Quelque jours après, Mouloud vient prendre Colette pour la ramener au pavillon de chasse de maître Bertrand. Il lui offre un rafraîchissement et ça recommence comme l’autre jour, cette chaleur dans le bas de son ventre, tout qui s’embrouille dans sa tête et cette envie de faire l’amour. Le rafraîchissement servi par Mouloud a une autre fonction qui apparaît clairement.
En début de l’après midi, c’est à un couple que Mouloud ouvre la porte du pavillon.
-Fais ce qu’ils te demandent. Lui dit Mouloud avant de s’isoler dans le bureau qu’il referme à clé. Comme hypnotisée, Colette fait tout ce qu’ils demandent. Elle se retrouve rapidement avec le sexe du mari en bouche pendant que madame se met nue après avoir déshabillé son mari et Colette. Elles sucent de concert le membre de l’époux qui bien excité s’allonge sur le tapis du salon pour que Colette vienne le chevaucher.
Lorsque est Colette emmanchée bien au fond, il la couche sur sa poitrine en lui roulant un patin baveux. Madame ceinte d’un bon gode ceinture, vient pousser la petite porte de son jardin secret pour le visiter le plus loin possible avec la frénésie d’un libéré de prison. Une fois le mari bien épongé Colette doit pour la première fois apaiser les ardeurs lubriques de l’épouse.
Un autre après midi, c’est une bande de cinq jeunes cadres qu’elle doit satisfaire en même temps. C’est dans un déluge de sperme qu’elle eu plusieurs orgasmes.
Après une bonne nuit de sommeil réparateur, Colette se demande où cela va-t-elle la mener d’accepter de faire la pute pour maître Bertrand et Mouloud, elle aime toujours être soumise et elle trouve tellement de plaisir à jouer à la bourgeoise pute.
Quand Mouloud lui téléphone qu’il vient la chercher pour l’après midi, elle ne s’habille que d’une robe qui s’ouvre sur le devant pour faciliter l’accès à son corps pour les visiteurs à venir.
Aujourd’hui Mouloud lui ordonne d’obéir à un couple étrange. La femme a une voie grave ? Pendant que Colette pratique l’inévitable fellation, la femme vient frotter ses seins dans le dos de Colette. Elle a bien vue une robe jetée sur un fauteuil, suivi d’un soutient gorge et d’un string, elle s’interroge car elle sent descendre dans son dos deux seins, mais aussi un membre viril et chaud qui se loge entre ses deux cuisses.
Elle sent un gland se frotter contre son sexe, venir buter sur son bourgeon en érection, remonter lentement vers sa moule offerte. Et enfin, d’un coup s’engouffrer jusqu’à la garde dans son vagin, lui arrachant un râle. Après, il se retire d’elle d’un coup, laissant son sexe béant. La femme se relève pour présenter sa queue au coin de la bouche déjà occupée de Colette, c’est une bite de bonne taille.
C’est la première fois que Colette voit un lady boy. Profitant de sa surprise la femme rentre sa queue a côté de celle de son compagnon qui sort pour venir prêter main forte à Colette. C’est deux bouches qui s’occupent de la lady boy, celle de Colette suce et aspire son membre pendant que l’autre suce ses couilles imberbes et va jusqu’à introduire sa langue dans son anus. Colette reconnaît la douce saveur salée de son intimité, ce qui l’excite au plus haut point. Que c’est bon de se savourer ainsi sur un sexe tendu.
C’est nouveau pour Colette, pendant que madame l’amène au plaisir dans son puits d’amour, monsieur sodomise hardiment madame qui embrasse Colette. Comme il fallait s’y attendre, c’est
entre monsieur et madame qu’ils donnent à Colette un délicieux orgasme pendant qu’ils s’épanchent ensemble dans ses deux orifices d’amour.
Un ou deux après midi par semaine, Colette est dans le pavillon de chasse de maître Bertrand. Colette reçoit toutes sortes de gens avec toutes sortes de fantasmes.
Un après midi, c’est un homme seul avec son chien que Mouloud introduit dans le pavillon.
L’homme ordonne à Colette de retirer sa robe et de se mettre à quatre pattes. Docile, Colette se poste comme on lui demande. Ses seins pendent comme les mamelles d’une bête, elle attend pendant que l’homme se déshabille. Le chien vient renifler son entre jambe un court instant.
Il est vite rappelé à l’ordre par son maître.
– Couché ! Attend que je te donne la permission.
