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La déchéance de Colette qui devient une pute pour hommes et animaux chapitre 20

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La pute à Mouloud

La voiture s’arrête devant un chantier de construction, Mouloud l’entraîne et Colette se retrouve bientôt haletante acculée entre deux baraques blanches, les cuisses écartées offerte, ses gros doigts n’en finissent pas de lui caresser ses mamelons qu’il a libéré de sa robe les exposant au petit vent du soir. Elle est impatiente, que sa grosse queue écarte ses lèvres intimes pour s’enfoncer dans son puits d’amour qui l’attend avec impatience, mais elle tremble en même temps de peur d’être surprise dans cette position obscène par un inconnu et ce salaud sent bien que la peur la fait mouiller de plus belle.

C’est alors que Colette les voit tous les deux, ils sont appuyés contre la baraque d’en face, les yeux fixés sur la main de Mouloud qui abandonnent ses seins et relève sa robe pour les rendre encore plus fous en leur exposant sa vulve ruisselante. Ce salaud a bien préparé son coup.

Colette essaye bien de retenir le fragile tissu avec ses deux mains, mais ce salaud se met sur le côté pour leur dégager la vue, pour les exciter encore plus en lui faisant écarter les cuisses et quand ils l’entourent tous les deux, Mouloud lui dit au creux de l’oreille.                                         – Comme tu es bien excitée, va faire la pute et il leur cède la place.

C’est vrai qu’ils ont de belles queues ! les deux glands déjà baveux cherchent à forcer ses mains pour se faire câliner. Comment résister à ces deux matraques bouillantes et palpitantes qui forcent ses petites mains, avides de son corps. Quand ils commencent à frotter leurs poitrines velues et odorantes contre la pointe de ses seins, elle s’imagine écrasée sous eux, les jambes écartelées par les grosses cuisses musclées et oubliant tout, elle laisse sa robe tombée entre ses pieds et s’emparant des deux colonnes de chair, elle se met à les branler frénétiquement.

                                                                                                                                                                   Quand elle sent la porte céder derrière elle, Colette se laisse porter à l’intérieur, bousculée sur un matelas couvert de taches pendant que deux grosses lèvres écrasent les siennes, violent sa bouche à la recherche de sa langue. Deux mains se sont refermées sur ses seins les caressant comme un trésor de guerre, deux autres sont positionnées entre ses cuisses, remontent et descendent en frôlant ses lèvres intimes pour la faire mouiller.

Colette pense qu’ils vont la prendre là, depuis le temps qu’ils n’ont pas vu de femmes, mais non ? Ils ne semblent pas pressés, les deux bites se frottent contre ses cuisses, ils la respirent, se grisent de son odeur. Quand elle sent une tête toute crépue forcer ses jambes, elle relève les genoux écarte ses cuisses les ouvrant pour, offrir son sexe en feu à la langue gourmande pendant que l’autre homme qui la chevauche comme une monture promène sa queue entre ses seins. Le gland baveux vient frôler ses lèvres à chaque poussée en y marquant un petit arrêt avant de redescendre entre les deux mamelons.

Colette excitée veut en finir, elle le tire soudain par ses poignées d’amour, elle réussit toute contente à refermer sa bouche sur sa queue bien décidé à lui faire cracher son jus.

Colette aime faire tourner les glands dans sa bouche, les enroulant de sa langue experte. Ils sont si lisses et si chauds et puis, cette saveur de sperme qui suinte est si agréable et quand elle entend le mâle commencer à haleter en se crispant, elle relâche le gland, elle ne veut pas le boire. Il passe une main sous mon menton, l’oblige à redresser la tête, dirige sa queue vers sa bouche, son gland appuie sur ses lèvres. Résigné, Colette l’avale malgré sa réticence. Après quelques allers-retours, le goût poivré de sa liqueur envahit sa bouche, inonde le fond de sa gorge, l’obligeant à déglutir sa semence jusqu’à la dernière goutte.

                                                                                                                                                               Colette essaye d’écarter la tête collée à sa vulve qui la rend folle de désir, mais depuis le temps qu’il  goûte le jus qui bave de la chatte affolée, l’homme ne veut pas lâcher sa vulve lisse, sa langue fouille la grotte adorée, titillant le clito en tout sens. Alors, Colette sent sa queue palpiter entre ses genoux, elle essaye de l’activer en la serrant entre ses deux cuisses, enfin il se redresse la queue gonflée de désir battant l’air. Elle sent enfin le gland bouillant se mettre à fourrager a l’entrée de son puits des délices, à la recherche du trou qu’il force de son nœud violacé et impatient.

