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La déchéance de Colette qui devient une pute pour hommes et animaux chapitre 25

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L’orgie est de Retour.

La voiture s’arrête devant un pavillon de chasse.                                                                                  A l’arrière, Maître Bertrand attire le visage de Colette vers l’arrière pour lui rouler une pelle magistrale. Sa langue humide lui fouille carrément la bouche en lui faisant boire sa salive lui laissant à peine le temps de respirer.

– On n’en a pas fini avec toi ma salope, tu sais à présent à qui tu nous appartiens. Colette rajuste sa robe, Me Bertrand descend de la voiture, des chiens aboient au loin, mais ne semblent pas l’inquiéter outre mesure. Le Notaire fait un signe à Mouloud, qui ouvre la portière et fait descendre Colette.  Avec hauts ses talons et le plug dans son anus, elle a une silhouette très cambrée, ce qui avec cette robe la rend très sexy.

Ils entrent tous les trois dans le pavillon, des hommes bien mis les accueillent. Dans la grande salle du pavillon, ils se retrouvent une quarantaine autour d’une grande table. Un repas convivial est prévu, Colette voit bien que de multiples regards d’hommes la détaillent, les yeux brillants d’envie, Maître Bertrand prend les devants en l’invitant à s’installer près de lui.

Le repas est gai, joyeux, l’alcool coule relativement fort, si bien qu’au terme de ces agapes, les convives affichent des visages plus ou moins rubiconds. Des histoires et des chansons de corps de garde circulent. C’est une assemblée essentiellement masculine, Colette est seule avec une autre femme qui se trouve à l’autre bout de la table et le personnel de service. Une jeune serveuse de vingt cinq , trente ans qui a bien du mal, en passant le long de la table, à maîtriser toutes les mains baladeuses d’hommes qui tentent de lui pincer les fesses ou de passer sous sa jupe. Elle a visiblement l’habitude et prend tous ces gestes avec philosophie et humour.

Plusieurs fois, Bertrand pose sa main sur les cuisses de Colette, largement découvertes par sa robe qui a toujours tendance à s’ouvrir plus que de raison et plusieurs fois, il réussit à dépasser la lisière du bas, caressant la chair dénudée et même à lui toucher la vulve.

Vers seize heures, tout est terminé, c’est le branle bat de départ. Embrassades, poignées de mains, à la prochaine ? Enfin le calme retombe dans le pavillon de chasse, seules les femmes de service débarrassent la table. Mais la vaisselle est seulement amoncelée dans la cuisine, elles doivent revenir le lendemain pour terminer l’ouvrage et faire le ménage. Le personnel à son tour prend congé, seule la serveuse reste. Elle s’appelle Marie. Une dizaine de notables sont encore là.

C’est alors que Mouloud, accompagné d’un notable, sort et va verrouiller toutes les ouvertures, portes et fenêtres, en fermant les volets métalliques qui sont cadenassés pour éviter toute intrusion lorsque le local est vide.

Cela fait, ils sont désormais invisibles de l’extérieur et personne ne peut entrer.

Colette ce doute que les choses sérieuses vont commencer.                                                             C’est alors que maître Bertrand, qui semble être le maître en ce lieu, il interpelle Marie et Colette.

–  Allez les filles ! Un strip-tease, un strip-tease !

La demande est reprise en chœur.

Marie vient chercher Colette et l’emmène au centre d’un cercle formé par le groupe d’hommes. Elle l’enlace et l’entraîne dans un pas de danse imaginaire. Au bout de quelques instants, son regard n’ayant pas quitté le sien, elle voit son visage s’approcher, ses lèvres viennent doucement s’appuyer sur ses lèvres, sa langue cherche à s’insinuer à l’intérieur de sa bouche. Cette expérience n’est pas nouvelle, elle a déjà embrassé une femme. Leurs langues se mêlent, les salives se mélangent. Elles ont toutes les deux les yeux fermés et savourent ce baiser saphique pas désagréable.

