Colette change de propriétaire.
Colette se réveille en fin d’après midi, il y a un message de Mouloud sur son téléphone portable.
– Demain huit heure, devant chez toi, nue sous une cape rien en dessous, ni chaussure, totalement épilé, pas rasé, on passe te prendre .
À sept heure cinquante Colette est au pied de son perron, elle a suivi scrupuleusement les ordres donnés. Elle est nue sous une cape, rien en dessous, ni chaussure, totalement épilée.
Une limousine arrive, la porte s’ouvre, on lui ordonne de monté dedans, une fois à l’intérieur, on lui fait quitter sa cape, on lui met un bandeau sur les yeux, la voiture démarre. Le voyage dure à peine trente minutes, elle entend du gravier crissé sous les pneus, on lui enlève le bandeau et la fait descendre, elle se rend compte qu’elle est dans la cour d’un hôtel particulier avec un grand parc.
Une femme lui ordonne de se mettre à quatre pattes, ce qu’elle fait immédiatement, elle lui passe un collier de chien au cou et une laisse, puis on la fait monter un escalier en pierre, cela écorche ses mains et bien sûr ses genoux.
La porte de l’hôtel particulier s’ouvre sur un long couloir recouvert d’un tapis, toujours à quatre pattes, Colette traverse le couloir, arrivé à la porte une jeune femme l’ouvre cérémonieusement.
Elle découvre une salle au décor rococo, avec des gravures représentant des femmes et des hommes s’accouplant avec des animaux.
Un homme, en fait un géant, les attend assis dans un fauteuil, il prend la parole. – Tu es désormais notre esclave, tu subiras tout ce que moi et les autres voudrons, tu seras contrainte de subir sexuellement tous les animaux que nous t’imposerons, tu es à nous désormais, c’est ce qui est prévu dans le contrat de vente avec maître Bertrand. Dit il dans un éclat de rire et il reprend. – Mouloud m’a montré le film de vôtre dernière soirée, tu n’as plus aucune dignité, ils t’ont vendu cher pour une pute à chiens, mais crois moi je vais me rembourser, tu vas payer pour eux.
À ces mots, Colette comprend qu’elle va être sûrement avilie plus qu’elle n’aurait cru. – Une esclave comme toi est là pour le plaisir des animaux et de leurs maîtres et maîtresses, pas le tien et ça nous allons te le faire comprendre, qu’on l’emmène et la prépare comme convenu.
– Je m’en occupe. Dit la femme qui la tient en laisse.
– Je te fais confiance pour ça Nadia.
Elle tire un coup sec sur la laisse, Colette la suit, elle ouvre une porte dérobée, un escalier en colimaçon en pierre descend dans les entrailles de l’hôtel particulier, Colette a du mal à descendre toujours à quatre pattes, une fois franchi l’escalier. Elle se retrouve dans une ancienne cave, avec un grand couloir central avec des alcôves, fermer par des grilles en fer forgé.
Nadia tire sur une grille et fait entrer Colette à l’intérieur, un matelas qui a vécu de meilleurs jours occupe le centre de la pièce, il y a là une chaîne relié par un anneau scellé par terre, un seau rempli d’eau dans lequel trempe une de ces éponges que l’on se sert pour les travaux, avec un seau hygiénique à côté, ce sont les seuls meubles, une caméra au plafond monté sur rail permet de la surveiller et sûrement à certains de la regarder grâce à Internet.
– Si tu penses être là pour ton plaisir, tu vas être déçus, nous avons prévu pour toi un traitement spécial !
Dit-elle, ensuite, elle attache la chaîne au pied de Colette, avant de lui expliquer.
– Tu es bien compris ? Ce qui importe sait le plaisir que les maîtres et maîtresses, auront quand tu te donneras à leurs compagnons à quatre pattes, peu importe que tu en as ou pas ? Dit Nadia.
– Oui Madame, seule le plaisir des Maîtres et Maîtresses compte, moi je ne compte pas. Dit Colette.
À ces mots Colette, est interrogative, elle qui mouille à la moindre exc,itation.
– Je reviens dans une heure. Nadia part en fermant la grille.
Deux heures plus tard, Nadia apparaît dans l’encadrement de la grille.
– Je te plaindrais presque, mais avec ce qu’a prévu le Maître pour toi, tu vas sûrement devenir folle ! Déclara-t-elle.