Colette sent la queue s’enfoncer jusqu’à la garde, elle se met à gémir, sa tête battant de droite et de gauche se laissant aller au spasme qui monte en elle à chaque fois que la grosse queue toute grasse de son jus s’enfonce dans son antre affolé. Le salaud sait travailler, il s’enfonce d’abord en tortillant dans sa grotte brûlante, écartant les grandes lèvres puis, secoue son pal au fond de son vagin, il se retire doucement sur le bord de la grotte avant de se renfoncer d’une violente secousse la faisant tant mouiller qu’un bruit de gargouillis s’élève à chaque fois tant elle mouille.

                                                                                                                                                               Colette sent ses mains puissantes qui se cramponnent, la collant contre son corps musclé et quand il la bascule sur le côté, elle regrette de ne plus être écrasée sous lui, mais en sentant soudain la chaleur d’un autre corps venir se coller contre son dos. Elle comprend pourquoi il lui écarte tant les fesses, dégageant son autre trou, tout gluant de sa mouille qui a coulée dessus en le graissant et quand elle sent la chaleur de l’autre gland sur sa corolle. Elle ferme les yeux pendant que le premier mâle essaye de l’embrasser, elle résiste sachant que sa bouche est encore très odorante du foutre de son copain. Comme il insiste, elle le laisse franchir ses lèvres pour aller baigner dans le sperme de l’autre mâle, après tout c’est son affaire.

Mouloud se régale du spectacle, Colette sa nouvelle pute, prend du plaisir avec ses premiers clients. Jamais, Colette n’aurait imaginé être prise comme une pute par plusieurs hommes en même temps. C’est vrai qu’elle a éprouvé une peur panique, quand Mouloud l’a exposée sur le chantier nue sous sa robe ouverte aux mâles en rut. Quand un des hommes lui avait renversé la tête en arrière, elle a bien serré les lèvres pour lui résister, mais les grosses mains bouillantes qui pétrissaient ses seins l’ont déjà rendue folle de désir d’être écrasée sous leurs corps musclés et que dire de ses mains calleuses qui se promenaient entre ses cuisses essayant de les forcer.

Colette avait eu beau essayé de résister à la montée de son désir, quand les doigts se sont mis à fourrager entre ses cuisses, mais elle savait bien qu’elle avait aucune chance tant son désir d’être prise était devenu si intense. Ils ont vite trouvé la fente remplie de sa mouille toute chaude et ont entamé leur va et vient dans sa grotte toute trempée écartant l’entrée de leur gros doigt maladroit. Ses cuisses s’étaient écartées malgré elle sous les effleurements masculins offrant ses grandes lèvres  à leurs caresses en gémissant doucement quand elle s’est sentie soulevée par toutes ces mains qui la pétrissaient en lui retirant sa robe.

Le corps collé derrière Colette, pousse son gland qui commence lentement à passer l’entrée de ses entrailles, encore lubrifiée du sperme de Mouloud.

L’autre ouvrier ralenti ses mouvements, son camarade peut s’enfoncer de plus en plus loin dans les reins de Colette. Peu à peu, elle s’habitue à la présence des deux tiges en elle, car une petite cadence alternée s’instaure et la baise en sandwich s’organise. Tout ce joli petit monde se libère peu à peu, le rythme du double pilonnage s’accélère et Colette se met à s’agiter en tous sens une nouvelle jouissance montant en elle, grâce aux deux queues qui la remplissent.

– Tu les sens bien hein nos queues ?

– AHHH ! OUIIIIIIII !

– On fait  jouir une pute avec nos deux queues ?

– Hé ? Mouloud ta pute elle jouit ! Une pute qui jouit, je le croit pas ça ?

– Tiens, tiens, puisque tu aimes ! Qu’est-ce que je lui met.

Ce dialogue scabreux affole de plaisir Colette. Jamais elle n’aurait imaginé, se faire prendre comme une chienne, ni l’entendre se faire traiter de pute.

Pendant dix bonnes minutes, ils la liment intensément par les deux trous. Un bref instant de répit et prestement, ils la retournent pour changer de formation et elle a de nouveau rapidement les deux grosses bites en elle. Elle est sodomisée et baisée par devant, son visage est rempli d’extase. De temps en temps, subjuguée par le double plaisir, elle laisse aller sa tête en arrière. L’un l’embrasse un brin, l’autre empoigne ses seins et leurs deux bites infatigables coulissent en cadence dans les deux trous comblés de Colette. Parfois même, ils réussissent à la pénétrer à fond simultanément, Mouloud ne voit plus que leurs couilles hors d’elle ? car les dards entiers sont en elle.