Un silence total règne dans la salle. Les hommes retiennent leur souffle, des pantalons commencent à se déformer.

C’est alors que Colette sent les mains de Marie descendre dans son dos, elles atteignent son postérieur. Puis, elles se saisissent du tissu de sa robe et entreprennent de le remonter. Après quelques difficultés à faire passer la rotondité de sa croupe, Colette se retrouve avec les fesses complètement à l’air. Elle entreprend de lui masser vigoureusement les deux fesses ainsi exposées aux regards lubriques des spectateurs. Pour ne pas être en reste, Colette entreprend la même manœuvre vis à vis de sa cavalière. Elle a une culotte ?

Colette passe une main sous l’élastique et lui caresse les fesses, à la peau qu’elle trouve très douce. Elle laisse sa main s’égarer dans le sillon et vient lui titiller son petit œillet qui n’a pas l’air de trouver le geste osé.

C’en est trop pour les hommes en rut. Ils fondent sur les deux femmes, qui se retrouvent ballottées, malmenées. En un clin d’œil, elles sont nues. Ils ne laissent à Colette que son porte-jarretelles, ses bas et ses escarpins. Le plug, visible, déclenche une salve d’insanités. Des doigts s’insinuent dans son vagin, fouillant le plus profond possible. Un des notables retire le plug et le remplace par deux de ses doigts. Tous veulent avoir leur part de cette femme qui leur est offerte.

La situation n’est pas pour lui déplaire. C’est avec délectation et délice qu’elle se livre à ces mâles aux mains baladeuses et indiscrètes, à toutes ces bites si fièrement dressées et impatientes. C’est alors la curée, les hommes se jettent sur le premier trou de libre pour les pénétrer sauvagement.  Mouloud peut facilement s’apercevoir qu’à un moment, Colette a deux bites dans le sexe pendant qu’elle en suce une troisième. Et que ce n’est pas fini.

Plusieurs la sodomisent à la suite, la scène est d’une bestialité monstre, les hommes se succèdent les uns aux autres quand ils ont joui dans un des trous du corps d’une des deux femmes. Colette, c’est retrouvée sur le ventre, sur le dos, à quatre pattes, allongée sur un homme dans un sens, puis dans l’autre, mais ceci toujours en ayant un, deux, voire trois sexes enfilés dans un orifice ou un autre ou les deux ensemble. C’est un feu d’artifice de jouissance, de cris, d’orgasmes répétés. Elle est inondée de sperme, il lui en coule devant, derrière, même de la bouche, car elle n’a pas le temps de tout avaler.

Et puis les corps se fatiguent, surtout les couilles des hommes qui n’ont plus le temps de se recharger. Les accouplements deviennent de moins en moins actifs, le silence s’installe peu à peu.

Colette est à genoux, penchée sur une verge dont elle essaye de rendre un semblant de vigueur, une bite vient de quitter son vagin où elle a répandu avec difficulté un restant de sperme, son anus et son sexe dégoulinent de liquide séminal, lorsqu’elle sent soudain une langue râpeuse passer et repasser sur l’entrée de sa grotte. Elle jette machinalement un coup d’œil par-dessus son épaule et voit avec effroi un véritable molosse occupé à lui lécher sa grotte et à laper le trop plein de liquide qui s’en écoule.

Elle voit des hommes qui tiennent une meute de chiens, de type Doberman et Rottweiler. Il y en a quatre autres. Leurs pattes avant sont enveloppées de bandes.                                                            Aussitôt, elle réagit pas question de faire encore entrer des chiens dans la danse !                                           – Ho ? STOP ! Je ne suis pas d’accord ! Mouloud ? Pas comme ça, pas maintenant devant eux ?