Colette sent son sang ce glacé dans ses veines.
– Tu sais que ton contrat ne prévoit aucune limite à ce que nous pouvons sexuellement t’imposer, tu ressortiras pas d’ici, nous allons t’asservir psychiquement à l’extrême. Colette répondit : – Oui Madame Nadia, je le sais et je l’accepte.
Nadia, enlève le cadenas qui relit la chaîne au mur et tire dessus : – Suis-moi ? Elles sortent de la cave et se dirigent vers une maison qui doit être l’ancienne conciergerie. Il y a un fauteuil de jardin, sur la pelouse devant la maison. Assis de chaque côté du fauteuil, il y un doberman, et un autre et assit aux pieds du Maître. On dirait une mise en scène pour un film de gangsters.
Il pose les mains sur la tête des deux chiens.
– Nous allons voir si tu mérite le prix que l’on t’a payé ? Je vais t’offrir à un mâle digne de ce nom !
Le chien qui est couché vient la sentir, puis se met à la lécher depuis le nombril jusqu’au coccyx.
– OOUUUCH !Il suffit de quelques minutes pour qu’elle jouisse en haletant et en gémissant.
– Alors ? Salope tu aimes ça te faire lécher par Gamin ?
– Oui, Maître.
– Alors, avant qu’il te monte avec ses frères, tu vas aussi lui faire plaisir.
Nadia prend Gamin par le collier. Lui, il veut la monter, comme d’habitude, mais elle lui dit :
– Laisse-toi, faire, Gamin.
Il comprend ? En tout cas, il se laisse faire.
Elle le pousse pour qu’il se retourne et lève la queue en lui disant :
– Lèche son cul!
– Hein ? Pour tout dire, j’aimerais surtout ne pas devoir faire ça du tout ? – Lèche où Gamin t’encule a sec ?
Colette enfonce sa langue dans son anus. Il remue un peu, ça n’a pas l’air de lui déplaire.
Nadia lui dit :
– Maintenant, lèche-lui les couilles.
Pour lécher les couilles de Gamin, elle doit mettre son nez dans son cul.
Heureusement, comme elle vient de le lécher, il est tout propre de ce côté-là.
Colette lèche les couilles de Gamin. Elles sentent fort, mais il se les lèche aussi à l’occasion.
– Suce-lui la pine ?
Colette se glisse en dessous de Gamin ? Sson sexe est gros, rouge et luisant de sécrétion, pour bien glisser dans la vulve de sa femelle. Si c’est avec elle, ce ne sera pas nécessaire, elle mouille déjà bien, de son côté. Elle a du mal à la faire entrer dans sa bouche. Son goût est spécial, un peu salé.
Le Maître lui dit :
-Tu as envie de te faire saillir par les trois ?
Elle retire le sexe de sa bouche, pour répondre :
– C’est vous qui êtes le Maître. Inutile de prétendre autre chose. Il se tourne vers Nadia en annonçant :
– Je suis sûr qu’elle est toute mouillée, la chienne.
Nadia vient lui mettre trois doigts dans sa moule.
– Elle est trempée ! Le Maître arrive avec Satan et Sultan.
Nadia parle de nouveau à Gamin et elle le fait se coucher sur le dos.
Colette n’a d’yeux que pour cette énorme pine, elle se dis : Je vais avoir tout ça en moi ?
Nadia choisit bien ses mots pour lui dire :
– Chevauche-le et enfonce sa bite dans ta chatte de pute à chien.
Colette est forcée d’obéir, mais, dans ce cas, elle ne doit pas trop se forcer. Elle prend le sexe en main et s’accroupit dessus, elle le fait pénétrer dans son puits fait pour l’amour. Oh vache ? Il la remplit complètement !
– Embrasse le !
Colette se baisse pour l’embrasser. Leurs langues se mêlent, Gamin rentre sa langue baveuse dans la bouche de Colette. Elle sent qu’il y a un autre chien derrière elle, il lui grimpe sur le dos.
Le bout du sexe de l’animal vient lui caresser l’anus ? Il faut qu’elle se décontracte ? Avec sa grotte complètement occupée par Gamin, ce n’est pas facile.
Elle jette un coup d’œil et elle voit que c’est Nadia qui est avec Satan, derrière elle, elle gémit :
– Doucement, Madame ? Il est plus gros que Gamin ? C’est ? AAAIIIEEEE !