 C’est la première fois que Colette est soumise par Mouloud à faire la pute. Elle ne peut croire qu’elle accepte cette situation, mais l’excitation prend le contrôle de son corps plus que son esprit.

Elle est tellement excitée, qu’elle ne se soucie plus de rien. Son corps ne lui appartient plus comme désincarnée par cette expérience. Puis, elle se sent des vagues plus fortes traverser son entre jambe et montées vers sa tête.

Les spasmes, l’un après l’autre, lui font prendre conscience qu’elle est en train de jouir, quelque chose qu’elle ne connaissait pas et jamais ressenti auparavant. Pendant qu’ils se répandent au fond de son ventre et de son puits d’amour.

Elle se retrouve à quatre pattes sur le matelas, le souillant du sperme qui s’écoule de ses orifices. Colette a l’esprit embrumé par la fatigue, mais elle ne peut s’empêcher de frissonner de peur en entendant.

– Vous avez bien baisé ?

– Ouais !  On lui a défoncé le cul et de la chatte ensemble.

– OK, c’est compris dans la prestation.

Dans l’inconscience générale personne n’a pas entendu la porte du cabanon s’ouvrir.                                             Par contre, Colette sent le souffle chaud et la langue râpeuse d’un chien qui lui lèche les fesses. La sensation est nouvelle et pas désagréable.

– Reste comme ça ! T’es qu’une chienne après tout !                                                                                              Hurle Mouloud, désireux de voir ce qui va suivre ?

Colette habituée à obéir et avec l’esprit encore dans les nuages, elle ne bouge pas. Elle laisse la bête lui lécher la moule et même son trou du cul.

Le chien récupère de sa langue, les sécrétions qui coulent de ses deux orifices. Colette ne sait pourquoi, mais la langue de l’animal électrise son petit cul, elle est positionnée à quatre pattes sur le matelas, cambrant bien ses fesses. Elle sent le souffle de l’animal dans son dos. D’un coup, le chien saute sur ses reins, entourant ses hanches de ses pattes avant.

Après quelques coups dans le vide, pendant lesquels elle tente vainement de le repousser, il la pénètre un instant violemment et lui arrache un cri de surprise ?                                                                          Mouloud lui ordonne :

– S’il a réussi à rentrer ? Laisse le se décharger en toi ? Sinon, tu vas vraiment souffrir ?                      L’animal a bien compris qu’elle est à lui, il donne de violents coups de reins pour enfin la saillir.

Colette très excitée en pensant à ce qui va se passer, elle sent des giclées de liquide chaud s’écraser contre ses fesses et couler le long de ses cuisses jusque sur sa grotte d’amour et même sur son anus. Trop impatient de voir la suite, Mouloud saisit le sexe du chien avec sa main droite pour le diriger vers la vulve en ébullition de sa pute. Le chien grogne un peu, mais se laisse faire.

La bite est bien gonflée, l’animal excité depuis un bon moment, son bulbe est déjà formée. Quand il s’est enfoncé tout au fond et d’un seul coup la boule est venue se stopper à l’entrée de la vulve de la femelle, sans pouvoir la pénétrer entièrement. Le chien est énervé, il veut aller plus en elle. Colette sent qu’il lui envoie des giclées de liquide chaud dans sa grotte. Sa grosse queue la fait transpirer et lui donne envie de l’avoir bien au fond de son ventre.

Colette accepte ce viol insolite et se laisse saillir comme une chienne en chaleur. Ses aller et venues sont violentes, mais si bons ! A chaque mouvement, ses couilles titillent son clitoris. Elle n’en peut plus. Elle se laisse aller au plaisir. C’est tellement bon d’être une chienne ?                                       Elle cambre bien son cul, baisse ses épaules vers le sol pour que le chien puisse aller plus loin en elle. Après quelques minutes, il s’est cramponné à sa chienne avec ses pattes avant, il réussit non sans mal à l’enfiler entièrement, son gros nœud est rentré. Il est collé un bon moment, elle sent le foutre canin couler au fond de son puits d’amour.

