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La fabuleuse histoire érotique d’une fellation ferroviaire

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Le train en partance de Strasbourg venait de passer Colmar. Damien avait lu depuis le départ, puis doucement s’était assoupi. Les secousses du redémarrage du train au départ de Colmar le réveillèrent brutalement. Il émergea de son sommeil surpris de se trouver encore dans une gare. En voyant défiler les panneaux il s’aperçut enfin où il se trouvait, comme rassuré, il s’apprêta à repartir dans la douceur de son sommeil.

Il n’était plus seul dans le compartiment.
En face de lui une passagère s’était installée. Très attiré par les femmes ou plus encore, par le plaisir qui émane des femmes, Damien ne referma pas ses yeux. La jeune femme pouvait avoir dans les 40 ans, brune, plutôt ronde, enfin ronde pour certains mais pas pour lui qui aimait les formes bien affirmées et les rondeurs pleines chez une femme.
Elle se tenait bien droite sur son siège, en face de lui, il l’examina d’un œil intéressé, comme chaque fois qu’une femme avait du charme à ses yeux, même s’il savait pertinemment que rien ne pouvait se passer………… Seulement l’échange de deux regards, et encore fallait-il qu’elle le regarde………. Justement elle le regardait.
De ses yeux clairs et bleus il plongea dans son regard sombre.

De son visage assez agréable il émanait une intelligence vive qui lui a plu tout de suite.
Elle doit être très cultivée se dit-il, l’alliance parfaite a priori pour moi chez une femme : l’esprit et la plénitude des formes. Oui…. Mais comment engager la conversation ?
C’est toujours ce moment-là le plus difficile, et en même temps c’est terriblement stimulant de se dire que sur le premier mot tout peut être joué.
Tout en laissant aller sa pensée vers des rêves de communication il continuait à la regarder.

Elle avait une poitrine généreuse dont les formes arrondies faisaient tendre le tissu de son pull. Très attirée par les belles poitrines Damien se posa encore une fois la question : porte-t-elle un soutien-gorge ? Sa réponse fut oui, des seins aussi généreux ne pouvaient pas être laissés ainsi libres de tout mouvement souriait-il intérieurement. Vraiment, belle poitrine ! ! !
De ses jambes il ne voyait que des chevilles aux genoux, mais tout cela gainé de noir lui plaisait beaucoup. Bon, arrête de fantasmer se dit-il.
Elle était habillée d’un tailleur gris, simple mais de bon goût, des chaussures à talons d’un noir impeccablement brillant.
Elle sortit de son sac un paquet de cigarette.

« Cela vous dérange si je fume ? » dit-elle en plantant son regard dans les yeux de Damien en plein rêve.
« Pas du tout, au contraire ! Je serais ravi de vous regarder fumer. »
La jeune femme suspendit son geste qui amenait sa main vers son briquet, elle le regarda un instant, comme pour se demander si en une fraction de seconde elle pouvait se rendre compte à qui elle avait affaire.

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« C’est un spectacle bien banal une personne qui fume » lui dit-elle en allumant sa cigarette.
« Sans doute, répondit Damien en se réveillant tout à fait cette fois, mais pas pour tout le monde »
« Ah bon ? Pourquoi cela ?.. »
Damien se lança. Après tout si elle est intelligente elle le prendra bien : un sourire dans le pire des cas, ce qui est l’élégance du refus ou une invite à poursuivre si elle est joueuse…
« Pas pour la cigarette par exemple »
Elle rit.
« En effet elle n’a pas le plus beau rôle, elle se consume. »
« Oh ! Il y a bien d’autres choses qui se consumeraient ainsi entre vos lèvres »
Elle le regarda, surprise et intriguée.
«? »
Elle faisait partie des joueuses, haut niveau sans aucun doute ! !
« Je n’ai pas une connaissance particulièrement étendue du marché sourit-il, mais je crois posséder au moins un exemplaire qui devrait dépasser les cinq minutes ».
« C’est intéressant….mais seulement si cela est bien vrai. » Dit-elle après avoir tiré une longue bouffée qu’elle aspirait de la bouche et du nez… »
« Il ne tient qu’à vous de vérifier, si vous le souhaitez je vous l’offre » dit-il en regardant, ses deux seins tendres le tissu sous l’effet de l’aspiration.