Quelle permission ? Ce dit Colette qui s’affole, que vont-ils faire ? Car chose étrange, Mouloud est assis dans le fauteuil, lui qui n’assiste rarement aux ébats des clients de Colette.
Cette tension fait mouiller Colette malgré elle, les pointes de ses seins se tendent.L’homme s’approche de Colette, masse sa vulve, enfonce un doigt dans ses chaires molles et humides a souhait. Colette respire vite, c’est maintenant deux et trois doigts qu’il enfonce d’un coup dans son vagin. Il les tourne et entame un petit va et vient tout en massant son clitoris.
Colette est sur le point de jouir, son regard se trouble, elle peut entendre le bruit obscène du clapotis de sa grotte ainsi branlée. Les doigts sont remplacés par le membre érigé de l’homme qui l’agrippe aux hanches. C’est dans un feulement de plaisir que Colette creuse ses reins pour mieux recevoir ce membre qui la mène vers un orgasme prometteur. Après un bon quart d’heure, c’est dans un concert de râles qu’ils jouissent ensemble.
L’homme, toujours figé en elle se tourne vers Mouloud.
– Elle est prête ! Croyez vous qu’elle se laissera faire ?
– J’en suis sûr, elle m’obéit au doigt et a l’œil.
Colette, inquiète lance un regard interrogateur vers Mouloud. Qu’est ce que je dois laisser faire ?
L’homme, après avoir étanché son plaisir se retire du ventre de Colette. Elle en a oublié le chien.
Mouloud vient ce positionner devant Colette et lui mettre une main sur la tête.
L’animal, d’un bond silencieux, se place derrière la Colette.
Colette reprend son souffle, lorsqu’elle sent quelque chose de froid contre ses fesses. Elle essaie de se retourner pour voir ce qui se passe, mais Mouloud lui tient la tête par les cheveux et elle ne peut rien apercevoir. Le truc froid se fait plus insistant, quand elle sent en même temps un souffle chaud, elle devine avec effrois que c’est le chien qui est en train de lui sentir le cul, comme une véritable chienne. Prise de panique, elle tente de se dégager, mais Mouloud la maintient fortement en lui tirant sur les cheveux et dit.
– Ne bouge pas chienne, à force de l’exciter, il doit bien vérifier si tu es à son goût ?
Sa truffe parcours toute son intimité, il lui sent le cul, la chatte, les cuisses. Colette sert les fesses pour échapper à cette humiliation, mais il force, donnant des coups de nez contre ses fesses. Une nouvelle pression sur sa tête lui indique qu’il faut qu’elle se détende. Colette déteste d’être aussi faible et d’obéir ainsi, mais n’écoutant que son maître, elle écarte les cuisses, laissant l’accès de toute son intimité à ce chien.
Elle sent le souffle chaud sur son intimité. Elle est surprise par un coup de langue partant de son clitoris jusqu’à son anus, qui se renouvelle avec une grande rapidité. Colette est atterrée, elle n’a jamais éprouvé une telle honte d’autant qu’elle ressent les prémices de la jouissance. Il la lèche en faisant pénétrer sa langue chaude profondément entre ses grandes lèvres, lapant bruyamment le sperme que son maître a déversé dans le sexe de Colette.
Incroyable, son clitoris réagit en se durcissant et des ondes bien connus remonte en elle le long de sa colonne vertébrale. Tout cela l’excite malgré la perversité de la situation incongrue.
Colette se délecte de la situation, si bien que lorsque Mouloud desserre son emprise sur sa tête. Elle ne bouge pas, au contraire, elle jette ses fesses contre son lécheur canin, voulant le sentir lui lécher toute son intimité en un seul coup de langue, lui fouiller le cul et la vulve avec cette râpe.
Colette entend Mouloud la traiter de chienne, de salope, prête à se faire saillir. Il lui en faut pas plus pour partir dans une longue jouissance, si forte qu’elle en tremble de tout son corps, pendant que la langue du chien, la force encore pour boire tout son jus, ne laissant aucun répit à sa jouissance. Sous ses plaintes et supplications, secouée de spasmes de plaisir, il lèche encore sa chatte toute baveuse. – Vas-y mon chien ! – Oh ! Oh ! NON ? NON ?
