Début de soumission
Colette ignore que des changements s’opèrent au plus profond de son être, bousculant l’ordre établi, la menant vers une nouvelle façon d’appréhender sa vie.
— Mon premier ordre, le voilà ! Tu vas te masturber pendant que je prends une douche ? Je veux t’entendre jouir de la salle de bain.
Colette reste statique ?
— Eh bien ? Qu’est-ce que tu attends ? Tu m’as dit : Ordonne j’obéirais, alors obéie ! branle-toi !

La main de Colette descend vers son bas-ventre, il est suintant de leur jouissance. Elle commence à se caresser doucement.
— Voilà, c’est bien, branle toi le clito !
— Je vais me doucher, je laisse la porte ouverte, je veux entendre ton plaisir.
Il commence sa toilette. Pendant ce temps, Colette ferme les yeux, il y a bien longtemps qu’elle n’a plus fait ça. Je suis folle de lui obéir comme ça ? Qu’elle ce dit. Elle étale leur jus d’amour sur son clitoris dressé d’excitation, elle commence à se masturber. Au bout d’un moment, des frissons parcourent son corps…
— AHH ! OOOHH ! HUMMMMMM !
Paul, qui a terminé sa douche, passe la tête dans l’encoignure de la porte. Il voit Colette, allongée, les yeux fermés, la main sur son sexe, en train de se masturber…
— C’est bien ma chérie, continue, branle-toi bien, fait toi jouir.
Paul la prend en photo avec son téléphone portable, elle continue à faire monter son plaisir.
— HUUMM ! OOHH ! HUUMM ! HUMMMM ! AHHHH ! AHHHHHHH !!!

Paul assiste à l’orgasme de sa nouvelle maîtresse, qui jouit les cuisses écartées.
— Eh bien dis donc, tu n’as pas fait semblant dis donc !
— Allez ! Va prendre ta douche, tu l’as bien méritée.
Colette a du mal à se lever, mais parvient à arriver à la salle de bain, elle reste sous la douche, c’est si bon.
Tout à coup, Paul, toujours nu, surgit derrière elle, dans le bac à douche ? Il tient à la main
un atomiseur de déodorant qui était posé là sur la coiffeuse de la salle de bain. C’est un atomiseur de vingt-huit centimètres de long avec un diamètre de quatre à cinq centimètres avec l’extrémité du diffuseur bombée.
Elle n’a pas le temps de se poser de questions.
— Mets tes bras sur la paroi ?. Penche-toi bien en avant ! Écarte les jambes !
Colette, en soumise obéit sans protester, elle n’a pas vu ce que Paul tient à la main.
La seconde d’après, le bout de l’atomiseur se glisse entre les lèvres mouillées de sa vulve, il vient frotter son clitoris encore bandé, plusieurs fois de suite, la fraîcheur du métal lui fait de bien, puis il redescend, le redresse et la pénètre sans préambule.
— HAAARG ! OOOOHH ! NOOON !
Colette écarte encore plus les cuisses pour favoriser la pénétration forcée. La première partie est entrée dans son puits d’amour. Paul arrête un instant la pénétration, ensuite l’enfonce jusqu’à ce que sa main bute sur son périnée. C’est vingt bons centimètres de l’atomiseur qui sont rentrés dans son puits d’amour, aidé par le restant du jus de Paul.
Paul s’active maintenant, effectuant un mouvement de va-et-vient.
— Ma parole, tu mouilles encore !
Il joue à l’amener au bord de l’orgasme et puis stoppe et recommence. Elle devient folle de désir.
Cela dure depuis cinq bonnes minutes.
— AHH ! HUMM ! AAARRRHH ! OOOHH ! OOUUIIII !
— Tu aimes ça ! Hein ? C’est bon hein ?
— OUUIII ! C’est bon, continu !
Tout à coup, il sort l’atomiseur tout luisant des sécrétions vaginal de sa soumise, il lui écarte les fesses.
— NON ! NON ! Pas ça ! Pas par là !!
Paul ne s’occupe pas de ses supplications. Aussitôt, l’atomiseur force l’entrée de ses reins.
— AAARRG ! OOOHH ! NON ! NOOOONNNN !
Mais d’un seul coup sec, il l’introduit. Déjà, le gode improvisé est entré jusqu’aux doigts qui le tiennent.
Elle sent le gros tube qui l’envahit, sa tête tourne, tourne, elle pousse des râles, de plaisir et de frustration.
Colette se mord les lèvres pour ne pas crier. Crier sa douleur qui se transforme en désir.
Des étoiles brillent dans sa petite tête, elle est submergée par une onde de bonheur, de béatitude qu’elle n’a jamais connue.
Paul recommence la même sarabande qu’il a pratiqué dans son sexe, avec un va et vient en cadence.
— AARGH ! Le salaud ! Le salaud ! OOHH ! Il m’encule ! ! OH ! NON !
Sa tête dodeline, Paul ravi accélère le rythme.
— NON ! AHH ! AAARRGG ! Ah ! Ah ! Oh ! Oui ! OUIIIIIIIII !
Paul fait hurler Colette pour la deuxième fois en un quart d’heure. Il la finit en accélérant le rythme, à lui faire perdre haleine. Un orgasme intense la terrasse, elle ne peut plus crier tellement la jouissance lui coupe le souffle.
Il retire la bombe métallique des fesses de sa soumise lentement.
— OOHHHH ! Glousse-t-elle.
Colette s’affaisse le dos contre le carrelage, assise dans la douche, épuisée par tant de plaisir en si peu de temps.
— Regarde ton amant qui t’a fait jouir du cul pour la deuxième fois.
Il lui montre l’atomiseur souillé d’un reste de sperme brunâtre, elle ne regarde pas. Il lui passe sur les lèvres, trop épuisée elle ne réagit pas. Pas plus que lorsque le bout de l’atomiseur s’immisce entre ses lèvres.
— Ouvre ! Ma chérie ? Voilà. C’est bien. Suce. Lèche, avale ta souillure.
— Voilà, c’est très bien.
Il retire l’atomiseur propre de la bouche de Colette.
— Passe sur le bidet et vient te reposer, tu as l’air bien fatiguée après cet énorme orgasme ? Tel un automate, Colette se lève avec peine, ouvre l’eau du bidet, s’assit sur le siège et fait sa toilette intime, anus compris.
Elle s’essuie avec la serviette qu’il lui tend et s’allonge sur le lit, où elle s’endort immédiatement tandis que Paul se sert une coupe de champagne.
Peu après, il se couche et s’endort.
Sam Botte
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