« Eh bien pourquoi pas ? » répondit-elle en croisant les bras qu’elle appuya sur ses genoux, le regardant bien en face, après avoir écrasé sa cigarette dans le cendrier pur SNCF.
Damien se leva et ouvrit la porte du compartiment : personne dans le couloir. Il la referma, tira les rideaux et coupa la lumière, laissant seulement la veilleuse.
Revenant vers la jeune femme qui n’avait pas changé de position il se planta debout devant elle, sa ceinture à la hauteur de son visage. Sans un mot il ouvrit sa fermeture éclair et sortit son sexe.
Il était presque en érection.

Sans décroiser les bras, sans presque bouger la tête la jeune femme posa sa bouche sur le gland. Les lèvres posées comme celles d’un bébé sur une tétine elle ne bougea pas, comme pour goûter, du bout des lèvres cette queue nouvelle pour sa bouche.
Puis sa langue se mit à lutiner le bout du gland, tout doucement, en même temps que ses lèvres s’ouvrent et accueillent de plus en plus la queue qui sous la caresse se mit à durcir rapidement. Les bras toujours croisés sa bouche engloutit lentement la belle bite jusqu’à la naissance des poils, un instant elle resta dans cette position, pour bien apprécier ce qu’elle avait en bouche, et pour exciter l’homme un peu plus. Puis lentement elle commença un mouvement de va-et-vient de ses lèvres le long de la tige maintenant dressée et mouillée de sa salive.
Les impressions se bousculaient dans la tête de Damien, il était partagé entre le plaisir physique et fort que lui donnait ce pompage de sa queue qu’il ressentait jusqu’à la base de ses bourses encore emprisonnées dans son pantalon, et la pensée de cette femme élégante et stylée qu’il ne connaissait pas encore il y a dix minutes et qui maintenant, après quelques mots échangés était en train de lui faire une pipe savante dans un train de nuit.
Ce mélange de sensations physiques et cérébrales l’excitait au plus au point et fit naître en lui un brusque sentiment d’estime et de tendresse pour la jeune femme qui lui suçait si habilement la bite.
Elle s’appliquait savamment à le pomper en prenant bien soin de garder les bras croisés, ne voulant utiliser que sa bouche pour exciter le mâle debout devant elle, et pour se donner à elle-même le plaisir de ne le toucher qu’avec sa bouche. Elle se désemboucha et se mit à lécher la tige sur toute sa longueur, remontant de la base à la naissance des poils jusqu’au bout du gland, où elle s’attardait sur la petite fente du méat. Puis elle descendit d’un même mouvement, cette fois avec le plat de la langue.
Arrivée à la base elle chercha à s’enfoncer plus dans les plis du vêtement. Damien suivit son inspiration et défit complètement sa ceinture, baissa pantalon et slip, libérant ainsi la totalité de sa queue et les deux boules restées jusque-là prisonnières. Cette libération l’excita encore plus, la sensation de ses deux couilles libres maintenant à la vue de sa belle suceuse le fit bander encore un peu plus, mouillant le sommet de son gland d’une goutte transparente.

La langue de la jeune femme comme ravie de cette découverte explora un peu plus le sexe de son vis-à-vis. Elle descendit et du bout de la langue excita la base de la bite, descendant encore sur la peau sensible séparant les deux boules qu’elle savait tout près.
Elle joua un instant à lutiner cette partie, comme si elle hésitait entre les deux boules offertes à son jeu. Baissant encore la tête et sortant un peu plus la langue elle soupesa les deux couilles comme pour en prendre estimation de la forme, de la consistance et apprécier ainsi le contenu qu’elle savait y trouver.
Du bout des dents elle s’amusa à tirer délicatement les poils, passant de l’une à l’autre, les cherchant en dessous jusqu’à la base des bourses ou au contraire remontant à la base de la pine , pour les mordre du bout de ses incisives excitant ainsi l’homme qui en jouisseur confirmé appréciait ces ornements savamment dispensés.
Les yeux fermés il prenait conscience de la sensation de ses couilles, uniquement par le petit tiraillement des poils que leur infligeaient les coups de dent de la jeune femme.
Assise en face de lui elle était presque complètement pliée pour atteindre ce qu’elle cherchait de la langue, mal positionnée elle se leva brusquement et sans un mot s’assit par terre entre les deux rangées de fauteuils. Saisissant Damien par la taille elle l’amena à fléchir légèrement les genoux de façon que sa bouche entre de nouveau en contact avec ses boules. Elle était entre ses jambes, allongée tête bêche par rapport à lui, le tenant par la taille pour le lécher, lui légèrement fléchi lui offrait le spectacle complet de son intimité. Elle continua ainsi un court instant à s’amuser en tirant de ses dents les poils de l’homme qu’elle tenait à sa merci. Sa langue compléta la caresse amorcée en flattant les bourses pendantes et cependant fermes sous les coups doux et humides qu’elle leur dispensait.