Alors, la honte et la colère lui font perdre tout contrôle. Colette se raidie, crie et cherche à se relever de cette situation scabreuse et immorale. Mouloud a anticipé la réaction de Colette, il est toujours à ses côtés. Il se baisse et tord cruellement ses tétons dardés en les pinçant fortement. – Salope ! Tu es une chienne en chaleur ? Voici ton mâle qui va te prendre ! Tu le laisses faire sinon gare a toi ! Vocifère Mouloud.
Soudain, Colette sent le poitrail velu de son nouvel amant se coucher sur son dos, aussitôt ses deux pattes de devant lui enserrent la taille, elle est prise comme dans un étau. Cet amant a une force peu commune, elle est complètement immobilisée contre lui. Bien campée sur ses pattes arrière, Colette sent soudain des coups de pistons contre son périnée.
Dans des mouvements désordonnés, son nouvel amant cherche à la pénétrer. L’homme assistant à la scène lui vient certainement en aide, car subitement, une bite brûlante se présente à l’entrée de son puits d’amour heureusement bien lubrifié. Sentant l’ouverture, l’amant canin, d’un formidable coup de rein, propulse sa verge au fond de sa grotte, frappant violemment la paroi de son utérus, ce qui lui fait pousser un râle de douleur.
Dans cette position, bien arrimée sur son dos, l’animal possède une grande mobilité du bassin. Il entreprend alors de rapides et puissants va-et-vient qui à chaque fois amènent sa monstrueuse rigidité au fond de son vagin, lui faisant pousser des râles douloureux. Et le sexe gonfle, gonfle. Il remplit désormais toute la cavité vaginale de Colette, même plus puisqu’il lui dilate l’organe en repoussant les parois. Et puis une boule vient lui frapper l’entrée de sa grotte d’amour, sa grosseur en bloque la pénétration.
Après plusieurs va et vient de sa verge dans sa moule. Elle sent qu’il prend du recul avec ses reins et se propulse avec une force inouïe au fond de son ventre. Tout est rentré ? Son bulbe se met à gonfler, gonfler, formant rapidement un frein qui interdit désormais toute sortie de sa verge. Colette prend peur devant la grosseur de cette excroissance, elle va la déchirer pense t-elle. Et puis durant quelques secondes tout se calme. Contre toute attente, ses organes commencent à s’habituer à cette gigantesque intromission.
L’amant sur son dos halète, la langue pendante, des filets de bave s’écoulent sur sa nuque. Tout à coup, l’énorme turgescence est comme animée d’une vie propre, elle se met à vibrer, lui envoyant des ondes dans sa colonne vertébrale jusqu’à son cerveau. Son bas-ventre est agité de spasmes, ses organes génitaux s’enflamment et son amant commence à envoyer des torrents de liquide dans son vagin déjà plus que rempli.
Il se dilate encore plus, il repousse les organes voisins, Colette sent son bas-ventre gonfler, gonfler. Et soudain, une formidable chaleur envahit tous ses organes. Colette perd complètement pieds, une jouissance phénoménale l’envahit, elle hurle dorénavant son plaisir incontrôlable, des orgasmes sans fin se succèdent. Elle plonge alors dans un état de demi-inconscience.
Colette est désormais une chienne en train de se faire engrosser par son mâle dominateur. Elle devient son esclave, sa servante, sa soumise. Le liquide reproducteur continue à se déverser dans son vagin, dans son utérus, il veut la féconder. Un bonheur sans fin l’envahit. Colette n’entend plus aucun son en provenance de son environnement, elle est uniquement concentrée sur cette jouissance fantastique qui la paralyse jusqu’à la pensée et l’esprit.
Et puis, comme un brouillard qui se lève, elle reprend peu à peu conscience, mais elle a quelques difficultés à se repositionner dans le temps et dans l’espace. C’est son amant qui l’y aide lorsqu’elle perçoit la présence de sa formidable musculature sur son dos et ses pattes qui la font sienne.
Son ventre est toujours aussi tumultueux, c’est un volcan qui lui brûle le bas-ventre, son vagin est énorme, mais elle est bien fière d’appartenir à ce merveilleux amant, fière d’accueillir toute sa semence dans son corps, fière de ne faire qu’une avec ce corps puissant, avec cette virilité qui la tient soudée aussi solidement. Leurs deux corps sont littéralement collés l’un à l’autre, ils sont solidaires et ne forment plus qu’un.
Quelque chose s’est passée lors de cet accouplement, une forme de communion a uni la femme et la bête, un lien spécial qu’elle sent fort et qu’elle ne pourra désormais plus ignorer. C’est dans ces biens trop courts instants, juste au point de non retour, que votre âme se perd dans ce mélange de sensations plus sales et vicieuses les unes que les autres.
