je vais la prendre à sec. Elle prend peur et essaie de se relever. Mais Mouloud la tient.
Maître Bertrand vient derrière elle pour l’embrocher sauvagement. Colette se met à crier, en bavant, en toussant, la queue dans son cul broie ses entrailles, mais après quelques coups de bite, elle ne dit plus rien. Mouloud caresse son puits d’amour en même temps, et elle éprouve maintenant du plaisir.
– Elle mouille comme une chienne.
– Oui ! Elle sera une bonne pute ?
Colette pousse des OOH ! durant quelques secondes, puis OOH ! OUI ! excitant les deux hommes. Son cul est démoli et malgré ça, elle ne peut s’arrêter de mouiller, grâce aux doigts de Mouloud. L’homme approche sa bouche de son oreille.
– Tu veux ma queue ? Tu la veux encore ? Hein ? Tu veux que je te la mette ?
Colette frémit, vibre, tremble. Elle est prise comme jamais. – Oh Oui, Oui, Oui ! Répond Colette entre deux souffles de plaisir.
Le notaire lâche prise et se retire, et elle le voit s’allonger sur le matelas. D’instinct, elle le chevauche pour s’empaler sur sa queue, sans réfléchir. Quand elle sent les mains de Mouloud sur son dos, elle attend ce qui va suivre.
Mouloud appuie sur son dos afin qu’elle pose son ventre sur Maître Bertrand, elle sent sa queue la sodomiser. Colette arrive à émettre aucun bruit. Aucun son ne sort de sa bouche. Elle reste comme ça, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte. Prise en sandwich, elle a l’impression que son corps est broyé, détruit. Les deux hommes coulissent lentement, bougeant chacun à leur tour.
Mouloud l’a empalée jusqu’à la garde, et glisse lentement. Quand il recule, c’est le notaire qui s’enfonce.
Après cinq bonnes minutes où elle croit que son cœur va lâcher, elle commence à se détendre. Les deux hommes ont accéléré, donnant de temps à autre un coup de queue qui faillent lui faire perdre connaissance. Elle gémit, crie parfois. Après un petit temps, elle sent la semence du notaire l’envahir, déborder de sa grotte. Il reste en elle quelques minutes et Mouloud suit, décharge tout son sperme dans ses entrailles.
Colette reste sur le lit, pendant que les deux hommes se rhabillent. Elle sent toute la semence en elle, couler sur ses cuisses. Elle voit Mouloud partir. Le notaire reste debout au-dessus d’elle, en la regardant sans émotion sur son visage.
– Touche toi ? Ordonne t il.
Colette vaincue pose sa main sur son vagin. Elle se touche le clitoris, le vagin, tout est collant.
– T’en veux encore ? tu veux de la bite ? Ne dis rien ! Ne bouge pas !
Colette a le cerveau embué, elle est ailleurs. Son corps vibre de spasmes. Elle garde les jambes écartées, elle se touche, comme si elle était ailleurs, comme si ce n’est pas elle qui fait ça.
Sam Botte
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