Carole se tient en équilibre sur la pointe des pieds, juchée sur une chaise, elle nettoie les vitres. Elle fredonne en frottant les surfaces vitrées avec vigueur. Elle fait par inadvertance tomber son chiffon, elle s’adresse à Michel, son fils, qui, installé dans un fauteuil, joue avec son téléphone :
-Tu veux bien me de le ramasser mon chéri !
Il lui sourit, s’approche, se penche et ramasse le chiffon. La position courbée le favorise pour de regarder sous la jupe de sa maman. Il reste un moment scotché sur la vue imprenable, des dessous de sa maman. Sa culotte est insérée dans sa raie et sépare parfaitement bien les deux lobes fessiers. Sa maman en position instable comme à s’impatienter. En se redressant, le bougre, volontairement, lui relève la jupe, il fait mine de s’excuser :
-Oh pardon maman, je ne l’ai pas fait exprès !
Mais le coquin a eu le temps de voir encore mieux sous la jupe. Il a eut le temps d’admirer le galbe parfait des cuisses et les rondeurs attrayantes des fesses. Sa maman saisit le chiffon, remercie son fils et reprend son activité. Michel reste là à la regarder, soudain il se met à la complimenter :
– Comme tu es belle maman, je n’avais jamais remarqué que tu avais d’aussi jolies jambes, elles sont magnifiques !
Ta jupe les découvre, lorsque tu tends les bras !
Carole, étonnée par les compliments, lui sourit et répond !
-C’est vrai tu les trouves jolies !
-Oh oui elles subliment !
Il en profite pour lui remonter la jupe sur le haut des cuisses en découvrant la culotte, Carole sursaute et réplique en souriant :
-Oh là coquin, n’en profite pas quand même, je ne suis pas ta copine !
Il pose ses mains sur les cuisses que la jupe n’arrive pas à cacher totalement et, les caresse doucement en marmonnant :
-Oui elles sont magnifiques tes jambes maman !
Carole reste sans voix, les mains moites de son enfant montent de plus en plus haut sur ses cuisses. Enfin, elle réagit. Elle saisit les mains de son fils et les stoppe dans leur progression. Elle le regarde et l’apostrophe :
-Mais qu’est-qui te prend Michel, cesse ce petit jeu s’il te plait !
Michel ne se laisse pas abattre pour autant, il la regarde et lui dit avec une certaine tendresse :
-Maman, tu es si désirable, perchée sur ta chaise, qu’il me vient des idées pas très saines !
Elle fronce les sourcils et lui demande :
-Quelles sont ces idées malsaines hein dis-moi ?
Michel ravale sa salive et se lance :
J’ai envie de te prendre comme une chienne, te dévorer, te faire hurler de plaisir, j’irai jusqu’à te sodomiser !
Carole écarquille les yeux et réplique en souriant :
-Ouah quel programme mon chéri, tu divagues j’espère !
Un peu sonnée par cette déclaration, elle descend de son perchoir et va s’assoir dans le canapé, Michel s’assied à côté d’elle et, sans se démonter, il lui raconte dans les moindres détails tout ce qu’il est capable de lui faire. Sa maman reste sans voix, elle serre les jambes puis regarde son fils, elle parvint à dire en lui souriant avec une pointe d’ironie :
-Si je comprends bien, tu es une bête de sexe, je crois que je perds pas mal de choses alors !
Le coquin se blotti contre sa maman et, il lui raconte encore ses fantasmes. Carole l’écoute, les paroles de son fils l’émoustillent, elle se prête au jeu. Elle ne s’attendait pas à ça, elle sent s’échapper de sa chatte un petit filet de cyprine qui lui humidifie la culotte. Elle ravale sa salive. Les détails deviennent de plus en plus salaces, l’excitation monte dans le corps de la maman qui se sent fébrile tout d’un coup. Michel pose sa main sur la cuisse de sa maman et la glisse lentement sous la jupe. Carole, ne tente même pas de l’en empêcher. Mécaniquement, ses jambes s’écartent doucement. Ses yeux brillent, sa respiration s’accélère, la main hardie, se pose sur sa culotte mouillée. Michel la regarde et lui en souriant :
-Mais tu mouilles ma petite maman, c’est merveilleux !
Elle lui répond en baissant les yeux :
– Tu es un monstre, tu profites de ma faiblesse parce que je suis sans mari !
Il lui répond du tac au tac :
-je vais le remplacer le mari manquant ma petite maman chérie !
Il se lève et tombe à genoux face à elle, délicatement il passe ses mains sous la jupe et s’agrippe à la culotte, il tire dessus et la descend. Sa maman pousse de gros soupirs, elle agite son bassin pour faciliter la descente du tissu. Enfin la culotte git sur le sol, Michel ouvre petit à petit les jambes de sa maman sans la quitter des yeux. Elle lui dit avec émotion :
-Mon chéri, nous ne devons pas faire ça !
Michel lui répond :
-Tu en as envie autant que moi, je le sais, laissant faire les choses naturellement !
Ses doigts s’enfoncent dans la toison mouillée, glissent sur la fente de nombreuses fois. Carole ouvre largement les cuisses en ronronnant, elle se cabre, deux doigts s’enfoncent profondément dans son vagin et le fouille un très long moment. Les visiteurs tournent dans la gaine en faisant un va-et-vient qui augmente en intensité au fil des minutes. La maman soumise à son enfant geint de plaisir, son bassin s’agite, son corps est parcouru de frissons. La maman chauffée à blanc se tend comme un arc et jouit en criant, elle tente d’étouffer ses cris en se mordant le poignet.
Michel retire ses doigts et plaque sa bouche sur la fontaine qui ne cesse de couler. Il se régale du jus suave que sa maman lui offre. Il enfonce sa langue dans le cratère en éruption, sa maman grogne comme une bête blessée. Elle pousse des couinements terribles, en agitant sa croupe.
Soudain, elle se cabre, le bougre de fiston vient de lui gober le clitoris et lui tète férocement. La boule de chair très sensible fait hurler de plaisir la maman incestueuse. Elle jouit en tremblant comme une feuille sous le vent d’automne. Enfin, le fils, amant, baisse son pantalon et extirpe de son slip sa verge raide comme du bois. Il l’exhibe sous les yeux de sa maman et disant :
– Elle va te faire mourir de plaisir maman, depuis le temps que tu n’en as pas vu !
La maman se décompose en voyant le manche large et épais de son fils. Elle tend la main, s’empare de l’engin vivant et le masturbe doucement en le regardant avec envie, il marmonne :
-Oh maman, comme ta main est douce, oui, oui, branle-moi fort !
La verge se tend de plus en plus, les râles du jeune amant deviennent bruyants. Sa maman semble être une experte en branlage, elle décalotte le gland et le gobe. Michel pousse un gémissement de plaisir. La maman sur le champignon avec de pus en plus de vigueur. Michel hurle :
-Maman, ça vient, ça vient, oh putain, que c’est bon !
Carole suce encore plus avidement le gland de la chair de sa chair, elle veut sentir couler dans sa gorge le nectar des dieux que son fils fini par lui envoyer. Le coquin envoie plusieurs giclées dans la gorge de sa maman, qui se régale de cette substance visqueuse.
Dont elle en avait oublié, presque le gout. Elle recrache la verge, s’essuie les lèvres d’un revers de la main et dit :
-prends-moi mon chéri, prends-moi !
à suivre
Valériane
J’ai adoré ton partage de plaisirs même si cela aura été avec ton fils Michel et combien j’aurais adoré et rêvé d’avoir une maman aussi salope et perverse que toi………………………..