Sa bouche s’empara d’une couille qu’elle aspira tout en la suçant comme un bonbon délicieux. Son délice terminé pour la première fois elle eut envie de toucher de la main les trésors qu’elle venait d’honorer de la bouche. Du bout des ongles elle griffa les deux belles bourses pleines de plaisir futur, les entourant du pouce et du majeur elle en caressa la périphérie, juste à la naissance du ventre, provocant chez son compagnon de voyage un sursaut de volupté.
Une main soupesant les deux couilles de plus en plus fermes, elle saisit de l’autre la pine raide et moelleuse, d’un tour de main elle en évalua la grosseur et la fermeté puis commença d’un geste à la fois souple et ferme à la branler. Elle prenait plaisir à sentir dans sa main cette bite chaude et raide grâce à elle, savourant le spectacle de sa main refermée sur cette tige. Levant les yeux elle chercha le regard de Damien. Celui-ci en jouisseur affirmé attendait cet instant. Être branlé aussi délicieusement et regardé en même temps par celle qui vous dispense ce moment de bonheur ne peut être qu’un raffinement d’esthète.

Les yeux plantés dans les siens, continuant son branle en l’accélérant, son autre main s’égara entre les fesses de l’homme, un doigt inquisiteur s’avançant délibérément vers son anus. Les yeux dans les yeux elle enfonça son doigt dans l’œillet souple en continuant à branler la bite.
Cette initiative brutale provoqua un sursaut de plaisir chez son compagnon, elle sentit venir la puissance du jet qui annonçait la jouissance de Damien. Ne relâchant pas sa masturbation elle guetta l’arrivée du sperme, et au moment où celui-ci jaillissait du gland dilaté, elle posa sa bouche pour le déguster.
Damien éjacula pendant de longues secondes, il lui sembla se vider entièrement, jamais il n’avait joui d’une façon aussi intense.
Retrouvant à peine ses esprits, sa délicieuse compagne était debout, enfilant son manteau, son sac à la main, le train entrait en gare.
Se tournant vers lui elle dit d’une voix charmeuse, « Au revoir, je m’appelle Christelle »
« Je m’appelle Damien » s’entendit-il lui répondre.

Les genoux en coton Damien se demandaient s’il n’avait pas rêvé. Un bristol sur le siège lui confirma la réalité de ce voyage extraordinaire, d’un geste rapide il ouvrit son Filo fax et nota consciencieusement le numéro de Christelle.
Suite de la fellation ferroviaire.

Toute la semaine, malgré un travail très prenant, Damien pensa à Christelle, repassant continuellement le film de ce voyage, s’octroyant des arrêts sur image…
« C’est vraiment une femme exceptionnelle se disait-il, quel talent ! Quelle artiste du sexe, ce qu’elle aime ça ! Et puis quelle classe, pleine d’esprit et d’humour, je n’en crois pas mes souvenirs ! ! Quelle chance d’avoir rencontré une femme aussi brillante, je suis sûr qu’elle l’est aussi dans sa vie professionnelle. C’est exactement le genre de personne que j’aimerai garder comme relation, quelle équipe on pourrait former tous les deux ! ! ! »

Ce disant cela, il comprit soudain que c’était surtout lui qui avait bénéficié de cette relation, c’était elle qui l’avait fait jouir, lui n’avait rien fait pour elle, pas la moindre caresse.
Bien sûr, si elle avait fait cela et de cette si belle façon, c’est qu’elle y prenait du plaisir et cela le réconfortait un peu car il ne savait éprouver du plaisir s’il sentait que sa partenaire n’était pas au diapason. Certes cela n’avait pas été le cas.