Colette n’a pas le temps de se relever, deux hommes la saisissent par les aisselles et l’emmènent sur une table basse. Ils la positionnent la poitrine collée au dessus de la table, les bras attachés aux pieds avant et les jambes aux pieds arrière, de sorte qu’elle présente sa croupe, les jambes écartées.

Maître Bertrand lui dit :                                                                                                                               – Oh là ? Ma belle! Tout doux ? Tu ne vas pas faire ta mijaurée ? Tu es qu’une pute à chiens, c’est toi même qui l’a confirmé à Mouloud. Je t’ai réservé mieux que la bouteille de bière ? Tu vas m’en dire des nouvelles ? Tu t’en rappelleras toute ta vie, crois moi !

Soudain, elle sent le poitrail velu d’un animal se coucher sur son dos, aussitôt ses deux pattes de devant lui enserrent la taille, elle est prise comme dans un étau. Cette bête a une force peu commune, elle est complètement immobilisée contre elle. Bien campée sur ses pattes arrière, elle sent soudain des coups de pistons contre son périnée. Dans des mouvements désordonnés, le monstre cherche à la pénétrer.

Un des hommes assistant à la scène lui vient en aide, car subitement, une barre brûlante se présente à l’entrée de son puits d’amour très bien lubrifié. Sentant l’ouverture, son amant, d’un formidable coup de rein, propulse sa verge au fond de sa grotte, frappe violemment la paroi de l’utérus, ce qui lui fait pousser un râle de surprise. Dans cette position, bien arrimée sur son dos, son amant possède une grande mobilité du bassin. Il entreprend alors de rapides et puissants va-et-vient qui à chaque fois amènent sa monstrueuse rigidité au fond de son vagin, elle  pousse des petits couinements de plaisir.

Le sexe gonfle, gonfle. Il lui remplit désormais toute la cavité vaginale, même plus puisqu’il lui dilate l’organe en repoussant les parois. Puis une boule vient lui frapper la vulve, sa grosseur en bloque la pénétration. C’est alors qu’elle sent son amant prendre du recul avec ses reins et il se propulse avec une violence inouïe au fond de son ventre.

Tout est rentré. Le bulbe se met à gonfler, formant rapidement un frein qui interdit désormais toute sortie de son organe. Elle s’y attendait, car ce n’est pas la première fois. Après durant quelques secondes tout se calme. Contre toute attente, ses organes commencent à s’habituer à cette gigantesque intromission. L’amant sur son dos halète, la langue pendante, des filets de bave s’écoulent sur sa nuque.

Tout à coup, l’énorme turgescence est comme animée d’une vie propre, elle se met à vibrer, lui envoyant des ondes dans la colonne vertébrale jusqu’à son cerveau, son bas-ventre est agité de spasmes, ses organes génitaux s’enflamment, il commence à lui envoyer des torrents de liquide dans ce vagin déjà plus que rempli. Il se dilate encore plus, il repousse les organes voisins, elle sent son bas-ventre gonfler, gonfler.

Soudain, une formidable chaleur lui envahit tous les organes. Colette perd complètement pieds, une jouissance phénoménale l’envahit, elle hurle dorénavant son plaisir incontrôlable, des orgasmes sans fin se succèdent. Elle plonge alors dans un état de demi-inconscience. Elle est désormais une chienne en train de se faire engrosser par son mâle dominateur. Elle devient son esclave, sa soumise.

Le liquide reproducteur continue à se déverser dans le vagin, dans l’utérus, il va ou il veut la féconder. Une joie sans fin l’envahit à l’idée d’ouvrir la voie de ses organes génitaux afin qu’il se libère selon son bon vouloir. Elle n’entend plus aucun son en provenance de son environnement, uniquement concentrée sur cette jouissance fantastique qui la paralyse jusqu’à la pensée et l’esprit.

Puis il se retire dans un grand bruit de succion, un abondant liquide qui s’échappe du sexe de Colette.

