Colette succombe
Paul se gare devant un grand hôtel restaurant quatre étoiles après quelques kilomètres dans la campagne, elle le regarde étonné, elle a compris, après tout pourquoi pas, juste une fois pour essayer, cela arrive bien à d’autres, ce sera son secret, pour une fois depuis bien longtemps, elle fait quelque chose pour elle seule. Ils rentrent, un serveur les accueille, Paul prend les choses en main et se dirige vers leur table. Elle le suit.
Le repas débute. Foie gras et langoustines, confit de canard aux morilles, fromages affinés… Tout en dégustant leur repas, Paul lui explique qu’il a flashé sur elle à la première réunion pour développer les contrats. Ce soir, il souhiate lui faire plaisir avant de monter dans la chambre qu’il a réservé. Elle n’en revient pas ! De sa franchise. Il lui explique qu’il n’est plus un collégien et qu’elle a accepté son invitation à dîner en sachant qu’il y aurait une suite après le repas. Elle ne peut détacher son regard de ses yeux bleu. Elle boit ses paroles, autant que le vin qu’il lui verse régulièrement dans son verre qu’elle laisse vide. Elle est comme envoûtée.
Le serveur vînt prendre la commande des desserts… Paul prend un soufflé aux framboises et nougatine. Colette prend une pêche melba. Le serveur ne se gêne pas pour regarder avec insistance son décolleté. Les desserts terminés, Paul pose sa main sur la sienne, la regarde dans les yeux.
— J’ai envie de vous Colette.
Colette soutient son regard quelques secondes, elle baisse les yeux, elle ne retire pas sa main. Pour lui, cela signifie qu’il a en partie gagné.
Son cœur s’emballe, elle n’arrive pas à décider ce qu’elle doit faire. Ce contact lui donne la chair de poule, elle sent que son sexe est déjà humide, à cet instant, elle a envie d’être prise, c’est incompréhensible, elle trouve même que c’est ridicule, elle sait que cela ne mène à rien, mais c’est comme ça. Des gens les regardent, elle ne les voit même pas, pourtant quelqu’un pourrait la reconnaître. Elle s’absente pour aller aux toilettes dans un état second.
Au bout de quelques minutes, elle est revenue, rayonnante, les yeux brillants d’excitation, elle a quelque chose de différent. Elle a déboutonné un peu plus son chemisier et devient ainsi très provocante. Elle lui signifie franchement son accord.
C’est dans une tension incroyable qu’ils terminent le dîner. Il est encore tôt pour monter dans la chambre, ainsi Paul propose de sortir un peu pour entretenir cette tension qui les excite tant. Bien sûr, elle accepte et lui laisse le choix de la suite de la soirée.
Ils sont de nouveau dans la voiture, Paul s’apprête à démarrer, mais il se tourne vers Colette, se penche, cherche ses lèvres, elle a un mouvement de recul. Paul n’insiste pas. Ils partent pour une sorte de piano bar. Dans la voiture, il caresse doucement sa cuisse. Arrivé à destination, ils entrent dans l’établissement. Paul choisit une table dans la demi pénombre au fond de la salle du piano bar. Les musiciens jouent en sourdine des airs mélodieux.
Il se penche vers son oreille et lui dit :
— J’ai envie de toi depuis longtemps. Tu me rends fou ! J’adore ta façon de t’habiller, de te tenir. Tu as de la classe, tu es aussi sexy. Cela la fait fondre. Elle n’avait pas entendu ces mots depuis longtemps. Mais lorsque Paul, une main sur sa nuque lui bloque la tête, il colle sa bouche à la sienne, Colette ouvre sa bouche, quand la langue investit sa bouche, la fouille, s’enroule autour de la sienne, il y a longtemps que Pierre ne l’a pas embrassée ainsi, Colette redécouvre des sensations oubliées. Son corps se détend, ses défenses tombent brutalement, ses cuisses s’écartent. Elle répond au baiser de Paul, tandis qu’une main remonte le long de sa cuisse. Son corps ne lui permet pas de réagir. Son cœur bat plus fort et plus vite, tous ses sens sont en ébullition. Colette comprend qu’elle est prête à subir des choses, elle laisse le destin faire son chemin.