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Brutalement il paniqua à la pensée qu’elle avait pu très bien le prendre pour un goujat ou un incapable et qu’elle pouvait très bien souhaiter ne pas le revoir. Pourtant elle lui avait confié son numéro de téléphone. En proie à toutes ces pensées contradictoires il se promit de l’appeler dans la soirée.

Il avait l’avantage d’être marié à une femme charmante et fort belle, aussi blonde que sa connaissance était brune et qui avait entre autre qualité l’extrême délicatesse de vivre avec lui le respect de l’indépendance de l’autre, en même temps qu’un travail qui la tenait souvent éloignée de leur domicile. Ce soir-là justement elle ne rentrait pas, c’était donc parfait pour essayer d’appeler sa belle suceuse.

Le cœur battant il composa le numéro, au bout de trois sonneries une voix féminine lui parvint :

« Allo ? »

« Bonjour, pourrai-je parler à Christelle ? »

« C’est moi-même » entendis-il, mais il avait reconnu sa voix dès le premier mot.

« C’est Damien…. Vous vous souvenez peut-être… ? »

« Damien disait-elle d’une voix suave, Ah oui…Bien sûr je me souviens »

Il n’avait pas remarqué lors de leur voyage qu’elle avait une voix si belle, il est vrai qu’ils n’avaient échangé que peu de mots. Il le lui dit.

« Merci, mais je crois que vous vous êtes intéressés à autre chose qu’à ma voix…Et puis avouez que je pouvais difficilement soutenir une conversation » dit-elle d’une voix douce et sensuelle accompagnée d’intonations moqueuses.

Damien était collé au téléphone, subjugué par la beauté de cette voix, séduit par les intonations sensuelles et la douceur des sons de gorge qui lui parvenaient. Complètement étonné, il se sentait déjà bander.

« En effet répondit-il, justement je voulais vous faire part d’un regret. »

« Ah…Vous n’avez pas été…Satisfaits de notre….conversation. »

« Oh si ! ! Certainement que si, plus que vous ne pouvez l’imaginer mais si j’ai reçu autant de plaisir de votre part, à mon grand regret je n’ai pu à mon tour vous en offrir. »

Elle rit, d’un rire de gorge qui venait directement au sexe de Damien, sans passer par les oreilles.

« Eh bien peut-être aurez-vous bientôt l’occasion de réparer cela »

« Hélas vous êtes loin de Lyon, je ne sais si j’aurai la possibilité de vous rejoindre avant un moment. »

« Je souhaite vous retrouver bientôt dit-elle, mais en attendant nous avons le téléphone.. »

Le sang monta brutalement aux tempes de Damien.

« Vous croyez qu’avec des mots… »

« Je vous écoute » le coupa Christelle, d’une voix encore plus douce.
Damien lui aussi très cérébral, comme tout véritable sensuel, était enchanté et ne se le fit pas dire deux fois.

« Vous êtes à votre bureau ? »

« Oui, je suis seule »

« Vous êtes assises, je suis derrière vous, mes deux mains se posent au niveau de votre cou, le massent légèrement, descendent vers l’extérieur de vos épaules, très doucement, s’orientent vers l’arrière et passent lentement sous vos aisselles. Là je sens la naissance de vos seins. Un instant je reste ainsi, les deux mains plaquées contre l’extérieur de vos seins, à les sentir palpiter. Mes mains d’un geste entourent chacun de vos globes d’un mouvement tournant, pour les soupeser, les tâter, sentir ainsi leur consistance et leur chaleur. Je les sens fermes et doux. »

« Oui c’est doux » soupira Christelle encourageant ainsi la caresse.

« Mes mains vous caressent les seins et du bout des doigts j’en touche les tétons, je les sens pointer et durcir, vous aimez ? .. »

« Ouiiii j’aime .. » Murmura la voix de rêve au bout du fil.