Un autre chien remplace le premier, mais cette fois son sexe est guidé dans l’anus de Colette, qui réussit lui aussi à se distendre quand son bulbe se met à gonfler. Là encore, son amant lui remplit les entrailles de sa semence reproductrice. Les trois derniers chiens se succèdent, soit dans son vagin, soit dans son anus, à chaque fois, elle pousse des râles de jouissance. Quand le cinquième chien a monté Colette, elle croit que la saillie est finie, mais en tournant lentement la tête, elle voit l’arrivée d’un âne.                                                                                                                                                        – HO ? Non pas ça ? Mouloud ? Non pas ça, empêche le, il est trop gros ! Mouloud STP ! Mouloud  regarde maître Bertrand qui lui fait un oui de la tête, se reprenant, il fait lui aussi un signe de la tête avec une moue que veut dire : Je ne peux rien y faire ? tu vas y passer.

Les hommes guident son nouvel amant vers le côté de la table où se trouve la tête de Colette. Ils commencent à lui caresser le sexe qui se met à grossir de manière démesurée, en une longue tige dont le bout triangulaire est percé d’un trou. Ils l’approchent alors de la bouche de Colette pour le lui introduire. D’instinct, ses lèvres se mettent en cercle et la pointe de velours bute sur la petite ouverture. Après un dernier regard vers Mouloud, Colette se laisse faire, elle ouvre grand la bouche.

Ses mâchoires sont forcées, ils réussissent à introduire tout le gland dans ce bain de salive. Dans sa bouche, la tête du membre grossit encore entre ses mâchoires distendues. Sa langue tourne autour de cette chair étrangère, ralentie par une poussée en direction de sa gorge. C’est chaud, envahissant, étouffant et bon à la fois. L’amant se met à user de sa bouche comme d’un sexe. Sa salive déborde, le membre glisse de plus en plus facilement, progresse, heurte l’intérieur de sa gorge, il cogne sur une joue à plusieurs reprises, ses lèvres sont à la limite de la rupture. Cela dure cinq minutes, le temps que le membre soit bien dure pour la saillie.

 Puis, ils amènent l’âne derrière elle, il lui pose les pattes sur la table. Elle sent le gros bout qui se frotte sur ses lèvres comme pour apprivoiser sa vulve, une pression et sa grotte s’ouvre pour accueillir la chose.

Heureusement, il va doucement. Le gland est entré, déjà elle se sent remplie, il s’avance tout doucement, il s’introduit, ses chairs sont écartées comme jamais, elles ne l’ont été par une bite, il en reste encore dehors, car elle sent toujours pas ses couilles sur ses fesses. Nicole se laisse envahir sans protester. À force de persévérance, il a remis le feu à ses sens. Ils le laissent s’accoupler bestialement avec la femme.

Colette pousse des feulements de femelle qui se fait saillir, parce que c’est ça dont il s agit, mais que c est bon, maintenant, c’est elle qui aspire le monstre de chair. Elle le veut en entier dans son ventre, d’elle même, elle accélère la cadence. Elle n’y tient plus, ça y est elle sent les couilles taper sur son clitoris, plus un millimètre n’est disponible dans son puits d’amour. Il lui semble qu’il touche son nombril.

Elle est écartelée par ce morceau de viande dur et chaud. Les pointes de ses seins sont brûlantes par le frottement de la table. Dans son ventre, elle sent le mouvement rapide de la bite géante.

Il ahane sur elle, sa gueule s’est refermé sur sa nuque, sa bave et sa chaude haleine lui font un bien fou. En ouvrant les yeux, elle aperçoit les hommes qui regardent son baiseur en plein effort. Il y en a même un qui filme la scène.

Son amant hors norme va et vient, distend les parois de son vagin, va cogner brutalement tout au fond contre l’entrée de l’utérus qu’il force, puis ressort entièrement ensuite, se renfonce dans sa grotte d’amour, son humidité d’amour facilite l’intromission dans la cavité, son gland en forme de gros œuf frotte à l’intérieur de ses lèvres meurtries.