Elle sent sa main se faufiler lentement sous sa jupe, très lentement pour vérifier à chaque centimètre son consentement, son abandon. Il remonte doucement, du bout des doigts, les pans de sa robe afin de pouvoir découvrir la chaleur de sa peau, une fois sur sa cuisse, il marque une pause.
Ce contact électrise complètement Colette, il fait tomber les ultimes pensées raisonnables que se doit d’avoir toute femme mariée et sérieuse.
Il caresse tendrement sa cuisse, remontant à chaque fois un peu plus jusqu’à venir frôler le fin tissu de sa lingerie intime, ultime rempart qui protège son intimité.
Les sentiments de Colette s’affolent, elle a envie de le laisser faire, de laisser le plaisir la submerger, elle a aussi peur des conséquences.
Et si quelqu’un d’autre s’aperçoit de ce qui se passe là sous la table, que peut bien avoir en tête cet homme qui abuse d’elle, jusqu’où va t il aller, elle a honte, elle ne peut réagir.
Colette sent les doigts de Paul s’immiscer sous la fine dentelle de son string ouvrant au passage les lèvres de son sexe qui transpire de plaisir, il dégouline bien malgré elle, quelle sensation extraordinaire de se faire ainsi doigter avec ce mélange de peur et de plaisir intense.
Mais à ce stade des choses, Colette ne contrôle plus rien, elle ne pense qu’à s’offrir encore plus à ses caresses indécentes, elle avance son bassin plus en avant sur la banquette en écartant encore plus ses cuisses, offrant ainsi la totalité de son sexe aux doigts qui la fouillent savamment.
Paul apprécie cette initiative, car il empoigne son sexe à pleine main comme pour tâter une marchandise dont il devient petit à petit propriétaire.
Colette reste là, offerte, les yeux mi-clos, dans l’attente de ses initiatives. D’un geste expert, Paul appui son pouce fermement sur son clitoris, puis la pénètre profondément avec son index et son majeur avec une facilité déconcertante tellement elle ruisselle de mouille.
Ensuite, il titille son anus avec ses deux doigts encore disponibles, il fait cela avec une lenteur de félin tout en appuyant fortement le moindre de ses mouvements pour lui prodiguer le maximum de plaisir.
Colette s’offre, les yeux mi-clos, pendant qu’il lui dévore la bouche, l’inondant de sa salive.
Ses deux derniers doigts viennent de pénétrer sa rondelle tout aussi facilement, deux doigts dans sa grotte et deux dans son anus vierge, le tout en présence d’autres personnes avec en plus cette pression du pouce sur son clitoris. Il n’en faut pas beaucoup plus à Colette pour faire monter en elle la jouissance.
Ses gémissements de plaisirs sont étouffés par la bouche de Paul collée à la sienne. Pour qu’elle ne crie pas sa jouissance qui explose en elle, puissante et dévastatrice. Colette se laisse aller à jouir sous les doigts de Paul, cachant à peine sa dépravation la plus intime.
Les doigts de Paul restent un moment en elle comme pour libérer les moindres gouttes de plaisir qui peuvent encore circuler en elle. Le sexe de Colette est une vraie fontaine, sa cyprine a maculé tout son entre jambes, la main de Paul qui prend plaisir à fouiller encore ses deux orifices avec une certaine tendresse.
Son esprit est comme réveillé qu’en relâchant leur baiser, Paul lui souffle à l’oreille.
— A mon tour maintenant. Lui dit-il en ouvrant sa braguette.
— Là à présent ?
Elle est surprise, jamais Pierre n’a été si direct, pourtant cela ne lui déplaît pas.
Pierre, son mari étant le seul homme avec lequel elle a eu des rapports, la vision d’un autre sexe que le sien n’est effectivement pas sans effet. Une situation bizarre s’empare d’elle, une chaleur gagne ses joues puis son ventre, un sentiment auquel elle n’est pas habituée et contre lequel elle n’essaie pas de lutter. Quand il sort sa bite, quelle surprise ! Elle est bien plus grosse, plus large et beaucoup plus longue que celle de son mari.