Nadia a poussé un bon coup sur les reins de Satan, la femelle est empalée d’une seule poussée !
Son anus résiste, ses deux amants frottent presque leur énorme bite l’une sur l’autre !
Colette voit des étoiles… Elle a l’impression qu’elle va s’évanouir, c’est l’effet que ça lui fait une très grosse pénétration anale.
Mais bon, son cerveau, tout lent qu’il soit, réagit en fabriquant des endorphines. Alors, se forme le message suivant dans son cerveau : Deux chiens te baisent ! Une énorme pine dilate ton vagin, une autre ton cul. Son cerveau ajoute même et tout ça en public !
Mais ce n’est pas tout ! Nadia fait mettre Sultan vers son visage en lui présentant son arrière-train. Elle fait passer son sexe entre ses pattes, ce qui est facile avec un chien. – Ouvre la bouche ? Elle le prend aussitôt en bouche.
Elle fourre le sexe dans sa bouche. Il est tout mouillé d’un liquide qui ne semble pas être du sperme. Le Maître lui tient solidement la tête par la nuque, il lui fait aller et venir sur le sexe.
Sa bouche est pleine aussi maintenant. Quelles sensations ?
Ils sont endurants. Elle est ballottée dans tous les sens par ses amants. Colette jouit rapidement une première fois. Puis ? elle repart presque aussitôt.
En jouissant une deuxième fois, dans son extase ? elle serre sans doute la pine dans son vagin pour que Gamin lui arrose le col d’utérus de puissantes décharges. Ensuite ? Satan jouit dans son rectum, elle sent son ventre gonfler, il jouit abondamment dans ses entrailles. Puis ? Sultan qu’elle suce se met à jouir aussi dans sa bouche. Le Maître lui tient toujours sa tête, pour qu’elle avale sa semence. C’est un goût vraiment écœurant ? Elle laisse tout couler de sa bouche.
Son ventre, ce remplit des deux cotés dans un orgasme incontrôlable, par contre, elle n’avale qu’une partie du sperme qui envahi sa bouche, l’excédent lui coule sur le cou et les seins. – Ouvre ta bouche et tire la langue qu’on puisse voir que tu avale aussi ?
L’homme filme toute la scène, il fait maintenant un gros plan sur sa bouche vide, puis il passe derrière Colette pour faire aussi un gros plan sur ses deux trous ouvert et débordant de semence. Au bout d’un certain temps, le Maître prend la parole. – Bien passons à la suite. Colette toujours à quatre pattes suit sa persécutrice, elles redescendent à la cave, elles entrent dans une autre cellule proche de la sienne.
Au centre trône un fauteuil de barbier d’un très ancien modèle, elle voit Sam, l’un de ses nouveaux maîtres, il la regarde d’un air pervers. Nadia dit : – Sam, je te la confie, je dois préparer la suite ? – Pas de problème, prend tout ton temps, je vais adorer ce que je vais lui faire subir. Déclare t-il. – Monte sur le fauteuil ! Ajoute-il en direction de Colette.
Celle-ci s’exécute sans tarder, ne voulant pas aggraver sa situation. Aussitôt qu’elle est assise, Sam lui passe des sangles à la hauteur des avant-bras, aux bras, qu’il relit aux accoudoirs. Puis sur le haut de la poitrine, puis en passe une sur le front qu’il ferme derrière l’appui-tête, ainsi sanglé, elle ne peut plus bouger la tête ni la poitrine, pas plus que ses bras.
L’homme pousse un chariot vers le fauteuil, Colette ne comprend pas bien, il y a dessus tout le nécessaire du parfait coiffeur, rien de plus, rien qui puisse lui faire peur, mais elle a appris à se méfier depuis qu’elle est dans ces lieux.
L’homme prend une paire de ciseaux et entreprend de lui couper les cheveux, qui tombent au sol par grosse touffe, elle comprend alors, qu’il va la tondre. Effectivement Sam confirme ses craintes.
– Pour commencer, tu vas être tondue, mais tu verras, je ne vais pas m’arrêter à ça ! Tu as pas idée de ce que Le Maître a prévu pour toi.
Quand le plus gros des mèches sont tombées, il prend une tondeuse et entreprend de finir de la tondre, il fignole au rasoir, une fois qu’il a fini, il met des gants épais, passe sur tout le crane une crème.
