Colette change de vie
Le lendemain, Colette c’est habillé pour le travail et elle est partie avec sa culotte de la veille pleine de sécrétions séchées. Paul ne le lui avait pas demandé, mais c’est une manière de rappeler la honte de ce qu’elle a fait la veille et aussi de se souvenir qu’elle est désormais soumise à son amant Paul.
Elle essaye de se convaincre que ce sera la seule et unique fois qu’ils le feront. Pourtant, elle est tellement excitée ainsi lorsqu’elle va aux toilettes, elle passe sa main sur son sexe et elle s’aperçoit à quel point elle est mouillée. Elle passe ses doigts sous son nez et elle se rend compte qu’elle sent la femelle en rut. Dans les couloirs, elle a la certitude que ses collègues se rendent compte de la situation et elle rougit à tout propos. Finalement, elle a fini par se réfugier derrière son ordinateur et elle peut assurer que durant toute la journée, elle a bossé comme une folle pour finaliser un dossier urgent.
Avec Paul, elle se découvre, plus ils font l’amour ensemble et plus, elle a envie, chaque occasion est bonne, elle se donne sans retenue que ce soit quand Pierre son mari part en déplacement, il la rejoint le soir et ils font l’amour une bonne partie de la nuit, autrement ça peut être partout, dans des toilettes de restaurant, de café.
Dès qu’elle peut se libérer, elle le rejoint chez lui dans un studio, qu’il a loué entre son entreprise et sa maison pour être plus près d’elle. Elle parvient même à passer des nuits entières avec lui en faisant croire à son mari qu’elle dort chez une amie.
Il obtient tout d’elle, ainsi quand il lui demande de ne plus mettre de sous -vêtements lors de leur rendez vous, elle s’exécute sans la moindre objection, elle découvre ainsi, le plaisir d’être nue sous une robe, de sentir le vent caresser ses fesses et son sexe qu’il lui a aussi demandé de raser. Ce qui la trouble le plus, ce sont les frottements continus de ses vêtements sur ses tétons libres. Elle a rapidement appris à vivre avec ses érections permanentes, plus ou moins visibles. Elle est dans un état d’excitation permanente.
La sodomie est présente à chaque fois que le lieu le permet. Au bout de quelques mois, c’est elle qui réclame, la petite porte de ses entrailles s’ouvre de plus en plus rapidement, c’est bien l’acte qu’elle préfère, quand son amant la sodomise, elle prend un plaisir bestial, c’est peut être dû au fait que son partenaire la prend souvent en levrette ou à quatre pattes comme une chienne, que ce côté qui peut paraître dégradant a sur elle un effet totalement contraire. Paul lui a dit que si certaines femmes étaient faites pour être bonne sœur, elle était faite pour prendre et donner du plaisir sans retenue.
Un jour de printemps, alors qu’elle est nue sous une fine robe assez courte, ils prennent le tram en pleine heure d’affluence. Ils sont tous serrés les uns contre les autres, dès que le tram a démarré, Paul glisse sa main sous sa robe, ses doigts se mettent à fouiller son sexe, elle devient rouge comme une pivoine, ses jambes tremblent, sa mouille coule entre ses cuisses et lui continue à la masturber comme si de rien n’était et chaque secousse du tram lui provoque des mini orgasmes, la mâchoire crispée pour ne crier son plaisir, le souffle court. Paul sent qu’elle va partir alors ses doigts quittent son sexe. Il la soutient pour qu’elle ne s’affaisse pas. Elle est si près de l’orgasme que de la laisser ainsi est inhumain, son ventre en est douloureux.
Ils descendent au prochain arrêt, il l’entraîne sous un porche dans un coin à l’abri des regards, il ouvre son pantalon, remonte sa robe et la pénètre d’un coup, c’est adossé au mur qu’elle l’accueille avec un râle de bonheur. Elle est si excitée qu’elle le supplie de la prendre comme une pute, ses mots crus lui font beaucoup d’effet, il lui donne de violents coups de queues, il baise Colette avec rage, il est aussi excité qu’elle qui est la première à jouir, et quelques secondes plus tard, il éjacule dans son ventre.