Colette est gênée. Paul appuie sur ses épaules pour la faire descendre entre ses cuisses. Colette se laisse glisser entre la table et la banquette. Elle sent sa main qui tire sa tête vers son sexe pour qu’elle le prenne en bouche. Elle n’ose pas le faire, de peur que l’on entende les bruits de sa bouche.
Elle a son sexe appuyé contre ses lèvres, elle résiste à la pression de sa main sur sa tête.
— Prend la dans ta bouche, ma chérie !
Colette cède, sans se soucier d’éventuel voyeur. Elle ouvre la bouche en grand pour l’accueillir, impatient, il donne un coup de rein pour s’enfoncer dans sa gorge. Elle est surprise par la taille et la dureté du membre en l’engloutissant à moitié. Cette sensation est impensable, c’est la première fois qu’elle prend un sexe dans sa bouche qui n’est pas celui de son mari, c’est avec une réelle émotion qu’elle commence à sucer le gland congestionner, chaud et odorant. Quand elle referme sa bouche sur le membre dressé, une bouffée de plaisir l’envahit toute entière, elle sent son sexe de plus en plus humide.
Très vite, elle sent montée en elle, l’envie de l’avaler goulûment pour le sentir palpiter sur sa langue. D’ailleurs, il semble avoir encore grossi dans sa bouche. Sa langue s’enroule autour du gland et le lèche avec l’enthousiasme que procure la nouveauté, s’enivrant de son odeur virile qui s’en dégage, elle descend le long de la tige lisse, parcourue de grosse veine gorgées de sang.
Oubliant ou elle est, Colette se met à sucer Paul avec une avidité étonnante, assouvissant l’envie qui s’est emparée d’elle, au mépris des règles de fidélités qu’elle a toujours respectée.
Pierre son mari en cet instant ne fait plus partie de son univers, seul compte le plaisir de ce sexe gonfler dans sa bouche. Elle s’applique à le sucer le mieux possible, à la grande satisfaction de Paul. Chaque fois qu’elle avale son sexe, il remonte son bassin pour venir au plus profond de sa bouche. Ses lèvres serrées autour du membre repoussent la peau jusqu’à la base, ensuite remontent vers le gland qu’elle suce délicatement avant de l’aspirer, tandis que son autre main malaxe ses bourses bien remplies.
— OOUUH ! OH Oui ! COO! COO! OUIIII !
Elle lève les yeux vers Paul pour apprécier les effets de sa fellation qui semble très efficace, à entendre les râles feutrés qui s’échappent de ses lèvres entrouvertes. La bite a encore gonflé dans la bouche de Colette, elle est maintenant bien dure, tout comme les testicules qu’elle presse dans sa main, elle le sent prêt à exploser. Elle avale son sexe au maximum jusqu’à sentir son gland au fond de sa gorge, les mâchoires bloquées, elle retient sa respiration.
Les palpitations de la bite se font plus fortes, brusquement un flot chaud et crémeux envahit la bouche de Colette la noyant totalement.
Paul, maintient entre ses mains la tête de Colette contre son bas ventre tandis qu’il éjacule longuement dans un orgasme particulièrement fort. Son sperme fuse par saccade dans la bouche de Colette qui l’avale en le trouvant son goût, suave et abondant.
— Avale tout, nettoie bien mon sucre d’orge ! Elle finit d’avaler, elle lui lèche toute sa grosse queue.
Le sexe ramollit déjà, elle lape la dernière goutte tout en le regardant dans les yeux.
Colette n’a jamais avalé de sperme de sa vie, son mari n’a jamais eu cette chance.
Elle aurait trouvé cela répugnant, sale, dégouttant, mais là… C’est venu naturellement, elle n’en éprouve aucun regret, finalement ce sont les circonstances qui font que ! Allez comprendre ?
Elle se relève, gênée et excitée par cette brutalité soudaine qui n’est pas pour lui déplaire.
Elle se sent devenir une âme de soumise avec lui.
Sam Botte
Suite impeccable et bien décrite ! Je ne peux dire qu’une chose…. Vivement la suite !
Bravo et merci