– Cette crème va brûler les racines, papilles et follicules, plus rien ne repoussera jamais ? Il éclate de rire. Puis il entreprend de raser aussi les sourcils, il y applique la même crème. Il passe de la crème sous les aisselles, le pubis, la vulve, partout où il peut accéder. Si au début Colette ne ressent rien, rapidement une chaleur d’abord douce et diffuse, après, de plus en plus forte et enfin carrément brûlante, elle hurle une fois de plus de toutes ses forces.
Elle pleure, si au début de la tonte, elle s’est une nouvelle fois sentie humiliée, le fait de rester ainsi à vie l’horrifie.
Au bout d’un certain temps, Sam reprend la parole. – Bien, passons à la suite.
Colette comprend qu’elle n’en a pas fini avec lui.
– Je vais te tatouer sur le front, Femelle pour tous, avec un as de trèfle de chaque côté, si un signifie que tu aimes les chiens, deux signifie que tu es la femelle de tous les animaux !
Sam éclate alors, d’un rire franc et massif.
Colette éclate alors, en sanglot, elle ne supportera pas que l’on la voit ainsi, elle ne pourra plus jamais sortir d’ici, elle n’osera pas s’exhiber ainsi, elle devra vivre ici désormais.
La brûlure de la pommade s’est estompée, vient celle du tatouage. Sam commence à tracer soigneusement les lettres en gros caractère, avec un pistolet, ce que ne sait pas Colette, c’est qu’il est un tatoueur professionnel, qu’il a eu plusieurs récompenses internationales pour son art.
Petit à petit le texte prend forme, une fois qu’il a fini, il tatoue une carte à jouer avec l’as de trèfle, de chaque côté du texte, cela prend environ une heure.
– Bien, je suis très content de moi, j’ai fait un bon boulot ? La suite, c’est Nadia qui va s’en occuper. En disant ça, il appuie sur un bouton. Après quelques secondes, Nadia entre dans l’alvéole. – Superbe Travail, tu es vraiment doué Sam. Déclare t-elle – Tu lui as montré le résultat, elle a vu à quoi elle ressemble ? Demande Nadia. – Non, je ne voulais pas te priver de ce plaisir, quand elle verra que sa déchéance est encore plus prononcée ? Lui dit Sam.
Il tire sur un cordon qui dévoile au plafond un miroir légèrement incliné, qui fait que Colette voit parfaitement ce qu’elle vient de subir. L’horreur totale de la chose lui apparaît, l’avilissement est tel, qu’elle pense, que jamais plus rien ne pourra l’avilir plus, elle se trompe une fois de plus. Elle a déjà plus de dignité, son âme est brisée, dégradée ainsi, elle n’est plus qu’un pantin. – Tu vas subir ta dernière épreuve, nous allons voir si tu vaux le prix que l’on t’a payé. Explique Nadia.
Colette n’en revient pas, que va t’ont encore lui faire subir ? Après tout ce qu’elle a subi, elle n’aurait jamais pensé que l’on puisse encore, allez plus loin dans l’asservissement, pourtant c’est ce qu’il va se produire. Nadia la détache, lui ordonne de se lever et de la suivre, elle le fait sans penser, sans réaction.
Docilement, elle suit Nadia dans l’alvéole mitoyenne.
Elle la fait mettre à genoux et se pencher en avant sur un banc, un montant est rabattu sur le bas de ses reins, des sangles lui maintiennent le torse, ses chevilles sont fixées par des annaux au sol.
– Je vais commencer par te dilater, la chatte, puis je m’occuperai de ton cul. Lui explique Nadia.
Elle sent un objet froid de bonne taille s’introduire dans son vagin, il la remplit entièrement, une fois au plus profond de son orifice, elle entend un bourdonnement, Nadia a mis la machine en marche, l’objet froid est un gode très particulier, il est composé de segments qui s’écartent les uns des autres écartant les parois vaginales de plus en plus.
Le gode élargit toujours les parois vaginales, Colette ressent de plus en plus de la douleur, jamais elle n’aurait cru que son vagin peut être distendu ainsi. Désormais une main pourrait entrer sans problème, mais l’engin continue à élargir inexorablement les parois. Quand l’engin arrête grossir c’est pire, il se met à faire des va et vient, cela dure encore un bon quart d’heure.