« J’ouvre votre chemisier, je libère vos seins, je veux les voir…Me penchant par-dessus votre épaule j’embrasse le bout d’un sein, le titille de la langue, le mordille du bout des dents. »

« Hummmm soupirait la belle caressée, continuez. »

Elle aime bien diriger les opérations pensait Damien, ce que j’apprécie assez par ailleurs, mais là je vais essayer de la dérouter.

« Non, j’arrête, je referme votre chemisier. Vous allez vous mettre debout, face à votre bureau, et vous pencher en avant, la poitrine contre le dessus du bureau, vos jambes écartées. »

« Oui dit-elle dans un soupir, je vous présente mes fesses. »

« En effet ma main droite sur votre cheville droite, ma bouche sur votre cheville gauche je remonte lentement le long de vos jambes, d’un côté avec la main, de l’autre avec la bouche, léchant et mouillant vos bas au passage . J’arrive à l’intérieur de genou, sur lequel je m’attarde un peu, le temps de déposer un baiser. Je continue ma progression vers le haut, ma bouche et ma main sont maintenant à l’intérieur de vos cuisses. »

« Je les écarte encore gémit Christelle, c’est bon ce que vous me faites. »

« Je continue de monter, arrive à la fin du bas et de sa texture élastique emprisonnant légèrement les cuisses à la naissance de votre peau, que je découvre à la fois de la main et de la bouche…Un vrai délice de douceur. Ma bouche reste un instant là, à goûter le moelleux de votre peau, votre parfum, votre odeur, à déguster votre cuisse tendre et ferme. Le satiné de votre peau me retient là encore, du bout de la langue je vous goûte, du plat de la langue j’essaie d’en déguster plus. Je vous lèche en vous dégustant, ma main droite remontant d’une caresse votre cuisse, palpant du bout des doigts et de la paume votre douceur. »

« Hummmm, je remonte doucement ma jupe dit la voix ensorceleuse » ce qui révéla qu’elle ne portait pas de culotte.

« Oui découvrez votre cul que je devine adorable. »

« Ahhh soupira la belle léchée » comme si le mot, prononcé à son intention augmentait son excitation.

« Toujours avec ma bouche d’un côté et ma main de l’autre je découvre vos fesses, les deux sensations mélangées : le toucher et le goût pour moi, et deux caresses différentes pour vous. Je m’attarde un instant sur votre fossette, à la jointure de vos fesses et de vos cuisses, de la langue je la caresse au passage et du doigt je la dessine. Quel beau cul, quelles belles fesses larges et charnues, et ce beau sillon qui les sépare ! ! »

« Entre mes fesses, par en dessous, vous voyez mes lèvres… » dit-elle d’une voix frémissante.

« Oui je vois vos lèvres, charnues et écartées, je distingue quelques-uns de vos poils. Du bout des doigts j’en prends une touffe que je fais crisser entre le pouce et l’index, je les tire doucement, faisant ainsi le tour de votre chatte en vous infligeant la sensation de ce supplice de tirage de poils intimes. »

« Humm » fut la réponse à ce commentaire.

«. » Rectifia Christelle.

« En effet condescend Damien et je remonte vers le sommet de votre con que je devine sublime, jusqu’au petit bouton que je chatouille du bout de mon doigt, je le sens durcir et l’index et le majeur joints, le tenant ainsi prisonnier, je le branle doucement. »

« Ouiii branlez-moi » soupire la belle affalée sur son bureau, le cul offert au regard expert de son admirateur virtuel.

«. Mon regard se pose sur le spectacle le plus intime que vous puissiez m’offrir : votre délicieux trou du cul. Sombre et caché au milieu de votre raie, il m’attend là, comme un cadeau de vous dans son écrin voluptueux, précieusement inoubliable. Je le contemple un moment, sachant le plaisir que vous avez à sentir mon regard au plus profond de votre intimité. Sa rondeur plissée se dissimule entre les deux collines qui lui offrent leurs parois protectrices. Écartant des deux mains les fesses déjà bien ouvertes que vous me présentez il change de forme et à mesure que je tends votre raie il vient vers moi. Je relâche ma tension sur vos fesses, puis je retends de nouveau, plusieurs fois de suite comme pour branler de la sorte votre joli trou. Je le vois ainsi s’ouvrir et se fermer, se préparant à recevoir tout à l’heure un présent qui le dilatera.