Au terme d’un temps qu’elle est bien incapable de chiffrer, car elle ne sait pas combien de temps a duré son inconscience. Colette sent son bulbe se dégonfler et sous la pression énorme existante dans son ventre, tout est éjecté. Des flots de sperme s’écoulent sur le sol, lui arrosant les cuisses et les mollets. Colette ressent un sentiment de vide extraordinaire dans son ventre, comme si toutes ses entrailles avaient été expulsées avec le liquide.
Son amant lui donne quelques coups de langue sur sa vulve béante et baveuse et s’éloigne sans un regard pour sa femelle, pour s’allonger aux pieds de son maître. L’homme s’adresse à Mouloud.
– J’ai aussi quelques compagnons très bien montés qui aimeraient lui monter dessus. Mes trois danois sauteraient bien cette chienne ? Clame l’homme.
– On ce calme Monsieur ? Je sais que maître Bertrand offre un catalogue complet de perversité, mais là, cette prestation n’était pas prévue !
-C’est toi qui décides Mouloud. Mais moi, je prends plaisir à voir une chienne se faire saillir par mes compagnons même si ça me coûte cher.
Elle n’entend pas le chien et son maître sortir, elle n’a pas vu Mouloud qui a filmé toute sa prestation. Quand Colette rouvre les yeux, elle est toute seule dans la pièce. Des questions se bousculent à toute vitesse dans sa tête. Quel genre de femme suis je donc ? Même un chien arrive à me faire jouir, pourquoi ai-je eu autant de plaisir ? Qu’est-ce qui vat se passer après ça ?
Cette fois ci Colette prend un bain à la place de la traditionnelle douche. Pendant qu’elle ce prélasse dans l’eau tiède et parfumer, Mouloud vient lui rendre visite. – Aujourd’hui, tu as réussi au delà de tout ce que j’espérais ? Je n’avais jamais vu une femme autant jouir, que cet après midi.
– Dit moi ! C’était bon avec le ? – Oui ? Euh ? C’est spécial ! Je n’avais jamais vécu ça avant ! – Tu sais ma petite Colette, j’ai de l’affection pour toi, ce qui est étrange pour un souteneur. Pourtant j’en ai maqué des femmes pour maître Bertrand, mais tu es la première femme qui me fait cet effet là.
– Tu es aussi la première a subir le compagnon de l’élu national, grand ami de maître Bertrand, qui ignore que son ami viendrait avec son compagnon à quatre pattes et qu’il le ferait participer activement.
– Alors ! Tu as aimé ça ? Hein?
– Oh oui ! C’est incroyable ! Je n’ai jamais connu d’amant qui m’a fait autant jouir. – Si tu veux, Maître Bertrand a deux beaux danois qui seraient heureux de se vider les couilles.
– Mouais ? J’essayerais bien encore une fois pour voir. Mais sans la drogue que tu me fait boire a chaque fois avant que les clients arrivent. – Tu n’as pas peur que je t’oblige à faire des choses que tu ne soupçonnes pas encore.
– Je suis folle, je devrais te haïr, tu as fait de moi une pute, une esclave utilisée comme un animal, que l’on baise et encule sans problème, sans se soucier de mes réactions. Et moi comme une conne je suis tombé amoureuse de mon bourreau ? De l’homme qui me réduit en esclave sexuel en me droguant avec je ne sais quel aphrodisiaque.
– T’es vraiment un salaud, pourtant j’ai envie de ta bite dans mon cul, dans mon ventre, de tes mains sur mes seins, de tes doigts dans mon ventre, t’es vraiment un enculé, un enfoiré qui me fait prendre comme chienne, malgré ça je ne parviens pas à te haïr, j’aime ce que tu me fais subir, t’es vraiment un enfoiré, un souteneur de merde . – Oh oui ! Offre-moi encore des moments inoubliables, comme celui là. Fait moi jouir à en mourir par n’importe quel moyen. Tu es à présent mon maître pour toujours. Je t’aime !
– Tu veux de moi comme maître où Maître Bertrand ? Alors as tu choisi ? Demande t-il en se marrant.
– Je te l’ai dit ce sera toi si tu veux ? Je suis prête à te suivre. Je ne suis pas une gamine, je sais ce que je veux, si tu veux me soumettre, je t’obéirai sans discuter ?
– vrai ?
