Première contrainte
Le réveil intégré au lit vient de sonner, Colette est doucement réveillée. Elle sent quelque chose lui frotter les lèvres. Paul « est levé et se trouve au-dessus d’elle sur le lit, à genoux, et lui frotte son sexe dressé sur les lèvres.
— Eh bien !? Ma chérie est réveillée, on dirait ? Regarde la grosse sucette que j’ai pour ta bouche.
— Allez ! ouvre la bouche et suce moi !
Colette ouvre la bouche. Le membre la pénètre aussitôt.

— Oui ! suce moi bien ! Oui ! Comme ça.
Le membre devient de plus en plus gros, de plus en plus dur, il a du mal à rester dans la bouche de Colette, où le gland frappe presque le fond de la gorge et lui donne des nausées matinales.
— Humm ! C’est bon !
Il se relève légèrement, s’enfonce encore plus profondément dans la bouche. Elle est littéralement étouffée. Il commence le mouvement de va-et-vient. Il lui prend littéralement la bouche en gémissant de plaisir. Au bout de quelques minutes, il se retire de ses lèvres humides et douces.
— Mets-toi à quatre pattes, lui dit-il.
Elle obéit, et se place de manière à lui offrir ses fesses. Très vite, il entreprend de la pénétrer. L’assaut est rapide et intense, elle se retrouve envahie par le sexe de Paul avant d’avoir pu faire quoi que ce soit. Hier soir, il a fait preuve de tendresse, multipliant les caresses et les préliminaires. Ce matin le ton a changé, il la traite comme un objet, juste bon pour étancher son désir, sans aucun respect de sa personne. Ce n’est pas pour lui déplaire d’être soumise sans aucune considération.
Soudain, on frappe à la porte du salon, une voie ce fait entendre.
— C’est le réceptionniste qui apporte le petit déjeuner.
— Entrez ! Posez le sur la petite table et attendez un instant, j’arrive. Répond Paul sans s’arrêter.

Les mouvements se font plus rapide, plus brutal. Il se met à lui dire des choses atroces de vulgarité insultante en la bafouant.
— T’aimes ça d’être prise par derrière, tu veux que j’accélère la cadence, dis-le que t’aimes ça ?
— Oui, j’aime ça, c’est bon !
— T’es une chienne, dis-moi que tu es ma chienne ?
— Bien sûr ! que je suis ta chienne.
— Ça te plaît de te faire baiser, alors qu’il y a un autre homme coté qui nous écoute.
— Non ! Il peut nous entendre.
— Tu rigoles, ça se trouve, il te regarde te faire baiser par le trou de la serrure, tu veux que je vérifie ?
— Non ! Je t’en prie, ne fais pas ça.
— Ça t’excite de savoir qu’un autre homme te regarde, en plus il doit se branler, à voir te faire défoncer, allez j’ouvre la porte il doit être derrière ?
— Non ! Non ! Non !
— Si ce n’est pas moi qui ouvre ? Alors ça va être toi !
Il saisit Colette par les cheveux et la relève du lit et commence à la diriger vers la porte. Elle se débat afin de rester sur le lit.
— Non ! Fais-le toi-même ! Qu’elle lui répond.
Il ouvre la porte. Son cœur se soulève en voyant le réceptionniste de trente-cinq ans, cet homme noir la regarde d’un air lubrique et gourmand.
— Approche ! Elle veut que tu la regardes.
— Houai ! ça ne m’étonne pas ! Des femmes comme elles sont toujours des belles salopes.
— Tu veux qu’il te montre sa queue. Je suis sûr que t’a jamais vu un sexe de noir ?
— Surtout que j’ai un braquemart énorme.
— Non ! Tout, mais pas ça, non ! Non, je ne veux pas ! Arrête ça Paul, tu es un salaud !
Tenant Colette par les cheveux, il continue à la baiser, il lui applique une grande claque sur les fesses. L’excitation remonte dans le ventre de Colette.
— Dis-moi que tu veux voir sa bite, dis-le-moi.
—OOH! Oui, montrez-moi votre bite ! Montrez-la-moi. Qu’elle répond entre deux râles, suite aux allés et venues de Paul dans son puits d’amour.
