J’adore ce bordel. Sûrement autant que je le hais. Je me sens mal à chaque fois que j’y vais, mais je sais très bien que j’y retournerais. C’est une petite place salle et crasse installée dans un entrepôt abandonné. Les filles qu’on y retrouve sont toutes des esclaves, je ne me fais pas d’idée. Ce sont des filles importées d’Europe de l’Est, des fugueuses, dans sans papier. Je me sens tellement comme une merde de profiter de ces pauvres femmes et de leur corps plutôt que de les sauver de cet enfer. Mais c’est tellement excitant de les dominer, de les posséder, d’en profiter sans aucune conséquence. La plupart ne parlent pas la langue alors je ne suis pas inquiet.
De plus, il faut vraiment que je me change les idées. J’ai eu une dispute avec ma fille chérie. J’ai dit plusieurs choses que je ne pensais pas. C’est vrai qu’elle s’habille comme une traînée avec des jupes de plus en plus courtes ou dépasse ses strings aux couleurs vives. Avec des hauts tellement décolletés que la majorité de son soutien-gorge est exposé à la vue, que cacher. Mais encore si ce n’était que ça. Elle passe son temps à ramener des garçons. Ma fille est devenue la pute de la fac et elle rentre presque chaque jour un nouveau copain du campus. Je suis las de voir des hommes à moitié à poils chez moi que ma femme peut admirer. Je suis las de les entendre baisé et gendre la moitié de la nuit. Et surtout, surtout las d’en être excitée.
Ce n’est pas normal de fantasmer sur sa propre fille. Mais je la mate bien trop et je suis en réalité le premier à aimer ses vêtements provocants. J’adore voir sa petite culotte quand elle se penche. Je me surprends à faire exprès de laisser tomber des objets au sol ou très bas pour mater la petite culotte que mon ange porte. La voir moulée contre son petit sexe. Ou parfois regarder sa lourde et ronde poitrine quand elle se penche devant moi. De plus, comme elle est maladroite elle échappe souvent des mains se quelle tient ou veut attraper ce qui me permet de maté longuement son petit cul ou ses gros seins. Parfois, quand je passe à côté de sa chambre je vois la porte entrouverte. Je peux parfois la voir dormir ou baiser un de ses copains. Elle dort nue et même une fois elle avait les jambes bien écartées et j’ai pu voir la voir se caresser la chatte. Je l’ai longuement regardé et écouté gémir. Elle est tellement belle quand elle jouit. Alors, dans ces moments je vais voir ma femme et lui fais l’amour. On le fait dans le noir et je lui demande de se taire pour m’imaginer avec ma petite Léa chérie. Mais là je l’ai blessé et elle a fugué. Enfin elle est adulte alors elle est simplement partie. Je me sens mal pour elle et pour moi de ne plus pouvoir en profiter. Merde je bande déjà a pensé à elle. Il est temps que je prenne une petite jeunette pour me soulager et me changer les idées. Oui je vais me sentir mieux après.
Le gros type que je crois être russe me conduit à mon local. <> Je rentre et il referme la porte coulissante de la cabine d’entrepôt derrière moi. C’est le seul petit inconvénient, on ne choisit pas ici. Mais ils choisissent généralement bien les… merde alors !
— Léa chérie ?
— Papa ! Elle est forte surprise et plaque les mains sur sa bouche. Elle se doute que l’on est toujours un peu surveillé. Son mascara a coulé le long de ses joues ce qui lui donne un air fragile et faible encore plus excitant.
— Que fais-tu ici ?
— Toi qu’est-ce que tu fais ici papa ? Et depuis quand je suis ta chérie ? Je ne suis pas qu’un vulgaire sac à bite ? Tu dois bien penser que je suis à ma place dans un bordel. Elle regardait au sol avec un regard triste et en colère. Je m’assois à côté d’elle et l’enlace.
— Je suis désolé pour ce que j’ai dit. Je ne le pensais pas. Ça nous ferait plaisir è ta mère et moi que tu reviennes. Cette semaine a été difficile pour nous.
— Je ne peux même pas sortir d’ici. Ça m’a vraiment fait mal ce que tu m’as dit. Tout ce que je voulais c’est que tu m’aimes. Que tu vois que je suis devenue une femme. Elle verse encore quelques larmes et rajoute : je voulais que tu m’aimes comme je t’aime. J’ai tout essayé pour attirer ton attention. Faire des sous-entendus, m’habiller plus provocante. Je voulais que tu me yeutes quand je me penchais devant toi. Je laissais la porte de ma chambre ouverte pour que tu me voies et que tu viennes me rejoindre. Je me touchais en rêvant que tu entres violentent, que tu plaques une main sur ma bouche et enfonces ta bite dans ma petite chatte. Papa tu as payé une pute et même si je ne suis pas celle que tu attendais je veux que ce soit moi ton trou pour te vider.