– Bien, a l’anus maintenant.
Dit Nadia, toujours avec le gode dans le vagin, Colette sent que l’on introduit sans ménagement également un objet dans son anus, celui-ci ne la pénètre pas profondément.
Elle sent qu’il grossit aussi rapidement. – Celui la, je vais t’expliquer à quoi, il va servir, tu vas être élargi d’un diamètre de vingt centimètres
Dans une heure, nous allons voir si tu donnes du plaisir à tes clients et tant pis si t’as pas plaisir. Clame Nadia sur un air moqueur. Colette reste dans cette position durant une heure, son puits d’amour déborde de cyprine, mais elle n’a pas joui, la douleur a coupé la montée du plaisir.
Nadia retire le gode qui a dilaté son vagin et lui dit d’un ton ironique : – Ne bouge pas, je vais chercher celui qui va te baiser.
Quelques minutes plus tard elle revient en disant : – Je te présente Jumping, dit-lui de te baisée ? Colette voit un superbe cheval, elle comprend mieux tous ses préparatifs, vaincue elle déclame : – Jumping baise moi ? Nadia ce met en colère et hurle. – Tous les mammifères sont tes maîtres, tu es leur femelle, comment oses-tu l’appeler ainsi ?
L’étalon hume l’air, les naseaux frémissants. Il renifle l’odeur d’une pouliche en chaleur. Ou alors, son odorat lui joue des tours. Et pourtant, cette odeur délicate de vulve en chaleur, vient bien de cette bestiole sans poils. Nadia lui murmure : – Laisse toi faire, tu vas voir, ça va être bon.
Sam prend l’énorme bite du cheval, il l’approche alors de la bouche de Colette pour le lui introduire.
Conditionnée, elle ouvre grand la bouche. Ses mâchoires sont forcées, il réussit à introduire tout le bout dans ce bain de salive. Dans sa bouche, la tête du membre grossit encore entre ses mâchoires distendues. Sa langue tourne autour de cette chair étrangère, ralentie par une poussée en direction de sa gorge. C’est chaud, envahissant, étouffant et bon à la fois. L’étalon se met à user de sa bouche comme d’un sexe.
Sa salive déborde, le membre glisse de plus en plus facilement, progresse, heurte l’intérieur de sa gorge, ses lèvres sont à la limite de la rupture. Cela dure cinq minutes, le sexe de l’étalon grandit et devient un très gros cylindre avec une ouverture ronde décentrée, là où est le gland chez les humains, il est prêt pour la saillie. Le cheval hennit ! Il veut monter la bestiole sans poils ! Sam amène la bête derrière Colette, il frotte la bite du cheval contre la vulve de la femelle.
Colette sait ce qui va suivre. Seules ses fesses et ses jambes bien écartées sont à la disposition de l’étalon. Il connaît ça, il en a déjà baisé des pouliches en chaleur.
Jumping se cabre et pose ses pattes avant sur les bords du banc. Son énorme membre est juste se positionner devant la vulve de la femelle qui a été longuement et douloureusement préparée à cette saillie, l’heure précédente, grâce à un godemiché de plus en plus en gros.
On peut lire sur son visage, que Colette est terrorisée à l’idée de se faire pénétrer par un cheval. Le gros godemiché qu’on a utilisé, ne faisait pas la taille du sexe du cheval. Ceci afin qu’il y ait une réaction de sa part.
Ça y est, tout à coup son visage se déforme, au cri de YHA ! Elle pousse un cri. – AAAAAAAAAHHHHRRR !
La dilatation de son vagin est tellement forte, qu’elle s’évanouit. On avait prévu ça, Nadia lui fait respirer quelque chose ? Elle retrouve ses esprits et la douleur dans son vagin écartelé. Elle se remet à crier. Un peu moins fort, a sa grande surprise elle commence à mouiller. Le cheval baise consciencieusement la femelle sous lui. Son dos est agité de frémissements. – OOH ! HUM ! OUIII !! C’est bon, OOH n’arrêtez pas, Maître Jumping baisée votre Jument, c’est bon, je vais JOUIIIIR ? Puis petit à petit le plaisir monte, elle a un orgasme et encore un autre.
Enfin, l’épreuve de Colette s’achève. Le cheval hennit, donne un coup de reins, qui manque de faire basculer le banc, il jouit en envoyant des quantités de sperme qui jaillissent de la vulve de Colette.