— Dégrafe-la toi-même ! Dit l’homme noir.
— Non pas ça !
— Obéis ma chérie ! Lui dit-il en appliquant encore une autre claque sur ses fesses.
— T’as vu les seins qu’elle a ? Touche-moi ça !
Pendant qu’elle obéit en déboutonnant, l’homme lui pelote les seins. Elle découvre un sexe bien plus grand que celui de son amant. Elle ne peut quitter des yeux ce sexe noir. Son sexe apparaît énorme, monstrueux, tout noir en pleine érection.
— Masturbe le, branle le jusqu’à ce qu’il jouisse.
— Houai ! Branle-moi chienne, tu dois être une experte.
Elle branle le noir pendant que le blanc lui ramone sa grotte a plaisir. Le grand noir l’attrape alors par les cheveux et lui dit.
— Tu vas me sucer.
En remuant la tête Colette crie.
— Non ! Paul empêche le ! Je ne veux pas.
— Suce-le ! Ordonne Paul en m’appliquant une autre claque sur sa croupe qui commence à chauffer.
Elle entrouvre sa bouche, l’homme engouffre sa queue dedans. Le sexe ne peut entrer entier tant sa taille est trop importante. Elle passe sa langue sous le gland, tourne autour et aspire. Le gland se trouve coincé entre ses lèvres, elle suce doucement le bout de la queue. Le réceptionniste gémit, elle ouvre en grand sa bouche, car elle le sent pousser son membre. Il s’enfonce lentement pour glisser presque entièrement sa bite pour qu’elle disparaisse à ses yeux. L’homme noir surexcité caresse ses seins avec une telle brutalité, qu’elle suffoque sur le membre qui bute sur sa glotte.
Les râles étouffés excitent encore plus Paul qui se met jouir en inondant sa matrice.
— Tu es contente d’avoir un sexe noir dans ta bouche auquel tu donnes du plaisir ?
— Tu vas me faire jouir comme une salope. Reprend l’homme noir.
— Maintenant, tu m’appartiens entièrement ! Dit Paul.
Tous ces mots crus décuplent son plaisir. Paul sait à présent qu’elle est complètement à sa merci.
Elle se surprend à aimer sucer le réceptionniste, elle en éprouve même un plaisir caché. Elle est quand même surprise par la taille de l’engin et par la douceur de la chair. Paul l’encourage en la traitant de salope, de bourgeoise et de chienne lubrique.
Le réceptionniste agrippe les cheveux de Colette. Il va jouir pense t-elle.
Deux secondes après, un premier jet fouette sa luette, elle a une envie de vomir, mais elle ne lâche pas le morceau de chair qui la bâillonne. Les spasmes de la bite dans sa bouche avec celle de Paul encore dans son ventre, lui déclenche un terrible orgasme, étouffée par les jets de sperme qui giclent au fond de sa gorge. Elle n’en recrache pas une seule goutte.
Colette révèle des capacités intéressantes, notamment buccale pour son plus grand plaisir.
Elle qui ne connaissait que le goût de son mari, a élargie du coup ses connaissances en dégustant spontanément le nectar onctueux et odorant en discernant les sublimes différences pour chaque visiteur buccal.
Le réceptionniste se retire en la remerciant pour le pourboire qu’elle vient de lui donner.
— Tu as un corps fait pour faire l’amour. Tu peux avoir les hommes que tu veux, tu devrais en profiter. Je connais même des femmes qui aimeraient passer une nuit avec toi.
Colette est troublée par le compliment. Paul le remarque. Il la prend par le cou, l’incline sur le lit et l’embrasse. Va-t-elle lui avouer qu’elle a pris un réel plaisir d’être soumise à un autre homme sans aucune considération. Que ce n’est pas pour lui déplaire, surtout qu’elle savait bien ce qu’elle faisait.
Après une bonne douche, ils se sont attablés devant un plateau sur lequel se trouvent les cafés, les croissants, jus d’orange, confitures et pain grillé.
Sam Botte
Excellentissime ! Continue j’adore !