En laissant Colette devant chez elle, Paul lui dit qu’il la rappellera le lendemain. En fait, il n’en fait rien, car Paul décide de la laisser mariner et la laisse penser à tout ce qu’il lui a fait subir. Paul part en déplacement professionnel trois semaines. Pendant toute son absence, il reçoit des SMS de Colette qui s’étonne de son absence et de son silence. Il se garde bien de lui répondre. Il veut qu’elle soit en état de manque vis-à-vis de lui pour qu’il puisse maintenir son emprise sur elle, qu’elle soit entièrement sous sa coupe, prête à tout accepter pour le satisfaire.
Dès son retour, il l’appelle, au moment où elle allait sombrer dans le désespoir, pour lui dire qu’il l’attend dans son studio. Colette se précipite au lieu indiqué, montrant son addiction totale. Paul l’embrasse, leurs langues s’enroulent dans une furie qui trahit son attente pendant laquelle elle est restée sans nouvelles. Elle tremble de bonheur. Paul passe sa main gauche sous sa jupe. Elle écarte ses jambes pour faciliter l’accès à son sexe déjà trempé dans lequel, il n’a aucun mal à faire pénétrer les quatre doigts de sa main. Il libère sa bouche et lance un ordre.
– Recule sur la table et couche toi dessus !
Elle s’exécute, elle est prête à faire tout ce qu’il lui demandera sans poser de questions. Dans cette position, elle est offerte les jambes pendantes dans le vide. Il peut alors mieux jouer avec sa main. Son pouce rejoint ses doigts et lentement, tout en effectuant des va-et-vient, il fait tourner sa main pour agrandir sa grotte et l’introduire en entier jusqu’au fond de son paradis. Elle feule de bonheur, pousse de petits cris, elle dit des mots insensés.
– Baise-moi avec ta main, AARRGG ! Je t’aime, je n’en pouvais plus d’attendre, tu peux faire de moi tout ce que tu veux, je suis à toi ! OOHHH ! OOUUUIIII ! Je jouis !
Elle tressaille, emportée par un orgasme violent qui l’envahit. Elle reste là anéantie par le plaisir, les retrouvailles sont merveilleuses avec cette nouvelle pratique pour l’amener à la jouissance. Paul retire sa main humide de sécrétion du sexe de Colette dans un bruit de succion.
Colette regarde Paul avec amour, vaincue, domptée définitivement, confirmant cet état par ses propres paroles :
-Je suis à toi ! Tu peux faire de moi ce que tu veux. Tu peux me prostituer, m’enculer selon ton bon plaisir. Je suis ta chose. Tu me fais trop de bien avec ta queue et je ne pourrai plus m’en passer. Elle colle sa bouche à la sienne. Elle en oublie sa famille, son boulot.
Paul se libère de sa bouche et sans lui laisser le temps de réfléchir, ses ordres fusent :
– Demain, tu donnes ta démission à ton patron, je te prends comme secrétaire particulière dans mon entreprise. Ce soir tu vas quitter ton mari en prenant tes affaires personnelles.
– Maintenant, nous allons vivre ensemble, je ferais la même chose avec mon épouse. Nous ne parlerons pas de divorce avec nos conjoints respectifs, nous verrons ça bien plus tard.
Ils sont amants depuis un peu plus de deux ans, à présent, il veut vivre avec elle, c’est vrai que côté cul c’est le nirvana, elle éprouve pour lui plus de sentiments qu’elle n’en ressent pour son mari.
Le soir même, elle charge sa voiture de tous ses effets personnels, laissant son mari complètement effondré dans le canapé. Colette lui a dit simplement qu’elle aime un autre homme, d’un amour bien plus fort que celui qu’elle avait pour lui. Elle s’est bien gardée de lui dire que depuis deux ans, elle le trompe avec Paul. Colette le quitte le cœur rempli de joie, après trente ans de vie commune, pour une nouvelle vie avec son plus grand amour.
De retour dans le studio de Paul, elle n’a pas le loisir de rangée ses affaires, car il lui annonce qu’ils prennent l’avion demain midi pour LE CAP en Afrique du Sud, pour un séjour d’une semaine pour négocier des contrats pour sa société.
Sam Botte
Hummmmmmm ! Encore ! Merci !