Colette découvre la pluralité.
Paul revient dans la chambre avec un homme qu’elle n’a jamais vu. C’est un grand noir qui est déjà nu. L’homme n’a pas encore trente ans, il est plutôt beau garçon avec un beau corps, avec une bite bien plus imposante que celle de Paul, ce n’est pas du goût de Colette, elle se redresse.
– C’est Raphaël mon collaborateur en Afrique du Sud, il m’aide à réaliser des contrats, il est normal qu’il participe aussi à mes plaisirs comme il l’a toujours fait avec mes conquêtes dans le passé.
– Non pas ça Paul ! C’est toi que j’aime, je n’en veux pas d’autre.
– Deux, c’est mieux qu’une ? Et c’est mieux que rien du tout et rappelle toi de ta promesse de m’obéir.
Oui, elle a promis d’obéir en toute circonstance et en plus c’est loin de lui déplaire cette situation de soumise dans ce coup monté, bien arrangé par Paul.
Raphaël la prend dans ses bras, pour l’embrasser goulûment. Colette est honteuse, pendant qu’il l’embrasse, elle sent sa grosse verge sur son ventre. Elle sent deux autres mains sur elle ?
Paul l’embrasse dans le cou, en caressant ses seins. Il effleure ses tétons, Colette se met à frissonner. Elle aime ça. Elle aime qu’on les touche, qu’on les palpe. Raphaël arrête de l’embrasser et elle bascule la tête pour poser ses lèvres sur celle de Paul. Oubliant ses préjugés, elle s’abandonne à leurs désirs, les laissant la prendre comme ils veulent.
Raphaël la masturbe. Colette ferme les yeux, elle aime, elle mouille.
Elle voit Raphaël s’agenouiller devant elle. L’homme vient s’emboîter entre ses jambes devant Paul, qui regarde en souriant, en se malaxant les bourses, Raphaël pénètre Colette. Elle croit qu’il va la déchirer en deux lorsqu’il la pénètre. Son cri de surprise résonne dans la chambre. Mais une fois la queue bien au fond, Colette enlace l’étranger. Elle est excitée. Colette garde la bouche ouverte, les assauts de Raphaël la font râler de plaisir, elle regarde Paul. Deux hommes, elle va avoir deux hommes ? Elle le sait… Elle en est sûre.
Paul s’agenouille à hauteur du visage de Colette et chevauche sa tête, afin qu’elle gobe son sexe. Elle n’a pas eu le temps de le regarder, elle sent qu’il bande encore, mais plus dur. Il la fait sucer au plus profond qu’il peut, alors qu’elle a le sexe en feu, recevant la bite de Raphaël.
Raphaël baise Colette un long moment. Elle est prise d’assaut, sans avoir le temps de réfléchir, de ressentir pleinement cette grosse queue en elle. Elle jouit en même temps qu’elle râle de bonheur. Ils roulent sur le côté, puis elle se retrouve à le chevaucher.
Alors qu’elle est sur Raphaël, au-dessus, à onduler son corps, à faire bouger ce gros sexe en elle, elle sent Paul se rapprocher. D’elle-même, elle prend sa queue pour la sucer. Quelque chose se passe en elle. Elle ne peut pas s’arrêter. La queue dans sa bouche. Elle s’arrête pour regarder Paul.
– Encule-moi ! Qu’elle lui demande, en le branlant.
– C’est tentant, ma chérie, mais c’est lui qui va t’enculer, et tu vas t’en souvenir toute ta vie !
– On va te baiser en double ma chérie, le principe va te plaire. Dit alors Paul en prenant la place de Raphaël.
Colette le regarde la pénétrer rapidement. Elle ne peut retenir un râle de bonheur . Paul existé la pilonne violemment, en gémissant. Sa queue est tellement dure, qu’elle a l’impression d’avoir un bout de bois en elle. Elle voit Raphaël tourner autour d’elle, en les regardant. Elle pousse des Ah ! Han ! Oh ! En manquant presque de souffle. Paul approche sa bouche de son oreille.
– Tu veux sa queue ? Tu la veux dans ton cul ? Hein ? Tu veux qu’il te la mette ?
Colette frémit, vibre, tremble. Elle est prise comme jamais.
– Oh oui ! Oui ! Oui ! Bien sûr ! Répond-t-elle.
– Retournez la, patron, je vais la prendre.
La voix de Raphaël est rauque, elle peut entendre sa respiration rapide. Paul prend Colette par les hanches pour la retourner comme une poupée, si vite et si fort qu’elle est un peu surprise.
D’instinct, elle le chevauche pour s’empaler sur sa queue, sans réfléchir.
Quand elle sent les mains de Raphaël sur son dos, elle réalise qu’il a une plus grosse bite que Paul, mais c’est trop tard.
