La déchéance de Colette qui devient une pute pour hommes et animaux chapitre 21

La bonne pute consentante.

La vie quotidienne reprend son cour cinq jours durant. Les effets de la drogue que lui avait bu Mouloud, ont disparu le lendemain matin. Son anus c’est refermer, il en a oublié la bouteille de bière. Colette se détend nue au bord de la piscine, quand la sonnerie du portail la tire de sa rêverie.                                                                                                                                                     – Oui ? Dit elle en appuyant sur le bouton de l’interphone.                                                                         – Ouvre ? Répond Mouloud.

Deux voitures viennent s’arrêter devant le perron. Colette, couverte seulement d’un peignoir de bain, ouvre la porte d’entrée. Elle est surprise de voir cinq hommes suivre Mouloud. En guise de salutation, les cinq hommes la déshabillent du regard. Parmi ses hommes se trouve un homme de couleur qui n’est pas sans rappeler Raphaël  à Colette.                                                                                                                             – Offre à boire à mes amis. Ordonne Mouloud.                                                                                            – Mais je ne suis pas présentable ? Lui répond Colette.                                                                            – Tu es très bien comme ça, allez sert nous à boire.

Au fur et à mesure des verres, Colette perçoit les regards lubriques des hommes sur son peignoir. Tout le monde sait ce pourquoi ils sont là, Colette ce doute bien ce que Mouloud veut qu’elle fasse, mais avec cinq hommes ensemble, elle ne l’a jamais fait. Ils commencent à parler de cul, des expériences de chacun pour déboucher sur le gang bang. Mouloud voit que Colette prend du plaisir à écouter assise entre deux sur le canapé. Puis la main du type à sa gauche commence à lui effleurer la cuisse. Elle est un peu surprise, mais loin d’être choquée, elle décroise les jambes pour que l’homme remonte plus haut. Le gars à sa droite fait la même chose et commence à lui caresser l’épaule pour descendre malaxer un sein.

 Elle comprend très vite la situation, et au bout de quelques minutes, elle lance un regard à Mouloud qui semble dire, je fais quoi ?                                                                                                                 – Maître Bertrand t’as confié à moi, tu t’en souviens ?                                                                                Les deux hommes n’arrêtent pas de la tripoter. Les autres gars ont le pantalon déformé par une bosse au milieu de l’entrejambe. Son peignoir est ouvert, son corps nu est exposé à toute l’assemblée.

On voit ses deux seins aux pointes dressées.

– Dis donc tu as vraiment des beaux seins, ils sont pas refaits ?

Les deux gars recommencent à lui peloter les seins. Ils pétrissent ses deux seins. Un, commence à les titiller et à lécher et à les pincer en lui embrassant le cou. Colette n’est pas insensible, elle prend des initiatives. Pendant qu’on s’occupe de ses seins, ses deux mains se déploient de chaque côté et commencent à caresser l’entrejambe des hommes.

Un troisième gars et arrive derrière le canapé, le caleçon baissé et la bite a l’air et présente à Colette sa queue, de taille moyenne à la bouche. Elle ne se fait pas prier et tout en déboutonnant les jeans de ses voisins, elle lèche la bite du gars derrière. Mouloud admire le spectacle. Colette, face à lui, en train de sucer un gars pendant que chacune de ses mains branle une bite. Les deux autres ne sont pas en reste, ils sortent leur bite et commencent à se branler sur le spectacle qu’offre Colette.

Elle alterne entre les queues pendant que des pairs de mains s’emploient sur elle, à lui caresser le clitoris, lui enfoncer des doigts dans le sexe où lui malaxer les seins. Des doigts lui fouillent la moule, Les bites s’enchaînent dans sa bouche. Ses mains branlent celles qu’elle ne suce pas. Ils la gratifient de :

– Salope, t’es vraiment qu’une pute de bourgeois, t’as dû en sucer des queues.

– Putain qu’elle bouche, elle t’avale la bite en entier ?

Plus les insultes sont salaces, plus elle semble aimer ça et commence à être excitée. Elle change de queues, bouffe la première qui se présente devant elle sans chercher qui en est l’heureux propriétaire. Elle alterne entre les couilles et les glands. Elle remonte le long des hampes pour venir bouffer littéralement les bites, et gober les couilles. Elle semble jouir par la bouche.

– Allez sort ta langue pour venir me lécher les couilles. C’est bien t’es une bonne pute.