Elle est de nouveau à moitié inconsciente. Nadia lui fait renifler une bouteille à nouveau.
L’étalon repart comme un mâle qui a fécondé sa Jument. Il laisse sa pouliche avec une vulve complètement ouverte qui laisse s’échapper une traînée de sperme.
– Comme tu as mal demandé qu’il te baise, pour ta punition tu vas te faire enculé. Colette ce dit, au point, où elle en est, qu’elle peut poser une question ? – J’ai peur Madame, c’est gros un cheval ? – C’est pas un cheval, c’est un jeune taureau. – Un ? Taureau ? Il va me perforer, me tuer ? Madame ! S’inquiète, Colette terrifiée.
-Tu es folle ? Ils ont une bite moins grosse que les chevaux. Celui-ci doit en avoir une de trente centimètres cinq environ.
Avec toutes les bites que tu t’es déjà prise dans le cul, tu ne risques rien ?
Dans le cul ? Un taureau dans le cul ? S’interroge Colette.
Nadia enlève le gode anal, elle lui masse l’anus avec une pommade à base de sécrétion de génisse en chaleur. L’odeur est fade et répugnante. Elle lui donne une bonne claque sur les fesses en disant : – Prête à te faire monter ?
Colette voit arriver le taureau, il est de taille moyenne et noir, un peu comme les taureaux qu’on voit dans les arènes. Sam le conduit par un anneau passé dans son nez.
La pommade que Nadia a mise sur son anus affole le taureau. C’est comme si Colette est un aimant puissant et qu’il est en fer. Il fonce sur ses fesses, les reniflent abondamment, elle sent son souffle puissant.
OOOH ? Il lui lèche, toute la vulve et la raie des fesses avec sa langue râpeuse.
Hélas, c’est un mâle et il bâcle, il veut me la monter.
Deux hommes viennent aider Sam à placer les pattes du taureau sur les bords du banc.
OOUCH ! Colette sent sa bite entre ses fesses. Elle n’est pas énorme ?
On met le bout de son sexe contre son anus. Elle se dit : Ne te contacte pas ?
ARRGUU! Un coup de reins et la bite lui traverse de l’anus. Il s’enfonce loin dans ses reins ?
Elle pousse un cri perçant. – AAAAIIIIIIIIII ! Son anus est affreusement distendu, mais il tient bon.
Le taureau ne la baise pas à toute vitesse comme un chien, mais lentement et à fond, à chaque fois, ses grosses couilles viennent taper sur son clitoris.
Colette ne crie plus à chaque fois qu’il pénètre en elle. Les sensations de plaisirs de Colette sont portées encore plus à son paroxysme. – AAARRRFFF ! OOUUIIIII ! BOONNNN !
Nadia se penche à son oreille pour lui dire : – Tu aimes te faire défoncer par un taureau, par un cheval aussi, tu seras une bonne pute pour les bestioles que vont te saillir. Tu seras filmé comme aujourd’hui, tu vas nous rapporter gros ! – Hein ? Tu aimes ça les bestioles avec de grosses bites qui te défonce, t’en veux encore ?
– OOUIIII ! Défoncez moi le cul, c’est BOONNN ! Je suis une génisse, une jument, une chienne, tout ce que vous voulez, enculé moi à FOONNND ! OOUUIII ! J’aime les grosses bites !
Colette dégouline littéralement de cyprine, elle a un orgasme tel qu’elle n’en a jamais connu, un jet sort de son urètre, elle n’a jamais été avant une femme fontaine, c’est fait désormais.
Elle sent que ça va lui coller à la peau ? Colette jouit aussi avec un taureau. Elle s’évanouit de plaisir.
À son réveil, elle est dans son alvéole, elle prend une longue douche. Pendant que l’eau ruisselle, elle se tripote le cul. Son anus réagit immédiatement, il s’ouvre. Elle est vraiment une grosse salope anale maintenant. Jouir du cul est beaucoup plus intense, elle en est accroc. Ils peuvent exiger quoi que ce soit, elle sait qu’elle obéira dans l’espoir de se faire à nouveau baiser comme hier soir. Elle est vaincue, avilie, elle n’est plus une femme, elle est devenue une femelle qui se fera saillir que par des mâles à quatre pattes, elle sait que ce sera désormais sa vie.
FIN
Sam Botte
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