Colette au bled
Depuis qu’elle est avec Mouloud, Colette est devenue son esclave sexuel, il lui fait faire tout ce qu’il veut comme l’a fait Me Bertrand et aussi Paul. Mouloud emmène Colette en voyage au bled dans son pays de naissance, il l’a fait baiser par tous les mâles de sa famille et il a une très grande famille.
Et un soir après avoir été baisée par trois de ses soi-disant oncles. Colette est à quatre pattes dans la bergerie, ses deux orifices débordent de sperme, elle s’est abandonnée au bien-être, un des oncles a ouvert la porte pour aller fumer dehors.
Dans son inconscience, Colette n’a pas entendu la porte s’ouvrir. Par contre elle sent un souffle chaud et la langue râpeuse d’un chien qui lui lèche les fesses. La sensation agréable n’est pas nouvelle pour elle.
Colette veut se relever, mais un des hommes lui ordonne : – Reste comme ça a quatre pattes ! C’est ta place de chienne française. On va voir si t’es une vraiment une bonne chienne ? Colette est habituée à obéir, alors elle reste ainsi. Désireuse de voir ce qui va suivre, elle laisse la bête lui lécher l’entrecuisse et même son petit puits d’amour. Le chien récupère de sa langue la mouille qui coule de son vagin.
Colette est positionnée à quatre pattes sur le sol, comme un reflex incontrôlé, tandis que la langue électrise ses puits d’amour, elle cambre bien mes fesses.
D’un coup le chien a sauté sur ses reins, entourant ses hanches de ses pattes. Colette sent le souffle de l’animal dans son dos. L’animal a bien compris qu’elle n’est pas contre, il donne de violents coups de reins dans le vide en tentant de la pénétrer. Colette est très excitée en pensant à ce qui va suivre, elle sent des giclées de liquide chaud s’écraser contre ses fesses et couler le long de ses cuisses jusque sur sa grotte, il y en a même sur son anus.
Trop impatiente de connaître ce plaisir, elle saisit le sexe du chien avec sa main droite pour le diriger vers sa vulve en ébullition. Le gros chien de berger grogne un peu, mais se laisse faire.
La bite est grosse, l’animal excité depuis un bon moment a déjà formé son bulbe. Quand il s’enfonce tout au fond de son puits d’amour d’un seul coup, le bulbe est venu se stopper à l’entrée de sa grotte sans pouvoir y pénétrer entièrement. Le chien s’énerve, il veut aller plus en elle.
Colette sens qu’il lui envoie des giclées de liquide chaud dans son puits d’amour. Sa grosse queue la fait transpirer et lui donne envie de l’avoir bien au fond de son ventre.
Elle cambre bien ses fesses, baisse ses épaules vers le sol pour que le chien puisse aller plus loin en elle. Après quelques minutes, il s’est cramponné à sa femelle avec ses pattes avant, tout à coup, du fait de sa mouille abondante et de la force des coups de rein de son amant, elle se sent pénétrée, écartée. Le bulbe est entré et Colette se sent possédée et remplie comme jamais, tout son appareil reproducteur est dans le puits d’amour de Colette.
Le mâle est maintenant soudé à sa femelle. La femelle sent le foutre canin couler au fond de son puits d’amour. Appréciant la chaleur de ce liquide dans son ventre, Colette pense que c’est bon de se sentir pénétrée par une telle tige qui jute en permanence par de petits jets assez puissants. Elle le crie bien fort, tout le monde peut entendre sa jouissance.
– AAAR ! Oh la vache ! C’est ? Oh ! C’est ? Oh OUII ! Oh! AAAF ! Oh OUII ! AAAH ! Bon chien ! OOOH ! OOOOH putain ! Il me ‘remplit AARRF ! OOOOH ! OUI ! OOOH !
– OOOH ! Oh mon dieu ! Ça grossit encore ! AAAAGN ! C’est ? C’est énorme ! AAAAAH !
Le bulbe a fini de grossir dans son vagin distendu. Colette sent l’extrémité pointue du phallus de son amant, lui chatouiller le fond de son puits d’amour. Elle est transportée par une succession de sensations nouvelles. Son amant s’active dans son ventre. Ses secousses sont vives, rapides. Elle s’accompagne d’une première éjaculation saccadée. La jouissance de Colette déclenche de petites contractions vaginales qui augmentent l’intensité de ses sensations. Puis le chien se bloque et son membre gonflé et raidi libère un flot continu de semence. Colette connaît l’effet produit par ces abondantes éjaculations canines.
– OOOORR ! Oh putain ! Il me remplit le ventre, bordel ! OOOOH ! OUIII ! AAAARGN !
Son amant cherche maintenant à se retirer mais la boule coince. Il enjambe Colette et ils se retrouvèrent cul-à-cul. Elle réussit à attraper une patte pour l’empêcher de partir. Les couilles de son amant frottent contre son clitoris. Son vagin se contracte encore. Il éjacule de nouveau en elle. Il tire pour se dégager, mais la boule coince. Elle réussit à le calmer pour qu’il ne sorte pas. Même s’il a éjaculé, la boule énorme qui lui remplit encore le ventre lui procure des sensations très fortes. Colette jouit en continu.
– OOOOOH ! Oh, c’est bon ! OOOOOH ! AAAAAH ! OUIIIIIIIIIIIIIII ! AAAARRRFF !
Elle reprenait peu à peu ses esprits.
« Je suis folle ! Mais ? Qu’est ce que c’est bon !
