Un an a passé depuis sa rencontre avec cet homme qu’elle ne sait plus situer : Un salaud abominable qui la perverti, un homme comme elle n’en a jamais connu, un homme dont elle ressent au plus profond de ses entrailles la main posé sur ses sens, un homme qui la conduit dans une perversité qu’elle ne connaissait pas.
Colette avance vers l’inconnu, elle ne peut contenir une peur qui la ronge, une peur de ce perdre, une peur de découvrir tout simplement ce que peut être subir une femme... Colette ne sait jamais autant senti femme. Elle brûle, sa libido est en flamme, le regard de Mouloud sur elle a changé du tout au tout, son audace aussi, elle commence à craindre ce dont elle ce sent capable de faire et de devenir pour Lui : une métamorphose telle une chrysalide qui rompt son carcan avant de changer définitivement de vie.
En entrant chez elle, Colette écoute le message que maître Bertrand lui a laisser. Mouloud passera en fin de matinée la prendre pour une soirée entre notable, il lui dicte aussi sa tenue vestimentaire exigée.
La matinée passe très vite,son excitation est à son comble, elle ne peut que penser à ce que maître Bertrand va lui réserver.
Colette a prise un bain pour ce relaxer, elle vérifie son épilation pour maintenir sa peau douce jusqu’à sa vulve qu’elle a rasée l’autre jour, elle est tellement douce sans aucun poil disgracieux, aucun homme ne peut y résister.

Brushing aérien, parfumé, bien maquillée, elle se sent très belle et désirable.
Colette a enfilé un mini porte-jarretelles avec des bas de soie noire, comme convenu elle n’a pas mis de soutien gorges laissant mes seins à l’air libre, ne mettant pas de string car Mouloud exige qu’elle soit totalement nue sous ses robes.
Elle se met devant la glace de la chambre, elle y voit une très belle femme,son corps ainsi orné appelle aux plaisirs de la chair.
Ensuite elle a enfilée comme convenue une robe longue magnifique, fendue très haut sur les jambes, un dos nu descendant presque jusqu’aux fesses avec un décolleté plongeant à faire pâlir une star de la croisette. Cette fameuse robe noire, épouse parfaitement ses formes, comme elle le craignais on distinguait ses seins et les pointes qui s’érigent déjà sous le plaisir naissant, c’est plutôt osé mais c’est maître Bertrand qui le veut ainsi.
Elle a enfin mis ses plus beaux escarpins en vernis noir qui sont venus parfaire sa tenue de femme fatale. Colette attend, là debout dans l’entrée face à la porte, essayant de trouver une logique à la situation ses pensés se perdent dans le vide.
A l’heure dite elle voit la porte s’ouvrir et dans le contre jour Mouloud vient vers elle.
– Je vois que tu es obéissante, croit moi c’est pour ton bien.
– C’est encore plus beau que ce que j’espérais, tu es magnifique et vraiment bandante.
– Nous sommes près, c’est le moment d’y aller.

Il l’accompagne à la voiture, ouvre la porte arrière, malgré sa surprise c’est en s’installant qu’elle a ressentie une autre présence masculine qui dit aussitôt :
– Très, très, belle tu as raison mon ami elle est toujours aussi magnifique.
La portière, coté conducteur claque à son tour, il se tourne vers l’arrière pour le regarder dans les yeux, on peut y lire un désarroi totale.
– Comme ça tu t’es fait baiser par le chien de mon députer, c’est une délicate attention, comment on dit déjà ? Prometteuse, c’est bien le terme, prometteuse. J’ai appris que tu veut soumettre corps et âme a Mouloud !! Je te rappelle que c’est à moi que tu appartient et pour toujours !!!
Lui dit maître Bertrand, tout en glissant sans vergogne sa main entre ses cuisses, il remonte rapidement vers son sexe et avec deux doigts il écarte ses lèvres intimes pour vérifier la qualité de sa liqueur.
– Elle est vraiment à point, c’est son état normal ?
– Oui, monsieur, je pense qu’elle ne vous refusera rien. Colette est là, parfaitement consciente de leur discourt pervers, elle regarde Mouloud avec les yeux aux bord des larmes, elle ce sent trahie, elle est incapable de réagir sauf à éprouver ce plaisir malsain de la soumise consentante.
Elle sent sa grotte d’amour dégouliner sur les doigts qui la fouillent, sa mouille gluante facilite la pénétration jusqu’à la paume de la main. Il force le passage avec un va et vient rapide de l’avant bras qui libère des bruits caractéristiques de clapotis.
– Il me semble qu’elle aime ça, elle a du être bien ramonée car elle s’ouvre vite et plutôt facilement.