– Allez dis le que t’es une salope, dit le que t’aimes les queues salope on t’entend pas.

– Oh oui ! répondit-elle comme si elle jouissait, je ne suis votre pute, une vide couilles, pompe à sperme.

Videz vous dans ma bouche ou dans chacun de mes orifices. Mouloud est étonné. Il sait qu’elle aime se faire baiser, mais la voir, s’offrir comme ça  à ce point avec cinq hommes et sans drogue de soumission, il entrevoit un avenir radieux.

On retourne Colette, elle se met à genoux sur le canapé, remonte le bas de son peignoir jusqu’aux hanches et présente sa croupe nue, bien en évidence pour se faire baiser. Elle continue à sucer une queue, les mains malaxant les couilles pendant que ses deux seins se balancent au rythme des coups de queue que lui impose le gars qui la besogne. L’autre lui baise littéralement la bouche. Il lui maintient la tête avec sa main, et elle fait des petits bruits et semble adorer être un objet sexuel, être une pute offerte. Il ne met pas longtemps à jouir, soit trop excité car sa bouche fait bien son travail. Le gars décharge au fond de sa gorge. Le sperme qu’elle ne peut avaler suinte au coin de ses lèvres.

– Tiens, avale mon sperme. Qu’il lui crie en jouissant.

Un des gars se positionne derrière elle, tapote son sexe contre la grotte humide de Colette devenue une putain et  enfonce sa bite d’un coup sec jusqu’aux couilles. Colette est surprise, mais ne peut dissimuler qu’elle aime ça, c’est ce qu’elle attendait. De la cyprine coule de sa grotte, d’où rentre et sort une grosse queue. Maintenant, elle se fait prendre par les deux bouts. Une bite lui baise la bouche, l’autre la vulve et chacune de ses mains branle une bite, dont celle du black qui est vraiment plus  impressionnante que celle de Raphaël. On lui enlève son peignoir pour la mettre complément nue.

Un troisième se branle et approche sa queue des lèvres de Colette. Un  sourire aux lèvres, elle tend la langue pour recueillir tout le nectar.                                                                                                      – Ouvre la bouche ! Le gars lui remplit la bouche en une dizaine de jets blancs et crémeux. Elle a la bouche remplie. Il sort son téléphone portable et lui dit d’avaler toute sa bonne sauce. Mouloud a un peut peur que Colette se rebelle, d’être traitée ainsi et de se faire filmer dans un tel état de soumission. Mais non ! Elle ne se fait pas prier et semble même apprécier. Elle continue à sucer des queues.

 Le gars qui lui pilonne la chatte lui donne un orgasme inattendu.

– Alors la pute, on aime se faire défoncer ?                                                                                               – MHHH ! OUUUII ! Répond t-elle la bouche occupée.

– Une pute qui jouit et qui mouille, c’est pas courant, mais que c’est bon.

– Bouffe moi le cul la pute, lèche moi le trou du cul, j’en veux pour mon argent !                               Dit un troisième gars présentant ses fesses sous le nez de Colette.

Elle hésite quelques secondes, regarde Mouloud puis elle obéit, comme une pute soumise. Elle déploie sa langue et vient lécher le trou du cul du gars. Elle lui lèche l’œillet et rentre le bout de sa langue à l’intérieur. Un des gars la prend par le cou et l’oblige à fourrer tout son visage entre ses fesses.

L’homme noir prend Colette par les cheveux, lui tire la tête en arrière, elle gémit dans un râle, puis il lui fait face, lui crache dans la bouche ouverte sur cri muet et la remet entre les fesses du gars. Le gars pousse des râles de satisfactions. Il se retourne d’un coup, lui prend la tête avec les deux mains et fourre sa queue au plus profond de sa bouche pour déverser tout son jus au fond de sa gorge.

Elle ne peut pas tout avaler. Sa semence ressort aux coins de ses lèvres une fois de plus et  perle le long de son menton.                                                                                                                                  – Allez ? On avale tout la pute et on dit merci !

– Merci monsieur. Dit-elle dès qu’il a retiré sa bite de sa bouche.

– Et maintenant, on me nettoie la queue. Reprend le gars.

Colette vient juste de finir le nettoyage baveux, qu’un autre vient placer sa bite devant sa bouche. Elle ouvre sa bouche en grand comme une bonne pute, en tirant sa langue et puis gobe ses couilles.