Au bout d’une vingtaine de minutes, son amant se décolle de la femelle. De l’ouverture de son vagin, elle sent la semence s’écouler le long de ses cuisses. Après s’être léché la queue, son amant vient lui lécher sa grotte et son cul d’où coule un mélange de cyprine et de foutre canin. La porte s’ouvre subitement à cet instant sur un oncle de Mouloud, qui très certainement a été attiré par le bruit de la saillie. Stoppant net sur le seuil, il laisse échapper le chien, alors qu’un nouveau chien est entré. L’oncle est surpris, mais il comprend très vite ce qui s’est passé en voyant Colette encore à quatre pattes.
L’autre chien vient lécher les deux orifices souillés de Colette. Puis il lui grimpe rapidement sur le dos.
Un des oncles parle en arabes et celui qui vient de rentrer, vient rapidement d’une main dirigée le sexe du chien dans l’anus de Colette encore souillé de leur sperme. Dès qu’il sent l’ouverture, il se colle à elle avec des mouvements encore plus rapides et pressants. Ses pattes arrière lui piétinent les cuisses comme pour monter a une échelle. Sa verge est entrée sauvagement dans ses reins, elle s’enfonce dans son ventre, elle gonfle de plus en plus et chaque mouvement la fait entrer encore plus loin. Sa verge et son nœud sont rentrés facilement.
C’est un peu douloureux, car elle n’a jamais pratiqué ça auparavant avec un chien. On entend ses fesses claquer sous les coups de bassin de son amant et plus cela dure, plus Colette a la sensation qu il va de plus en plus loin dans ses entrailles et sa verge grossit encore.
Quand, il arrête de lui buriner l’anus, calmement il pose sa tête sur son épaule. Colette peut encore sentir ses mouvements et les battements de son cœur à l’intérieur de ses fesses. Elle a la sensation d’en avoir plein le cul, c’est grandiose, indescriptible. Bien plus forte que dans la moule parce que le rectum est plus serré. Elle ressent une folle jouissance au niveau de son anus qui retient prisonnier l’énorme verge du chien.
Colette sent aussi la dilatation de sa verge dans son intestin, elle sent son sexe long et dur marqué de petits soubresauts, son amant déverse son jus a chacun d’eux, elle ressent chaque giclée. Son bulbe provoque un léger tiraillement loin d’être désagréable. Elle est énorme et elle sait que dès cet instant, il leur sera impossible de les séparer. Colette est une chienne une fois de plus et elle aime cela. Elle a deux formidables orgasmes pendant cette sodomie.
Après un long moment immobile sur son dos, son amant descend pour se retourner. Ce mouvement lui est facile, elle n’a pas à l’aider sauf que ses doigts retiennent ses couilles pour soulager un trop fort tiraillement. Maintenant, ils sont cul a cul, collés l’un a l’autre. Colette adore ce moment, elle est sa chienne reliée à lui par cette verge raide, dure et grosse. Il bouge, elle bouge, la soudure est parfaite et solide.
Colette pousse des petits cris et la jouissance la fait sans le vouloir faire quelques pas tirant son mâle comme lui le fait de temps a autre.
Pendant que les deux amants restent collés, les soit disant oncles de Mouloud viennent se faire sucer et s’épancher dans la bouche de Colette. Après ce long moment avant que son sexe redevenu moins gros se détache de son rectum. Elle en boit bien plus qu’au commencement ?
Voila, Colette a son compte de plaisir pour aujourd’hui, enfin, c’est ce qu’elle pense. La saillie terminée, elle se relève rapidement en se rajustant, elle a à peine regardé les oncles qui prononcent des mots incompréhensibles.
Au passage un des oncles lui passe la main aux fesses en faisant pénétrer un de ses doigts dans chacune de ses intimités débordantes de jus.
– Quelle salope ! Lui dit-il dans un mauvais français.
Dix minutes de marche séparent la bergerie de la maison de Mouloud. Comme elle ne porte plus de sous vêtement et en marchant, elle sent le vent refroidir ses cuisses maculées du sperme de ses amants. Sur le chemin du retour, le jus canin s’écoule sur ses cuisses en les lubrifiants. Il est environ vingt heures trente quand elle arrive.
Mouloud est là. Il l’attend comme d’habitude depuis qu’il l’envoie dans sa famille, soulager ses proches. Il l’attire à lui pour l’embrasser et ce faisant met sa main entre les cuisses de Colette, il la regarde l’air interrogateur. Colette lui raconte comme d’habitude sa prestation familiale. Puis, elle lui raconte ce qui vient de lui arriver avec les chiens.
Elle appréhende sa réaction.
– Alors, tu as aimé ta soirée ?
– Oui, j’ai aimé, même si je vais avoir mal partout demain.
– Sûre ? Tu as aimé ?
– Oui. Je me suis fait baiser comme une chienne, je peux même dire que ça fait du bien de se sentir ainsi baisée.
Mouloud se positionne derrière Colette en la faisant courber et sans préambule, il la baise, faisant jaillir de son puits d’amour des reliquats de sperme. Tout en la baisant avec vigueur, très excité, il lui demande de lui décrire les deux saillies dans les moindres détails et ce qu’elle a ressenti quand la pine des chiens s’est insérée dans son boyau.
Après lui voir remplit son puits d’amour, excité comme il est, il la sodomise repoussant plus loin dans ses entrailles le sperme du chien, il jouit une seconde fois dans son ventre.
Ce jour là Colette compris qu’il la fera saillir à d’autre occasion. Que dorénavant, ça va faire partie de sa vie.
Sam Botte
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