Aux premiers gémissements de plaisir de la femme, son amant multiplie les sorties complètes, suivies de pénétrations puissantes, violentes, il force l’allure, il impose une cadence infernale.  Elle croit qu’il lui perce le ventre, à coup de croupe puissante, le bout du sexe de son amant a ouvert le col de son utérus ce qui augmente la profondeur de son puits fait pour l’amour. Maintenant à chaque coup de reins, les couilles de son amant s’écrasent sur son clitoris et lui provoquent des orgasmes à répétition.

Cela dure au moins vingt minutes quand enfin, elle sent une rivière de liquide chaud gonfler son ventre, cela n’en finit pas, elle le sent couler le long de ses cuisses. Elle n’a jamais ressenti cela, elle continu à jouir sans discontinuer, elle est pleine de sa semence. Enfin l’amant se retire avec un bruit de ventouse, un flot ininterrompu de sperme s’échappe du sexe béant de sa femelle d’occasion.

Colette plonge alors en complète léthargie, entièrement livrée à la jouissance de son amant qui inlassablement continue à lui remplir le ventre de son liquide séminal. Un orgasme continu s’est emparé de tout son corps, de tous ses sens. Elle ne pense plus, toute activité cérébrale a cessé.

Colette est  comme morte.

Elle est effectivement comme morte, littéralement foudroyée par un trop plein de bonheur et de jouissance.

Ce n’est qu’environ quinze minutes plus tard qu’elle donne signe de vie en rouvrant les yeux. De nouveau, elle a bien du mal à se situer. Puis tout lui revient. Son amant c’est dégagé, elle est allongée sur la table détachée, une mare de liquide s’écoule de son vagin, le corps entièrement souillé par ces déjections.

Les hommes sont véritablement dopés par le spectacle qu’elle leur a offert. Ils ont le sexe complètement bandé. Deux d’entre eux sont en train de s’occuper de Marie un peu à l’écart. Excités, les autres s’approchent de Colette, ayant comme dessein de profiter une dernière fois de ce corps si généreux à la jouissance si expansive.

La Colette est retournée sur la table, le premier notable présente son sexe, de taille respectable, à l’entrée de sa grotte béante. Il frotte doucement, presque délicatement son gland sur son clitoris, avant de s’enfoncer d’un coup de toute sa longueur dans son puits d’amour encore encombré du sperme de son dernier amant.

– Ah ! Qu’elle est bonne cette salope, elle est encore chaude !                                                                     Dit il en positionnant ses jambes sur ses épaules.

 Les autres se sont arrêtés pour le regarder quelques secondes, puis ils reprennent leurs attouchements. Un présente sa verge érigée à la bouche de Colette, lui bouche le nez pour qu’elle l’ouvre et l’enfourne immédiatement. Les autres malaxent ses seins, se caressent ou prennent des photos avec leurs portables. Celui qui la besogne lui met maintenant de gros coup de boutoir, faisant tressauter ses pieds à chaque va et vient. Celui qui s’occupe de sa bouche se contracte, il lui enfonce encore un peu plus son membre au fond de la gorge, il décharge sa semence. En voyant ça, celui qui la besogne poussa un râle de jouissance et se repend dans son vagin.

Les deux sont vite remplacés par deux autres et ainsi de suite. Au bout d’une heure de ce traitement, seul le Notaire et un homme n’ont pas pris leur tour. Maître Bertrand a sorti son sexe avec son gros gland, il le masturbe sur toute sa longueur, attendant son tour. Quand le dernier notable prend sa part de plaisir, il place Colette sur le ventre, récupère sur ses doigts du sperme qui s’écoule de manière continue de son vagin, il les enfonce lentement dans son anus.