Le jeune homme appuie sur son dos afin qu’elle pose son ventre sur Paul. Elle se penche pour lui offrir ses fesses. Paul lui écarte les fesses, dévoilant le sillon de sa croupe ronde et charnue avec la petite porte du jardin secret de Colette, laissée entrouverte par son dernier visiteur. Raphaël caresse ce cul gagné par le désir frénétique de le posséder, de sentir sa verge irrésistiblement serrée dans l’étroit fourreau. Son érection témoigne son désir de s’engouffrer dans la croupe pulpeuse que Paul lui offre.
Raphaël crache sur son sexe, puis le guidant d’une main, il pousse la petite porte qui s’ouvre lentement. Progressivement, par petites poussées, il pénètre totalement dans le vestibule des reins de Colette, infligeant une formidable pression aux chairs intimes qui l’accueillent.
– Doucement s’il vous plaît ? Implore Colette.
Colette a l’impression que son derrière va éclater, que Raphaël le lui déchire, car la douleur est vive
Mais rapidement, elle se découvre une capacité de dilatation tout à fait étonnante, puisque l’imposante verge glisse facilement, plongeant dans les profondeurs de son jardin secret, lubrifié par la dernière visite de Paul. La sensation d’une énorme bite dans ses reins, gênante au début, devient assez vite grisante, quand elle commence a coulissé en elle, comme si elle a sa propre vie.
C’est plus de vingt-centimètre de queue épaisse et dure qui investissent le rectum de Colette tandis qu’elle gémit tendrement, la tête posée sur le torse de Paul. Celui-ci a stoppé ses mouvements pendant l’introduction, il reprend lentement ses va et vient en alternance avec Raphaël qui la tient fermement aux hanches. Ce dernier la sodomise maintenant de plus en plus vigoureusement, la pénétrant avec un sexe dure comme du bois, assouvissant son désir de saillir une bourgeoise blanche.
Colette crie comme jamais, elle n’a crié, secouée par les coups de boutoirs de ses deux amants.
– OOOOH ! Que c’est bon ! C’est incroyable de sentir deux bites ensemble dans mon corps.
-On va te faire jouir ma chérie ? Comme jamais, tu n’as joui ? Entonne Paul.
Des larmes de bonheur perles aux yeux de Colette prise en sandwich entre les deux hommes, défoncée par leur pieu de chair.
Minute après minute, le va et vient des deux bites qui la pilonnent, de façon incessante, fait monter en Colette une jouissance incroyable qui la transporte vers des sommets rarement atteints.
Le claquement des cuisses contre ses fesses nues, le chuintement caractéristique des membres qui vont et viennent, les râles de plaisir créent une tension orgiaque dans cette chambre d’hôtel.
Le corps peloté par les mains fébriles de Paul, qui se défoule sur ses seins. Colette s’abandonne aux assauts énergiques de ses deux amants, les encourageant bruyamment de continuer.
– OOH ! Oui ! Vous êtes gros, vous me faites jouir ! Encore ! Encore ! OOUUIIIIII !
Elle croit que son cœur va lâcher, dus à un très long orgasme qui ne semble pas vouloir s’arrêter. Les deux hommes ont accéléré, donnant des coups de queues qui lui font presque perdre connaissance. Elle gémit, crie parfois. Après un long moment, ils finissent par jouir, en elle, elle sent la semence de Paul l’envahir, déborder de son vagin. Il reste en elle quelques minutes pendant que Raphaël décharge tout son sperme dans ses entrailles surchauffées.
Finalement ? Raphaël puis Paul se dégagent, s’écroulant de chaque côté de Colette qui reste péniblement à quatre pattes, essoufflée, les yeux mis clos, l’intérieur des cuisses maculées de sperme qui suinte sous les contractions spasmodiques de ses deux puits d’amour.
– Quel beau jour, n’est-ce pas ! Tu t’en souviendras toute ta vie Raphaël ? Clame Paul triomphant.
Colette s’écroule sur le lit, épuisé, elle a été offerte encore une fois par Paul à un autre homme, jusqu’à la double pénétration qui est une révélation pour Colette.
Mais étrangement, elle ne s’en plaint pas, au contraire.
– Qu’est-ce que c’était bon ! Déclare Colette à Paul, elle l’embrasse d’un long baiser d’amoureuse.
Elle regarde les deux sexes trempés de mouille et de sperme mélangés, les empoigne et les suce tour à tour pour les rendre propres, avec un sourire de contentement, en ne ménagement pas sa peine.
Colette, une fois remise sur pied, va prendre une douche et se préparer, car ils sont invités à manger avec un client de Paul accompagné de Raphaël.
Colette accompagne Paul dans un restaurant très médiatique du CAP implanté dans une tour dominant la ville. La vue est magnifique, elle vit des moments qu’elle n’aurait jamais imaginés malgré le bon niveau de vie qu’elle avait avec mon mari.
Sam Botte
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