Michel place son gland majestueux, contre la vulve assoiffée de plaisir de sa maman. Les deux se regardent avec une certaine émotion. Le fils amant pousse doucement, la maman se cambre sous la pénétration. Elle prend une grande aspiration en s’ouvrant au maximum. La verge puissante de son enfant s’enfonce sans brusquerie dans son corps fiévreux. Elle s’accroche à lui en grognant de plaisir. Le fils un peu vantard dit en gonflant sa poitrine :
– Cela fait un bail que tu n’as eu une si bonne queue comme cela là en toi Maman, avoue-le ?
Il donne quelques coups de reins violents comme pour la faire parler. Carole le serre de toutes ses forces et dit en criant :
-Oui oui, elle est bonne ta queue, tais-toi, baise-moi fort salaud !
Michel fait un va-et-vient qu’il dose parfaitement bien, sa queue entre est ressort du corps de sa maman comme un piston dans son cylindre. Lorsque sa maman est sur le point d’exploser, il cesse tous mouvements et attend que la pression retombe dans son corps pour reprendre le pilonnage. Elle lui hurle :
-Tu es un monstre, fais-moi jouir, oui, oui, je veux jouir !
Il reprend ses assauts en grognant comme un fauve, sa maman se cabre et jouit, elle se donne à font, sa jouissance est grandiose. Depuis le temps qu’elle n’a pas fait l’amour, elle se lâche totalement. Son fils continue de la démonter fermement, il pousse un han de bucheron à chaque enfoncement de sa queue dans le ventre de sa maman. Enfin, il se bloque et envoie une quantité impressionnante de sperme dans les entrailles brulantes de sa maman qui s’accroche à lui en donnant des coups de reins pour que l’empalement soit total.
Il reste sur elle un long moment avant de retirer sa queue encore raide du corps qui est secoué par des spasmes violents. Il la regarde, les yeux de sa maman pétillent comme du champagne, il lui dit tendrement :
-Cela t’a plu maman chérie ?
Elle répond en l’enlaçant :
-Oui mon chéri, ça était merveilleux, cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé de jouir aussi intensément !
Il lui sourit et ajoute :
-C’est autre chose que tes doigts pour jouir, hein petite cochonne ?
Elle ne lui répond pas, mais l’embrasse amoureusement comme pour le remercier. Son regard est rieur, il lui demande :
-Tu sais maman, ce qui me ferait plaisir, c’est que tu me montres comment tu te branles, vas-y fais voir !
Elle lui sourit et ouvre largement les cuisses, sa chatte est trempée, elle se caresse la boule des plaisirs, sont corps se met à frissonner. Elle prend entre ses doigts son clito et le branle comme elle le faisait les soirs de désirs de jouissance. Elle serre les dents, elle enfonce trois doigts de sa main libre au plus profond de son vagin et se fouille comme une malade. Elle grimace, ses doigts s’activent férocement sur sa chatte. Elle tourne sa tête vers son fils et dit d’une voix tremblante :
Regarde, regarde mon chéri, maman va jouir !
Elle retire ses doigts de sa chatte et se branle encore plus rapidement, en grinçant des dents. Elle se cambre et envoie plusieurs giclées de jus d’amour sur le sol. Michel sursaute et dit :
-Oh la vache comme tu gicles bien ma maman !
Sa queue reprend du volume, il pose les jambes de sa maman sur ses épaules, il est tellement excité que c’est sans préparation, qu’il enfonce sa queue dans le rectum de sa maman. Elle pousse un cri de douleur et dit en grimaçant :
-Doucement mon chéri, tu veux tuer ta maman !
Elle ajoute :
-C’est bon ce que tu me fais mon chéri, maman adore ça !
Encouragé par sa maman, le gredin lui laboure le cul en lui, donnant de violents coups de boutoir. Les râles qu’elle pousse sont effrayants, elle s’agrippe à lui en criant :
-Fais-moi mal mon chéri, fais-moi mal, défonce-moi le cul, éclate-le, mon Dieu, c’est trop bon !
Le ramonage de son rectum est furieux, elle grogne comme jamais, elle se cabre et jouit du cul en haletant comme une bête blessée. Michel est essoufflé, sans relâche, il démonte sa maman comme une brute. Il pousse un grognement terrible et lui remplit de cul de son sperme gluant. Les deux récupèrent lentement en respirant fortement. Michel regarde amoureusement sa maman et lui dit :
– Maman, comme j’aimerais te partager avec mes copains, tu es trop bonne, dis oui s’il te plait !
Carole regarde son enfant qu’elle croit pervers :
-Mais tu es fou, je ne suis pas une pute !
Il l’enlace et l’embrasse fougueusement et dit entre deux baisers :
-Tu vas le devenir maman chéri et tu vas aimer ça je t’assure !
Elle le repousse et réplique :
-Avec qui je suis censée faire la pute hein sale cochon !
Il la regarde avec un air de chien battu et répond :
-Avec Olivier et Marc, tu les connais très bien, ils viennent souvent à la maison !
Carole fronce les sourcils et répond dubitativement :
-C’est vrai qu’ils sont beaux garçons, mais de là à ce que je couche avec eux, il y a une marge, j’ai quand même 58 ans !
– Eux, 20 ans, alors où est le problème. Tu leur plais bien, des fois, nous parlons de toi, ils me posent beaucoup de questions et se demandent comment qu’une belle plante comme toi reste sans homme, ils aimeraient bien planter leur pieu en toi qu’ils disent !
-Oh les coquins, bon parlons plus de cela, allons prendre une douche et nous coucher mon chéri !
Les deux amants rejoignent leur chambre respective. Carole a le sommeil agité, elle repense à la proposition de son fils de coucher avec Olivier et Marc. Cela la trouble, de plus les deux gredins veulent la baiser, cela ne la laisse pas de marbre que malgré son âge elle est encore désirée. Elle se dit que cela serait une expérience bénéfique pour elle qui n’a connue que la queue de son mari et maintenant celle de son fils. Elle se lève et entre dans la chambre de son fils, elle le réveille et lui dit :
-J’ai réfléchi, c’est ok pour Olivier et Marc, regarde, rien que d’y pense je mouille, faisons encore l’amour mon chéri !
Rapidement, la nuisette de Carole et le boxer de Michel tombent sur plancher. Le fils amant caresse les seins avec un doigté d’expert, il fait grossir les mamelons au maximum avant de les aspirer et le téter. Sa maman se met à geindre, la tension ne cesse de monter dans son corps de future pute. Enfin, après de nombreuses supplications, son fils l’empale sur sa queue et la démonte jusqu’à ce qu’elle prenne un pied d’enfer. La bougresse jouit plusieurs fois pendant la nuit, c’est épuisée qu’elle s’endort dans les bras de son enfant chéri.
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Valériane
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