Les bites se succèdent dans son puits d’amour, on l’a prise dans toutes les positions. Elle ne proteste pas. Le noir sort son téléphone et la mitraille de photos souvenir. Ensuite, il se place à l’entrée du jardin secret de Colette, après avoir inséré quelques doigts à l’intérieur pour entrebâiller le portillon, après, il veut rentrer son énorme bite.

Quand il l’avait mis dans la bouche de Colette, ces joues étaient déformées par la taille de l’engin. Son  épaisse et longue bite, écarte en s’enfonçant inexorablement les parois intimes et délicates de ses reins. Colette semble suffoquer, elle manque de s’étouffer, elle prend encore un engin  imposant dans ses reins. Un autre gars se glisse sous elle et lui remplit son puits d’amour avec sa bite.

Les trois autres gars les encouragent.

– Bourrez la, cette pute, éclate lui le cul, si tu veux en à voir pour ton argent ?

– Défoncez lui le cul à cette nouvelle pute, c’est son inauguration de pute, il faut pas la rater. Colette crie son plaisir quand sa bouche n’est pas investie par une queue ou une autre. On lui malaxe les seins, on profite d’elle et en plus, elle aime ça. Elle est empalée sur le mec du dessous qui s’emploie à lui donner des coups de butoirs dans sa grotte, la bouche baisée par une bite qui lui touche la glotte, la grosse bite du noir qui sort et rentre dans son jardin secret comme un manche de pioche.

Elle pompe dans tous les sens, insatiable. Un gars lui agrippe les cheveux pour lui faire bouffer sa queue à son rythme.

– Alors ça te fait quoi d’être une pute maintenant.

Colette détourne sa tête pour regarder Mouloud. Il voit dans son regard, qu’elle prend du plaisir à se soumettre dans sa nouvelle condition. Elle semble jouir à chaque fois qu’une paire de couille vient frapper son anus ou ses lèvres.

Elle pleure de plaisir, avant d’être prise de spasmes pendant que le grand black lui remplit les entrailles de sa chaleur collante.

– AAARRGHH !! Je jouis dans ton cul, de pute !

Des filets de sperme coulent le long de ses fesses, elle est remplie d’un jus bien chaud qui lui procure un immense plaisir, elle adore cette chaleur qui se repend dans son ventre. Elle pousse un grand râle, son corps se raidit, frappé par un orgasme foudroyant.

Le black se retire et laisse la porte de son jardin secret grande ouverte, laissant s’échapper le trop plein de sperme sur son périnée.

– C’est vraiment une bonne putain, je peux appeler mes trois potes, si tu veux Mouloud, ça te fera plus de tunes et je crois que ta nouvelle pute sera les combler.

– L’idée m’excite, mais il ne faut pas qu’ils l’esquintent. Répond Mouloud un peu dépasser par la situation. Un autre gars franchit le seuil de l’entrée du jardin secret par la petite porte laissée grande ouverte.

Colette pousse un râle bien que l’engin soit de taille inférieure. On la sodomise comme ça une bonne heure, elle crie son plaisir. Ils la retournent dans tous les sens, la baisent par tous les orifices. On ne lui laisse aucun répit. Elle est essoufflée et halète. Un gars sort de ses reins pour lui enfoncer sa bite dans la bouche. Elle ne proteste pas, elle lui bouffe littéralement la queue comme une affamée, elle l’aspire en lui malaxant les couilles. Une autre bite force l’entrée de sa bouche, qu’elle ouvre encore plus pour l’accueillir. Les deux bites font du va et vient simultanément dans sa bouche qui ressemble désormais à tout sauf à une bouche, déformée par la grosseur des deux queues. Sa mâchoire est distendue.

Après la bouche, c’est le tour de l’entrée de ses reins qu’ils veulent investir en duo. Le premier gars n’a pas trop de mal à insérer sa queue dans la porte de ses entrailles encore largement ouverte. Un autre gars, qui a une queue plus fine, mais très longue, se place à côté du premier et la pénètre aussi. Elle jouit encore.

– Alors la pute ça fait quoi de se faire fourrer par deux queues ? Demande le premier sodomite.

Elle ne peut répondre, un des autres gars est en train de lui baiser la bouche.

Vexer que Colette ne puisse répondre. Du coup, le sodomite redouble la cadence et vient faire frapper ses couilles le plus fort possible dans la petite porte. Le second gars qui la sodomise l’accompagne. Elle est là, à quatre pattes se faisant défoncer l’anus par deux bites. Elle recommence à prendre du plaisir, un autre orgasme monte dans sa tête pour exploser dans un cri qui recrache la queue dans sa bouche.