Appréciant la chaleur de ce liquide dans ses entrailles, que c’est bon de se sentir pénétrée par une telle tige qui jute en permanence par de petits jets assez puissants. Colette hurle à la fois de plaisir et de crainte. Elle sent son bulbe qui grossit très rapidement, elle a peur ?  Son bulbe la fait entrer dans une transe incroyable, elle ne peut s’empêcher de hurler ! Elle fait orgasme sur orgasme, son corps tremble sous ce plaisir inouï.  Elle n’est plus une femme, elle n’est plus humaine, elle est une chienne, une chienne qui hurle son plaisir.

Au bout d’une vingtaine de minutes, le chien s’est décollé, après s’être léché la queue, il est venu lui lécher la moule et le cul d’où coule un mélange de cyprine et de foutre.                                              La porte s’est subitement ouverte à cet instant sur un homme de type maghrébin, très certainement attiré par le cri des ébats. Stoppant net sur le seuil, il laisse échapper le chien, le nouveau venu n’est autre qu’un ouvrier. Il a été surpris, mais comprend très vite ce qui se passe en voyant les gars avec leur téléphone entrain de filmer Colette le cul en l’air.

– Rhabille toi ! Ordonne, Mouloud. Elle sursaute malgré elle. La voix est menaçante, sifflante.                                                                                                                                                         Colette ce relève rapidement, elle remet sa robe. Le nouveau venu prononce des mots incompréhensibles. Mouloud lui répond des mots menaçants dans sa langue natale.

– Quelle chienne ta pute. Dit-il dans un mauvais français.

Le jus canin s’écoule sur ses cuisses en les lubrifiants. Mouloud lui ouvre la porte, en lui glissant une petite tape sur la fesse, il dit :

– Allez, la chienne ? Il est temps de rentrer à la niche.

Colette se blottit au fond de la banquette arrière, jambes repliées avec un pan de sa robe couvrant son intimité souillée. Pourquoi ?  C’est ce qu’elle se demande pendant le trajet. Cet homme qu’elle ne connaît a peine, la traite avec autorité en la prostituant. Faire l’amour a plusieurs, elle n’est pas contre, mais faire l’amour avec des inconnus qui ne se soucient pas de son plaisir et en plus là ce chien qui l’a sali, l’a déshonoré.

Colette est frustrée avec des envies de révoltes, mais le notaire tient son argent, de plus elle a besoin d’être dominée, c’est dans sa nature. Elle est faite pour obéir, pour que l’on se serve d’elle pour le plaisir. Colette aime être offerte aux hommes autoritaires. Colette ferme les yeux pour ne pas regarder le paysage défiler, elle sent sur elle le regard lourd de Mouloud et celui gourmand du chauffeur dans le rétroviseur intérieur.

Colette met plusieurs jours avant de se retrouver dans son état normal. Elle éprouve des fatigues, des accablements, des vertiges. Elle pense et ne pense pas, elle subit une crise morale et physique.

Est-ce bien à elle qu’est arrivée cette soirée de cauchemar ?                                                     Oui, c’est bien elle qui a subi l’impensable ! Elle en a encore toutes les traces qui subsistent. Quel triste rôle, on lui a fait jouer ? Elle s’irrite de sa lâcheté à se soumettre, du manque de présence d’esprit dont elle fait preuve, du sacrifice irraisonné de tous ses sentiments, de toutes ses pudeurs aux pieds du monstre qui la dompte.

Hélas ! cette soirée figure bien dans la réalité de son existence. Sa peau, marquée de bleus et d’écorchures rappellent les moindres détails de sa saillie. Il faut bien qu’elle a été dopée pour avoir supporté une telle infamie. Elle a subi sa première prostitution, car elle s’est prostituée pour récupérer son héritage. Quel avenir demeurait suspendu sur sa tête ! Elle appartient à ce notaire qui l’a donné a son maquereau de chauffeur.

Il peut surgir à chaque instant et user d’elle comme bon lui semble. Maître Bertrand lui en a donné le droit en lui abandonnant son existence. Chose étrange, en se remémorant la soirée, une espèce d’excitation renaît dans ses sens. Elle se sent devenir folle sous les désirs de ces instants de dépravés, qui se réveillent.

Elle en vient à se considérer comme le jouet fatalement voué aux désirent de Mouloud. Les inquiétudes la reprennent sur les conséquences possibles de cette soumission et elle en tremble, en pensant à toutes ses jouissances subies, qu’elle que soient les partenaires.

Son esprit travaille durant ses moments de lucidité et ne sert qu’à l’exciter ensuite de longues heures, dans l’attente de nouveaux orgasmes à venir.

Sam Botte

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