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La déchéance de Colette qui devient une pute pour hommes et animaux chapitre 3

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Colette se livre

Après avoir fini leurs verres, ils regagnent l’hôtel où le réceptionniste leur donne la chambre trois cent vingt.

— Troisième étage à droite, bonne nuit monsieur-dame.

Paul commande le petit-déjeuner en chambre, pour sept heures trente.

L’ascenseur les conduit vite à destination. La porte s’ouvre sur un petit salon avec un canapé, minibar, télévision, la chambre attenante avec un grand lit, est belle, spacieuse, meublée avec goût.

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A peine arrivés, Paul saisit Colette par les épaules, il commence à l’embrasser dans le cou.

— Vite… déshabille-toi… montre moi tes charmes ?

Le ton n’admet aucune contestation. Colette dégrafe son chemisier, le fait glisser.

Encore une fois, il l’embrasse dans le cou et prestement, dégrafe son soutien-gorge.

Le soutien-gorge atterrit sur le canapé. Paul empoigne ses seins à pleines mains et se met à les peloter, tout en continuant à l’embrasser dans le cou. Sa main descendit vers le ventre et s’insinue sous la jupe. Il caresse la toison et commence une lente masturbation.

— AHH !

— Oui ! tu aimes !

— Allez ! enlève ta jupe ! Et le reste.

Colette la fait glisser accompagnée de son string, une jambe, puis l’autre elle enlève le tout. Elle se retrouve à présent nue, n’ayant plus que ses bas et ses escarpins. Il la regarde sans discrétion, elle se sent gauche, ainsi nue devant lui :

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— Tu ne t’épiles pas la chatte ?

Colette qui s’épile elle-même le minimum, pour le maillot l’été, est interloquée !

— Eh bien ! Non.

— Pour la prochaine fois, tu te feras faire le ticket de métro très fin, c’est ce que je préfère ! Dit Paul.

Colette n’a encore jamais pensé à une prochaine fois ?

— Mais mon mari ?

— Tu lui diras que tu as fait ça pour essayer, de toute façon, il ne s’en plaindra sûrement pas.           Répond Paul.

Colette avale sa salive :

— Oui.

Elle, la femme pleine d’assurance, elle se laisse traiter par cet homme comme sa chose et cela ne lui déplaît pas…

Paul défait sa fermeture éclair, et extrait une bite énorme, accompagnée d’une grosse paire de couilles.

— Mon dieu, s’extasie Colette, quelle est belle !

— Vas-y, prend la encore dans ta jolie bouche.

Colette décalotte la queue du bout des lèvres et l’englouti dans sa bouche. Elle a du mal à contenir les énormes testicules de Paul au creux de sa main. Au bout de dix minutes, elle arrête sa fellation.

— J’en veux plus, mettez la moi dans ma grotte maintenant. Gémit-elle,

— Non ma chérie, sois patiente, je veux que tu me dises que tu as envie de tromper ton mari avec moi

Colette excitée saisit la nuque de Paul, et lui prend les lèvres.

— Vous voulez que je vous supplie de coucher avec moi ? C’est ça ? Que je vous implore de me faire l’amour, vous n’êtes qu’un ?

Paul la prend par le cou, l’entraîne dans la chambre, la couche sur le lit et l’embrasse. Elle ouvre ses lèvres pulpeuses, et répond au baiser, elle se retrouve jambes écartées, offerte aux mains vicieuses de Paul. Colette passe une main derrière la nuque du quinquagénaire.

— Qu’est-ce-que vous allez me faire salaud ? Regardez dans la position que vous m’avez mise ? Ma petite grotte est toute ouverte, elle baille d’envie. Râle Colette.

— C’est pas bon de se faire doigter le bouton ? Tu sens comme je te l’ai décalotté, comme je te fais mouiller, ton mari te le fais ça ?

— Oh non, il ne me gratte pas la moule comme vous le faites, ni mon clitoris, j’ai envie de vous, s’il vous plaît, faite moi l’amour. Gémit elle.

— Tu sais quoi, je n’ai pas bien entendu. Réclame Paul.

— Oh non ! Ne m’obligez pas à redemander ça ? Vous voyez bien que j’ai envie de vous.

— Je sais ma chérie que tu as besoin d’un bon coup de queue, mai ça dépend de toi.

— Vous êtes sans pitié ? S’il vous plaît Paul, j’ai envie de tromper mon mari avec vous, mettez moi votre grosse bite dans ma grotte.

Paul se lève et se déshabille. Colette reste admirative devant les énormes attributs. Les couilles bien pleines, la queue tendue au maximum. Paul s’assied sur le lit et demande à Colette de le chevaucher.