Le salaud sait appuyé là ou ça fait mal, en une phrase il m’a transformé en pute soumise, il est toujours aussi pervers et sait y faire.
Il me tapote sa fesse pour qu’elle avance son bassin jusqu’au bord du siège, là il passe une de ses jambes par-dessus la sienne ce qui ouvre plus que largement ses cuisses avec toute son intimité totalement exhibée aux yeux de Mouloud qui ne perd aucune miette de la scène.
Malgré l’envie de ce rebeller, son corps lui est parfaitement réactif au plaisir, les yeux mi-clos, la bouche entre ouverte, elle respire de plus en plus vite, savourant chaque coup de poing dans son puits d’amour gluant, espérant même qu’il puisse enfin transgresser le passage encore trop étroit pour une totale pénétration.
– Cette salope m’excite vraiment, elle est trop réactive, je sens quelle va me bouffer le bras.
Son bassin suit le rythme des vas et vient, appuyant à chaque fois pour qu’il enfonce un peut plus sa main, sa grotte est en feu, dégoulinante de cyprine qui petit à petit lui facilite le passage.
Jamais de sa vie elle n’a ressentie une telle dilatation, sauf une fois avec Mouloud, là il y a ce plaisir outrageant, mélange subtil de douleur et d’envie irrésistible, elle n’est plus une femme mais une simple femelle, ouverte au maximum pour être remplie par n’importe quoi et n’importe qui.
– A la pute… mon poing est entré, regarde comme elle se trémousse.
Le notaire réussi à entrer sa main toute entière dans sa grotte aux délices, Colette regard son poignet planté là dans sa grotte béante, c’est vraiment incroyable tout son corps tremble de plaisir.
Avec tout çà, elle n’a même pas remarqué que la voiture roule, Mouloud suit la scène dans le rétroviseur intérieur, ce qui décuple son plaisir, du regard c’est a lui qu’elle ce donne.
Elle offre son corps à qui le veut, rien que çà l’aurai déjà fait jouir hier encore, mais là avec le bras de maître Bertrand lui fouillant la moule, avec ce regard de défi envers Mouloud, là je ne vous dis pas, l’extase. – Elle est plus longue à jouir que par le passé, tu ne trouve pas ?
– Oui, Maître, elle est commence a avoir de la bouteille.
Ils parlent de Nicole comme d’une banale marchandise, c’est humiliant et tellement jouissif.
– En parlant de bouteille, tient Mouloud passe moi le membre du ricain coca-cola…. Il ouvre la boîte à gants pour en extraire une canette de cola-cola en verre vide, de celle qui font un renflement entre le goulot et le culot et la passe vers l’arrière.
Maître Bertrand retire sa main de sa grotte lui laissant un énorme vide dans tous les sens du terme,
Colette a soudain comme un manque, une vrai frustration, elle voulait qu’il l’enfourne encore et encore.
L’homme la soulève, écarte les pans de sa robe, il la pose sur ses cuisses déjà nues, Colette ressent immédiatement son sexe durci contre ses reins.
Il lui écarte les cuisses de part et d’autre de ses jambes dévoilant de nouveau sa grotte aux délices encore toute gluante.
D’une main il écarte ses lèvres dégoulinantes, de l’autre il pose le goulot à l’entrée de sa caverne. – Allez !!! Empale toi, soit une bonne pute, une bonne chienne !!!
Passé la surprise du contact froid du goulot de la canette et de la nature insolite de l’objet, Colette avance son bassin vers une pénétration en butée avec le renflement de la bouteille, qu’il pousse à intervalle régulier pour élargir encore plus vagin. Cette dilatation inconnue pour elle conjugue à la fois de la douleur et du plaisir.
Elle doit se dépasser pour donner satisfaction à sa volonté de l’enfoncer de force cette bouteille.
Il la regarde, la laisse prendre sa respiration, attend de détecter son relâchement, de voir son acceptation, puis il l’enfonce plus fort, jusqu’à la douleur, jusqu’à ce qu’il sente une limite imaginaire qu’elle ne pourra dépasser. – Parfait… Tu es vraiment une bonne salope… ta chatte est un enchantement… tu vas te la faire baiser comme une chienne… bien ouverte… bien pleine…
Quelques va et vient pour loger confortablement la canette en elle, les bruits de sucions et clapotis liquoreux prouve la bonne lubrification de l’affaire, Colette est aux anges les cuisses largement ouvertes tout en ce délectant de plaisir. Se salaud sait vraiment y faire, en très peut de temps il l’a transformé en véritable salope, jamais elle n’aurai pu l’imaginer, ni même dans ses fantasmes les plus fous.