Elle prend ma main et la pose sur un de ses seins. Je ne sais pas ce qui se passe dans ma tête, mais, plutôt que de la repousser je palpe sa grosse boule. Ses seins sont tendres et fermes. Merde qu’elle est bonne. Elle dézippe mon jean et sort ma queue, déjà dure depuis un moment, de mes sous-vêtements. Ma petite Léa me branle alors lentement de sa main. Je gémis tout en la pelotent plus vigoureusement. Je lui retire son soutien-gorge sans même enlever son petit haut vulgaire. Ses deux gros seins sont maintenant bien visibles dans son décolleté qui laisse presque tout sortir. Je lui pince les mamelons comme sa mère aime. Oui elle aime et commence à gémir.
Léa se penche alors vers ma queue et la met dans sa bouche. Elle commence à me sucer avec beaucoup de talent. Wow je n’ai jamais été sucé comme ça. Elle est tellement meilleure que sa pauvre mère. Cela a eu du bon qu’elle se tape tout le campus, elle a de l’expérience ! Sa tête faite de va et viens avec un délicieux bruit de succion. <> Je soupire d’aise. Ma fille me caresse les couilles de ses fins doigts alors que sa langue tourne autour de mon gland. Je remonte un peu sa jupe noire et tire légèrement sur son string rose bonbon. L’intérieur de sa fente est chaud et humide et mes doigts y glissent aisément. Elle me regarde pendant qu’elle me suce avec des yeux si sexy, si soumis. Son beau visage sali du maquillage qui a coulé lui donne un petit air « trash » qui va bien avec ses cheveux teints bleus.
Je la prends et la place face à moi. Elle me regarde avec un air si tendre et amoureux que j’en perds mes moyens. Alors que je la positionne en califourchon, mon ange roule son string sur le côté de sa fesse puis glisse sa chatte sur ma queue. Bordel je baise ma propre fille ! C’est tellement bon. Sa chatte est chaude et malgré toutes les queues qui y sont passées, elle reste plus serre que ma femme. Son sexe moule merveilleusement ma bite comme si j’avais créé ma fille spécialement à ma taille pour en faire ma parfaite amante. Elle me regarde dans les yeux en me disant :
— Je t’aime papa. Je t’aime tellement papounet. Je veux être à toi. Toute à toi. Même si tu ne m’aimes pas dis moi que tu m’aimes.
— Je t’adore ma chérie. Tu es si belle et si provocante. Tu es bien plus belle, jeune et bonne au pieu que ta mère.
Je prends ma petite pute et la plaque de dos contre le mur. Elle pose les mains et son visage angélique sur le mur sale et arque le dos pour ressortir sa belle croupe. Je roule è nouveau le string qui a repris sa place et la prend ainsi par derrière comme la chienne qu’elle est. Je la défonce rapidement avec fureur. Elle ne cesse de gémir et crier <> et autres encore. Et ça m’excite tellement ! Je ne baise pas juste une belle femme, je baise ma fille. Mon propre sang et ça m’excite au plus haut point. Je prends par derrière ma fille chérie… et cela l’excite à mort ! Elle adore que son vieux la prenne comme une femme. C’est si bon, je ne pouvais plus tenir bien longtemps.-Ta queue est si bonne papa. C’est de là que je viens. Je suis sortie de cette grosse verge et maintenant j’ai envie de la remercier.
Elle fait bien ça justement. Je n’ai jamais été aussi dur et aussi chaud que dans l’antre de ma fille chérie. Elle me donne la baise de ma vie. Ma petite Léa se penche vers moi et m’embrasse amoureusement à pleine bouche. Sa langue roule sur la mienne alors qu’elle fait bondir son petit cul sur ma queue. Je lui rends son baisé avec la même passion sauvage. Je ne suis pas sentie comme ça depuis que j’avais son âge. Je prends sa fine taille en mes mains pour accélérer le rythme de la pénétration. On continue de s’embrasse comme des adolescents.
— Chérie je vais venir.
— Oui papounet ! Va y viens sur mon visage s’il te plaît. Je te veux partout sur moi.
— Merde ta mère n’accepte jamais ça. Merci bébé.
— Je suis une bonne petite fille. Je veux tout faire pour toi.
Ma petite Léa se pose à genoux devant dès que je sors d’elle et ferme les yeux. Je me masturbe et cette fois avec aucun fantasme. Je ne fais que la regarder. Que regarder le tendre vissage salit du maquillage coulant de ma petite fille chérie et je viens par grand jet. En criant !
Vincent D.
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