— Je suis très étroite et vous êtes beaucoup trop gros pour ma…

Pas le temps de terminer, il pousse sur ses épaules, elle sent son gland la pénétrer et écarter son sexe. Elle s’empale sur le calibre en poussant un long gémissement. Ça y est, elle a franchi le pas, cet homme qu’elle connaît à peine est en elle, c’est absurde, mais cette idée l’excite. La sensation est étrange, elle ne peut réprimer un gémissement de bonheur, elle se sent plus remplie que d’habitude, son sexe est différent, plus gros, plus long, c’est très agréable.

— Oh mon dieu, que de temps perdu. Mon pauvre mari, si tu voyais la bite que j’ai dans ma grotte ? C’est autre chose, hum ! ça c’est du mâle ! Gémit-elle.

Elle est distendue au maximum avec une petite douleur. Elle a l’impression de me faire dépuceler une seconde fois. Elle ce l’enfonce au fond de son vagin et commence des petits va et vient. Puis elle devient plus active. Elle se cambre sur la bite qui la fouille, en envoyant de violents coups de rein. Paul la tient par les hanches, suce les seins durcis par le désir.

— Quelle furie ? Comme tu bouges ton cul !

— C’est ta faute, le tutoie-t-elle, j’avais tellement envie de faire l’amour, je suis rarement et tellement mal baisé !

Soudain, Colette ferme les yeux, hurle de plaisir. Elle a un orgasme, puis un second et enfin un troisième. Sa bite est tellement bonne. Il lui dit en rigolant.

— Arrête de jouir, ça fait trois fois.

 Elle continue à se pilonner, il lui met un doigt puis deux dans son anus en jouissant.

— Han ! que c’est bon de se vider les couilles, je savais que tu es bonne, ton mari ne se sert pas de toi comme ça ?

— Hum ! Non ! C’est meilleur avec toi, que c’est bon, j’en veux encore, je veux tout faire avec toi.

— Jusqu’où es-tu prêtes à aller ? Je t’ai baisé, tu m’as taillé une pipe, tu as tout avalé, tu sais ce qu’il reste ?

— Oui, soupire Colette, je suis toute à toi, même si ça me fait peur, je veux que tu sois le premier.

— Je te promets d’aller doucement, mets toi à quatre pattes sur le lit, je vais te prendre en levrette.

Elle obéit et se place de manière à lui offrir ses fesses comme une offrande à son maître.

Paul se penche entre les cuisses de Colette, lui lèche la chatte. Il récupère du bout de la langue leur jus qui en sort, qu’il dépose sur son petit trou.

— Hou… ça aussi il ne me l’a jamais fait, c’est bon de sentir ta langue sur ma corolle vierge.

Il commence à lui mettre un puis deux doigts, dans la chatte. Paul entre jusqu’à quatre doigts sans aucun problème. Paul profite que ses doigts sont couverts de sperme pour aller explorer plus haut ? Il badigeonne le petit trou vierge de Colette, avant d’y enfoncer une première phalange. Le doigt s’enfonce progressivement jusqu’au fond, ressort pour replonger plusieurs fois. Lorsque le mouvement devient plus aisé, il en rajoute un deuxième, puis un troisième.

L’anus de Colette est maintenant bien élargi, elle semble d’ailleurs à présent réagir à la puissante pénétration, d’autant que Paul lui doigte aussi le clito de plusieurs doigts. Ainsi sollicitée des deux cotés, c’est une grande première pour Colette qui commence à donner des signes évidents de plaisirs et bientôt, elle commence à haleter pour finalement avoir un autre orgasme.

Au bout d’un moment, Paul la fait se cambrer et pointe son énorme queue contre sa petite porte. Il commence à enfoncer le gland dont la taille semble encore bien trop importante malgré le passage de ses doigts. Colette sentant l’intrusion, essaye de se dégager, en vain, elle ouvre la bouche sans qu’aucun cri ne sorte alors que le membre force le passage. Au bout de quelques secondes, sous la pression, le sphincter cède et le gland pénètre en s’enfonçant de quinze bons centimètres.

Colette crie en se faisant dépuceler l’anus, mais Paul trop excité par ce dépucelage, continue à s’enfoncer encore jusqu’au deux tiers de sa longueur. Il reste sans bouger laissant sa maîtresse s’habituer au corps étranger.

— Oh putain ! C’est vrai qu’elle est grosse, j’espère que tu ne m’as pas déchire ?

Paul glisse une main entre ses cuisses et très doucement, il commence à caresser Colette, au début seule la douleur est présente, il faut un bon laps de temps avant qu’elle ressente les bienfaits de ses doigts de magiques sur son clitoris, petit à petit, elle a moins mal et petit à petit, elle sent une douce chaleur l’envahir.

