Je m’appelle Julien, 42 ans, et avec Sophie, ma femme de 40 ans, on n’a jamais été du genre à s’arrêter aux limites. On vit à Lille, dans une maison un peu trop grande pour nous deux, et depuis qu’on a goûté à l’échangisme – comme cette première fois où je l’ai vue se faire prendre sous mes yeux, un délire qu’on raconte dans ce récit brûlant – on cherche toujours à aller plus loin. L’autre soir, on a franchi un nouveau cap, une nuit d’uro qui nous a laissés trempés et qui nous trotte encore dans la tête.
Ça s’est passé chez Marc et Clara, un couple qu’on croise souvent dans les soirées libertines du coin. On était invités chez eux, un appart en banlieue avec des murs blancs et un parquet qui grince. La soirée démarrait tranquille – un verre de rouge qui tache les dents, des blagues autour d’une table basse encombrée de bouteilles vides, et puis Marc a lâché l’idée. “Et si on passait à un truc plus sale ?” qu’il a dit, avec ce sourire qui promet du lourd. Sophie m’a jeté un regard, ses yeux brillants comme ce soir-là avec l’inconnu, et j’ai su qu’on allait plonger.
On s’est tous retrouvés dans leur salle de bain – pas une pièce chic, juste une douche à l’italienne, du carrelage beige usé, une lumière qui clignotait par moments. Clara a pris les devants – une brune menue avec un rire rauque, elle a viré sa robe rouge, un truc moulant qui collait à ses hanches, et s’est plantée sous la douche. “Qui commence ?” qu’elle a lancé, et Sophie a suivi sans hésiter – sa jupe en jean par terre, son haut noir balancé, et elle était là, nue, à côté d’elle. Moi, j’étais contre le lavabo, Marc à côté, et on matait, le souffle déjà court.
Clara a ouvert le bal – pas avec l’eau, non, elle s’est accroupie, un sourire en coin, et a laissé couler un jet doré, chaud, qui a giclé sur Sophie. Ma femme a sursauté, un petit cri qui s’est transformé en rire, ce rire qui me fait toujours craquer, et elle s’est penchée pour en prendre plein la poitrine. “Putain, c’est bon,” qu’elle a murmuré, et là, j’ai senti mon jean devenir trop serré. Marc a grogné quelque chose, il a baissé son pantalon, et il s’est joint au jeu – un filet qui a éclaboussé Clara en retour. Moi, je tenais plus – j’ai viré mes fringues, et j’ai pris ma place sous la douche, à côté de Sophie.
Ça a dégénéré en un rien de temps. Sophie s’est tournée vers Clara, leurs corps trempés qui glissaient l’un contre l’autre, et elles ont commencé à se toucher – des mains sur les seins, entre les cuisses, un délire bisex qui m’a fait monter direct. Marc m’a chopé par l’épaule, “À toi,” qu’il a dit, et j’ai lâché – un jet qui a frappé Sophie dans le dos, puis Clara sur le ventre. Elles ont ri encore, et Sophie s’est mise à genoux, face à moi, la bouche ouverte – elle en voulait plus, comme ce premier soir où elle s’était donnée à un autre sous mes yeux, et je lui ai donné, un flot qui lui a coulé sur les lèvres, dans les cheveux, pendant que Clara la caressait par derrière. L’odeur était forte, salée, un mélange d’uro et de sueur qui envahissait tout.
Marc s’est rapproché, et là, ça a viré hardcore. Il m’a poussé un peu, son sexe dur en main, et il m’a pissé dessus – un truc chaud qui m’a surpris, coulant sur ma poitrine, mon ventre, jusqu’en bas. Sophie a relevé les yeux, trempée, et elle a tendu la main vers lui – elle l’a branlé pendant que Clara me collait, ses doigts glissant sur moi, mouillés de partout. J’ai chopé Clara, je l’ai plaquée contre le mur, et je l’ai prise – un coup sec, brutal, pendant que Sophie faisait jouir Marc avec sa main, son visage encore dégoulinant.
Ça a duré un moment, un chaos humide et bruyant – l’eau du robinet éteinte, juste nos fluides qui giclaient, qui coulaient sur le carrelage. À un moment, Sophie m’a tiré vers elle, et on s’est baisés, debout, pendant que Marc et Clara continuaient à côté – lui qui la prenait par derrière, elle qui criait, un mélange de rires et de râles. On a fini à bout de souffle, tous les quatre, collants, le sol glissant sous nos pieds.
C’était sale, c’était intense, et c’était nous – une nuit où l’uro a tout emporté, où l’échangisme et le bisex ont poussé plus loin ce qu’on avait commencé il y a des mois.Moi, avec Sophie, on remettra ça, c’est clair.
Julie et Sophie
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