– Oui salaud. Ta belle pute est à toi, tu en fait ce que tu veux. – Vrai de vrai ?
– Oui ! oui et re oui mon salaud ! ça te plaît de m’entendre te le dire hein ?
– Oui ! Tu vas recommencer encore en t’appliquant, car si tu es vraiment motivée ? Je vais te faire devenir ma propriété, tu te feras baiser par n’importe quoi, mais pour ça il te faudra accepter
toutes les clauses de ta soumission.
– WAAHOUU ? Par n’importe quoi ? Ça mérite réflexion, mais je ne suis pas contre.
– Attention ? Ce sont en général les femmes de forts caractères qui veulent s’engager dans cette voie.
– Ah ? Je suis ce genre de femme alors ?
– A ton avis
– Oui ? Mais pas avec toi ?
– Non. Moi je suis ton salaud qui va te dresser à devenir sa putain docile et soumise. C’est bien ce que tu veux ? Si oui, redis le encore pour que je choisisse en conséquence.
– Oui ! Je veux que tu deviennes Mon Maître, je t’obéirai.
– Écarte ? Offre ta chatte de chienne ,quand tu parles à Ton Maître applique toi, montre moi ta détermination ? Je ne veux pas d’une merde ? Applique toi salope.
Ces mots la giflent ? mais elle ne peut qu’obéir avec en ressentir une excitation décuplée.
– Oui Maître.
Mouloud met deux doigts dans sa chatte. – Applique toi ! empale toi ?
– Salaud ! Salaud ! tu es un salaud ! un bon salaud qui m’a bien mise à sa botte.
Il enfonce ses doigts.
– Soulève toi que je te prenne le cul aussi ?
– Ho ! Oui !Tu me rends folle.
– HHAAAAR ! OUIIII ! Encule moi ! Je veux rentrer souillée, baisée, sans culotte, avec ton sperme encore dans mon ventre.
– AAARRGUU !! Baise moi… Tout,tout, ce que tu veux, tu entends…tout c’est clair…
– Je ferai de toi une putain pour chien…Je pourrais même te donner aux chiens de mes amis sans même que tu puisses rechigner sous peine de me perdre à jamais.
– Oui… Je serai la putain de tes chiens …AAAARRRFFF…. Vas-y… Encule moi… Encule ta pute… j’accepte tout … – Vas-y salope jouit encore une fois avant de rentrer…Joui ma sale pute a chiens !!!
Colette est choquée, mais l’excitation lui fait accepter de le suivre…Qu’est il capable de lui faire vivre ? Autant de perversité à laquelle elle s’offre, soumise, éprise, dont il va profité à sa guise…
– Écarte bien que je te remplisse de mon sperme avant que ce soit des chiens !!! – OUIIIII !!! OUIIII !!!.. Je vais obéir…. OOOOH !! Oui salaud… OUUUUUUIII….
Impensable cette façon de faire porter a Colette la responsabilité de sa perversité mais quelle jouissance de lui obéir de sentir le désir de Lui obéir passer au dessus de sa morale…
– Tu es pire qu’un salaud…Elle écarte les cuisses avec un plaisir inouï.
– Tu vois… Tu mouilles… ça t’excites, tu en crèves d’envie ? dis le, salope regardes toi…
– OUIII !! Tu as raison salaud… vas-y baise ta putain à chiens…
– T u es une pute pour chien ?? Aller dis le…
– OOOOH !! OUIIIII !!! Mon amour… enfile moi…souille moi…fais moi devenir une chienne…
– Tu as raison… je suis une salope pour chien, regarde comme je mouille en te le disant…
– Tu as su découvrir qu’elle la salope il y en moi, telle que je ne le savait pas moi même.
– Alors baise là et sert t’en comme tu le juges bon pour elle et pour toi…
– Je viens salope…. ouvre…Je viens… Je viens…
– OOH !! Oui je viens aussi…. tu me fais trop jouir salaud…
Ils jouissent de concert, dans un brouhaha indescriptible.
– MMMFFFF !! Mon chéri… je suis une femme comblée, je me sens pleine de ton jus et si fière de garder ton jus dans mes entrailles.
Mouloud l’embrasse, d’un baiser d’amour qui lui met le feu au corps et à l’âme. Colette prend conscience que malgré le soupçon de lucidité qui lui reste encore, à compter de ce moment, cet homme pourra faire d’elle tout ce qu’il voudra.
Sam Botte
Ajouter un commentaire