Du coup le gars rouspète.

– Alors la pute ! T’aimes ça te faire enculer par deux queues ? Je parie que c’est la première fois.

– OOOHH ! OOUUUIIIIIIII ! C’est trop bon. Colette est complètement dépassée par les événements. Sa voix est rauque, tremblotante, mais sincère. Elle est en extase.                                    – C’est bon d’être une pute !

Ces mots dans la bouche de Colette résonnent comme un aveu dans l’oreille de Mouloud.  Non seulement elle est traitée comme une véritable pute, elle se laisse faire, mais en plus elle reconnaît y prendre du plaisir.

Elle est comme ça à poil, à genoux par terre comme une chienne, débordante de foutre des éjaculations précédentes. Le bassin et la poitrine en avant, le cul bien en arrière comme si elle cherchait encore une queue pour se faire piner la rondelle. Elle est en position pour une nouvelle saillie, en plus, elle tire la langue.

Comme c’était convenu, les gars ont vidé leurs couilles et se rhabille pour  partir. Le premier lui crache dans sa bouche ouverte avant de partir.                                                                                        -Mouloud ? Si tu veux je te loue un soir ta pute pour les gars du chantier de ma maison , ils seraient heureux de baiser une bourgeoise aussi jolie et ouverte à tout.                                                                    – Je te ferai signe si ça m’intéresse donne moi ton numéro de téléphone.

– Quelle pute ! dit un gars en prenant une dernière photo avant de partir.

Les autres lui emboîtèrent le pas sauf le gars noir qui voit la voiture de ses potes arriver dans la cour. Mouloud ordonne à Colette d’aller faire rapidement une toilette intime pendant qu’il accueille ses nouveaux clients. Quand Colette revient dans le salon, ses trois hommes noirs qui l’attendent.           – C’est toi la nouvelle pute ? Vient me sucer. Demande le plus grand en sortant son sexe qui n’a rien à envier au premier black de tout à l’heure. Colette a genoux se remet à sucer une énième bite de la soirée.

Le deuxième gars se place derrière et frotte son gland sur le sexe de Colette toujours pliée en deux et suçant le sexe du premier. Le sexe de ce type entre facilement dans le vagin de Colette et directement, il commence des va et vient brutaux. Ces brusques chocs amplifient la pipe que fait Colette sur le premier faisant entrer le sexe de celui ci bien profondément dans sa gorge. Pendant trois quarts d’heure les trois hommes échangent leur place et éjaculent dans la bouche de Colette qui avale une grand quantité de sperme. Elle doit encore les sucer pour qu’il reprennent leur rigidité du début.

Le troisième homme s’allonge nu sur le tapis du salon avec une belle bite bien tendue. On empoigne Colette à la taille et l’homme lui demande de venir s’asseoir sur lui. Obéissante, elle présente sa grotte à plaisir  au-dessus du sexe érigé et s’empale à fond. Au même moment, elle sent des doigts écarter son anus sans ménagement, provoquant chez elle des râles. Sa bouche est forcée a nouveau par le sexe du premier qu’elle s’empresse aussitôt de sucer avec application. Les doigts inquisiteurs la fouillent toujours, puis cèdent la place à un gland gorgé de désir qui vient forcer l’anneau souple et détendu qui s’offre à lui. Les trois hommes la possèdent en même temps, elle croit s’évanouir tant les sensations qu’elle ressent sont fortes.

Plus rien n’existe à part le fait qu’elle n’est plus qu’un corps livré encore en pâture à des mâles vigoureux. Les coups de boutoirs des trois hommes provoquent de véritables ondes de choc et la secouent désormais de convulsions violentes ! C’est dans un synchronisme parfait qu’ils l’inondent de longs jets de sperme chaud, alors qu’elle est ravagée par un orgasme dévastateur. Elle entend la voix de Mouloud lui parler avec des mots qu’elle ne comprend plus. Elle perd connaissance, fourbue d’émotions et de plaisir.

Quand la porte est refermée et le dernier client parti, Mouloud demande à Colette son ressenti et ses impressions. Elle lui avoue qu’elle plane encore, qu’elle n’a jamais eu autant d’orgasmes. Elle est encore pleine de sperme qui ruisselle de son puits d’amour et de son jardin secret tant visité coule un liquide brunâtre. Sans compter tout le sperme dans son estomac.

Sam Botte