Ensuite il dénoue sa robe autour de sa nuque, libère immédiatement ses seins aux bouts tendus, de sa main libre il les palpe à tout de rôle, les soupesant et malaxant tel un fruit mur.
– Même ses seins sont des merveilles.
La bouteille bien planter en elle, il la soulève des deux mains, puis avec ses doigts il étale son jus le long de sa raie, la quantité est là, ça dégouline de partout puis il glisse un doigt sur sa rosette.
Colette devine qu’il va la sodomiser elle sent sa corolle s’entrouvrir lentement sous la pression du doigt inquisiteur.
Il entre très facilement, appelant les autres doigts qui se présentent déjà à la porte, deux puis trois doigts dans le cul avec la bouteille planté dans sa chatte, vous auriez vu la scène.
Mais il ne va pas se contenter de me mettre ses doigts, qu’il retire déjà après avoir ouvert le passage, présentant son membre dur et abondamment lubrifier de son jus, il appui sur ses épaules pour entrouvrir la petite porte de ses reins, Nicole sent son membre s’empaler centimètre part centimètre, sans aucune douleur, il l’encule jusqu’aux couilles.
Marquant un temps d’arrêt pour savourer cette victoire, il lui saisit les seins et dit à l’oreille :
– T’aime ça que je t’encule… je le sens que t’aime ça…Tu es à moi a personne d’autre.
Ho… que oui, qu’elle aime ça, elle aime tout ce qu’il lui fait, elle aime être soumise,elle aime être sa pute, leur pute à ses deux Maîtres.
Colette couine comme une chienne, prenant chaque coup de bite pour une récompense, ondulant son corps au rythme de la saillie et appuyant a chaque fois de tout son poids pour mieux sentir cette grosse bite lui labourer les reins. Ses yeux plantés dans ceux de Mouloud, elle sent venir son orgasme de loin, très loin, comme une vague submergeant, un raz de marée, écartelée, ouverte au plus fort de ce qu’elle peut offrir…
– OOOH !!! OUIIIIII !!! Je JOUIIIIIIIII !!!!
Colette sent qu’elle peut recevoir la bouteille, qu’il peut la forcer, elle ne reculera pas.
Il pousse avec la force juste suffisante et régulière pour que sa grotte finisse de s’ouvrir, elle est entré en elle, libérant brutalement la tension de ses tissus qui prirent le diamètre inférieur de la canette avec soulagement, c’est la délectation de sentir entre ses lèvres cette présence imposante mais supportable et plus encore, enfin pleine de la partie la plus épaisse qui occupe à l’extase son vagin qui se contracte avec délicatesse comme pour palper son occupant…
C’est un soulagement, un émerveillement, une récompense, une fierté d’avoir pu lui donner ce qu’il voulait avec un relâchement total de son corps, juste attentif à cette imposante pénétration qui remplit amoureusement sa cavité vaginale en tenant bien ouvertes les lèvres distendues.
Devant tant de plaisir, Colette c’est empalée avec un plaisir immense sur son nouvel occupant, elle a saisie à deux mains le gode improvisé toujours en elle et pendant qu’il l’encule de plus belle elle se laboure la chatte comme une damnée en frictionnant son clitoris pour amener son orgasme si proche à la submerger, a déferler puissamment son ventre.
Malgré son expérience, son enculeur ne peut se retenir très longtemps, il explose dans ses reins en criant, déversant tout son jus dans ses entrailles, elle ressent chaque saccade et contraction de la bite qui la défonce, sentant le sperme chaud couler à flots.
Colette ne peut pas retenir sa jouissance dévastatrice, l’onde de plaisir la submerge des pieds à la tête, étourdissant tous mes sens, elle sue par tous ses pores et sent le sexe à plein nez. Ils sont restés ainsi planté l’un dans l’autre un bon moment, parcourus de quelques soubresauts de plaisir, Mouloud la fixe dans le rétro et semble admiratif de ses exploits.
A quoi s’attendait-il ? Il a mis la dose pour la pervertir et là il semble surpris de la facilité avec laquelle un homme peut l’enculer.
Le sexe ramolli est sorti doucement de son fourreau et toujours en lui palpant les seins maître Bertrand a attiré son visage vers l’arrière pour lui rouler une pelle magistrale, sa langue humide lui carrément fouillé la bouche lui faisant boire sa salive en laissant à peine le temps de respirer.
Colette le voit alors sortir un plug de taille respectable, y cracher dessus, l’introduire d’un coup dans son anus, qui résiste un peu avant de se détendre et d’accepter l’intrusion. Seul le bout aplatit dépasse. Colette ne bronche pas.
– Je n’en ai pas fini avec toi ma salope, maintenant tu appartiens à Mouloud.
Sam Botte
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