Subjugué par cette vision paradisiaque, mon doigt s’approche pour le toucher et l’accompagner dans son mouvement. Du bout de mon majeur je frôle le centre de ce petit cratère, j’en apprécie la douceur et l’élasticité, déjà je le sens prêt à s’ouvrir à la première sollicitation. Vous avez le cul souple d’une baiseuse passionnée. »

« Ah que j’aime ces mots » dit Christelle dans un souffle.

« Mon doigt continue son exploration, il tourne maintenant en spirale du centre vers les bords, s’appliquant à bien ressentir à chaque petit pli la finesse de votre peau. Arrivé tout au bord il cède ma place à ma main tout entière, la paume appliquée totalement sur votre cul, comme pour sentir battre là toute votre excitation. Mon majeur se dirige maintenant vers votre chatte, ouverte et mouillée elle va me permettre de lubrifier mon doigt à votre liqueur. Je m’enfonce du doigt dans votre chatte, un instant je reste immobile, le temps de déguster cette position, puis je me retire, ne résistant pas au plaisir de flatter vos lèvres au passage. »

« Ahhh !.. Baisez-moi, baisez-moi maintenant » soupire Christelle de sa voix divine.

Damien résiste difficilement à cet appel, à cette voix qui supplie de lui infliger une douce baise comment peut-on dire non ? Et pourtant pour augmenter encore son plaisir à elle, et le sien par conséquent, il décide de ne pas répondre à cette supplique pourtant formulée de la plus agréable façon. Il faut parfois faire patienter le plaisir, justement quand c’est presque insoutenable, pour l’augmenter encore. Damien avait cette perversité cérébrale du jouisseur, et il savait que la jeune femme était de la même race.

« Non je ne vous baiserais pas Christelle, mais je vais vous doigter le cul, doucement, de mon doigt humide de vous je vous encule lentement. Mon doigt vous pénètre doucement, s‘enfonce à ne plus pouvoir, ma main bloquant sa progression, et pourtant je voudrais aller plus loin en vous, vous pénétrer encore plus, vous enculer totalement. »

«.
De son côté Christelle très excité par les images que Damien lui suggérait, la main entre ses cuisses se caressait sentant sur ses doigts la concrétisation du plaisir qu’elle prenait à l’écouter.

« Je me relève Christelle, je sors ma bite dure et humide, ouvrez bien vos fesses. »

« Oui je vous ouvre mon cul, prenez-le, donnez-moi votre belle pine que je sais si bonne. »

« Mon gland est tout contre votre anus, de ma main je fais aller ma bite du haut en bas de votre raie, de façon à prendre connaissance d’elle par les sensations de mon gland sur la peau la plus douce de votre intimité. Puis prenant vos fesses à deux mains, je les referme sur ma queue, formant ainsi une gaine dans laquelle je me branle. Bientôt j’écarte de nouveau vos superbes fesses, prenant ma queue d’une main, écartant votre divin trou de deux doigts, je pointe ma bite. Mon gland est à l’entrée de vous, je m’enfonce lentement, lentement mon gland passe la barrière de votre anneau, ma queue poursuit son intrusion et se plante jusqu’à la base. »

« Ah ouiii, je vous sens dans mon cul, soupira la divine, de ma main je remonte entre mes cuisses et caresse vos couilles. »

« Oui répondit Damien, la bite dans votre cul, les couilles dans vos mains je vous pistonne. »

« Ahhh gémit Christelle je jouis !…Je jouis..je jouis ! ! ! »

Le râle de plaisir de la jeune femme précipita Damien dans le bonheur.
Ils jouirent ensemble.
Plus tard, reprenant leurs esprits, Damien demandait à Christelle si elle était mariée, libre sexuellement.
Christelle répondit par avouer qu’elle est mariée, qu’ils sont libertins et à la recherche d’un couple échangiste.
Damien lui de son côté lui dit qu’il est marié avec Muriel et qu’ils sont dans la même situation à la recherche d’un couple libertin et échangiste.
Le seul inconvénient c’est la distance séparant les deux couples.

La solution vint quelques semaines plus tard ou Christelle et son mari décidèrent de passer les vacances chez nous.

Fin !

Véronique

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