Sous l’effet magique de ses doigts, elle ce met à gémir à onduler d’avant en arrière, son anus se dilate de plus en plus, lui ne bouge pas, c’est elle qui se sodomise sur sa queue dure comme du bois, alors l’orgasme clitoridien l’emporte, ses mouvements deviennent de moins en moins coordonnés. Petit à petit, les gémissements de Colette s’estompent, laissant place à des plaintes plus rauques venant du fond de sa gorge, qu’elle n’avait jamais poussée et qui d’évidence ne sont pas dues à la douleur.

D’ailleurs son anus reste ouvert même quand la bite de Paul ressort, la pénétration devient de plus en plus aisée, ne rencontrant plus aucun obstacle. Cependant, si le diamètre ne pose plus de souci, la longueur en pose encore. En effet Paul enfonce que les deux tiers dans les reins de Colette, il bloque au niveau d’un sphincter et il n’arrive pas à s’enfoncer totalement.

Paul reprend l’initiative, il fait ressortir complètement sa queue pour la replonger immédiatement. Il recommence la manœuvre plusieurs fois, provocant des râles de sa maîtresse. Arrivé au point de blocage, il recommence à pousser, sans réussite au départ, puis tout d’un coup les dix centimètres restés dehors disparaissent au fond des entrailles de Colette qui pousse un couinement de jouissance et de douleurs mêlées.

Arrivé à ses fins, Paul se met en mouvement lentement, prenant soin de toujours se renfoncer totalement pour assouplir le boyau récalcitrant.

Colette est méconnaissable, bouche ouverte, mais muette, devant cette sensation nouvelle et qui bouleverse tous ses sens, sentant monter quelque chose d’inconnu le long de sa colonne, quelque chose qui va bientôt la faire hurler de plaisir. Les cris rauques recommencent à sortir de ses lèvres, de plus en plus forts au rythme de la cadence et de l’amplitude des mouvements de la bite de Paul qui ressort de plus en plus loin avant de replonger dans les profondeurs anales de Colette.

Il commence à la pilonner de plus en plus violemment, ressortant parfois de son anus qui forme à présent un rond d’un diamètre de plus en plus large, puis replonge pour s’enfoncer sans résistance jusqu’au fond de ses riens.

Colette semble entrer en transe, elle se met à hurler sa jouissance en se cabrant, un liquide transparent se met à gicler de sa grotte tandis que son amant redouble d’ardeur. Le corps de Colette est couvert de chaire de poule devant tant de jouissance, elle halète et crie son nouveau plaisir, allant au devant du membre qui lui ouvre les fesses de plus en plus profondément.

Paul ce met à rugir et commence à éjaculer tout au fond de son ventre. Elle sent cette chaleur qui vient en elle, elle comprend qu’il éjacule. Pendant un temps qui sparais très long, il se vide, lui remplissant les entrailles sans discontinuer.

Ils restent là, inertes, collés l’un à l’autre, savourant leur jouissance respective. Colette a le sourire béat de l’amoureuse satisfaite. Dans un moment de conscience, elle rompt le silence.

— Tu n’as pas mis de préservatif ? Par deux fois tu t’es répandu dans mes puits d’amour, mon mari n’a jamais pu le faire, tu m’a comblée mon chéri.

— Tu n’as rien à craindre ! Je fais un test de contamination après chaque rapport extraconjugal, pour le reste je prend ce qu’il faut pour satisfaire mes partenaires.

— Tu en as tant que ça des partenaires ?

Paul se penche vers elle.

— J’aimerais beaucoup que tu deviennes ma maîtresse, que tu m’appartiennes.

— Tu n’es pas heureux avec ce que l’on a fait ?

— Si, bien sûr, mais je voudrais aller plus loin avec toi. Si tu m’aimes, il faut que tu acceptes. Tu aimes être soumise même si tu n’en es pas consciente, tu es faite pour obéir pour que l’on se serve de ton corps pour le plaisir, c’est dans ta nature. Et puis tu sais, j’ai besoin de ça. Si tu ne veux pas, tant pis, j’irai voir ailleurs si je peux en trouver une plus docile.

— Oh ! Non, s’il te plaît ? Je veux être ta maîtresse et plus encore, je ferais n’importe quoi tout pour toi, ordonne et j’obéirais. Je t’aime mon amour, tu es mon maître. Je ferai ce que tu voudras.

— Moi aussi, je t’aime, c’est ce que l’on appelle le coup de foudre !

Sam Botte

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