Son œillet ne résiste plus, il s’ouvre lentement, laissant pénétrer deux doigts, après trois. Colette pousse de petits gémissements, qui peuvent ressembler à du plaisir. Après plusieurs aller retours, il présente son gland et appui de tout son poids. L’anus s’ouvre et l’absorbe l’insertion assez facilement. Une fois le gland passé, l’ensemble du sexe disparaît. A la vue de la scène, plusieurs spectateurs se masturbent, surtout à l’écoute des mots crus qui suivent :

– Alors ? Sale pute, tu ne pensais pas que j’allais t’enculer comme une chienne que tu es. Ça te fait quoi d’avoir dans le fion la bite de ton notaire que tu voulais évincer avec Mouloud, espèce de salope ?  Tu n’es pas au bout de ta peine, Martin te demande ?

Colette semble avoir une réaction, elle pousse des petits cris qui ne peuvent être que de plaisir pour finir par un gros râle de jouissance, quand le notaire se déverse en elle en proférant des insanités. Les spectateurs qui se masturbent jouissent sur sa tête, son visage, s’essuyant avec ses cheveux. Quand le notaire sort son sexe des reins de Colette, un bruit se fait entendre, un flot de sperme jaillit.

C’est alors que Martin défait son pantalon et dévoile une anatomie inhumaine. Son sexe arrive à ses genoux, il doit mesure au moins quarante centimètre de long, si ce n’est plus. Très gros, il n’est pas dressé, car cela semble physiquement impossible. Maître Bertrand éclate de rire en voyant sa surprise, il lui dit :                                                                                                                                     – Je te présente Martin, la nature ne lui a pas fait un cadeau avec ça entre les jambes, toutes les femmes le fuient.                                                                                                                                                        – Je lui ai promis qu’il pourra ce soir sodomiser une femme pour la première fois.

Martin s’approche de Colette, sans dire un mot, tenant son membre à deux mains, frotte son gland sur les lèvres intimes déjà lubrifiées par les éjaculations précédentes.                                                   Martin l’introduit dans le rectum de Colette qui semble aux anges. Rien à voir avec un chien.                            Plus le Martin la lime, plus elle se sent devenir chienne!  Elle râle de plaisir, quand Martin s’enfonce dans ses reins. Aussitôt entré, tout disparaît dans ses entrailles. C’est énorme ? Elle croit qu’elle va déféquer.

– Oui, là, c’est bon Martin ? Dis-moi salope, tu sens sa grosse bite dans ton cul ?

– OOH ! Oui, maître, c’est énorme, ça me remplit le cul, j’ai comme envie de faire.

– Ta gueule salope, ne t’avise pas de chier sur sa bite, sinon je te fais bouffer ta merde !

Il commence alors des va et vient, poussant chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin.

Colette subit les assauts de Martin sans broncher. Elle est défoncée comme elle ne l’a jamais été.    Ce traitement dure une vingtaine de minutes, Colette pousse alors des râles ininterrompus, un liquide transparent jaillit de son sexe, se répand sur ses cuisses et par terre. Lorsque Martin éjacule de longs jets ininterrompus de sperme dans son boyau, elle pousse un cri de jouissance. Elle feule de plaisir. Elle est une chienne, une vraie, amenée au mâle pour une saillie.  Martin continue à la baiser, rivé à son cul. Il continue à décharger. Son rectum est plein de cette grosse bite et de ce jus.

Son ventre tressaute sous les assauts. Elle a l’impression d’être ailleurs, sur une autre planète !

Martin continue de la sodomiser une bonne vingtaine de minutes avant de débander et de pouvoir se retirer.

Tout le monde attend le moment où la queue va sortir, ils sont impatients de voir dans quel état est l’anus de Colette. Quand enfin Martin débande, il se retire du postérieur de Colette, un flot de sperme qui s’écoule de son rectum.                                                                                                                     – Putain autant de jus ? Qu’est ce qu’elle a pris la Colette ?                                                                          – Regarde Mouloud, c’est deux entrées de métro quelle a entre les jambes, tu la veux encore comme femme ?                                                                                                                                                      – Non Maître, je vous la laisse, il y aura de nombreux clients pour une pute à chien !

Épuisée, groggy, elle est proche du coma à cause de l’abus de sexe et de jouissance.                           Avant de partir, maître Bertrand c’est amusé à pendre Colette contre une cloison dans le chalet, les pieds ne touchaient pas le sol, les poignets attachés par des sangles fixées par des vis sur la cloison.

Ses bras étirés par le poids de son corps lui font mal, elle pleure en silence, car elle est aussi bâillonnée.

Elle entend maître Bertrand parler avec un de ses invités.

– On s’amuse bien avec ta putain.

– Elle a une vie en dehors, une famille, un mari je suppose ?

– Oui, certainement une famille, mais elle peut les oublier, il n’est pas question que je la laisse partir.

– Comment tu fais pour la retenir ?

– J’en ai fait une soumise bien obéissante qui ne pense plus par elle-même,  j’ai de bons résultats.

– Lesquels ?

– Je lui ordonne de faire ce que je veux avec qui je veux sans qu’elle se plaigne, je la fais tapiner sans qu’elle ne réagisse et tiens toi bien, elle a des rapports sexuels avec des chiens, comme si c’était naturel et elle jouit comme si elle faisait ça avec un homme.

– Oui, on a vu, je n’en reviens pas que tu en sois arrivé à ça avec elle.

– Avec ce genre de femmes ça m’amuse et surtout ça m’excite de les avilir, les humilier et de voir que je peux les mettre plus bas que terre sans qu’elles se rebiffent.

Mais elle c’est la première qui prenne du plaisir à se faire saillir par des chiens, je ne croyais pas ça possible. Elle a voulu me doubler avec Mouloud, comme lui au moins est un ami fidèle et qu’il m’a prévenu, je lui ai vendu la Colette, il a de nombreux clients friands de zoophilie, elle n’a pas fini de se faire saillir par tous les trous.

La douleur empêche Colette de réfléchir à ce qu’elle vient d’entendre sur ce que va être sa vie dorénavant.                                                                                                                                               De retour chez elle, Mouloud l’accompagne dans la salle de bain.

– Alors, tu as aimé ta soirée ?

– Oui, j’ai aimé, même si je vais avoir mal partout demain.

– Sûre ? Tu as aimé ?

– Oui. Je me suis fait baiser comme une chienne, je peux même dire que ça fait du bien de se sentir ainsi baisée.

– Eh bien, c’était le but. En fait, je t’ai tendu un piège.                                                                            – Quoi ?

– Attends, écoute. Il y a quelques jours de ça, je voulais savoir si tu serais partante pour te faire encore baiser par des chiens. Ensuite maître Bertrand a organisé cette réunion, en leur disant que tu étais ouverte sur plein de choses.

– Salaud ! Alors, tu savais que se qu’il y allait ce passer ?

– Je n’en savais rien. Normalement,  je devais te conduire là-bas sous prétexte qu’il voulait te voir, sûrement à cause de l’incident avec le député.

– Mais quand Maître Bertrand a regardé la vidéo de ta prestation, j’ai tout de suite compris que tu venais de te livrer à lui toute seule et que tu étais chaude. Je ne lui ai pas dit que tu as été saillie aux bled.                                                                                                                                                                       – Je me suis bien fait baiser et dans tous les sens !

– C’est ça,  mais tu as aimé et c’est ce qui compte. Maître Bertrand ne s’occupera plus de toi, c’est a moi que tu appartiens à présent, c’est ce que tu voulais, alors tu n’as pas à te plaindre pour ce soir.

– Tu as raison. De toute façon, je suis trop fatiguée pour me poser ce genre de question ce soir. Tu m’aides à aller au lit ?

– Oui, on y va.

Mouloud la dépose sur le lit, elle s’endort avant même qu’il ne s’éloigne.

Sam Botte

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